Le piercing de fiançailles mis à l’index


Il y a des tendances qu’on ne devrait même pas présenter. Un bijou installé sur un implant au doigt en guise de fiançailles. Il y a toujours un risque avec un bague conventionnelle (quoique rare) de l’accrocher et de former un caillot qu’il faut couper la bague. Alors, imaginez un tel bijou qui peut s’accrocher sur des vêtements des meubles etc .. Ce bijou bouge toujours un peu et il y a un risque d’infection
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Le piercing de fiançailles mis à l’index

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Source: Instagram

C’est à la fois une tendance et un moyen avoué de se fiancer à moindre coût: se faire poser un piercing sur le doigt à la place de la bague de fiançailles n’est pourtant pas une idée très judicieuse.

La coutume semble de moins en moins pratiquée par chez nous, mais il existe des pays où il est toujours de bon ton de se fiancer avec son ou sa partenaire avant de commencer à planifier la suite. D’après une étude réalisée chaque année par le site spécialisé The Knot, chaque couple américain qui se fiance dépenserait en moyenne 6 000 dollars rien que pour les bagues de fiançailles – oui, c’est énorme.

Pour les couples disposant d’un budget bien plus limité et/ou souhaitant se singulariser, l’une des possibilités actuellement en vogue est de se faire tatouer un anneau sur le doigt, et désormais de se faire poser un implant au dos d’une des phalanges.

Instagram commence à regorger de clichés souvent regroupés sous le hashtag #fingerpiercing, dans lesquels des amoureux et des amoureuses exhibent leurs doigts fraîchement agrémentés d’un bijou rivé à une base placée sous la peau.

Les spécialistes mettent cependant en garde contre le risque de ce genre d’ornement, même posé dans des salons dignes disposant d’équipements de qualité et respectant es normes d’hygiène. Le problème vient avant tout de la surexposition de nos mains et à leurs mouvements incessants. La probabilité d’infection de ce genre de bijou est extrêmement élevée.

«Un tel implant ne peut pas cicatriser correctement», avertit Matt Jessup, patron d’un salon de tatouage et de piercing dans une interview accordée au Washington Post.

Des zones à proscrire

Jessup ajoute que dans son salon, les demandes d’implants digitaux sont systématiquement refusées en raisons des risques. Le moindre choc peut représenter un danger, et il n’est pas rare que la localisation du bijou change peu à peu, se déplaçant d’un millimètre après l’autre.

Memo Gonzalez, un autre professionnel du piercing basé à Washington, met en garde de façon plus générale contre tous les types de piercings et d’implants pratiqués sur des localisations «où le corps est en mouvement».

Il est d’ailleurs presque aussi dubitatif lorsqu’on lui parle des tatouages de doigts.

«L’encre pénètre moins bien les zones dépourvues de follicules pileux. Et puis ça dépend de ce que vous faites avec vos mains, mais si votre métier consiste à faire la plonge, votre tatouage ne durera pas plus d’une semaine».

http://www.slate.fr/

La peau et le retour des rituels tribaux


Autrefois, les clans, les tributs se distinguaient avec des tatouages, des peintures corporelles et des os ou autres en guise de bijou inséré dans la peau. Aujourd’hui, ce genre de rituel tribal revient en force pour se démarquer des autres. Le problème, c’est qu’a chaque fois qu’on transperce la peau, cela est une porte ouverte contre des bactéries comme la bactérie mangeuse de chair, le tétanos et autres microorganismes qui peuvent être mortels.
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La peau et le retour des rituels tribaux

 

Jacques Beaulieu

Chroniqueur et communicateur scientifique

 

Il fut un temps dans l’évolution humaine où l’identification à une tribu ou à une caste quelconque était essentielle à la survie de l’espèce. Il fallait être en mesure d’identifier rapidement dans le feu de l’action d’une attaque, qui était de notre clan et qui appartenait à la tribu adverse. Pour ce faire, tatouages, peintures corporelles et autres signes distinctifs assuraient cette reconnaissance. Plus tard, le vêtement ayant fait son apparition, les costumes militaires, les habits d’apparat, les costumes cléricaux, etc. remplacèrent les tatous, les scarifications et autres identifications corporelles. Faut-il croire que nous assistons présentement à une récession de quelques centaines de milliers d’années de l’évolution humaine lorsqu’on rencontre de plus en plus souvent des personnes tatouées, percées et implantées de toutes parts ? Malheureusement, ces retours aux rituels tribaux n’ont pas que le barbarisme comme traits communs, ils représentent une menace sérieuse à la santé.

