Les petits-enfants


Je suis fière d’être grand-maman de 7 petits enfants pour l’instant. Ce que je remarque, avoir ce statut est complètement différent que d’être parent même, je dirais pour ma part qu’il est beaucoup plus valorisant, car nous n’avons pas les mêmes devoirs que d’être parent
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Les petits-enfants

 

Les petits-enfants sont la récompense d’avoir été parent

Inconnu

Changer le monde


Je crois que le plus bel accomplissement de toute ma vie est d’avoir des enfants et des petits enfants. J’aimerais aussi changer le monde pour que mes petits-enfants puissent vivre dans la sécurité sur une terre en santé
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Changer le monde

 

 

Je ne changerais mes petits-enfants pour rien au monde, mais j’aimerais pouvoir changer le monde pour mes petits-enfants

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Ce que votre père a fait avant votre naissance pourrait influer sur votre futur


Je pense que les recherches ont une bonne voie et ainsi démontré que le mode de vie du futur père et aussi important que celle de la mère. Le père laisserait probablement un héritage plus qu’on le pensait aux futurs enfants
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Ce que votre père a fait avant votre naissance pourrait influer sur votre futur

 

father and daughter | Edward Musiak via Flickr CC License by.

father and daughter | Edward Musiak via Flickr CC License by.

Paul Haggarty

On en est encore aux prémices de ce nouveau champ de recherches.

Ce ne sont pas seulement les femmes enceintes qui doivent se soucier de leur mode de vie. Une nouvelle étude publiée dans la revue Science donne du grain à moudre à un ensemble de recherches examinant la façon de vivre et l’environnement des futurs pères. Et en quoi ces facteurs pourraient influer sur la vie de leurs enfants et de leurs petits-enfants.

Nous savons que de nombreuses caractéristiques –le poids, la taille, la prédisposition aux maladies, la longévité ou l’intelligence– peuvent être en partie héréditaires. Mais jusqu’à présent, les chercheurs ont toujours eu du mal à identifier une assise génétique précise. La raison? Notre incapacité, pour partie, à comprendre comment fonctionne l’ensemble. Désormais, on s’intéresse de plus en plus à un nouveau champ de recherche appelé «épigénétique», qui pourrait expliquer cette héritabilité.

L’épigénétique fait référence à l’information dans le génome contenue dans la séquence ADN. Cette information prend des formes diverses, mais les plus couramment étudiées par les chercheurs se rapportent à la modification clinique (connue sous le nom de méthylation et acétylation) de l’ADN et des protéines (on les appelle histones) qui, mises ensemble, composent le génome humain.

Cette information épigénétique –qui influence le choix de celles des copies de gènes qui «s’expriment» ou sont utilisées– peut se transmettre d’une génération à l’autre pendant la reproduction. Elle peut même persister dans les tissus et les organes d’une personne, tout au long de sa vie, cela même quand ses cellules se renouvellent.

Une hypothèse a suscité beaucoup d’intérêt ces dernières années: durant la reproduction, l’environnement d’une personne, par exemple la façon dont elle se nourrit, jouerait sur les signatures épigénétiques de ses enfants avec des possibles conséquences sur leur santé future. La plupart des travaux scientifiques se sont concentrés sur les signatures épigénétiques transmises à travers la lignée maternelle. Mais le capital génétique de la mère n’intervient que pour la moitié du génome de l’enfant et les chercheurs font de plus en plus attention au rôle joué par les pères dans le processus de l’héritage épigénétique. La nouvelle étude de Science affirme que la manipulation du processus épigénétique, pendant la production de sperme chez les souris, influence le développement de leur descendance pendant de multiples générations.

Ce que les pères transmettent

Nous le savons déjà, des signatures épigénétiques spécifiques dans le sperme du père ont été liées à un risque d’autisme chez les enfants. On a également associé l’âge du père, au moment de la conception, à des changements épigénétiques du sperme et au risque de voir ses enfants exposés à certaines maladies.

On a également observé des changements épigénétiques chez les enfants nés par insémination artificielle, quand le sperme du père n’était pas fonctionnel. Des expériences pratiquées sur des souris ont prouvé que l’administration d’éthanol chez les mâles affecte les signatures épigénétiques du cerveau de leur progéniture. Cela, conjugué à d’autres études, démontre les effets que le mode de vie paternel peut avoir sur la santé de l’enfant. Et l’étude de la revue Science ouvre de nouveaux horizons sur ce qui pourrait se passer à l’avenir.

