Le Saviez-Vous ► Quel a été l’évènement le plus catastrophique de l’histoire de l’humanité ?


Un des grands évènements de l’histoire humaine à part des guerres, fut probablement la Mort noire, mieux connu sous le nom de la peste bubonique. Elle a tué à elle seule environ de 60 à 80 % certaines villes et s’est répandu à travers le monde.
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Quel a été l’évènement le plus catastrophique de l’histoire de l’humanité ?

Xavier Desvaux  Immunologiste, peintre, et parfois d’autres choses

Dallas Mitchell

Auteur original

Cette réponse peut ne pas être une traduction fidèle de la réponse de Dallas Mitchell à Quora en anglais : What was the most Catastrophic event in Human history?

En termes de pourcentage de la population mondiale tuée et touchée, à mon avis, ce serait la peste noire qui a culminé dans les années 1300. La peste bubonique –la Mort Noire– a été la pandémie la plus dévastatrice de l’histoire, avec littéralement des centaines de millions de personnes tuées dans le monde. La peste noire a tué jusqu’à 60, voire 80 % de la population dans certaines villes médiévales. Des villes entières ont été pratiquement anéanties. Dans certains endroits, les gens mouraient trop vite pour que les survivants puissent les enterrer.

C’était horrible – les gens ne savaient que faire. Étant superstitieux, ils brûlaient des sorcières pour essayer de l’arrêter. Il y a eu des émeutes, des persécutions. La peste est arrivée par vagues et s’est répandue dans le monde entier, frappant durement l’Europe, mais elle a aussi transité dans tout le Moyen-Orient et en Extrême Orient.

Les symptômes étaient aussi épouvantables, et la mort était lente et douloureuse. Cela commençait généralement par la toux. Des tumeurs, des furoncles et des lésions apparaissaient sur la peau, qui commençait à noircir, avec une forte fièvre et des vomissements de sang.

On l’appelait aussi « La Grande Peste », « La Peste », « La Peste Noire », et bien d’autres noms. Impuissants à la soigner, les gens s’en remettaient aux médecins de la peste, qui portaient des tenues étranges avec des masques ressemblant à des becs qui contenaient des herbes pour aider à combattre l’odeur nauséabonde des victimes mourantes (NdT les masques étaient aussi censés les protéger de la maladie)

La place manquait dans les cimetières et on entassait les corps dans d’immenses tranchées pour des enterrements de masse. Des gens sont morts dans leurs maisons, à l’insu de tous. La peste a entraîné une réduction importante de la population totale réelle de la planète – elle a fait passer la population de 450 millions à 350 millions – et n’oublions pas qu’il n’y avait pas de contrôle des naissances efficace – les gens faisaient encore des enfants pendant l’épidémie. Dans le sud de la France et en Espagne, 75-80% de la population a été tuée par la peste.

La peste a eu un impact profond sur la culture.

 

https://fr.quora.com

Le Saviez-Vous ► Pourquoi croisons-nous les doigts pour nous porter chance ?


Il y a des gestes anodins qu’on est très loin d’en savoir l’origine. Se croiser les doigts qui sont supposés nous porter chance aurait probablement des origines chrétiennes. Les premiers chrétiens étaient persécutés et ils se croisaient les doigts en formant une croix, signe de reconnaissance entre eux. Il y a aussi l’idée que cela était supposé aussi a repousser l’esprit malin.
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Pourquoi croisons-nous les doigts pour nous porter chance ?

 

George Hodan

George Hodan

par Olivier

“Courage pour ton examen, je croise les doigts pour toi“. On a tous en tête cette phrase dite par quelqu’un qui nous est proche et qui nous souhaite bonne chance pour un évènement, pour un examen, pour quelque chose d’inattendu.

Mais qu’en est-il réellement ? Qu’est-ce qui explique que nous croisons les doigts pour nous porter chance ?

Il y a des origines à ce croisement des doigts, qui ramènent aux premières persécutions subies par les tout premiers chrétiens au début de notre ère. Ceux-ci étaient persécutés et en signe de reconnaissance, ils croisaient les doigts. C’était un moyen pour eux d’établir un signe de reconnaissance dans leur malheur. D’où peut-être le lien actuel avec la chance.

