Pourquoi le bras momifié de ce bébé est-il devenu vert ?


Des restes d’un bébé qu’une partie de l’avant-bras avec sa main momifié avec des taches vertes dans un cimetière médiéval en Hongrie. Il avait une pièce de monnaie en cuivre dans sa main pour payer l’entrée au ciel ou d’un voyage en enfer pour se baptiser. Mais pourquoi des taches vertes, pourquoi sa main est ainsi momifiée et d’autres ossements retrouver avec une pièce en cuivre ne le sont pas ?
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Pourquoi le bras momifié de ce bébé est-il devenu vert ?

 

Crédits : János Balázs/Université de Szeged

par Brice Louvet

Une équipe d’archéologues explique dans la revue Popular Mechanics avoir résolu le mystère d’une main momifiée et teintée de vert attachée à un corps non momifié de bébé mort il y a probablement 800 ans.

En 2005, des archéologues tombèrent sur les restes d’une excavation d’un cimetière médiéval à Nyárlőrinc, en Hongrie ; ils virent alors quelque chose d’étrange : la petite main d’un nourrisson, momifiée et teintée d’une curieuse nuance de vert. Le biologiste János Balázs, de l’Université de Szeged, et ses collègues expliquent aujourd’hui ce processus de momification rarement rapporté dans la littérature scientifique. La coupable était une pièce de cuivre qui avait été placée dans la main du bébé, peut-être pour faciliter son voyage vers l’au-delà.

Les bijoux en cuivre et autres ornements peuvent en effet provoquer une décoloration du squelette lorsque le métal oxydé s’infiltre dans les os. Une analyse chimique des os a récemment confirmé des niveaux de cuivre anormalement élevés (près de 500 fois la concentration normale). Les chercheurs ont ensuite appris que d’autres objets de la même fouille étaient conservés dans un autre musée voisin. Ils trouvèrent alors dans l’une des boîtes un pot en céramique ressemblant à ceux que l’on utilisait couramment pour ce qu’on appelle des « enterrements de pot » et une pièce de cuivre corrodée qui s’adapte parfaitement à la petite main du nourrisson.

Crédits : Balázs et coll. /Sciences archéologiques et anthropologiques

Et ainsi un triste conte émerge :

« Selon les références ethnographiques, les nouveau-nés morts sans être baptisés étaient enroulés dans une sorte de textile et enterrés dans une marmite (par exemple une cruche de lait) ou une petite boîte en bois dans des cimetières abandonnés généralement situés près des ruines des églises médiévales », peut-on lire dans un article publié en 2016. « Occasionnellement, des pièces de faible valeur étaient placées à côté du corps comme des offrandes : les pièces étaient destinées à faciliter l’entrée de l’âme au ciel ou encore à payer les frais de voyage aux enfers ou à saint Jean-Baptiste pour baptiser le défunt au ciel ».

Par ailleurs, le cuivre, bien connu pour ses propriétés antimicrobiennes, est probablement également à l’origine de la momification du bras de l’enfant (le reste du corps n’était pas momifié). Un doute subsiste néanmoins : les chercheurs expliquent en effet avoir également découvert les restes d’un autre enfant dans ce cimetière où la plupart des ossements sont datés à entre 1200 et 1600 environ. Ce dernier a également été enterré avec une pièce de cuivre, mais aucune momification n’a eu lieu.

Source

http://sciencepost.fr/

En Allemagne, découverte d’un trésor sur le site d’un des plus grands désastres militaires de Rome


Une découverte en Allemagne d’un conflit entre les germanique et des légions romaines qui fut pour ces derniers un véritable enfer, une humiliation ultime pour la Rome Antique causé par la traîtrise par un gouverneur romain et un chef chérusque
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En Allemagne, découverte d’un trésor sur le site d’un des plus grands désastres militaires de Rome

 

deniers d'argent romains

Deniers d’argent romains du 1er siècle de notre ère découverts sur le site de la bataille de Teutoburg, en Allemagne.

CRÉDITS: VARUSSCHLACHT GGMBH MUSEUM UND PARK KALKRIESE

Bernadette ArnaudSpécialiste archéologie, anthropologie et histoire au magazine Sciences et Avenir

Un trésor monétaire de plus d’une centaine de pièces vient d’être mis au jour sur le site de la plus sévère défaite de Rome, en Germanie. Une catastrophe qui arrêta net la politique d’expansion impériale au-delà du Rhin.