Dans leurs derniers travaux, les chercheurs de l’université McGill, au Canada, ont utilisé le génie génétique pour modifier, pendant la production de sperme chez les souris, l’activité de l’une des protéines «histones» qui contrôle les processus épigénétiques (baptisée KDM1A histone lysine 4 demethylase). Ils ont montré que ce changement a influé sur la santé et le développement de leur progéniture et que cet effet a persisté pendant un certain nombre de générations.

Signatures épigénétiques

L’étude ne prouve pas que cet effet provoqué artificiellement pourrait être reproduit chez l’homme via l’exposition à un environnement particulier ou bien dans le cas d’une spécificité génétique chez un individu. Mais, à en croire les chercheurs qui l’ont étudiée, cette variation génétique des histones qui commandent l’épigénétique pourrait très bien produire des effets semblables chez les humains.

Toujours selon eux, si, chez l’homme, certains facteurs environnementaux altèrent ce même processus épigénétique au cours de la production de sperme, voilà qui pourrait constituer un facteur sous-jacent de malformations congénitales et de maladies imputables au père. Il s’agit certes de conditions médicales sérieuses, mais beaucoup de chercheurs s’intéressent aussi à des effets plus subtils parmi la population.

Les scientifiques ont formulé une hypothèse. Selon eux, des effets épigénétiques plus modérés seraient utiles du point de vue de l’évolution.

Ils permettraient aux futurs descendants de ressentir en quelque sorte l’«environnement métabolique» (comme la famine, ou la trop grande abondance de nourriture) dans lequel ils viennent au monde, en fonction de quoi ils programmeront alors leur propre métabolisme afin de s’adapter à cet environnement. Pour arriver à ce résultat, le «programme génétique»devrait être remis à jour à chaque génération, mais cette nouvelle étude semble démontrer la stabilité d’un changement épigénétique au fil des générations.

Il faudra davantage d’études pour comprendre comment cette nouvelle découverte se rapporte à l’héritage épigénétique humain, mais elle a amélioré notre connaissance de la façon dont tout cela se met en place. On en est encore aux prémices de ce nouveau champ de recherches, mais si ces processus peuvent s’appliquer à l’homme, les retombées pourraient être conséquentes. Des caractéristiques que nous pensions autrefois être inéluctables pourraient être modifiées. Et notre façon de vivre pourrait se répercuter non seulement sur notre propre santé, mais aussi potentiellement, sur celle de nos enfants, voire de nos petits-enfants.

http://www.slate.fr/

La garde occasionnelle des petits-enfants garde les grands-mère jeunes


Moi, je garde ma petite-fille généralement 5 jours semaine, mais je ne rentre pas dans la catégorie des enfants exigeants, car ma fille, tout ce qu’elle demande, c’est que je m’occupe bien de sa fille et je peux faire ce que je veux des journées avec Mlle qui semble bien aimé le temps passé avec grand-maman
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La garde occasionnelle des petits-enfants garde les grands-mère jeunes

 

Les grands-mères qui s'occupent de leurs petits-enfants une journée par semaine... (PHOTOS.COM)

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La Presse Canadienne
Montréal

Les grands-mères qui s’occupent de leurs petits-enfants une journée par semaine protègent leur acuité mentale, affirme une nouvelle étude.

En revanche, celles qui s’en occupent cinq jours par semaine ou plus subissent l’effet inverse et semblent nuire à leurs capacités intellectuelles.

Les chercheurs ont demandé à 186 Australiennes âgées de 57 à 68 ans de se soumettre à trois tests d’acuité mentale. On leur a aussi demandé si elles considéraient que leurs propres enfants avaient été particulièrement exigeants envers elles au cours de la dernière année.

Parmi 120 grands-mères, celles qui consacraient une journée par semaine à la garde de leurs petits-enfants ont offert la meilleure performance à deux des trois tests. Mais celles qui devaient s’en occuper cinq jours ou plus chaque semaine ont fait nettement moins bien au test qui mesurait la mémoire de travail et la rapidité du traitement mental.