Une des fonctions essentielles de la peau est d’établir une barrière entre l’intérieur du corps et l’extérieur, barrière extrêmement efficace contre les infections. Les microorganismes (anciennement, on les appelait les microbes) présents naturellement dans l’environnement sont arrêtés par cette barrière habituellement très étanche. D’ailleurs, le streptocoque béta-hémolytique du groupe A, qu’on appelle communément : la bactérie mangeuse de chair peut trouver son chemin pour entrer dans le corps humain par une éraflure ou une coupure quelconque. Contrairement à ce que son nom laisse supposer, la bactérie ne mange pas les tissus musculaires, elle émet une toxine qui les dissout. Cette fameuse bactérie provoque la fasciite nécrosante. Chaque année au Canada 90 à 200 cas sont dénombrés dont 20% à 30% sont mortels. Bien d’autres microbes peuvent s’insérer dans l’organisme lorsque la peau est endommagée. Le tétanos et bien d’autres agents infectieux n’attendent qu’une porte d’entrée pour s’infiltrer dans l’organisme et causer des ravages parfois mortels. Chaque fois que cette barrière qu’est la peau est endommagée, il y a donc risque d’infection. Et, comme nous l’avons vu, le danger n’est pas anodin.

Exemples d’infections graves

Il y a quelque temps, à la suite de piercings, deux cas sévères furent relatés dans la littérature médicale. Une femme de 29 ans s’est retrouvée avec une péricardite sévère (infection de la membrane qui entoure le cœur). Cette infection avait provoqué une sécrétion d’un fluide infecté entre la membrane et le cœur, fluide qui compressait le cœur, menaçant même les battements cardiaques. L’analyse de ce fluide révéla la présence d’une bactérie susceptible de provoquer en plus une méningite. La dame aurait facilement pu en mourir si elle avait consulté ne serait-ce que 24 heures plus tard. Dans un autre cas, une bactérie s’est logée dans le sein gauche et a provoqué un abcès qu’on dut drainer et traiter avec des antibiotiques. Dans ces deux cas, la porte d’entrée du microorganisme fut une tige avec un bijou implanté dans la langue.

Plus les tissus où sont insérés ces bijoux sont complexes, plus les risques d’infections ou d’autres complications augmentent. Ainsi, une bague insérée dans le lobe de l’oreille ne représente qu’un danger minime. Il en est tout autrement lorsqu’une tige traverse la langue, le mamelon, l’ombilical ou encore le clitoris. Dans ces cas, en plus de transpercer la peau, le corps étranger traverse aussi du tissu musculaire et du tissu nerveux. Il ne s’agit plus d’une porte d’entrée, mais d’une autoroute en ligne directe avec tous les organes vitaux du corps humain.

Une asepsie douteuse

De plus, contrairement à ce qui est avancé par ces poseurs d’autoroutes à infections, même si toutes les précautions d’asepsies sont prises, le risque demeure. Il faut se rappeler que des infections se produisent même en milieu hospitalier où les mesures de stérilité sont maximales, alors qu’en est-il dans un commerce de tatouage ou de perçage ?

Finalement, il en existe plusieurs qui prétendent que ces bijoux qu’on insère dans la langue ou sur la lèvre n’ont aucun effet sur la dentition et sur la santé buccale. Les dentistes pourront vous donner l’heure juste à ce sujet. Dents usées, dents fêlées, dents cassées ou fissurées de l’intérieure (visible seulement à la radiographie) et déchaussement de la gencive entraînant une sensibilité accrue et des caries au niveau de la racine de la dent sont autant de conséquences que doivent traiter les dentistes. Comme l’indique le site Orthodontiste en ligne : Les risques et complications liés au piercing des lèvres et de la langue vont de l’usure dentaire anormale et fracture de dents à la récession gingivale et infections systémiques sévères. ( https://www.orthodontisteenligne.com/blogue/le-piercing-buccal-pensez-y-bien/?amp=1#ixzz4jL4eXoaD )

Il doit surement exister des manières moins barbares et surtout bien moins dangereuses pour se distinguer les uns des autres.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Le perçage buccal et les bijoux dentaires


Je n’aime pas tellement les piercings sur la langue ou sur les lèvres, d’autant plus que cela n’est pas sans risque pour la santé dentaire
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Le perçage buccal et les bijoux dentaires

 

Le perçage buccal se veut une pratique de plus en plus populaire. On retrouve des perçages buccaux sur la langue, les lèvres et quelques fois dans la joue, le frein de la langue ou de la lèvre et, dans de rares cas, sur la luette. Or, cette procédure est loin d’être sans risques.