Ainsi, on croise les doigts (l’index et le majeur) avec pour but de former une croix qui renvoie à Jésus et à la crucifixion afin d’invoquer la présence divine du Christ à ses côtés.

Il existe enfin une autre explication : quand une personne voulait exaucer un vœu, elle plaçait son index sous celui d’une autre personne afin que l’intersection des deux doigts forme une croix qui symbolisait l’union. Les personnes qui croisaient leurs doigts souhaitaient établir un point d’intersection qui concentrerait tous les esprits positifs. De fait, ce symbole renvoyait déjà à l’idée de chance et de bonheur. Il est possible que le fait de croiser les doigts renvoie aussi à l’origine de l’expression latine “Vade retro Satanas” qui consiste à prononcer cette phrase en croisant les doigts avec pour but de chasser le diable ou les mauvais esprits.

Croiser les doigts n’est donc pas une expression anodine, elle vient du fond des âges et fait allusion de manière indirecte à toute une part de notre Histoire occidentale.

George Hodan

Sources : l-anecdote, L’express, Omnilogie, Hellocoton – Photo principale : Peter67

https://lesavaistu.fr/

Le Saviez-Vous ► 8 choses que vous ne savez (peut-être) pas sur les sorcières


Il aurait eu 110.000 sorciers, sorcières (surtout des femmes) qui ont été exécutés juste en Europe. On accusait de sorcellerie d’après des stéréotype, de vengeance, et autres. Au fil du temps, les femmes étaient considérées comme des sorcières celles qui contestaient le système patriarcal. Aujourd’hui, être une sorcière est une mode qui n’about pas au bûcher ou à la torture comme au Moyen-Âge
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8 choses que vous ne savez (peut-être) pas sur les sorcières

Supplice de Anneken Hendriks, brûlée à Amsterdam en 1571 (Cl Roger-Viollet/CC)

On a voulu vous parler de ces femmes et de ces hommes qui ont été persécutés.

Par Emilie Brouze, Alice Marunani et Renée Greusard

 Il y en aurait eu 110.000 en Europe (voir plus bas) et ils furent persécutés. On avait envie de vous parler d’eux et plutôt d’elles, car c’est surtout une histoire de femmes et de la haine qu’elles ont inspirée.

1 On disait qu’elles embrassaient le cul du diable

Que reprochait-on aux prétendues sorcières ?

« Beaucoup de choses », répond Michel Porret, professeur d’histoire à l’université de Genève et auteur de « l’Ombre du diable » (éd. Georg, 2010).

L’argument du sabbat est abondamment cité. Un argument théorique, car « jamais les femmes n’ont été arrêtées en flagrant délit. »

Maxime Gelly – Perbellini, historien spécialiste de la représentation des sorcières au Moyen Age, détaille :

« Il y a cette idée que des hommes et des femmes se réunissent la nuit sous l’ordre du diable et du démon afin de l’adorer et de commettre des crimes abominables. On dit qu’elles concoctent des recettes ignobles à base de graisse d’enfants, de cadavres ou qu’elles embrassaient le diable sur son derrière. »

Satan serait adoré dans ces assemblées nocturnes : le sabbat est l’église du mal, l’école de la débauche. La sorcière s’y rendrait de nuit, par voie aérienne, chevauchant parfois un balai, un animal noir voire le diable.

Lors des procès, on impute aux « sorcières » tous les malheurs biologiques : empoisonnements, stérilité, bétail tué, etc.

2 Des mecs aussi ont été accusés

« La sorcellerie n’était pas spécifique au sexe mais elle était liée au sexe », écrit Alison Rowlands, spécialiste de la chasse aux sorcières – qui culminera entre 1560-1570 et 1620-1630.

Durant la première période de cette chasse, à partir de 1420, les sorcières étaient surtout… des sorciers, explique Maxime Gelly – Perbellini.