C’est le théâtre d’un des plus grands désastres militaires romain. Là, dans les collines de l’actuelle Kalkriese en Westphalie (Allemagne), trois légions romaines et leurs troupes auxiliaires (25.000 hommes) furent totalement massacrées par des tribus germaniques en l’an 9 après J.-C. Et c’est précisément dans ce sol de Teutoburg, qui recèle encore de nombreux vestiges, que des archéologues allemands de l’université Louis-Maximilien de Munich (LMU) viennent de retrouver un spectaculaire trésor monétaire.

Fin mars 2017, une des monnaies romaines exhumées dans la forêt de Teutoburg. © Varusschlacht gGmbh Museum und Park Kalkriese

« Il s’agit de 102 deniers d’argent. Ce qui porte actuellement nos trouvailles à 220 monnaies du règne de l’empereur Auguste, sans compter les aurei* d’or exhumés l’an dernier », précise Marc Rappe, l’archéologue du musée de Kalkriese responsable des fouilles, contacté par Sciences et Avenir.

Comment ce pactole s’est-il retrouvé enfoui dans le sol ?

« Un légionnaire romain pris au piège aura sans doute voulu dissimuler rapidement sa fortune avec l’espoir de la retrouver à l’issue de la bataille… », imagine-t-il.

Aurei d’or provenant de Teutoburg. © Varusschlacht gGmbh Museum und Park Kalkriese

Cette bataille vit s’affronter les légions de Publius Quinctilius Varus aux hommes d’une puissante coalition de peuples germaniques (Chérusques, Bructères..) conduits par Arminius. Son emplacement a été longtemps discuté. En effet, depuis le XIXe siècle, Teutoburg est outre-Rhin ce qu’Alésia est à la France : un mythe national longtemps manipulé à des fins politiques, assorti de fortes tensions entre localités, plusieurs d’entre elles s’étant disputé l’honneur d’avoir été le lieu de l’antique affrontement. Des discussions finalement closes en Allemagne depuis la fin des années 1980 avec la localisation définitive du site à Kalkriese au nord d’Osnabrück. Plus de 5500 vestiges d’objets romains et d’éléments d’équipements militaires y ont déjà été récoltés : des épées, des poignards, des pointes de javelots, des flèches, des fragments d’armure, des casques, – dont un extraordinaire masque facial en bronze que l’on peut admirer dans le musée de la ville. Sans oublier tout ce que pouvait transporter une armée en campagne : chaudrons, haches, clous, marteaux, amphores, etc.

Les archéologues de l’université Louis-Maximilien de Munich (LMU), en compagnie de Marc Rappe du Museum and Park Kalkriese, le responsable des fouilles, sur le site de Teutoburg (Allemagne), en avril 2017. © Varusschlacht gGmbh Museum und Park Kalkriese

Le dernier livre Histoire des guerres romaines, de l’historien Yann Le Bohec (Taillandier, 2017), permet de revivre ces trois journées terribles qui virent la chute – et le déshonneur –  par la perte de leurs aigles, des légions romaines XVII, XVIII et XIX. Des nombres à jamais bannis ensuite des enseignes de Rome ! Deux hommes sont au cœur de cette tragédie sur fond de trahison : le gouverneur romain Publius Quinctilius Varus, légat consulaire commandant l’armée de Germanie, et Arminius, un chef chérusque. Ce dernier, qui avait obtenu la citoyenneté romaine et le rang de chevalier, s’était en fait secrètement rallié aux révoltés germains. Accompagnant les troupes impériales sur ces terres de Germanie qu’il connaissait bien, il avait ainsi conseillé à Varus d’emprunter un raccourci pour rejoindre ses camps d’hiver sur le Rhin, en traversant la forêt de Teutoburg.

Un conseil « d’ami » qui s’est révélé être en fait « une véritable souricière », écrit Yann Le Bohec.

