Campagne de la SPCA contre le dégriffage des chats


Le dégriffage des chats est un acte cruel, c’est une amputation partielle des doigts des chats et peut apporter des douleurs inutiles. Plusieurs provinces au Canada ont interdit le dégriffage des chats, d’autres provinces suivront l’exemple et c’est sans compter que 30 pays dont la France et le Royaume-Uni l’ont aussi interdit, il serait temps que le Québec emboite le pas. On peut signer la pétition pour le Québec https://www.spca.com/degriffage/?fbclid=IwAR1Yq7aXz4a5jzvSiHOfGBqb1j-bb-4xAJnCXOLbT-RpzLSV8AAmm7wlfhA
Nuage

 

Campagne de la SPCA contre le dégriffage des chats

 

JENA ARDELL VIA GETTY IMAGES

La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux a lancé une pétition

La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de Montréal invite la population à signer une pétition pour presser l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec (OMVQ) à interdire le dégriffage des chats.

Le texte accompagnant la pétition intitulée «Félin jusqu’au bout des griffes» soulève plusieurs arguments. Il rappelle d’abord que l’Association canadienne des médecins vétérinaires s’oppose fermement à l’ablation des griffes, considérant cette chirurgie inacceptable du point de vue éthique en raison de la douleur inutile et évitable qu’elle occasionne aux chats.

Une citation de l’Association ajoute que l’amputation partielle des doigts est non urgente et présente le potentiel de causer de la douleur chronique et des conséquences orthopédiques négatives à long terme.

Dans un communiqué publié mardi, l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec écrit que cette chirurgie peut amener son lot de complications et avoir des répercussions sur le bien-être de l’animal et qu’elle n’est pas médicalement nécessaire. Il se dit convaincu que cette intervention diminuera significativement pour devenir marginale au cours des prochaines années.

L’Ordre ajoute que des solutions alternatives telles que la coupe régulière des griffes, l’utilisation d’un griffoir et le renforcement positif doivent être considérées avant de procéder au dégriffage félin. L’organisme pense toutefois que l’éducation et la sensibilisation des propriétaires de chats sont des étapes fondamentales avant d’envisager l’interdiction d’une telle chirurgie.

Des ordres professionnels vétérinaires de la Colombie-Britannique, de la Nouvelle-Écosse, de Terre-Neuve-et-Labrador et de l’Île-du-Prince-Edouard interdisent la pratique alors que les ordres vétérinaires du Manitoba, de l’Alberta et du Nouveau-Brunswick seraient sur le point d’emboîter le pas.

La SPCA ajoute que le dégriffage est interdit depuis des années dans plus de 30 pays, dont la France et le Royaume-Uni.

Sur son site web, l’organisme montréalais propose lui aussi des solutions de rechange au dégriffage.

Les organisateurs de la pétition ont affiché un objectif de 10 000 signatures.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Des entreprises américaines abandonnent la NRA


Depuis que les adolescents ont décidé de prendre en main des protestations contre le gouvernement américain et la NRA, on voit certaines choses bougés. Cela sera t’il suffisant pour qu’il y a un meilleur contrôle des armes ? En tout cas, pour le moment, et pour la première fois, la NRA perd des plumes
Nuage

 

Des entreprises américaines abandonnent la NRA

 

NEW YORK — Dans la foulée de la récente tuerie survenue dans un établissement scolaire de la Floride, certaines entreprises américaines remettent en question leurs investissements, partenariats et autres ententes avec l’industrie des armes à feu et sa porte-parole sur la scène publique, la National Rifle Association (NRA).

Des pétitions en ligne s’en prenant aux compagnies qui proposent des réductions aux membres de la NRA ont commencé à circuler et le mot-clic #BoycottNRA a la cote sur Twitter.

Pour une deuxième journée consécutive vendredi, certaines de ces sociétés, dont les noms apparaissent sur le site de la NRA, ont coupé les ponts avec l’organisation, qui continue à s’opposer farouchement à tout resserrement des règles régissant les armes à feu aux États-Unis.

