Le poids de nos commentaires sur les réseaux sociaux


J’adhère 100 %. Cela doit nous faire réfléchir sur ce que nous écrivons comme commentaire sur les réseaux sociaux. Quand une personne met une photo peut importe le sujet souvent les gens vont écrire les mêmes mots, tu es belle, tu es magnifique etc .. Nous sommes encore pris par l’aspect physique et non sur les capacités d’une personne. C’est un moyen d’enrichir notre vocabulaire
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Le poids de nos commentaires sur les réseaux sociaux



ÉQUILIBRE

Marie-Soleil Dion est porte-parole de l’organisme ÉquiLibre, qui est derrière la semaine «Le poids? Sans commentaire!».

Par Camille Laurin-Desjardins

Se décrivant elle-même comme «un peu bouboule» quand elle était jeune, Marie-Soleil Dion avoue avoir souffert de cette tyrannie de la perfection – amplifiée aujourd’hui par les réseaux sociaux.

«T’es donc ben belle!», «magnifique», «vraiment jolie». Voilà les commentaires qui accompagnent le plus souvent une photo sur les réseaux sociaux. Et même si elles peuvent sembler gentilles ou inoffensives, ce genre de remarques répétées crée une pression de la beauté, de la perfection. Alors qu’en fait, il pourrait y avoir tant d’autres choses à dire à propos d’une photo.

 C’est ce qui a inspiré le thème – «Une photo vaut 1000 mots» – de la huitième Semaine «Le poids? Sans commentaire», qui s’ouvre aujourd’hui.

«On invite les gens à faire un effort conscient pour commenter autre chose, parce que c’est vraiment un automatisme», affirme Andrée-Ann Bouchard, cheffe de projets et nutritionniste chez ÉquiLibre, l’organisme derrière cette semaine thématique.


«On le fait par intention bienveillante, bien souvent, c’est un premier réflexe, ajoute-t-elle. On veut changer le réflexe, inviter les gens à se creuser la tête pour commenter d’une autre façon, parce qu’il y a 1000 autres choses qu’on peut dire. Ça ne veut pas dire qu’on ne peut plus se dire qu’on est beau ou belle… c’est juste d’essayer de diversifier.»

«Est-ce qu’on pourrait se dire: «tu es drôle», «tu es intelligente», «tu es persévérante», plutôt que de se dire «tu es belle», tout le temps?» MARIE-SOLEIL DION, AMBASSADRICE DE LA CAMPAGNE

Elle donne en exemple l’histoire qu’a racontée à l’organisme une adolescente, récemment.

«Son amie avait publié sa photo de finissante sur Facebook, et 95% des commentaires portaient sur le fait qu’elle était belle… alors qu’elle venait de finir son secondaire!» souligne Andrée-Ann Bouchard.

«Est-ce qu’on pourrait se dire: ″tu es drôle″, ″tu es intelligente″, ″tu es persévérante″, plutôt que de se dire ″tu es belle″, tout le temps?» se demande Marie-Soleil Dion, porte-parole d’ÉquiLibre depuis deux ans.

Cette histoire a même inspiré une des capsules de la campagne, qui seront diffusées sur les réseaux sociaux tout au long de la semaine.

Les réseaux sociaux, des amplificateurs

C’est déjà la huitième année de la Semaine «Le poids? Sans commentaire!». Mais seulement la deuxième dont le thème central porte sur les réseaux sociaux. Parce que ces plateformes ont pris encore plus d’importance dans nos vies, et ont amplifié le phénomène qui consiste à commenter l’apparence physique des autres, croit la cheffe de projets d’ÉquiLibre.

«Quand j’étais jeune, j’étais un peu ″bouboule″, raconte-t-elle. Je n’étais pas à l’image d’Alicia Silverstone dans Clueless, mettons. Mais j’essayais de lui ressembler, de mettre des gilets bedaine… et ça ne marchait pas! Je n’avais pas de modèle qui pouvait me ressembler. Et à l’époque, c’était juste dans les revues et les films!»

Maintenant, les jeunes sont bombardés d’images, à tout moment de la journée, sur leur téléphone, souligne-t-elle.

«Moi, ça me fait de la peine de savoir ça. Parce que même à 35 ans, avec un chum qui me dit que je suis belle tous les jours, ça me fait mal, des fois, quand je vais sur Instagram et que je vois la perfection. Ça me met de la pression.»