La bouche est un endroit humide contenant de nombreuses bactéries. Ce milieu est donc idéal au développement d’infections. La bouche comporte également plusieurs vaisseaux sanguins et nerfs importants, en plus de présenter une muqueuse beaucoup plus fragile qui s’endommage plus facilement que la peau.

Les risques et complications liés au piercing des lèvres et de la langue vont de l’usure dentaire anormale et fracture de dents à la récession gingivale et infections systémiques sévères.

La pose de bijoux dentaires doit être réalisée dans un environnement approprié qui respecte les règles d’hygiène et d’asepsie, en plus d’être précédée d’un examen dentaire complet par un professionnel.  De plus, il faut s’attendre à devoir enlever le bijou pour certains traitements dentaires. Si le bijou reste en place, il dérange et limite le travail des professionnels. De plus, la présence de métal peut fausser les radiographies.

Il est préférable d’être informé adéquatement afin de poser un choix éclairé. N’hésitez pas à consulter un professionnel qui pourra vous informer de tous les risques et complications, des précautions et des effets à long terme.

https://centreslapointe.com/

L’homme qui a le plus de trous dans le corps au monde


Un autre qui à mon avis, détruit son corps. Me semble que le voir manger ne doit pas être ragoutant et boire, le liquide doit couler hors de la bouche. Non, franchement, c’est affreux et quand il sera plus âgé, comment sera son visage
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L’homme qui a le plus de trous dans le corps au monde

 

L'homme qui a le plus de trous dans le corps au monde

L’artiste Joel Miggler.Photo Gentside

Adepte des piercings, cet artiste body art en possède pas moins de 27, dont deux qui ne passent définitivement pas inaperçus.

Il détient le record de l’homme qui a le plus de trous dans la peau dans le Livre Guinness des records.

En effet, Joel Miggler possède dans chacune de ses joues deux trous de 3,6 cm de diamètre qui permettent de voir l’intérieur de sa bouche ou encore de faire passer un fil de l’un à  l’autre.

Selon lui, Joel Miggler affirme que ces deux énormes trous ne lui causent aucune gêne au quotidien, notamment lorsqu’il s’agit de boire et de manger.

Accro à  la transformation corporelle, celui-ci voudrait même poursuivre son oeuvre en réalisant à  l’avenir d’autres piercings et en se faisant poser un implant dans le globe oculaire.

http://fr.canoe.ca/

Modifications extrêmes Des trous de 36 mm dans les joues


Comment peut-on affliger de telles modifications du corps. Il est jeune, et se défigurer ainsi, qu’aura-t-il l’air quand il sera plus vieux, et les dents quand elles deviennent cariés. Non ,.. ce n’est pas joli du tout
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Modifications extrêmes

Des trous de 36 mm dans les joues

 

Jusqu’où peut-on aller dans les modifications du corps? L’Allemand Joel Miggler a des trous de 36 millimètres de diamètre dans les joues, où on peut bien voir ses gencives, ses dents…et sa langue fourchue.

(Capture d’écran TVA Nouvelles)

Son objectif: les augmenter à 40 millimètres, a-t-il révélé au Daily Mail.

Quand il allume une cigarette, la fumée sort par ces orifices peu communs.

Et comment manger, direz-vous, avec des trous dans les joues? Il faut prendre de petites bouchées, dit Miggler.

(Capture d’écran TVA Nouvelles)

Miggler se qualifie d’artiste extrême de modifications corporelles. Il a 27 piercings, six tatouages, un implant, et il s’est fait «marquer» comme un bouvillon sur le postérieur.

Le jeune homme de 23 ans a dépensé plus de 7000 livres sterling pour ses modifications personnelles.