Parmi ces entreprises figurent la compagnie de location d’automobile Hertz, qui a annoncé sur Twitter qu’elle mettait fin à son programme de réduction pour les membres de la NRA, la compagnie d’assurance MetLife et la société informatique Symantec, qui fabrique notamment l’antivirus Norton.

Les défections se sont produites un jour après que l’entreprise de location de voiture Enterprise, qui possède aussi Alamo et National, eut révélé qu’elle cesserait dorénavant d’offrir des réductions aux membres de la NRA et que la First National Bank of Omaha, l’une des plus importantes banques privées du pays, eut signalé qu’elle ne renouvellerait pas son entente de carte de crédit Visa avec la NRA.

La fusillade survenue le 14 février à l’école secondaire Marjory Stoneman Douglas à Parkland, au nord de Miami, a coûté la vie à 17 élèves et membres du personnel.

http://journalmetro.com/

En pleine rue, un palmier de sept mètres s’abat sur une présentatrice indienne


C’est épouvantable, cette femme avait signé une pétition pour couper le palmier en question, car il pouvait tomber n’importe quand alors que les responsables ont refusé disait qu’il était en bon état. Pourtant, l’arbre est tombé et la femme est morte. Est-il vraiment en bon état ?
Nuage

 

En pleine rue, un palmier de sept mètres s’abat sur une présentatrice indienne

 

L’horreur en pleine rue. Le week-end passé, Kanchan Nath revenait d’un cours de yoga quand un palmier de plus de sept mètres s’est violemment abattu sur elle. Les images sont terribles et pourraient heurter votre sensibilité. © (capture d’écran).

Christophe Da Silva
Source: The Mirror

Dans les rues de Bombay, un palmier a heurté de plein fouet Kanchan Nath. Elle a succombé à ses graves blessures cérébrales quelques heures plus tard. Selon le Mirror, cette présentatrice de 58 ans avait justement signé une pétition pour abattre l’arbre en question.

L’horreur en pleine rue. Le week-end passé, Kanchan Nath revenait d’un cours de yoga quand un palmier de plus de sept mètres s’est violemment abattu sur elle. Les images sont terribles et pourraient heurter votre sensibilité.

D’après le Mirror, Kanchan Nath, 58 ans, avait justement signé une pétition pour abattre définitivement cet arbre en mauvais état. Cette présentatrice rentrait chez elle quand le drame est arrivé. Emmenée d’urgence à l’hôpital, elle a succombé à ses graves blessures cérébrales samedi passé.« C’est un choc »

« Il y avait beaucoup de cris et d’appels à l’aide. Je suis sorti et j’ai vu une femme au sol », rembobine Arjun Singh, un voisin. « Je ne savais pas que c’était Kanchan qui était allongée sur le sol jusqu’à ce que quelqu’un me le dise. C’est un choc. Cela aurait pu arriver à n’importe qui ».

Rajat Nath est dévasté par la disparition de son épouse. Il met directement en cause les autorités locales.

« Dans un bon état »

« Cet accident est arrivé parce que le BMC (Brihanmumbai Municipal Corporation) a refusé d’abattre l’arbre alors qu’il savait qu’il pouvait tomber à n’importe quel moment », poursuit-il.

Pour le BMC, le palmier était en « dans un bon état » et il ne fallait pas l’abattre.

http://www.7sur7.be

Des policiers lui interdisent d’allaiter : "Vous n’allez pas imposer ça aux gens"


Cette mauvaise aventure se passe à Paris, mais cela pourrait être même dans mon coin de pays. Je me souviens de mon patron dans un restaurant auquel j’étais employé. Et un jour, il dit qu’une femme allaitait dans la salle à manger et ce n’était pas acceptable. Je lui ai fait pour réponse qu’étant une femme très pudique, j’ai toujours allaité mes enfants quand je venais au café ou manger et les seules personnes qui le savaient sont ceux qui étaient près de moi et entendaient l’enfant téter, car j’avais toujours une petite couverture sur moi. L’allaitement est un acte normal et naturel et s’offusquer est selon moi, inadmissible
Nuage

 

Des policiers lui interdisent d’allaiter : « Vous n’allez pas imposer ça aux gens »

 

Des policiers lui interdisent d'allaiter : "Vous n'allez pas imposer ça aux gens"« 

Les joies de la bonne mere », une peinture de Giuseppe Sciuti, 1877 (LEEMAGE)

Des policiers du IIe arrondissement de Paris ont empêché une mère d’allaiter en public. Le tout avec un ton un brin agressif. Dommage pour eux : avec Internet, tout se sait.