Le but de cette semaine est de faire réaliser, dans un premier temps, que l’anonymat ou le fait de se trouver derrière un clavier ne blesse pas moins les personnes qu’on attaque sur leur poids ou leur apparence physique. Mais aussi de sensibiliser les jeunes et les moins jeunes au fait que, parfois, un compliment peut aussi faire mal.

«Si j’ai mis un filtre, si la photo est retouchée, si j’ai pris du poids depuis cette photo-là… Ça met de la pression, j’ai l’impression que je ne pourrai pas atteindre cette image-là», fait remarquer Marie-Soleil Dion.

Insatisfaction corporelle

Une enquête de l’Institut de la statistique du Québec révélait récemment que plus de la moitié des adolescents sont insatisfaits de leur image corporelle, rappelle Andrée-Ann Bouchard.

Et l’insatisfaction peut avoir plusieurs conséquences importantes sur la santé et le bien-être d’un adolescent.

«Ça peut engendrer des comportements malsains pour la santé, comme essayer de contrôler son poids en sautant des repas ou s’entraîner de façon intensive, explique Andrée-Ann Bouchard. Ça peut même avoir des impacts sur la réussite scolaire. Quand l’apparence prend trop de place, c’est tout ça que ça peut donner.»

Et même si on a l’impression que cette obsession pour l’apparence corporelle touche surtout les filles, les garçons ont eu aussi de plus en plus de modèles inaccessibles sous les yeux, précise la nutritionniste, qui invite tous les internautes à partager une photo d’eux, cette semaine, avec le mot-clic #lepoidssanscommentaire.

La Semaine «Le poids? Sans commentaire!» est en cours jusqu’au 29 novembre.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Si nous étions parfaites, nous ressemblerions à cette personne


La perfection n’est pas de ce monde, mais je ne suis pas certaine de vouloir être parfaite. Alicia Roberts a imaginé son double parfait qui est loin d’être ce que l’on peut penser. Une poche comme un kangourou, des poumons comme les oiseaux, oreilles de chauve-souris …. Il y a eu aussi Graham qui était une personne parfaite pour survivre des accidents. Ouf, le physique n’est vraiment pas très tentant.
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Si nous étions parfaites, nous ressemblerions à cette personne

 

L'être humain parfait a des oreilles de chauve-souris, des pieds griffus et une peau reptilienne | BBC via Youtube License by

L’être humain parfait a des oreilles de chauve-souris, des pieds griffus et une peau reptilienne | BBC via Youtube License by

— Repéré sur Newsweek

Repéré par Aurélie Rodrigues

On est loin des standards de beauté contemporains.

Qu’est-ce qui fait qu’un être humain est parfait? Un visage symétrique? Un QI élevé? Des muscles saillants? Alicia Roberts, anatomiste et anthropologue, a imaginé l’être humain zéro défaut: oreilles de chauve-souris, pieds griffus et poche abdominale pour porter les bébés. Avec une apparence un brin héroic fantasy, cette superwoman est loin de correspondre aux standards de beauté… Normal, la beauté n’entre pas dans les critères établis par Roberts.

Cette scientifique britannique a été chargée par la BBC de créer une version améliorée d’elle-même pour un documentaire intitulé «La science peut-elle me rendre parfaite?». Newsweek explique qu’elle s’est inspirée du monde animal –poissons, chiens, chats, céphalopodes, cygnes et des singes– pour tenter de définir la perfection sur le plan des performances.

 

Avec des oreilles de chauve-souris, plus de problème d’audition. Avec des poumons comme ceux des oiseaux, la nouvelle Alicia Roberts serait capable de faire parvenir l’oxygène dans le sang avec une plus grande facilité. Sa peau de reptile constitue, elle, une protection contre les rayons ultraviolets: finis les coups de soleil. Quant à ses pieds fouchus, ils lui permettraient de se déplacer plus rapidement.

Vers des êtres humains augmentés?

Comme le rappelle Kashmira Gander, journaliste à Newsweek, Alicia Roberts n’est pas la seule scientifique à s’être demandé à quoi l’être humain ressemblerait s’il avait évolué différemment pour mieux s’adapter à son environnement.