« Les procès étaient peu nombreux et touchaient tous les milieux. »

La bascule du genre se fait en 1550. Là, le nombre de procès augmente significativement, les accusations de sorcellerie se démocratisent et surtout, se féminisent.

L’accusation devient une arme sexiste contre les femmes qui « remettaient en cause la vision patriarcale de la femme idéale », écrit Alison Rowlands.

« Avec un taux plausible de 48% des condamnations à mort sur 110.000 procès recensés en Europe (hors lynchages), les juges laïques font exécuter environ 60.000 à 70.000 sorcières et sorciers – 7 à 8 femmes sur 10 condamnés (Levack, 2001) », lit-on dans « Présumées coupables » (éd. Iconoclaste, 2017).

Maxime Gelly – Perbellini ajoute :

« La question de la sorcière embrasse celle des stéréotypes que l’on véhicule sur les femmes et plus globalement sur les personnes à la marge. Ces stéréotypes peuvent se rapprocher de ce qu’on dit sur les juifs ou les errants, par exemple. »

3 C’était vraiment hardcore

Contrairement à un voleur ou à un assassin, la sorcière n’a pas d’autre issue que la mort. La plupart des femmes accusées avouent sous la torture.

« Les procès de sorcellerie suivent la procédure inquisitoire validée par le quatrième concile du Latran (1215), qui abolit aussi l’ordalie : écriture, instruction secrète, recherche médico-légale de la marque satanique, torture pour l’aveu, exécution publique », lit-on dans « Présumées coupables ».

La seule preuve qu’on essaie de trouver dans les procès en sorcellerie est la griffe de Satan. Une marque invisible, dont on dit qu’elle a fait mourir l’endroit où la sorcière a été marquée.

« La marque a la particularité de ne pas être naturelle », explique Michel Porret.

On lit ainsi dans les interrogatoires la référence au sperme glacé de Satan, preuve de non-naturalité.

Une fois que le juge est convaincu de la culpabilité de la sorcière, celle-ci est dénudée et « rasée de tout poil ». Le corps de l’accusée subit ensuite une inspection avec une aiguille chirurgicale, à la recherche du point d’insensibilité. Très souvent on la trouve sous la forme d’un abcès, pustule, tache de vin, tumeur ou verrue.

Une fois les sorcières condamnées, la plupart sont brûlées, comme une neutralisation symbolique.

« Brûlée vive ou étranglée au préalable », précise Michel Porret.

4 Mais parfois, ça ne se finit pas si mal

De temps en temps, les femmes accusées de sorcellerie obtiennent une lettre de rémission. Maxime Gelly – Perbellini évoque, par exemple, le cas de l’empoisonneuse de La Rochelle en 1382.

Jehanne Gaigne, âgée de 18 ans, est l’épouse de Guillaume Cusse, charpentier et bourgeois de La Rochelle.

« Sous l’influence d’une autre femme réputée sorcière, appelée Arzene, elle aurait utilisé des envoûtements, des philtres et enfin du poison, du sulfure d’arsenic mêlé de verre pillé, sur son époux, sans pour autant réussir à le faire mourir.

Elle est accusée par le prévôt de La Rochelle pour sorcellerie et est condamnée à la prison, elle demande elle-même sa rémission au roi de France. »

Et l’historien de commenter :

« Derrière les images cocasses, cette lettre doit nous rappeler que le regard de l’historien ne doit pas s’arrêter à une vision stéréotypée d’un phénomène. Toutes les ‘sorcières’ ne sont pas menées au bûcher et que, plus que d’autres, cette accusation est au cœur de discours politiques, juridiques, idéologiques en constante tension. Le prévôt condamne pour affirmer sa justice ; la condamnée tente de minimiser sa responsabilité en se faisant elle-même victime du diable ; le roi, engagé à la fin du Moyen Age dans la structuration de l’ordre judiciaire, se montre timide à confirmer une condamnation qui ne repose sur aucun fondement criminel (pas de meurtre, pas de sang versé) et préfère laver Jehanne de ses accusations. »

5 Des figures féministes

« Après l’émergence des sciences humaines, post-soixante huitarde, on assiste à toute une reconstruction de la figure de la sorcière. On en fait une femme révoltée », confirme Michel Porret.