La scène se passe dans un commissariat du IIe arrondissement de Paris, le 10 avril dernier. Il fait très beau. Une jeune femme fait la queue avec son compagnon dehors.

Plan Vigipirate oblige, ils ne peuvent pas rentrer : trop de monde à l’intérieur. Le couple de trentenaires attend donc, patient, parce qu’il veut faire une procuration pour les élections prochaines. Et Nicolas porte en écharpe leur fils de 2 mois.

Quand soudain… Le petit se met à pleurer. Il a faim. Quiconque est parent sait. Si votre enfant de 2 mois pleure de faim (scoop), vous lui donnez à manger et vous cherchez des solutions rapides.

Sophie, la mère du nourrisson, demande donc aux policiers si elle peut accéder à une pièce tranquille pour donner le sein à son enfant. Sans savoir, la malheureuse, qu’il s’agit apparemment d’un immense sacrilège pour les policiers à qui elle s’adresse.

Bientôt 5.000 signatures

Tout cela est raconté dans une pétition qui monte sur Change.org (4.700 signatures ce jeudi soir). Ils avaient d’abord (gentils) demandé la permission à une policière d’allaiter :

« Une minute après, gênée, elle revient accompagnée d’un policier qui prend immédiatement le parti de nous agresser. Il nous explique sur un ton très hostile qu’ils ne nous laisseront pas allaiter et qu’ils n’ont aucune pièce prévue à cet effet.

Nous répliquons que je n’ai besoin que d’une chaise. Sa réponse ? « Il est hors de question que vous allaitiez en public ! Vous n’allez pas imposer ça aux gens. »

Nous promettons d’allaiter “très discrètement grâce à une pièce de tissu, un lange, qui sert à cacher ma poitrine” (ce sein que la police ne saurait voir). Il reste inflexible, catégorique et nous fait signe de circuler : l’allaitement au commissariat du IIe n’aura pas lieu. »

Le ton monte.

« Je prends mon courage à deux mains et lui explique qu’à mes yeux, c’est une honte de refuser à quelqu’un de nourrir son bébé. Mon compagnon est avec moi, notre enfant toujours en écharpe. Et là, choc absolu : le policier nous accuse d’être de mauvais parents pour avoir emmené notre fils dans un commissariat. Selon lui, c’est notre comportement qui est honteux, notre fils devrait être à la maison. »

« Subir ça seule, ce doit être horrible… »

Et le couple finit par partir sans faire sa procuration. Joint au téléphone, Nicolas raconte lui aussi une altercation violente :

« On s’est dit par la suite qu’on a eu de la chance d’avoir été ensemble. On a pu se soutenir, se calmer ensemble.  Subir ça seule, ce doit être horrible… »

En France, l’allaitement en public est d’ordinaire plutôt bien accepté, réagit Claude Didierjean-Jouveau au téléphone. La porte-parole de la Leche league, mouvement de défense de l’allaitement au sein, raconte :

« Ce n’est pas la première fois que ce genre d’incident arrive, mais c’est assez rare. La plupart du temps, quand une femme allaite en public, rien ne se passe. On doit avoir deux ou trois épisodes de ce genre qui suscitent une mobilisation chaque année. »

Elle se souvient de  Lætitia, la mère qui, en 2013, avait été sommée de quitter un magasin par une commerçante dans les Landes.

« Je suis en bout de rayon […], il n’y a personne à part mes deux filles. Je baisse le haut de mon pull, je sors mon mamelon qui est tout de suite pris par ma petite qui a 20 mois, qui me cache donc déjà toute la poitrine quand la gérante vient vers moi et me dit :

‘Madame, nous sommes dans un magasin. Et les femmes qui allaitent, c’est comme les hommes torse nu, je n’en veux pas dans mon magasin’. »

Un post Facebook pour absorber le choc

Choqués par ce qui venait de leur arriver, Sophie et Nicolas se sont connectés à Facebook en arrivant chez eux. Besoin d’exorciser le truc.