Un des plus célèbres vestiges de la bataille de Teutoburg: un masque facial de cavalerie romaine. © Varusschlacht gGmbh Museum und Park Kalkriese

Les soldats de Rome se sont en effet retrouvés acculés dans une épaisse forêt. Parti en éclaireur, Arminius a en fait rejoint les Germains qui décident alors de passer à l’attaque. Lorsque les premiers bruits de combats parviennent aux oreilles du chef romain, Varus entraine son armée au cœur de la forêt pour porter secours à l’avant-garde… Le piège se referme : réparties en cohortes habituées à combattre en formation, les légions ne peuvent se déployer. Au milieu des arbres, cuirasses et boucliers gênent les légionnaires. En outre, impossible de manœuvrer les machines de guerre ! De leur côté, les Germains, dont Arminius a pris la tête, mènent des embuscades. Pris entre marais et collines d’où dévalent les combattants germains en flots continus, les soldats romains sont mis en pièces. Plus tard, les descriptions de l’historien romain Dion Cassius (155-235) raconteront que ceux qui étaient à l’arrière, ignorant les massacres à l’avant, continuaient à se jeter dans la gueule du loup. Le désastre est tel que Varus préfèrera se suicider plutôt que de tomber aux mains de ses ennemis. Et son nom sera à jamais associé au clades Variana, le « désastre de Varus ».

Le suicide de Varus, dans une illustration du XIXe siècle. © Leemage/AFP

« Vae victis… Malheur aux vaincus » !

Vécu comme un traumatisme, le désastre de Teutoburg porte un coup d’arrêt à la politique d’expansion impériale romaine. La légende raconte que l’empereur Auguste se réveillait la nuit en hurlant :

« Varus, rends-moi mes légions ! ».

 A la mort de celui-ci, le nouvel empereur Tibère envoya un nouveau corps expéditionnaire en Germanie. En l’an 15, revenant sur les lieux de la bataille, les légionnaires romains dont les croyances voulaient que les défunts connaissent une vie dans la tombe après la mort, découvriront horrifiés que pour les humilier un peu plus, les vainqueurs Germains avaient laissé les corps des 25.000 soldats pourrir sans sépulture…

« Vae Victis… Malheur aux vaincus » !

Germanicus, célèbre général romain envoyé par Tibère à la tête de huit légions fit inhumer sur place ce qui restait des dépouilles, dont beaucoup avaient été crucifiées et mutilées. Quant à Arminius, qui avait infligé à Rome l’une de ses pires défaites, il mourra assassiné en l’an 21… trahi à son tour par un proche!

*Aureus : (pluriel aurei ) ou denier d’or est une monnaie romaine. Son émission date de la République romaine, et sera régulière sous le règne de Jules César, puis d’Auguste (fin 1er siècle av.J-C.). Elle sera ensuite frappée pendant tout l’Empire romain. Un aureus d’or équivalait à 25 deniers d’argent, soit 100 sesterces. 

https://www.sciencesetavenir.fr

Des découvertes archéologiques éclairent sur la vie à l’époque de Jésus


De belles découvertes ont été faites à Jérusalem et Galilée qui apporte une meilleure connaissance de la façon que vivaient les gens à l’époque de Jésus
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Des découvertes archéologiques éclairent sur la vie à l’époque de Jésus

 

Parmi les dizaines d'objets découverts figurent des vases,... (PHOTO AMIR COHEN, REUTERS)

Parmi les dizaines d’objets découverts figurent des vases, des ustensiles de cuisine, des bijoux, des restes de pressoir à vin, des ossuaires avec des inscriptions hébraïques (photo) et des clous ayant servi à des crucifixions.

PHOTO AMIR COHEN, REUTERS

Agence France-Presse
BET SHEMESH

 

Des dizaines d’objets datant du Ier siècle présentés dimanche par l’Autorité des antiquités israéliennes font partie des découvertes archéologiques récentes qui rendent plus compréhensible aux historiens la vie à l’époque de Jésus-Christ, selon un responsable.

Parmi les dizaines d’objets découverts dans la région de Jérusalem et en Galilée, où, selon la tradition, Jésus a vécu, et présentés dimanche figurent des vases, des ustensiles de cuisine, des bijoux, des restes de pressoir à vin, des ossuaires avec des inscriptions hébraïques et des clous ayant servi à des crucifixions.

«Maintenant nous pouvons décrire de façon très précise la vie quotidienne de cette époque, de la naissance, à travers les habitudes alimentaires, les voyages effectués, et jusqu’à la mort avec les rites funéraires», explique à l’AFP Gideon Avni, directeur de la division archéologique des Antiquités israéliennes.

