Le Saviez-Vous ► Les 6 odeurs que les chiens détestent le plus au monde


 

Les chiens ont un odorat plus puissant que le nôtre. Ils sentent donc, mieux les bonnes et mauvaises odeurs. Certaines sont pires que d’autres quoique parmi eux, il y a certaines odeurs qui peuvent être utilisées comme répulsifs.
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Les 6 odeurs que les chiens détestent le plus au monde

Top 10 des odeurs de chiens détestent

par Clara Zerbib, journaliste animalière

On le sait, les chiens possèdent un odorat 40 fois plus puissant que le nôtre. La preuve, ils sont capables de retrouver des personnes disparues plusieurs jours après leur disparition grâce à leur seul flair. Ils peuvent également détecter une maladie simplement en nous reniflant ou encore sentir l’endroit exact où se situe une victime d’avalanche, enfouie sous des tonnes de neige.

Mais cet incroyable odorat peut parfois s’avérer contraignant. En effet, nos amis canins ont la capacité de sentir une bonne odeur à des centaines de mètres de distance, mais cela signifie également que les mauvaises odeurs, qui sont elles aussi amplifiées, peuvent vite leur devenir insupportables. Mais existe-t-il vraiment des odeurs que les chiens détestent ? La réponse est oui !

1. Les piments

Il existe différentes sortes de piments, mais chacune d’entre elles dégage une odeur on ne peut plus incommodante pour les chiens. En effet, les piments contiennent une substance particulièrement irritante, la capsaïcine. C’est cet ingrédient qui produit la sensation de brûlure dans la bouche lorsque l’on mange un piment.

Si les chiens venaient à renifler un piment, ils se mettraient à éternuer frénétiquement et à sentir des picotements désagréables dans leur nez, signe d’une irritation. Ainsi, il est indispensable de toujours bien se laver les mains après avoir manipulé un piment et avant de toucher son chien !

piment rouge

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Crédits : pixel2013/Pixnio

2. Les agrumes

L’odeur de citron ou encore d’orange est souvent utilisée dans les produits nettoyants. En effet, les odeurs d’agrumes sont rafraîchissantes et sentent le propre. Cependant, les chiens ne supportent pas ces odeurs et la journée ménage est pour eux un véritable supplice.

En revanche, les agrumes peuvent faire office de répulsif naturel pour votre chien. Ainsi, si vous voulez empêcher ce dernier de monter sur le canapé ou d’uriner à un endroit bien précis de la maison, pulvérisez une solution à base d’eau et d’écorces d’agrumes.

orange

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Crédits : pics_pd/Pixnio

3. L’ammoniaque

L’ammoniaque est couramment utilisée pour nettoyer et désinfecter son intérieur. Mais c’est un produit extrêmement toxique qu’il est nécessaire de manipuler avec précaution. De plus, les chiens y sont très sensibles et le simple fait d’en respirer l’odeur pourrait endommager leurs voies respiratoires.

Par ailleurs, l’urine contient de l’ammoniac. Ainsi, nettoyer votre tapis, par exemple, avec ce produit pourrait donner envie à votre chien de se soulager à cet endroit, croyant qu’un autre chien y aurait uriné pour marquer son territoire.

spray vaporisateur

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Crédits : Mimzy/Pixabay

4. Le vinaigre

On ne peut pas dire que l’odeur intense du vinaigre soit très agréable pour nous autres humains… Alors, imaginez pour votre chien ! En revanche, tout comme les agrumes, le vinaigre constitue un excellent répulsif naturel et sans danger qui peut notamment être utilisé dans le jardin pour protéger les plantes des chiens et des chats.

chien vinaigre de cidre

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5. La naphtaline

Souvent utilisée comme antimites, la naphtaline se présente la plupart du temps sous la forme de petites boules blanches que l’on place dans nos armoires pour parfumer le linge ou éloigner les mites. Mais la naphtaline est en fait un pesticide dont l’odeur est particulièrement toxique pour l’Homme, et encore plus pour le chien. Pire, s’il venait à en avaler, il pourrait en mourir.