La figure autrefois maudite et crainte devient un symbole d’un rapport de domination et le symbole subversif de la révolte féminine.

En Italie, des féministes scandent :

« Tremblez, tremblez, les sorcières sont de retour » [‘Tremate, tremate, le streghe son tornate’]. »

La revue littéraire « Sorcières », fondée par Xavière Gauthier et à laquelle contribua Marguerite Duras ou Nancy Huston, est l’emblème de cette reconstruction.

La revue féministe, publiée de 1975 à 1981, est née dans le but de donner la parole aux femmes pour qu’elles puissent exprimer leur créativité et ainsi accompagner voire susciter l’émergence d’un mouvement de femmes créatrices. Une femme juchée sur un balai orne la couverture du premier numéro.

Pourquoi « sorcières » ? Dans un éditorial, Xavière Gauthier écrit :

« Parce qu’elles dansent. Elles dansent à la pleine lune. Femmes lunaires, lunatiques, atteintes – disent-ils – de folie périodique. Gonflées de révolte fulgurante, de colère bouillonnante, gonflées de désir, elles dansent sur la lande sauvage des danses sauvages.

Sauvages, comme l’homme blanc le dit des autres ethnies ; sauvages comme l’Etat et le syndicat le disent de certaines grèves, de certaines crèches. Elles dansent, sauvages et irrécupérables, comme le désir. »

6 La dernière sorcière d’Europe

Elle s’appelait Anna Göldi, elle était suisse et fut, en Europe, la dernière femme à être condamnée à mort pour sorcellerie. C’était en 1782. On lui a coupé la tête et puis on a enfoui son corps au pied de l’échafaud. 

Servante dans la famille d’un médecin, Anna a été accusée d’avoir empoisonné la fille de son patron à l’aide d’aiguilles magiques. Un article du « Monde » consacré à Anna Göldi raconte :

« Selon le récit fait plus tard au procès, des aiguilles sont à plusieurs reprises trouvées dans le bol de lait d’Annemiggeli, la seconde fille de la famille, âgée de 8 ans. Anna Göldi, qui fait office de gouvernante, est soupçonnée, puis finalement renvoyée. »

« Quelque temps après, la fillette tombe gravement malade, prise de violentes convulsions, d’une fièvre inexpliquée, d’accès de délire et de toux. La jeune Annemiggeli se met à vomir, presque chaque jour, des aiguilles dans des glaires mêlées de sang. Une centaine en tout. Certaines crises la laissent sourde et muette. »

Sous la torture, la servante finit par avouer ce crime. Pourquoi a-t-elle été accusée ? L’article du « Monde » dit, et cette résonance à l’actualité est troublante :

« Walter Hauser [un journaliste qui a enquêté sur l’affaire, NDLR] a retrouvé la trace – mais non le contenu – d’une plainte pour harcèlement sexuel déposée en décembre 1781 par Anna Göldi contre son employeur. Voilà qui aurait pu ruiner la réputation du bon docteur Tschudi qui, vraisemblablement, s’empressa d’allumer un contre-feu. »

7 La démonologie fut une science à la mode

La démonologie est l’étude des démons et des mauvais esprits. Il en existe dans toutes les religions, notamment dans la religion chrétienne. Le premier traité de démonologie imprimé est daté de la fin du XVe.

« Il va devenir un best-seller », raconte Michel Porret. « La matrice de toute une série d’autres traités de démonologie. »

Les démonologues sont un peu les théoriciens de la chasse aux sorcières.

8 Les sorcières sont de retour (pour combattre l’ordre établi)

La sorcellerie revient en force dans les milieux féministes et queer, comme le racontent Vice et Cheek Magazine. Quel meilleur symbole de liberté et de danger pour l’ordre établi ? La publication en 2012 du livre d’Anna Colin « Sorcières : pourchassées, assumées, puissantes, queer », signe l’arrivée de cette mode américaine en France.

Un cortège de « sorcières », des féministes anarchistes de l’université Paris-VII s’est ainsi formé dans la manifestation contre la réforme du travail le 12 septembre dernier sous le nom de Witch Bloc, avec des slogans comme « Macron au chaudron ».