Les chercheurs précisent toutefois que la performance de ces grands-mère peut avoir été influencée par leur humeur, puisqu’il s’agit de celles qui considéraient que leurs enfants étaient très exigeants.

Les conclusions de cette étude sont publiées dans le journal médical Menopause.

http://www.lapresse.ca/

Grands-parents: attention aux médicaments à portée des jeunes enfants


En vieillissant nous avons plus de médicaments et souvent pour ne pas les oublier nous les laissons bien en vue .. c’est plus pratique sauf que … si nos petits enfants viennent nous visité, il serait malheureux qu’un incident qui pourrait être grave arrive par notre négligence a la prudence
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Grands-parents: attention aux médicaments à portée des jeunes enfants

 

© Shutterstock

Un grand parent sur cinq laisse ses médicaments à la portée de ses petits-enfants, selon un récent sondage mené pour le compte du C.S. Mott Children’s Hospital de l’Université du Michigan.

Cette enquête démontre que 97 % des parents et 98 % des grands-parents de jeunes enfants conservent des médicaments à leur domicile. Sur ce nombre, 23 % des grands-parents ont rapporté qu’ils rangeaient leurs médicaments, notamment leurs piluliers, dans des endroits faciles d’accès pour les jeunes enfants. Ce chiffre tombe à 5 % pour les parents. Plus de 2130 adultes ont été interrogés dans le cadre de ce sondage mené en janvier 2012.

«Toutes les 10 minutes, un enfant est admis à l’urgence d’un hôpital américain pour avoir ingéré un médicament à l’insu de ses parents», a souligné le Dr Matthew M. Davis, qui a dirigé le sondage.

«Les empoisonnements d’enfants à cause de médicaments sont devenus plus fréquents au cours de la dernière décennie. Nous espérons que les résultats de ce sondage rappelleront aux parents et aux grands-parents, mais aussi à tous ceux qui prennent soin de jeunes enfants, que les médicaments doivent être rangés dans des endroits sécuritaires», a-t-il ajouté.

Les produits les plus souvent avalés accidentellement sont l’acétaminophène et les antidouleurs, les dérivés de morphine notamment.

http://fr.canoe.ca

Grands-parents pour la 100e fois


Des grands-parents qui sont bien jeune pour avoir autant de petits enfants. Moi qui attends d’ici quelques heures d’être grand-maman ou du moins dans pas grand temps … !!
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Grands-parents pour la 100e f
ois

Archives La Tribune

Agence France-Presse
Grande Prairie, Alberta

Alors que cette période de l’année permet de célébrer la famille, deux grands-parents de l’Alberta ont davantage de raisons de célébrer que d’autres.

Viktor et Aneta Urich de Grande Prairie ont accueilli la naissance de leur 100e petit-enfant plus tôt ce mois-ci; il s’agit d’Henry Urich, neuvième enfant de Tatjana et d’Henrich Urich. Henrich est l’un des 16 enfants de Viktor et Aneta.

Comment fait-il pour tous les départager?

Viktor, âgé de 62 ans, répond en riant qu’il lui arrive de demander les prénoms des enfants et petits-enfants.

Viktor et Aneta sont originaires du Kazakstan, et ont vécu au Canada au cours des 17 dernières années. Tous ses petits-enfants sont nés au Canada et il admet que les noms russes sont plus faciles à retenir que les noms anglais.

Personne ne fait cas, cependant, lorsque grand-père se trompe dans les noms.

Le Livre Guinness des records ne maintient pas un titre pour le plus grand nombre de petits-enfants sur son site Internet. Des reportages diffusés plus tôt cette année faisaient état d’une femme des Philippines ayant eu 107 petits-enfants et 138 arrière petits-enfants.

La majeure partie de la famille Urich vit à proximité. Mais un clan de cette taille a de la difficulté à trouver un endroit pour se réunir, précise Viktor.

La plupart du temps, ils se rencontrent à l’extérieur dans un parc ou dans l’église orthodoxe russe locale. C’est là qu’ils se reverront tous en janvier, pour la première réunion avec le 100e petit-enfant.

«Nous allons faire la fête dans l’église, tous ensemble, a dit Viktor. Nous prierons ensemble, un grand merci à Dieu.»

http://www.cyberpresse.ca/