«Ces 20 dernières années, nous avons fait un bond dans la compréhension du mode de vie de Jésus et de ses contemporains», indique-t-il. «Chaque semaine, de nouveaux éléments sont découverts et permettent de mieux connaître cette période».

Ainsi, «nous retrouvons sur des ossuaires des noms de personnalités connues grâce aux textes de cette époque», dit le professeur Avni.

L’Autorité conserve plus d’un million d’objets découverts dans des fouilles et en reçoit chaque année plus de 40 000 nouveaux en provenance de 300 sites environ, selon M. Avni.

«L’essentiel pour nous est de pouvoir comprendre très précisément le mode de vie à l’époque de Jésus, de la naissance à la mort», a expliqué l’archéologue.

L’Autorité des antiquités a par ailleurs présenté dimanche des pièces de monnaie de l’époque byzantine découvertes récemment lors de fouilles dans les vestiges d’un bâtiment qui servait aux pèlerins chrétiens, près de Jérusalem.

Ces neuf pièces datant du IVe au VIIe siècle ont été retrouvées dans un mur comme si leur propriétaire avait tenté de les cacher, selon l’archéologue Annette Landes-Nagar.

«Cette découverte constitue une preuve de l’invasion perse à la fin de la période byzantine, qui a amené à l’abandon de ce site chrétien», selon Mme Landes-Nagar.

http://www.lapresse.ca/

Ils trouvent une main dans le grenier de leur grand-père


Dans les greniers, il y a souvent des trésors du passé, mais cette famille ont trouvé une boite assez insolites ayant des objets qui datent du 17 ème siècle
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Ils trouvent une main dans le grenier de leur grand-père

 

TVA Nouvelles et CNN

Une famille de Tampa, en Floride, a eu toute une surprise en faisant un grand ménage du printemps.

Dans le grenier de la maison de son grand-père, Maria Lopez a découvert une boîte contenant une vieille carte géographique, des pièces de monnaie centenaires, une photo de famille et… une main! L’un des doigts de celle-ci était orné d’une bague.

«Quand Maria m’est arrivée avec cette main, j’étais stupéfait», raconte son frère, Mike.

Enfants, Mike et Maria avait l’habitude de se faire compter des histoires par leur grand-père à propos de son propre père, qui parvenait à découvrir le trésor d’un pirate, Jose Gaspar.

Mike et Maria ont amené la boîte chez quelques antiquaires de la région, qui ont tous décrit son contenu comme «horrible et authentique».

Les pièces de monnaie, espagnoles et portugaises, dateraient du 17e siècle. La bague au doigt du squelette de la main proviendrait de la même époque.

«Soit que mon grand-père a créé le plus élaboré des canulars et ne l’a jamais partagé, soit qu’il a véritablement trouvé ce trésor sur la rivière Hillsborough», se questionne Mike Lopez, à la fois amusé et intrigué.

http://tvanouvelles.ca/

Une autre génération de pièces de 1 $ et 2 $ est lancée


Depuis hier, de nouvelles pièces de monnaie circule, une vidéo explique visuellement les nouveautés de ces pièces. L’apparence est semblable mais on pourra quand même remarquer les ajouts a comparer aux anciennes pièces qui ont toujours cours légal
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Une autre génération de pièces de 1 $ et 2 $ est lancée

 

PHOTO MONNAIE ROYALE CANADIENNE

La Presse Canadienne
Ottawa

La Monnaie royale canadienne met en circulation ce mardi une nouvelle génération de pièces de un et de deux dollars qui incorpore des caractéristiques de sécurité.

Ces pièces ont été fabriquées avec un placage multicouche de l’acier et on les dit plus économiques à faire que les pièces existantes.

Elles conservent les motifs du huard et de l’ours polaire et leur apparence demeure généralement inchangée.

Les nouvelles pièces sont fabriquées aux installations de la Monnaie à Winnipeg. Au revers des deux pièces apparaît une marque au laser microgravée. La pièce de deux dollars intègre également une image virtuelle et un lettrage sur tranche. Le diamètre et l’épaisseur des nouvelles pièces sont identiques à celles des pièces existantes.

Toutes les versions antérieures des pièces de un dollar et de deux dollars, émises respectivement depuis 1987 et 1996, auront encore cours légal et continueront de circuler.