Des soirées queer et sorcellerie se lancent de partout, comme les événements Bitchcraft. La dernière Queerweek, grand événement queer parisien, proposait un atelier de confection de sortilèges.

Le mouvement est aussi porté par la mode du développement personnel et des thérapies alternatives. Jack Parker par exemple, blogueuse féministe, a lancé sa newsletter Witch, please ! où elle explique comment pratiquer la sorcellerie au quotidien (par exemple, en accrochant une branche d’eucalyptus dans sa douche ou en tirant le tarot). 

https://tempsreel.nouvelobs.com

Près de 50 millions d’enfants «déracinés» dans le monde


Près de 50 millions d’enfants ont dû quitter leur maison pour faire la violence, les conflits, les guerres. Ces enfants ont des droits qui sont négligés parce que des adultes préfèrent les bombes, la discrimination ou simplement se fermer les yeux
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Près de 50 millions d’enfants «déracinés» dans le monde

 

En 2015, environ 45% des enfants réfugiés placés... (PHOTO ARCHIVES AP)

En 2015, environ 45% des enfants réfugiés placés sous la protection de l’ONU étaient originaires de Syrie et d’Afghanistan.

PHOTO ARCHIVES AP

Agence France-Presse
NATIONS UNIES

Près de 50 millions d’enfants à travers le monde vivent «déracinés», après avoir été obligés de quitter leur foyer ou leur pays en raison des guerres, des violences et des persécutions, s’est inquiété mercredi le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF).

Fin 2015, environ 31 millions d’entre eux étaient des réfugiés et 17 millions étaient déplacés à l’intérieur de leur pays.

«Les images indélébiles d’enfants victimes – le petit corps d’Aylan Kurdi rejeté sur le rivage après sa noyade en mer ou le visage hébété et ensanglanté d’Omrane Daqneesh assis dans l’ambulance après la destruction de sa maison – ont choqué le monde entier», a déclaré Anthony Lake, directeur général de l’UNICEF, dans un communiqué.

«Chaque photo, chaque garçon ou chaque fille symbolise des millions d’enfants en danger et il faut que la compassion que nous ressentons pour les victimes que nous voyons se traduise par une action en faveur de tous les enfants», a-t-il ajouté.

Sur les quelque 50 millions d’enfants déracinés dans le monde – une évaluation «prudente», selon l’UNICEF – 28 millions ont été chassés de chez eux par des conflits, et déplacés à l’intérieur comme à l’extérieur de leurs frontières. Ils ont urgemment besoin d’assistance humanitaire et d’un accès à des services vitaux.

Par ailleurs, environ 20 millions d’enfants ont quitté leur foyer pour diverses raisons, dont l’extrême pauvreté et les violences perpétrées par des gangs.

«Beaucoup risquent particulièrement d’être maltraités ou détenus, étant donné qu’ils ne possèdent pas de papiers, ne disposent pas d’un statut juridique précis et ne font l’objet d’aucun suivi systématique de santé», a relevé l’UNICEF.

L’agence de l’ONU constate également que les enfants représentent une part «disproportionnée et croissante» des personnes ayant cherché refuge en dehors de leur pays de naissance: alors qu’ils constituent environ le tiers de la population mondiale, les enfants représentent à peu près la moitié de tous les réfugiés.

En 2015, environ 45% des enfants réfugiés placés sous la protection de l’ONU étaient originaires de Syrie et d’Afghanistan.

Face à cette situation, l’UNICEF a appelé les autorités à mettre fin à la détention des enfants migrants ou demandant le statut de réfugiés, à ne pas séparer les familles, à permettre aux enfants réfugiés et migrants d’avoir accès aux services de santé et à promouvoir la lutte contre la xénophobie et la discrimination.

En marge de son Assemblée générale annuelle, l’ONU doit accueillir fin septembre deux réunions au sommet sur les migrations.