En 2016, la Commission australienne sur les accidents de la circulation (TAC) a imaginé un être humain capable de survivre aux accidents de voiture: Graham. Son crâne «déformable» est niché dans des poches de graisses: un atout pour mieux absorber des chocs. Ses côtes, quant à elles, abritent des petites poches ressemblant à des airbags. Le projet Graham visait à sensibiliser les automobilistes concernant les risques de non-respect des règles de circulation dans le cadre de la campagne «Toward Zero» (objectif zéro mort).

Graham, le premier être humain conçu pour survivre aux accidents de voiture

Depuis longtemps, la science-fiction s’inspire de cette quête de perfection. Le film Bienvenue à Gattaca, sorti en 1997, met en scène une société où l’eugénisme est généralisé: le patrimoine génétique des enfants est amélioré afin de créer des êtres humains parfaits. Les enfants «imparfaits» ou «non améliorés» se retrouvent marginalisés et rélégués à des tâches subalternes.

Avec Crispr-Cas9, la science se rapproche un peu plus de la science-fiction.

Ce «ciseau à ADN» permet «de supprimer et d’insérer des gènes à un endroit précis du chromosome, au sein du génome de n’importe quelle cellule et quelle que soit l’espèce, y compris l’homme».

De bonne augure pour les transhumanistes les plus engagés.

http://www.slate.fr/

Perfection


La perfection ne devrait pas être un but que ce soit dans les grandes ou petites réalisations. Juste quelque chose de bien fait
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Perfection

 

« N’attendez pas jusqu’à ce que tout soit parfait. Ça ne sera jamais parfait. Il y aura toujours des défis, des obstacles et des conditions moins idéales. Et alors. Commencez dès maintenant. Avec chaque pas que vous prenez, vous grandirez plus fort et plus fort, plus qualifiés, plus confiant et avec de plus de succès. »

Mark Victor Hansen

L’Imparfait


La perfection n’est pas de ce monde, ni de cet univers. Cependant, imperfection permet de découvrir sa vraie beauté, sa vraie valeur
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L’Imparfait

 

Je sais, je ne suis pas parfait …
Mais qui s’en soucie ?
Même la lune n’est pas parfaite. C’est plein de cratères.
Et la mer ? Même pas elle. Trop salée.
Et le ciel ? Toujours aussi infini …
Je veux dire que les belles choses ne sont pas parfaites
Elles sont spéciales !

Bob Marley

Éviter la dépression ménagère


Je crois qu’on a tous des moments qu’on pourra se reconnaître dans la dépression ménagère, car nos modèles sociales sont trop souvent irréalisable, car on nous montre la perfection et cette perfection est souvent éphémères que ce soit dans notre environnement immédiat ou sur notre propre personne
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Éviter la dépression ménagère

 

Bénédicte Régimont

Pourquoi parler de dépression ménagère? À certaines étapes de notre de notre vie, nous pouvons nous sentir totalement débordés par notre environnement immédiat. Le désordre s’accumule, on en a conscience mais il nous est impossible de réagir. Au contraire, la culpabilité nous envahit et on a l’envie de tout lâcher et de partir loin de la gestion prosaïque du quotidien qui nous ennuie et finit par nous envahir.

Pourquoi s’est-on laissé submerger comme ça alors que les médias nous montrent pléthore d’intérieurs impeccablement rangés, d’enfants souriants et de familles épanouies? Pourquoi les autres y arrivent-ils et pas moi?

Les signes avant coureurs de la dépression ménagère

Au moment de glisser la clé dans la serrure, vous voici prise d’une angoisse. La gorge se noue, l’estomac gronde. La sérénité de se retrouver chez soi laisse place à une litanie de micro-angoisses. Prises séparément elles n’ont que peu d’impact, le lave-vaisselle encore rempli, le frigo vide, le linge non repassé, les jouets des enfants éparpillés… Après une journée de travail, vous n’avez pas envie de faire face à cela. Non, juste l’envie de retarder le moment fatidique, tourner les talons, trouver un échappatoire.

Un modèle de vie idéal

En fonction de l’âge, nous sommes confrontés à des modèles sociaux auxquels nous ne pouvons pas nous identifier. Temps, connaissance de soi, lâcher-prise sont indispensables quand on a tendance à se comparer à ce que les médias nous (sur)vendent. Vous n’êtes pas grande, châtain clair, se glissant aisément dans un petit 36, avec des enfants à la mèche impeccable. Votre intérieur n’est pas baigné de lumière du sud, votre cuisine ne fait pas 25m² et les placards ne s’ouvrent pas sur des étagères impeccablement ordonnées où tout est étiqueté? Non?