Ainsi, mieux vaut utiliser des produits naturels comme de la lavande, du bois de cèdre, des clous de girofle, du thym ou encore du laurier pour parfumer ses placards !

armoire commode

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6. Le parfum

Comme vous pouvez vous en douter, les produits avec lesquels vous parfumez votre peau ou vos vêtements émettent une odeur bien trop forte pour les canidés. Et ce peu importe qu’ils sentent bon ou non !

parfum

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Source

https://animalaxy.fr/

Des fourmis, des hommes et leurs jambes


Le syndrome des jambes sans repos est un malaise qui peut-être léger, mais aussi difficile à vivre. Le premier peut se résoudre plus facilement alors que l’autre peut demander une médication pour en être soulagé. Cependant, il n’existe pas de traitement définitif
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Des fourmis, des hommes et leurs jambes

 

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Le syndrome des jambes sans repos serait dû à une anomalie génétique du métabolisme de la dopamine dans le cerveau.

 

  • Jacques Beaulieu Communicateur scientifique

Il arrive que vous vous sentiez comme si vous aviez des fourmis dans les jambes et vous avez l’impression que vos jambes ne veulent pas s’arrêter de marcher, de taper du pied, etc. Vous souffrez peut-être du syndrome des jambes sans repos mieux connu sous son acronyme : SJSR ou en anglais RLS (restless-legs-syndrome). Fort heureusement, dans la grande majorité des cas, le problème est d’intensité légère. Mais dans d’autres cas, il pourrait entraîner des troubles d’insomnies graves. Les symptômes internationalement reconnus du SJSR sont :

  1. Fort besoin de bouger les membres, besoin souvent associé à des paresthésies (sensation de picotement ou de fourmillement) ou dysesthésies (autres sensations sensorielles anormales).
  2. Agitation motrice.
  3. Ces problèmes s’aggravent au repos, mais sont passagèrement soulagés en bougeant.
  4. Ces problèmes sont plus graves le soir ou la nuit.
  5. Insomnies.
  6. Mouvements périodiques des extrémités durant le sommeil. Ou mouvements involontaires des extrémités (pieds ou mains) durant l’éveil ou au repos.
  7. Pas d’atteintes neurologiques.
  8. Tendance à s’aggraver avec l’âge.
  9. Cas semblables dans la famille.

Les quatre premiers symptômes sont obligatoires pour identifier un SJSR, les autres sont facultatifs. Le SJSR toucherait globalement 5% de la population mondiale. Les Canadiens (13%) et les Québécois (20%) en seraient plus souvent victimes (Réf. : Calado P.F., Le syndrome des jambes sans repos, Pharmactuel, Vol. 34 No. 3, Mai-Juin 2001 p.65). Les femmes en sont plus souvent atteintes que les hommes. La maladie est héréditaire dans la moitié des cas. Ainsi chez douze paires de jumeaux identiques, dix présentaient une symptomatologie de SJSR ( Réf. : Mathis J., Grandjean Ph., Le Restless-Legs-Syndrome en pratique, Forum Médical Suisse, No 4, 23 janvier 2002 p.68). La paresthésie se ferait surtout sentir dans les membres inférieurs (80%), mais elle peut aussi atteindre les membres supérieurs. Les personnes atteintes se plaignent de fourmillements et de picotements. Chez les vieillards, principalement chez ceux qui ne peuvent pas bouger les jambes, le tout peut être accompagné de douleurs. Si ces sensations disparaissent ou s’atténuent fortement quand la personne bouge, il est alors quasiment certain qu’il s’agit du SJSR.