Selon son directeur adjoint Justin Forsyth, l’UNICEF espère «des engagements clairs et des mesures pratiques», comme «des alternatives à la détention des enfants», des solutions «pour préserver la cohésion des familles» et pour assurer l’accès des enfants migrants à l’éducation.

M. Forsyth a aussi souligné que «la répartition du fardeau» de l’accueil des réfugiés et migrants «est injuste» car elle repose surtout sur les pays voisins (comme le Liban ou la Turquie dans le cas des Syriens) ou des pays pauvres (République démocratique du Congo, Pakistan, Éthiopie).

http://www.lapresse.ca/

Les pédophiles veulent les mêmes droits que les homosexuels


Je suis sidéré par les propos de ce billet et je trouve cela très inquiétant de voir que la mentalité peut changer pour le pire. Supposons que la pédophilie soit une orientation (qui pour moi est une monstrueuse déviation) comme les autres orientations sexuelles alors les enfants eux quels sont leur droit La grosse différence qu’ils ne tiennent pas compte .. a mon avis, c’est que les enfants sont les VICTIMES .. leur corps ne sont pas près pour avoir des relations sexuelles comme les adultes et moralement ils sont blessé pour le restant de leur jours Alors quelques pédophilies se préoccupent que de leur besoin.
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Les pédophiles veulent les mêmes droits que les homosexuels

 

Ils prétendent qu’il est injuste d’être stigmatisé à cause de son orientation sexuelle…

 

Utilisant les mêmes tactiques que les défenseurs des droits des  »gay », des pédophiles commencent à vouloir un statut similaire en alléguant que le désir d’enfants est une orientation sexuelle peu différente de celle des hétérosexuels et des homosexuels.

Les opposants au mœurs homosexuels ont longtemps prétendu qu’une fois acceptée la reconnaissance de l’homosexualité comme simple  »mode de vie » ou orientation sexuelle différente, logiquement plus rien ne serait interdit. Les partisans des  »gay » se sont offensés d’une telle position en affirmant que cela n’arriverait jamais. Des psychiatres commencent pourtant à prendre parti pour une nouvelle définition de la pédophilie comme cela fut fait pour l’homosexualité il y a plusieurs années.

En 1973 l’Association Américaine de Psychiatrie (AAP) a déclassifié l’homosexualité de sa liste de désordres mentaux. Un groupe de psychiatres avec le B4U-Act a organisé récemment un symposium proposant une nouvelle définition de la pédophilie dans le Manuel de Diagnostic et de Statistiques des Désordres Mentaux de l’AAP.

Le B4U-Act appelle pédophiles  «les gens attirés par des mineurs ».

Le site web de l’organisation déclare que son but est  »d’aider les professionnels de la santé mentale à en apprendre davantage sur l’attirance pour les mineurs et envisager les effets de la banalisation, de la stigmatisation et de la peur. »

En 1998 l’AAP a publié un rapport prétendant  »que le potentiel négatif de relations sexuelles adulte-enfant était exagéré et qu’une majorité d’hommes et de femmes n’avait rapporté aucun effet sexuel négatif au travers d’expériences d’abus sexuels pendant l’enfance. »

La pédophilie a déjà été octroyée d’un statut protégé par le gouvernement fédéral. La loi Matthew Shepard et James Byrd, Jr sur la prévention des crimes haineux répertorie »l’orientation sexuelle » comme une catégorie protégée ; elle n’en définit pas pour autant le terme.

Les Républicains ont tenté d’ajouter un amendement spécifiant que  »la pédophilie n’est pas considérée comme une orientation » ;

l’amendement a cependant été rejeté par les Démocrates. Le Républicain Alcee Hastings a exposé que tout mode de vie sexuel différent devrait être protégé par la loi.

 »Cette loi se réfère à notre résolution de mettre fin à la violence basée sur des préjugés et pour garantir que tout américain, quelle que soient sa race, couleur, religion, origine, sexe, orientation sexuelle, identité sexuelle ou handicap ou tous ces  »philies » et fétichismes et  »ismes » affichés, ne doit pas vivre dans la peur de qui il est. Je presse mes collègues de voter en faveur de cette règle. »

La Maison Blanche a appuyé la loi en disant que,  »au fond, cela ne concerne pas que nos lois ; cela concerne qui nous sommes en tant qu’individu. Cela concerne la valeur que nous nous accordons – si nous acceptons nos différences plutôt que de les autoriser à devenir une source d’animosité. »

En début d’année, deux psychologues canadiens ont déclaré que la pédophilie est une orientation sexuelle exactement comme l’homosexualité ou l’hétérosexualité.