 

http://www.cyberpresse.ca

10 trucs à faire avec de l’eau gazeuse


Beaucoup savent que la boisson gazeuse est utilisé pour nettoyer des objets rouillées mais, pour l’avoir essayer il est très utile pour cuire la viande comme des côtes de boeuf que l’on fait mijoter dans moitié eau, moitié cola, pendant une heure égoutter et finir la cuisson dans le four … très tendre, on peut l’employer pour le poulet. Il est aussi utile pour les plantes oui oui les plantes
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10 trucs à faire avec de l’eau gazeuse

 

S’il vous reste un peu d’eau gazeuse à la maison, pourquoi ne pas l’utiliser à de bonnes fins. Que ce soit à la préparation du déjeuner ou pour enlever la rouille, il est toujours bon d’avoir de l’eau gazeuse sous la main.

Tiré de Produits ordinaires, usages extraordinaires, Sélection du Reader’s Digest, 2007

Les restes d’eau gazeuse peut vous servir à nettoyer à peu près n’importe quoi!

 

1. les crêpes et les gaufres

 

Si vous aimez les crêpes et les gaufres légères, remplacez le lait par de l’eau gazeuse. Vous serez surpris du résultat !

2. Reminéraliser les plantes

 

Ne jetez plus l’eau gazeuse qui ne pétille plus ; utilisez-la pour arroser vos plantes. Les minéraux présents dans ce type d’eau favorisent la croissance des plantes vertes. Pour un apport optimal, répétez l’opération chaque semaine.

3. Ouvrir les huîtres

Lorsque les huîtres vous résistent, laissez-les tremper quelques instants dans de l’eau gazeuse, elles seront plus faciles à ouvrir.

4. Nettoyer acier inoxydable, porcelaine, réfrigérateur…

Versez de l’eau gazeuse directement sur le plan de travail ou l’évier en acier inoxydable. Essuyez avec un chiffon doux et rincez à l’eau chaude. Séchez en frottant avec le chiffon. Pour nettoyer de la porcelaine, frottez-la avec un chiffon doux humecté d’un peu d’eau gazeuse. Nul besoin de savon ni de produit de rinçage. Pour le réfrigé­rateur, utilisez un mélange d’eau gazeuse et de sel.

5. Astiquer le pare-brise de la voiture

Gardez toujours un vaporisateur rempli d’eau gazeuse dans le coffre de la voiture. Les bulles vous faciliteront la tâche pour nettoyer les déjections d’oiseaux et les traînées grasses qui souillent parfois le pare-brise

6.  Nettoyer les bornes d’une batterie

Presque tous les sodas contiennent du dioxyde de carbone. Or ce gaz contribue à éliminer les taches et la rouille, même sur une batterie de voiture. Versez un peu de soda sur les bornes de la batterie. Laissez agir puis nettoyez avec une éponge humide.

7. Dévisser un boulon rouillé

Pour dévisser facilement un boulon grippé par la rouille, imprégnez un chiffon de soda et enroulez-le bien serré autour du boulon. Laissez agir quelques minutes.

8.  Faire durer un bouquet de fleurs coupées

 

Versez un fond de bouteille de soda dans le vase. Le sucre qu’il contient prolongera la vie des fleurs. Si le vase est transparent, mieux vaut opter pour un soda incolore, comme le Sprite ou le 7-Up.

 

9. Attendrir un jambon (ou autre viande : nuage)

Pour que votre jambon soit plus moelleux, versez ½ canette de soda au cola dans le plat de cuisson au moment d’enfourner.

10.  Nettoyer des pièces de monnaie

 

Si vous collectionnez les pièces de monnaie, nettoyez-les en les faisant tremper dans du soda au cola. Évitez néanmoins cette technique avec les pièces très anciennes ou de grande valeur.

http://selection.readersdigest.ca

Budget fédéral ►Finis les sous noirs


L’ère des sous noirs tire à sa fin, mais ne vous pressez pas pour vous débarrassez de vos sous noirs qui trainent dans le fond de vos tiroirs, dans les tirelires, ou les vides poches, car même après la fin de la distributions des sous noirs dans les banques ils pourront encore être changé
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Budget fédéral ►Finis les sous noirs

 

Finis les sous noirs

Crédit photo : Agence QMI

Les sous noirs seront éliminés

Par Taïeb Moalla | Agence QMI

Ottawa a invoqué dans son budget déposé jeudi des arguments économiques et écologiques pour justifier sa décision de retirer progressivement de la circulation la bonne vieille pièce, dont le coût de production s’élève à 1,6 cent.