Alors bienvenue dans la vie réelle! Bienvenue dans votre vie! Celle qui peut vous offrir le confort et le plaisir au quotidien, loin de tout stéréotype.

Refuser la perfection

Lorsque l’on a une estime de soi dépréciée, on recherche l’apaisement dans la perfection. Un modèle nous fait rêver, nous le fantasmons et imaginons que tout se résoudra par magie une fois que l’on aura atteint ce graal. Face à l’ampleur de la tâche, la procrastination surgit sournoisement et vous fait douter:

«Ce n’est pas pour moi, je n’y arriverai pas». ou «Je le ferai à fond quand j’aurai le temps. Je ferai tout d’un coup, ça sera mieux.»

Cet envie de tout faire parfaitement nous prive d’objectifs intermédiaires dont le rôle est de nourrir notre autosatisfaction.

Si votre chambre est en désordre, vous pouvez attendre d’avoir le temps (difficile à évaluer) l’envie (qui s’amenuise) les ressources, la motivation… de vous en occuper.
OU, vous pouvez choisir de commencer par un petit pas. Ranger les chaussures dans leur placard.

En réalité cela ne prend que 2 minutes. Certes, le lit n’est toujours pas fait, le fauteuil est encore plein de linge… MAIS, vous avez enclenché le processus. Et cela suffit déjà à y voir plus clair.

La dépression ménagère apparaît quand l’idée de l’ampleur de la tâche nous submerge. Notre cerveau droit, sièges des émotions prend l’ascendant sur notre cerveau gauche relié à l’action concrète.

En résumé, si vous vous sentez débordés à la maison, ou même dans votre vie professionnelle. Apprenez à déconnecter votre cerveau droit pour moins penser et agissez.

Quand on a perdu l’envie

Si votre maison est source de stress et que le désordre vous angoisse, il sera toujours une bonne copine pour vous dire: Lance-toi, je ne comprends pas pourquoi tu n’y arrives pas, c’est si simple. La réalité est plus complexe. Ce n’est pas simple, parce que l’idée que l’on se fait de la tâche est disproportionnée par rapport à la réalité de l’action.

Quand on n’a pas envie de faire le repassage, on a l’impression que cela nous prendra 3 heures et il est plus simple de trouver un réconfort immédiat dans une action qui nous sollicite moins, comme faire une sieste dans le canapé. Une fuite qui ne résout rien, mais qui nous donne l’illusion immédiate d’un apaisement. Le retour à la réalité est tout aussi angoissant. Durant le sommeil, les lutins magiques ont oublié de ranger le linge, pire, ils en ont ajouté.

Déconnecter son cerveau droit, même pour 5 minutes peut vous apporter le meilleur des bienfaits. Voici quelques actions concrètes à réaliser sans pression et qui s’appuient sur des mantras du quotidien.

Si vous êtes fidèles de ce blogue, vous savez que je ne suis pas une fée du logis. Mais, jour après jour, je fais une foule de petits gestes que je ne ressens pas comme du ménage mais qui concourent à ce que ma maison soit toujours dans un ordre acceptable.

– Si cela prend moins de 5 minutes je le fais tout de suite

Cette petite phrase que je me répète comme un mantra me permet de me débarrasser des petites tâches qui monopolisent mon esprit et sollicitent plus d’énergie lorsque j’y pense 3 ou 4 fois par jour qu’à être réellement réalisées. Ce matin, j’ai remplacé une ampoule dans le couloir, le joint de la bonde du lavabo, rangé mes chaussures d’été.

– Je le fais bien ou je ne le fais pas

Ceci oblige à clôturer définitivement une tâche. Si par exemple je laisse traîner le matériel de bricolage après avoir remplacé le joint, je n’ai fait que déplacer une pensée parasite qui mute le «Il faut change le joint» en «il faut ranger les outils». Opération nulle.

Attention, cela ne doit pas renforcer votre recherche de perfection à travers la procrastination. Non, cela suppose que vous terminiez la tâche pour ne plus avoir à y penser.

– Ce qui est fait n’est plus à faire

Mon attention ne se monopolise pas sur l’action en elle-même, mais sur le résultat final. Si je pense au plaisir d’avoir un évier qui se vide normalement, je passe outre l’idée de mettre mes mains dans une accumulation de résidus.