« On avait envie d’entendre un écho de ce qu’on venait de vivre. Ça permet de sentir que ce qui s’est passé n’était pas normal, d’absorber le choc. On a donc écrit un post Facebook et des gens dans les commentaires nous ont conseillé de créer une pétition. »

Sur la pétition, les signatures s’amoncellent assez vite et les commentaires aussi. Plusieurs femmes racontent notamment devoir se cacher dans les toilettes régulièrement pour donner le sein à leur enfant.

http://tempsreel.nouvelobs.com

Le site Kijiji pressé d’interdire la vente d’animaux


Il ne devrait pas avoir d’annonces d’animaux sur les petites annonces sauf s’ils sont capables de voir que l’animal vient d’un particulier et non d’une usine a chien ou a chat.
Nuage

Le site Kijiji pressé d’interdire la vente d’animaux

 

Une citoyenne de Montréal a lancé une pétition en ligne dans l'espoir de faire... (Photo Martin Roy, Archives LeDroit)

PHOTO MARTIN ROY, ARCHIVES LEDROIT

BENJAMIN SHINGLER
La Presse Canadienne
MONTRÉAL

Une citoyenne de Montréal a lancé une pétition en ligne dans l’espoir de faire interdire la promotion de la vente d’animaux domestiques sur le plus important site de petites annonces classées du Canada, Kijiji.

Barbara Lapointe, une résidante de Ville Mont-Royal qui possède une entreprise de services de promenade pour chiens, espère ainsi que son initiative contribuera à mettre fin aux pratiques des usines à chiots.

Selon elle, Kijiji devrait bannir les annonces de ce genre d’entreprises et plutôt publier celles provenant de centres de refuge pour animaux certifiés ou encore de familles cherchant un nouveau foyer pour leur animal. Le site web prêcherait ainsi par l’exemple et deviendrait un leader éthique en la matière si de telles mesures étaient adoptées, a-t-elle poursuivi.

En fin de journée, dimanche, Mme Lapointe avait recueilli plus de 48 000 signatures sur le site web change.org.

Elle a aussi mentionné espérer que le conseil municipal de Ville Mont-Royal emboîte le pas à d’autres villes canadiennes et interdise la vente de chiots en animaleries, comme ce fut le cas en 2011 à Richmond, en Colombie-Britannique.

La fermeture de ces établissements permettrait d’éliminer un marché majeur pour les usines à chiots, mais il reste que les éleveurs illégaux auraient encore la possibilité d’avoir recours à des sites de petites annonces en ligne, a-t-elle fait valoir.

Or, Kijiji Canada a déclaré ne pas avoir l’intention de modifier ses politiques. L’un des directeurs de l’entreprise, Shawn McIntyre, a expliqué qu’un système avait été mis en place pour filtrer les annonces suspectes et empêcher les usines à chiots d’avoir recours à leurs services.

M. McIntyre a indiqué que des employés chargés de la modération surveillaient les annonces publiées, ajoutant que l’entreprise faisait équipe avec des groupes de défense des animaux.

Il reste que la direction du site web a eu maille à partir avec certains usagers au cours des dernières années. Une résidante de la Nouvelle-Écosse, Gail Benoit, s’est notamment vu interdire l’accès au site internet après que Kijiji eut reçu des centaines de plaintes à son endroit. Elle a toutefois réussi à contourner cet interdit en utilisant de faux noms, différents ordinateurs et en demandant à d’autres de publier des annonces pour elle.

Le Québec est l’une des provinces canadiennes ayant l’une des plus mauvaises réputations en matière d’usines à animaux. La province a encore une fois cette année été reléguée au dernier rang des listes établies par une organisation de défense des animaux aux États-Unis, l’ALDF.

http://www.lapresse.ca

«Demandez un plan» Un plan pour un «cessez-le-feu» aux États-Unis


L’année 2012 a été une autre année d’horreur de fusillade ou d’innocentes victimes ont payé de leur vie .. L’École primaire de Newtown a été sans doute la goutte qui a fait réagir des maires et des vedettes pour mettre un terme cette facilité de possédé des armes a des personnes qui l’équilibre mentale est précaire
Nuage

 

«Demandez un plan»

Un plan pour un «cessez-le-feu» aux États-Unis

 

Un plan pour un «cessez-le-feu» aux États-Unis

Beyoncé pour la campagne «Demand a plan»

TVA Nouvelles

Des artistes tels que Beyoncé, Julian Moore, Jon Ham, Jessica Alba, Courtney Cox et Jennifer Aniston ont joint leur voix à celle de 800 maires pour demander au président Obama un plan pour que la violence reliée aux armes à feu cesse aux États-Unis.