Dans la plupart des cas, la personne atteinte du SJSR aura aussi des mouvements périodiques des jambes durant le sommeil (PLMS : periodic legs movement syndrome). On peut s’en rendre compte en passant une polysomnographie (enregistrement sur un polygraphe des mouvements en état de sommeil), mais dans bien des cas, c’est le conjoint qui remarque ces mouvements qui peuvent aller d’un discret mouvement du gros orteil jusqu’à des coups de pieds violents. Il peut aussi ne s’agir que d’un balancement rythmé d’un pied. Mais une personne peut avoir un PLMS sans souffrir du SJSR et vice versa. La fréquence du SJSR augmente chez les personnes souffrant d’urémie (taux d’urée anormalement élevé dans le sang), de diabète ou d’arthrite rhumatoïde.

Il est important de consulter pour savoir si une cause neurologique sous jacente peut exister surtout quand aucun autre membre de la famille n’en est atteint, si le SJSR provoque des insomnies graves, quand les premiers symptômes sont apparus après la quarantaine ou encore si le SJSR est douloureux ou s’il n’est pas contrôlé par les traitements prescrits. Une polysomnographie est réalisée pour vérifier si nous ne sommes pas en présence d’apnées du sommeil (arrêts involontaires de la respiration durant le sommeil).

Le syndrome des jambes sans repos serait dû à une anomalie génétique du métabolisme de la dopamine dans le cerveau.

Le syndrome des jambes sans repos serait dû à une anomalie génétique du métabolisme de la dopamine dans le cerveau. Cette substance est un neurotransmetteur fortement impliqué dans les fonctions sommeil-éveil du cerveau. Une déficience en fer dans le cerveau pourrait aussi jouer un rôle important dans l’émergence du syndrome.

Le SJSR ne se guérit pas, mais un bon traitement améliore de beaucoup la situation. Quand les symptômes sont légers, des massages des jambes ou des endroits où sont ressentis les malaises, des bains chauds ou au contraire des douches froides peuvent s’avérer efficaces. Marcher ou faire des exercices stationnaires sont aussi des alternatives bénéfiques. Il est aussi recommandé alors d’éviter la caféine, la nicotine et les abus d’alcool. Toutes ces substances sont en effet susceptibles d’exacerber le SJSR. Certains médicaments peuvent aussi en favoriser l’apparition ou l’intensité. Parmi ces médicaments se retrouvent les neuroleptiques, le lithium, les béta-bloqueurs, les antidépresseurs tricycliques, les anticonvulsivants, les anti-H2 (un antihistaminique) et la paroxétine.

Lorsque les symptômes sont plus sévères ou encore s’ils provoquent des insomnies incontrôlables, il convient d’intervenir avec des médicaments.

Lorsque les symptômes sont plus sévères ou encore s’ils provoquent des insomnies incontrôlables, il convient d’intervenir avec des médicaments. Dans un premier temps, on vérifiera par une prise de sang le taux de fer dans le sang. Si celui-ci est plus bas que 50 µg/l, un supplément en fer sera prescrit. Finalement, certains médicaments pourront être utilisés. La personne souffrant de SJSR doit savoir qu’en général plusieurs visites chez son médecin sont à prévoir dans le but de trouver spécifiquement quel médicament lui convient le mieux et dans quel dosage. Chez 50% à 80% des individus, le problème semblera se déplacer. Alors qu’il survenait avant le sommeil, en fin de soirée, avant le traitement, il se produit maintenant en fin d’après-midi ou en début de soirée. Un changement de médicaments ou un ajustement incluant d’autres médicaments règle habituellement ce problème.

Plusieurs types ou classes de médicaments peuvent être utiles incluant :

  • 1) les agents dopaminergiques (influant sur la synthèse ou l’utilisation de la dopamine; ex. le lévodopa);
  • 2) les benzodiazépines (ex : le clonazépam);
  • 3) les opiacés (ex. : les narcotiques) et
  • 4) les anticonvulsivants (ex : carbamazépine).

Habituellement, les traitements commenceront par les agents dopaminergiques, si ceux-ci ne procurent pas les résultats escomptés ou encore s’ils provoquent des effets secondaires trop dérangeants, ils seront remplacés par les benzodiazépines, puis, si ceux-ci n’apportent pas d’améliorations, on se rabattra sur les opiacés et finalement les anticonvulsivants. Habituellement, on teste le médicament pour une période de 30 jours. S’il n’a pas bien répondu, on passe à un autre dosage ou à un autre médicament de la même famille ou carrément à un médicament de la famille suivante comme nous l’avons expliqué.