(Capture d’écran TVA Nouvelles)

Sa mère est d’accord avec sa démarche, mais elle ne raffole pas tant que cela de ses trous dans les joues.

 

http://tvanouvelles.ca

États-Unis. Elle trouve un piercing dans le McWrap de sa fille


Ce n’est vraiment pas ragoutant … si une chose de ce genre nous arrive ,.. cela aura probablement un côté positif ,… c’est de cesser la malbouffe du McDonald .. En tout cas, si la petite fille l’aurait avaler .. cela aurait pu être plus grave
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États-Unis. Elle trouve un piercing dans le McWrap de sa fille

 

Wrap d'agneau ©DR ()

Wrap d’agneau ©DR

Une Américaine a eu la mauvaise surprise de trouver un piercing de nez dans le McWrap de sa fille, dans un restaurant McDonald.

L’incident s’est produit dans un McDonald de la ville d’Atlanta. Frances Rosario avait offert un McWrap à sa petite fille de 4 ans lorsqu’elle a aperçu une forme métallique suspecte dans les œufs. Elle s’est alors rendu compte qu’il s’agissait d’un piercing pour le nez.

Dégoutée par cette découverte, cette dernière a décidé de demander des explications au responsable du restaurant qui a refusé de lui répondre. Frances Rosario a donc contacté le siège de la chaîne de restauration.

D’après le Daily Mail, les employés de McDonald auraient pourtant l’interdiction de porter des piercings visibles.

http://www.ladepeche.fr/

Caries chez les ados Les boissons énergisantes, l’ennemi à abattre


Il est reconnu que les boissons énergisantes peuvent être nocives pour la santé du coeur et que malheureusement beaucoup d’adolescents y sont adeptes mais voilà, un autre problème a l’horizon est celui de l’évolution des caries a une grande vitesse … Ces boissons aident peut-être pour trouver l’énergie d’être éveillé mais par contre il y a beaucoup plus de côté nocifs donc ils devraient être évité
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Caries chez les ados

Les boissons énergisantes, l’ennemi à abattre

 

Caries chez les ados - Les boissons énergisantes, l'ennemi à abattre

© Archives Agence QMI

MONTRÉAL – L’Ordre des hygiénistes dentaires du Québec tombe à bras raccourci sur les boissons énergisantes, prétendant qu’elles détériorent les dents à la vitesse grand V et participent à la prolifération des caries chez les adolescents.

Quelque temps après avoir été bannies des centres sportifs pour leurs effets néfastes sur le rythme cardiaque, et déclarées persona non grata dans des dizaines d’établissements municipaux, voilà que les boissons énergisantes sont montrées du doigt pour leur fort taux d’acidité.

«C’est un nouveau phénomène chez cette clientèle, a averti Johanne Côté, présidente de l’ordre. Les jeunes en boivent beaucoup, et ça garde la bouche acide en permanence. À la longue, ça gruge les dents et les use.»

Les résultats négatifs issus de la consommation sont rapides.

«Dans l’année qui suit, on commence à voir des lésions. La dent devient poreuse et blanchâtre, donc beaucoup plus susceptible de développer des caries», a remarqué Mme Côté.

On ignore combien d’adolescents ont payé de leur santé buccodentaire leur consommation excessive de boisson énergisante, le phénomène étant trop récent pour tenir des statistiques.

Un brossage de dents assidu, c’est-à-dire matin et soir, n’y changera rien selon la spécialiste. Le liquide acide trop souvent ingurgité affecte les dents durant toute la journée jusqu’au brossage du soir. Le mal est fait.

Cependant, boire avec une paille diminue la répartition de la boisson dans la bouche. Cet effet positif est toutefois très minime.

Piercing : infection

Les hygiénistes ont choisi de tirer la sonnette d’alarme cette semaine dans le cadre du Mois de la santé buccodentaire 2012.

Et les boissons énergisantes ne sont pas les seuls fléaux à être montrés du doigt. Les «piercing» dans la langue et sur les lèvres représentent eux aussi un danger.

«La langue est très vascularisée, a indiqué Mme Côté. Il y a beaucoup de vaisseaux sanguins. Comme la bouche est une porte d’entrée dans le corps, on ouvre la porte aux infections en y installant un bijou.»

Les hygiénistes voient régulièrement des blessures au palais ou des bris de dents causés par ce type d’objet.

http://fr.canoe.ca