Le Saviez-vous ►Expression : Etre un as


On s’entends que l’as … viens d’un jeu de carte, cependant, il fut un temps pour l’as n’était pas a son meilleur, du moins jusqu’à ce que des soldats, des pilotes … ont changer les choses
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Etre un as 

Être le meilleur dans son genre, dans l’activité qu’on exerce.

Aujourd’hui, l’as est la plus forte des cartes, mais il n’en a pas toujours été ainsi.

Le un, ou as en latin, a très longtemps été un moins que rien, sans valeur.

La transformation de la perception de l’as vient de la guerre de 14-18 où les pilotes d’avion, lorsqu’ils avaient du temps à perdre entre deux missions, jouaient à la manille, jeu de cartes inventé à la fin du XVIIIe siècle, où l’as vient juste avant le 10, la plus forte carte.

Ainsi, lorsqu’un pilote approchait du dixième ennemi abattu, il devenait un as, par assimilation à son jeu préféré.

Cette expression réservée aux pilotes s’est ensuite étendue à tous les domaines.

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"Confus" après avoir dormi, un pilote fait plonger son Boeing: 16 blessés


Ce n’est pas de savoir s’il y a un pilote a bord de l’avion, mais plutôt savoir si le pilote dort Cela arrive qu’on fasse un petit somme et qu’au réveil, nous sommes désorienté .. mais par contre en temps que pilote avec pleins de boutons et commandes .. mieux être vraiment réveillée avant de s’aventurer sur les commandes
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« Confus » après avoir dormi, un pilote fait plonger son Boeing: 16 blessés

 

AFP/archives

Un pilote d’Air Canada, qui venait de se réveiller d’un repos en vol de nuit, a cru que son appareil allait en heurter un autre venant en face et l’a fait plonger brusquement, faisant 16 blessés parmi les occupants, selon un rapport d’enquête publié lundi.

Apparemment victime de « l’inertie du sommeil » et donc « probablement confus et désorienté », le copilote avait d’abord pris la planète Vénus pour un autre avion, avant de penser à tort qu’un avion de l’armée américaine, visible à l’oeil nu, était en train de plonger vers lui, indique ce document du Bureau de la sécurité des transports du Canada.

En fait, l’autre appareil était à mille pieds (300 m) au-dessous et ne présentait aucun danger.

L’incident est survenu en pleine nuit le 13 janvier 2011 lors d’un vol reliant Toronto à Zurich, à mi-chemin au dessus de l’Atlantique, alors que l’appareil était sur pilote automatique, précise le rapport.

Lorsque le copilote a poussé sur le manche, l’avion a plongé brusquement de 400 pieds (120 m), puis, le capitaine ayant repris rapidement le contrôle des commandes, il est remonté de 800 pieds.

Quatorze passagers et deux membres d’équipage ont été blessés par les secousses. Ils n’avaient pas bouclé leurs ceintures de sécurité, bien que le signal lumineux le leur ait demandé 40 minutes plus tôt, l’appareil approchant d’une zone de turbulences.

Le vol s’est poursuivi sans incident. A Zurich, sept passagers ont été conduits à l’hôpital qu’ils ont quitté peu après.

Le « repos aux commandes » à tour de rôle est autorisé sur les avions de ligne. Il peut atteindre jusqu’à 40 minutes, puis le pilote doit s’abstenir de prendre les commandes pendant au moins 15 minutes pour être sûr d’être bien réveillé.

© 2012 AFP

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