Pour bien des personnes, le syndrome des jambes sans repos n’est qu’un malaise bénin qu’ils peuvent corriger par des mesures simples comme éliminer la nicotine de leur vie, diminuer la caféine et la consommation d’alcool ou faire un peu d’exercice avant d’aller au lit. À l’autre bout du spectre, existent malheureusement des gens chez qui le RLS est synonyme d’insomnies sévères qui vont favoriser des dépressions majeures. Quelques très rares cas de suicide sont même survenus.

Pour tous ceux qui se situent entre ces deux limites, il existe des traitements pharmacologiques adaptés à leur situation. Mais il leur faudra peut-être user d’un peu de patience avant de trouver le meilleur agent avec la meilleure dose. Chaque individu est différent, on ne doit jamais l’oublier en médecine. Dans le cas du SJSR, cette règle est tout particulièrement indiquée.

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Ces trucs pour reposer vos yeux devant un écran quotidiennement


Nous passons beaucoup de temps devant l’écran d’ordinateur, que ce soit pour des raisons professionnelle ou personnelle. Les yeux ne sont pas fait pour fixer longtemps l’écran et la lumière bleue peut aussi nuire. Il est donc important de prendre des pauses pour les yeux et de faire vérifier nos yeux généralement 1 fois par année
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Ces trucs pour reposer vos yeux devant un écran quotidiennement

 

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Picotement, rougeurs et autres désagréments dûs à l’écran?

Il est important de reposer ses yeux au quotidien lorsqu’on passe sa vie devant un écran. Passées quelques heures, vous ressentez picotements ou sécheresse des yeux, maux de tête et autres désagréments? C’est certainement parce que vous n’avez pas mis en pratique ces 5 trucs qui vous permettront de passer à travers la journée devant votre ordinateur.

Nous avons interrogé Thierry Cordevant, opticien et directeur marketing chez Essilor Canada.

1 – La position

« Gardez une bonne distance avec votre écran, soit une longueur de bras, et ajustez la luminosité de celui-ci à celle de votre environnement.»

2 – Se balader

« Suivez la règle des 20-20-20, qui se traduit par des pauses régulières toutes les 20 minutes afin de regarder un objet à une distance de 20 pieds pendant 20 secondes.»

3 – Clignez des yeux

« Rappelez-vous de cligner des yeux.  Nos yeux ne clignent que 5 fois à la minute lorsque nous sommes devant l’ordinateur, contrairement à 12 fois la minute en moyenne le reste du temps, ce qui explique que nos yeux peuvent parfois devenir secs.  Pour soulager la sécheresse oculaire, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre optométriste sur le type de gouttes ophtalmiques qui vous conviennent le mieux.»

4 – Les bons outils

« Pour les personnes passant plusieurs heures par jour devant des écrans, en raison notamment de leur activité professionnelle, il est également possible de reposer ses yeux tout en les protégeant, en choisissant par exemple des verres conçus pour réduire l’effort que doivent fournir vos yeux pour se concentrer sur l’écran. Les verres adaptés aident vos yeux à faire le focus en vision de près, ce qui amène à un meilleur confort visuel. En combinant avec un traitement des verres en surface , vous protégez également vos yeux de la lumière bleue nocive émise par les écrans. Les professionnels de la vue pourront conseiller la solution la mieux adaptée à vos besoins visuels et à votre style de vie. »

5 – Consultez

« Enfin, il est important de prendre rendez-vous avec votre optométriste pour un examen de la vue au moins une fois tous les deux ans, avant qu’un inconfort ou des symptômes douloureux ne se manifestent (fatigue, irritation, changement de vision ou douleur oculaire). Par ailleurs, certains risques silencieux comme la surexposition à la lumière bleue ne présentent pas de symptômes (douleur ou inconfort), mais leurs effets cumulatifs à long terme peuvent aboutir sur des maladies oculaires graves comme la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge). Seul un examen de la vue régulier avec un professionnel de la vue permettra de déceler les premiers symptômes avant qu’il ne soit trop tard. »