Dans une vidéo qui a déjà été vue près de 4 millions de fois, tour à tour, ils prennent la parole pour poser des questions qui portent à réflexion.

«Combien d’autres listes?»

«Combien d’autres écoles, salles de cinéma, lieux de recueillement […] seront visés?»

«Attendrons-nous de tous connaître quelqu’un qui aime une personne qui se retrouve sur une de ces listes de victimes?»

Publiée le 21 décembre dernier, cette vidéo sert à rediriger les gens sur le site Demandaplan.org. Un site qui a déjà reçu l’appui de 800 000 personnes, qui ont signé la pétition.

Il s’agit d’une initiative de quelque 800 maires de différentes villes étatsuniennes qui souhaitent voir la violence diminuer dans leur ville et dans les villes voisines.

Cette campagne fait suite à la tuerie de Newtown, survenue le 14 décembre dernier. Adam Lanza, un jeune homme de 20 ans a fait 26 morts, dont 20 enfants, avant de retourner l’arme contre lui

http://tvanouvelles.ca/

Un potager urbain qui fait les manchettes


Un couple a Drummonville a décidé d’utiliser leur terrain en avant de la maison pour un usage beaucoup plus utile et agréable, mais la ville ne semble pas beaucoup appréciée .. des pétitions sont lancé (même une internationale) pour donner l’appui ce beau projet et qui a mon avis pourrait même s’étendre ailleurs dans nos villes du Québec … pour se remémorer l’histoire Controverse autour d’un potager a Drummondville  
Nuage

 

Un potager urbain qui fait les manchettes

 

L’agriculture urbaine est un sujet à la mode cet été. Un peu partout dans nos villes, on voit pousser des jardins potagers. La plupart du temps, c’est évidemment à l’arrière de la maison que l’on plante ses tomates, piments ou concombres. Certains le font cependant à l’avant, mais devraient alors bien vérifier avec la municipalité s’ils sont dans leur droit.

C’est l’histoire d’un couple de Drummondville qui lutte depuis des semaines contre le règlement municipal pour pouvoir cultiver son potager devant leur chez-soi.

La nouvelle de leur combat s’est répandue comme une traînée de poudre sur Facebook et plus de 20 000 personnes ont signé à ce jour leur pétition. De nouveaux signataires arrivent chaque jour de tous les coins du monde, aussi loin que d’Australie ou de Pologne, et aussi près que des États-Unis.

En effet, l’activiste américain Roger Doiron, celui-là même qui a convaincu Michelle Obama de créer un potager à la Maison-Blanche, après avoir fondé Kitchen Gardeners International, a lancé une pétition internationale en leur faveur.

Et vous, avez-vous votre propre jardin potager ? Est-il à l’avant ou à l’arrière de votre demeure ? Que pensez vous de la lutte de ce couple?

http://www.soscuisine.com

Gagner de l’argent avec des pétitions


Je ne sais pas trop quoi penser avec cette façon de faire .. une pétition, pour moi n’a pas le but de faire de l,argent mais pour indiquer notre désaccord avec une décision  que ce soit avec un organisation sociale ou politique .. De la façon ici qu’on la présente ici j,ai plus l’impression que c’est un nom pour une pétition Surtout que les pétitions actuelles ne donnent vraiment pas toujours les résultats escomptés alors qu’avec Change.org il me semble, c’est une impression de donner un coup d’épée dans l’eau,
Nuage

 

Gagner de l’argent avec des pétitions

 

Le progrès social comme modèle d’affaires: tel est le pari de Change.org, une entreprise américaine qui permet principalement de lancer des pétitions en ligne, et qui souhaite bientôt créer une vitrine québécoise.