Van Gijseghem, psychologue et ancien professeur à l’université de Montréal, a déclaré aux membres du Parlement,  »Les pédophiles ne sont pas simplement des gens qui commettent un petit délit de temps en temps mais qui sont en proie à ce qui équivaut à une orientation sexuelle, exactement comme un autre individu peut être en proie à son hétérosexualité ou même son homosexualité. »

Il continue en disant,  »Les vrais pédophiles ont une préférence exclusive pour les enfants, ce qui revient au même que d’avoir une orientation sexuelle. On ne peut changer l’orientation sexuelle de cette personne. Elle peut, cependant, rester abstinente. »

Quand on lui a demandé s’il comparait les pédophiles et les homosexuels, Van Gijseghem a répondu, 

»Si, par exemple, nous vivions dans une société où l’hétérosexualité était proscrite ou interdite et qu’on vous dise que vous devez faire une thérapie pour changer votre orientation sexuelle, vous diriez probablement que c’est un peu dingue. En d’autres mots, vous ne l’accepteriez pas du tout. J’utilise cette analogie pour dire qu’en effet les pédophiles ne changent pas leur orientation sexuelle. »

Le Dr Quinsey, professeur émérite de psychologie à l’université de Queen à Kingston dans l’Ontario, est tombé d’accord avec Van Gijseghem. Quinsey a dit que les intérêts sexuels des pédophiles vont vers les enfants et, 

»Il n’y a aucune preuve que ce type de préférence puisse être changé par un traitement ou quoi que ce soit d’autre. »

En juillet, Harvard Publications Médicales a dit,  »La pédophilie est une orientation sexuelle peu susceptible de changement. Un traitement vise à rendre quelqu’un capable de résister à agir selon ses pulsions sexuelles. »

Linda Harvey, de Mission America, a dit que la pression en faveur de droits égaux pour les pédophiles va devenir de plus en plus courante car les groupes LGBT (lesbian, gay, bisexual, and transgender = lesbien, homosexuel, bisexuel et transsexuel) continuent leurs revendications. 

»Tout cela fait partie d’un plan pour inciter à la sexualité des enfants de plus en plus jeunes ; pour les convaincre qu’une amitié normale est en réalité une attirance sexuelle. »

Milton Diamond, professeur à l’université d’Hawaï et directeur du Centre Pacifique pour Sexe et Société, a déclaré que la pornographie infantile pourrait être bénéfique à la société parce que,  »Les délinquants sexuels potentiels usent de la pornographie infantile comme d’un substitut à des relations sexuelles pédophiles. »

Diamond est un conférencier distingué pour l’institut de San Francisco pour Études Avancées de la Sexualité Humaine. Cet institut a plaidé ouvertement en faveur d’une abrogation de l’interdiction des homosexuels dans les forces armées.

Il a établi sur son site une liste de  »droits sexuels basiques » qui inclut  »le droit de s’engager dans des actes sexuels ou des activités d’une quelconque nature, si tant est qu’elles n’impliquent pas d’actes sans consentement, violence, contrainte, coercition ou tromperie. »

Un autre droit est  »de vivre sans persécution, discrimination ou intervention sociale dans le comportement sexuel personnel » et  »une liberté de pensée sexuelle, de fantasme ou de désir. »

 L’organisation dit aussi que personne ne devrait être  »désavantagé en raison de son âge. »

Des lois sur la délinquance sexuelle protégeant les enfants ont été contestées dans plusieurs états dont la Californie, la Georgie et l’Iowa. Les délinquants sexuels prétendent que les lois qui les empêchent de vivre près des écoles ou des parcs sont injustes car cela les pénalise pour la vie.

http://www.laffut.fr