La lumière bleue en cause

« Il convient de préciser que plus que l’exposition prolongée aux écrans numériques, c’est la lumière bleue qu’ils produisent qui est responsable de la fatigue oculaire. Les recommandations pour s’en prémunir seront donc d’ordre comportemental en rapport avec la durée d’exposition et d’ordre plus technique avec les solutions de protection pour les personnes qui travaillent devant un écran par exemple. »

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Soyez attentif à vos carences alimentaires!


Les carences alimentaires peuvent être à plusieurs niveaux et il est important d’en reconnaitre les signes que nous pouvons remédier en adaptant notre alimentation.
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Soyez attentif à vos carences alimentaires!

Soyez attentif à vos carences alimentaires!

Un déficit de nutriments se détecte par différents symptômes.Photo Fotolia

Vous vous sentez fatigué ou en petite forme? Vous avez des courbatures? Ce n’est peut-être pas une vilaine grippe.

En effet, votre corps sait très bien vous faire ressentir ses moindres besoins, et un déficit de nutriments est très facilement décelable si vous savez lui prêter une bonne oreille. Voilà quelques symptômes qui vous permettront de comprendre ce que votre corps essaie de vous dire.

LE FER

Le fer est essentiel à la formation des globules rouges, et si un médecin vous a diagnostiqué une anémie, vous saurez qu’il faudra faire remonter son taux. Mais encore faut-il avoir été diagnostiqué! Voilà quelques signes qui vont mettront sur la voie: fatigue, peau livide, cheveux plats… Si vous vous reconnaissez, vous souffrez peut-être d’une carence en fer. Les lèvres gercées et la langue gonflée, l’anxiété, des fourmis dans les jambes ou les ongles mous sont d’autres signes moins communs, mais auxquels il faudra aussi prêter attention. Pour renforcer tout ça, il faudra manger du bœuf, des épinards ou des céréales riches en fer.

LE MAGNÉSIUM

Si vous venez à manquer de magnésium, vous manquerez probablement d’appétit ou vous sentirez nauséeux. Encore une fois, la fatigue et les crampes, ainsi qu’une arythmie cardiaque devraient être capables de vous alarmer. Dans ce cas, mangez des épinards, des amandes, du poisson, des pois et des avocats. Mais attention à ne pas en manger trop, puisqu’à l’inverse, trop de magnésium provoquera des diarrhées.

LE CALCIUM

Le calcium est essentiel à la santé des os et des dents, et les laitages demeurent la meilleure source de calcium qui soit. Facile quand on est enfant, mais les adultes ont tendance à se détourner des produits laitiers. Ce revirement provoque des carences notables, se traduisant par une fatigue musculaire, un manque d’appétit et de l’arythmie cardiaque. Dans ce cas, reprenez les yaourts, le lait, et n’hésitez pas à manger plus de fromage que d’habitude. Si les laitages vous déplaisent, les légumes verts et le jus d’orange représentent une bonne alternative.

LA VITAMINE B12

Votre corps aura plein de manières de vous notifier que vous manquez de vitamines B12. Commissures des lèvres irritées, picotements dans les mains et les pieds, problèmes d’équilibre, anémie, fatigue? Voilà quelques signes très simples à repérer. La viande et les produits laitiers contiennent de la vitamine B12, mais si vous êtes végétarien, vous pourrez aussi compter sur de nombreux fruits et légumes.