IMAGE TIRÉE D’INTERNET

Mathieu Perreault
La Presse

(Montréal) Peut-on vendre les noms des signataires d’une pétition? Oui et c’est rentable, répond une entreprise américaine qui veut bientôt s’implanter au Québec. Et qui participe déjà au débat sur les droits de scolarité.

Le progrès social comme modèle d’affaires: tel est le pari de Change.org, une entreprise américaine qui permet principalement de lancer des pétitions en ligne, et qui souhaite bientôt créer une vitrine québécoise.

«Notre fondateur, Ben Rattray, tente depuis une demi-douzaine d’années de trouver un modèle d’affaires qui permette d’appuyer professionnellement le changement social», explique Ben Winkler, vice-président de Change.org.

«Depuis deux ans, ça marche enfin. Nous avons 15 millions de membres dans le monde, avec des versions pour la France et l’Espagne. Ils lancent 15 000 pétitions par mois. Nous avons 140 spécialistes pour les aider.»

Des revenus de 15 millions américains

Les prévisions de revenus pour l’année sont de 15 millions américains, et les effectifs de l’entreprise pourraient doubler d’ici janvier, a rapporté la fin de semaine dernière le Wall Street Journal.

M. Winkler est d’ailleurs un bon exemple de nouvel employé: jusqu’en mars dernier, il était vice-président aux opérations numériques chez OMD, consultant en médias et marketing.

Le principe du site est simple: lorsqu’un membre signe une pétition, on lui en propose d’autres du même genre. Les nouvelles pétitions sont également transmises aux membres susceptibles d’être intéressés. Les revenus proviennent de commanditaires des pétitions.

«Quand un membre signe la pétition, nous lui demandons s’il voudrait en savoir plus sur nos commanditaires», explique Jordy Gold, qui met au point les versions canadiennes de Change.org.

«S’il accepte, le commanditaire nous paie, entre un et deux dollars par nom.»

Le site a déjà 55 000 membres au Québec, soit 10% du total canadien.

Les commanditaires sont généralement des ONG comme Greenpeace, selon M. Winkler, mais certaines entreprises locales sont parfois au menu – la plus importante est Credo, lobbyiste américain de gauche.

Pétition sur les droits de scolarité

M. Gold a répertorié quatre pétitions québécoises sur Change.org. Deux d’entre elles concernent le débat sur les droits de scolarité: 751 membres exigent que Jean Charest ne cède pas aux étudiants, alors que 2437 réclament la démission du recteur de l’Université de Montréal, Guy Breton, parce qu’il a demandé et obtenu une injonction empêchant les grévistes de perturber les cours.

Parmi les critiques de l’entreprise, mentionnons Clay Johnson, spécialiste internet des campagnes de financement de gauche, qui a affirmé dans le Wall Street Journal que

le fait de «monnayer le changement est dangereux, parce que les incitations économiques peuvent mener au sensationnalisme».

Le personnel de Change.org trouve l’accusation injuste.

«Nous sommes des marieurs pour le changement social, dit M. Gold. J’ai trouvé difficile de constater que les manifestants au Québec, ce printemps, avaient des émotions aussi prononcées, mais ignorées du gouvernement. Si les gens veulent changer des choses, nous voulons aider.»

http://www.lapresse.ca

Avaaz.org → Charest: un mouvement mondial réclame sa démission


C’est plus qu’une contestation de la hausse des droits des étudiants mais a cause de la loi spéciale 78, c’est la population québécoise qui conteste qu’elle soit pour ou non avec les requêtes des étudiants …  Beaucoup descendent dans les rues pour le droit et la liberté des manifestations Des appuis arrivent de partout dans le monde .. M. Charest qui est a la fin de son mandat a bien mal fini son terme et il serait étonnant qu’il soit réélu ainsi que son parti. J’espère par contre que les étudiants qui ont une faible participations lors des dernières élections iront voter majoritairement.
Nuage

 

Avaaz.org →  Charest: un mouvement mondial réclame sa démission

 

Avaaz.org - Charest: un mouvement mondial réclame sa démission

Jean Charest

Photo: Archives Reuters

Agence QMI

Alors que le conflit étudiant continue de faire jaser à l’extérieur du Québec, une plateforme web citoyenne a mis en ligne une pétition demandant la démission de Jean Charest et des membres de son gouvernement, jeudi.