Dès le mois prochain, la Monnaie royale canadienne cessera de produire les pièces d’un cent et, dès l’automne, elle arrêtera de les distribuer aux institutions financières. Cela ne signifiera cependant pas la mort automatique du sou noir, puisqu’on pourra malgré tout continuer à l’utiliser «indéfiniment».

«Les pièces d’un cent prennent trop de place sur la commode. Les entreprises qui cherchent à prendre de l’expansion et à créer des emplois y consacrent bien trop de temps», a affirmé le ministre des Finances, James Flaherty, dans son discours du budget.

Pas de hausse des prix

Citant l’exemple de plusieurs pays comme l’Australie et le Brésil, le gouvernement fédéral jure que la disparition de la «pièce de monnaie ayant la plus petite valeur nominale » ne se traduira pas par une hausse des prix à la consommation. «L’effet inflationniste de l’élimination de la pièce d’un cent serait modeste, voire nul», assure-t-on dans les documents budgétaires.

Voulant éviter de légiférer, le gouvernement dit compter sur la bonne foi des commerçants et sur la vigilance des consommateurs.

«On s’attend à ce que les entreprises arrondissent les prix de manière équitable, uniforme et transparente», espère-t-on.

Pour justifier sa mesure, le gouvernement fédéral soutient que la disparition des sous noirs réduira l’utilisation des ressources naturelles et permettra le recyclage du métal contenu dans les pièces existantes.

Ottawa voit également une occasion pour les organismes de bienfaisance de récolter des fonds en organisant des collectes de pièces d’un cent.

Le sou noir en quelques données

– Après la disparition des sous, le prix de vente – après calcul de la taxe fédérale et provinciale – devra être arrondi. Un bien qui vaut 1,02 $ sera payé 1 $. Un autre article, qui coûte 1,03 $, sera réglé à hauteur de 1,05 $.

– Chaque année, le gouvernement fédéral perd 11 millions $ à cause de la mise en circulation des pièces d’un cent. Pour les institutions financières, le coût économique, direct et indirect du maintien de cents était de 150 millions $, en 2006, selon une étude privée.

– Pour les transactions par chèque, carte de débit ou de crédit, il n’y aura aucun changement. La transaction sera réglée au cent près.

– Il sera toujours possible pour les consommateurs de regrouper les pièces d’un cent dans des rouleaux et de les faire échanger dans leurs institutions financières.

– Chaque année, la Monnaie Royale canadienne produit et distribue quelque 7000 tonnes de pièces d’un cent.

http://tvanouvelles.ca

Un million de dollars pour une pièce de monnaie de Judée du 1er siècle


Quand je pense qu’avec 100 dollars a l’épicerie on n’a pu grande chose et qu’une pièce qui date de plusieurs siècles … a été vendu 1 millions de dollars pour une collection ouf !!
Hum si mon 10 dollars auraient une centaine d’année ou voir même 1/2 siècles peut être que ca serait suffisant pour le mois 😉
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Un million de dollars pour une pièce de monnaie de Judée du 1er siècle

 

Une pièce ancienne de Judée a atteint la somme record d’1,1 million de dollars lors d’une vente aux enchères à New York, a-t-on appris vendredi 9 mars auprès de la maison d’enchères Heritage.

 

Ce prototype du shekel, qui date de 66 après Jésus-Christ, était l’une des toutes premières pièces frappées au début de la première grande révolte juive contre les Romains au 1er siècle. Un seul autre exemplaire est connu, a précisé la maison d’enchères.

COLLECTIONNEUR PRIVÉ AMÉRICAIN

La pièce a été vendue jeudi soir à un collectionneur privé de la côte Est, via le numismate californien Steve Rubinger, pour 1,105 millions de dollars, quatre fois le précédent record pour une pièce juive, selon la maison d’enchères.

Elle fait partie d’une collection de 2 200 pièces anciennes de Judée appartenant à un collectionneur américain, la collection Soshana, qui sera dispersée cette année lors de différentes ventes aux enchères, et dont la valeur a été estimée à plus de 10 millions de dollars, selon Heritage.

http://www.lemonde.fr