L’OMEGA-3

Les poissons gras sont pleins d’omega-3, qui est très bon pour le cerveau. Si vous en manquez, votre peau s’assèchera, vos cheveux aussi, vos ongles se ramolliront et craqueront, vous aurez plus soif que d’habitude, vous aurez du mal à dormir et à vous concentrer, vous sentirez déprimé et serez prompt au changement d’humeur. Dans ce cas, une seule solution: mangez du saumon ou des sardines, mais aussi des noix.

http://fr.canoe.ca/

J’AI LA GORGE QUI GRATTE…


Déjà le rhume n’est pas une sinécure sans compter la toux qui n’est pas plus discrète .. qu’il faut que la gorge s’en mêlent … comme il est difficile de tout éviter mieux vaut prendre le temps d’atténuer les symptômes en attendant que cela passe … mais si cela empire ..  mieux vaut consulté
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J’AI LA GORGE QUI GRATTE…

 

J’ai la gorge qui gratte…

Nous connaissons tous cette sensation de démangeaisons ou de picotements dans le fond de la gorge.

Mais d’où viennent ces petits maux de gorge?

Nécessitent-ils systématiquement une intervention médicale? Comment les soigner? Comment les prévenir?

Le tour de la question « gorge qui gratte »… en quatre questions.

1. J’ai la gorge qui gratte… La faute à quoi?

Plusieurs causes peuvent être à l’origine de cette sensation de gorge qui gratte.

Le plus souvent, ces petits maux de gorge sont l’une des manifestations d’une infection virale bénigne, comme un rhume ou une pharyngite.

À la gorge qui picote, s’ajoutent alors bien souvent d’autres symptômes: nez bouché, toux…

Autre cause possible: une irritation du fond de la gorge, due à la pollution atmosphérique, au tabac ou à une allergie.

Il arrive aussi que des remontées acides provenant de l’estomac provoquent cette sensation de gorge qui gratte.

2. J’ai la gorge qui gratte… C’est grave, Docteur?

Non!

La plupart du temps, ces petits maux de gorge sont sans gravité et disparaissent spontanément au bout de quelques jours.

Certains signes doivent cependant vous inciter à consulter votre médecin:

  • si les douleurs se font persistantes et/ou qu’elles s’aggravent,
  • si vous éprouvez des difficultés à respirer ou à déglutir,
  • si ces maux de gorge s’accompagnent de fièvre, d’un gonflement des ganglions du cou ou de courbatures.
3. J’ai la gorge qui gratte… Comment je me soigne?

Ces petits maux de gorge ont beau ne pas être graves, ils n’en sont pas moins désagréables.

La bonne nouvelle: une série de trucs et astuces permettent de traverser ce moment pénible avec un peu plus de facilité.

Ces traitements sont purement symptomatiques (soulagent les symptômes). Oubliez d’ores et déjà les antibiotiques, qui ne sont d’aucune utilité pour venir à bout d’affections causées par des virus.

  • Pour soulager la gorge, buvez beaucoup.
    Privilégiez des boissons comme de l’eau ou des infusions au thym, par exemple.
  • Vous pouvez également avoir recours aux pastilles à sucer et aux sprays pour la gorge.
  • Utilisez un humidificateur pour pallier une atmosphère intérieure trop sèche et propice à cette sensation de gorge qui gratte.
  • Dernier allié de choix: le sommeil.
    Plonger dans les bras de Morphée vous aidera à passer plus facilement ce cap.
4. J’ai la gorge qui gratte… Aurais-je pu le prévenir?

Oui et non. Quatre astuces pour limiter les risques:

  • Evitez les substances irritantes comme la fumée de cigarette.
  • Votre collègue se mouche toutes les 10 minutes, tousse et/ou se racle la gorge avec insistance?
    Prenez vos distances
    !
    La plupart de ces infections se transmettent en effet par le biais de petites gouttelettes que nous émettons lorsque nous parlons, toussons ou éternuons.
  • Accordez une attention particulière à l’hygiène de vos mains.
  • Faites fi du froid pour quelques minutes:
    ouvrez grand les fenêtres
    pour aérer l’intérieur de votre logement ou de votre bureau.
    La bonne fréquence? Au minimum une fois par jour.

Aude Dion, journaliste santé

http://www.e-sante.be