Avaaz.org, un organisme se décrivant comme « le plus grand mouvement citoyen mondial en ligne pour le changement », s’est donné pour objectif de recueillir plus de 200 000 signatures réclamant la démission du premier ministre du Québec.

La pétition est en ligne depuis jeudi. Le mouvement en était déjà à plus de 16 000 signatures vendredi matin.

Majoritairement ratifiée par des Québécois, la pétition a en outre recueilli des signatures provenant de la France, la Belgique et l’Allemagne.

Le mouvement Avaaz rejoint plus de 14 500 000 membres dans le monde, provenant de plus de 190 pays. Avaaz est disponible en 14 langues.

Lancée en janvier 2007, la plateforme web permet aux citoyens du monde de créer des pétitions en ligne afin de se prononcer sur des enjeux d’actualité.

Outre les causes politiques comme celle du conflit étudiant, le mouvement s’est penché par exemple sur le sauvetage de l’Amazonie au Brésil en recueillant plus de 2 millions de signatures pour empêcher l’adoption d’un article permettant aux exploitants forestiers de tondre la forêt.

Cliquez ici pour signer la pétition

http://fr.canoe.ca

Nouvelle pétition pour l’étiquetage des OGM


En temps que consommateur nous avons le droit de savoir ce que l’on achète et ce que l’on mange .. Le gouvernement québécois nous refuse se droit sous de faux prétexte
Nuage

 

Nouvelle pétition pour l’étiquetage des OGM

 

 

«Je ne peux pas croire que c’est dans des livres scolaires. Les enfants les lisent et pensent que c’est vrai.», s’ndigne Coralie Desève.

PHOTO: ROBERT SKINNER, LA PRESSE

 

Marie Allard
La Presse

Une nouvelle pétition demandant l’étiquetage des aliments contenant des organismes génétiquement modifiés (OGM) a été mise en ligne sur le site de l’Assemblée nationale. Son instigatrice? Coralie Desève, 12 ans, qui s’est récemment révoltée contre la présence de textes pro-OGM dans ses manuels scolaires.

«Beaucoup de gens ne savent pas ce qu’est un OGM et ne savent pas qu’ils en mangent, a indiqué Coralie Desève à La Presse, hier. Après l’épisode des manuels incitant à manger des OGM, je me suis dit que s’ils étaient étiquetés, les gens n’en mangeraient pas.»

Parrainée par le député André Simard, du Parti québécois, cette nouvelle pétition comptait déjà près de 200 signatures hier en fin d’après-midi. L’étiquetage des OGM est réclamé étant donné que «rien ne prouve que les OGM sont sécuritaires pour la santé», que «les cultures d’OGM peuvent contaminer d’autres cultures sans OGM» et que «les citoyens québécois ont un droit légitime à l’information complète sur leurs produits consommés et ce qu’ils offrent à leurs enfants afin de les nourrir». Le texte de la pétition rappelle également que le Parti libéral avait promis l’étiquetage des OGM dans un en engagement électoral en 2003.

Refus du gouvernement

Or, le gouvernement de Jean Charest vient de refuser, à la fin du mois de mars, d’imposer l’étiquetage des OGM, qu’avait demandé une précédente pétition qui avait recueilli quelque 14 500 signatures et qui avait été présentée par le député caquiste Éric Caire en février dernier.

Ce serait une opération «fort complexe» et le Québec serait «le seul en Amérique du Nord» à le faire, a plaidé Pierre Corbeil, ministre de l’Agriculture.

«Il y a des choses qui ont changé depuis, puisqu’une législation demandant que les aliments contenant des OGM soient clairement étiquetés a été proposée au Vermont et en Californie», a fait valoir Mélissa Desève, mère de Coralie.

L’arrivée prochaine de maïs sucré génétiquement modifié au Québec, le maïs Performance de Monsanto, a aussi suscité de nombreuses réactions dans la population.

***

Pour signer la pétition:

https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-2993/index.html

 

http://www.lapresse.ca