Si je sais que je n’aurai plus à y penser, mon esprit se libère naturellement.

– Préparez-vous

Comme pour une recette où vous réunissez tous les ingrédients, vous pouvez préparer ce qui est nécessaire pour passer à l’action. Et ce ne doit pas être une excuse à l’inertie!
Faites une liste de ce qui vous est nécessaire pour mener à bien votre tâche.

Si je poursuis l’exemple du joint de lavabo: un joint, un desserre-joint, une bassine, un chiffon et du détergent pour nettoyer la bonde. Une fois que tout est réuni, je passe à l’action avec le sentiment que tout est fluide, je n’ai pas à me relever 3 fois parce qu’il me manque quelque chose.

– Associez les tâches entre elles.


Ranger le linge n’est pas une chose qui vous met en joie. Associez cette action avec une autre qui vous fait plaisir. Avant un café réconfortant, en écoutant de la musique que vous aimez, avant une promenade au grand air…

Le seul risque? Vous dire: je le ferai quand j’aurai pris mon café, cela me remotivera. Au contraire, avoir réalisé votre tâche vous permet de vous récompenser.

– Acceptez de ne pas tout maîtriser


Si une tâche ne relève pas de vos compétences, faites ce qu’il faut pour mobiliser quelqu’un dont c’est le métier. N’attendez pas inutilement. Rares sont les plombiers qui sonnent spontanément à votre porte.

Si vous décrochez votre téléphone, si vous sollicitez vos amis, vous êtes actifs au regard de la tâche. Vous ne la subissez plus.

– Soyez bienveillant envers vous-mêmes

En réalité, la seule pression est celle que l’on s’impose. Apprenez à lever le pied. À regarder votre intérieur avec le recul nécessaire pour qu’il ne vous envahisse plus.

Apprenez aussi à passer à l’action. Car la dépression ménagère commence par le manque d’envie, par les petites choses qui s’accumulent insidieusement.

– Refusez de tout faire d’un coup


QUI a dit que votre maison devait ressembler à une page de magazine?
Vous ne ressemblez pas à la fille de la couverture, vous savez que cette fille n’est pas réelle, il en est de même pour les intérieurs. Ils sont savamment mis en scène. Ce ne doit pas être votre modèle référent. Alors, inspirez-vous de ces magazines mais faites à votre envie, une chose après l’autre. Dans la sérénité et le plaisir de ce qui a été accompli. Demain est un autre jour.

Être fatigué, découragé, ne pas avoir envie font partie de la vie de tous les jours. Le burn-out survient quand on n’a pas écouté son corps, que l’on subit une pression sociale qui nous pousse à la perfection.

Utilisez la méthode du Kaizen (du petit pas), de la petite action qui ajoutée aux autres petites actions vous libérera l’esprit. Et qui sait… vous deviendrez peut-être adepte de la méditation ménagère. Si ce n’est pas le cas, faites-vous aider par un organisateur d’intérieur.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Imperfection


Si nous attendons d’être parfaits pour agir, aller vers les autres, faire quelque chose de bien, alors autant dire que nous bougerons jamais. Acceptons nos imperfections, les autres aussi sont imparfaits
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Imperfection

 

 

Il ne faut pas être parfait pour faire quelque chose de bien dans le monde, apporter aux autres et être intéressant. Tout être est imparfait par nature et bien des êtres en valent tellement la peine. L’imperfection fait bien souvent tout le charme d’une chose ou d’une personne. Cela la rend d’une certaine manière unique.

Louis Berger

La tolérance de l’imperfection


Si nous cherchons la perfection, nous risquons d’être bien déçus !! De toute manière, comme rien n’est parfait dans ce monde, raison de travailler notre tolérance pour un mieux-vivre
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La tolérance de l’imperfection

 

Le bonheur n’est pas dans la recherche de la perfection,  mais dans la tolérance de l’imperfection

Yacine Bellik

Redéfinir l’échec pour se sentir plus en confiance


Voir l’échec comme un fait négatif, nous empêche de voir que nous pouvons trouver d’autres moyens d’y parvenir ou simplement nous orienter vers d’autres buts
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Redéfinir l’échec pour se sentir plus en confiance

 

L’échec ne signifie pas que vous êtes un raté…
      Ça signifie que vous n’avez pas encore réussi.
L’échec ne signifie pas que vous n’avez rien accompli…
     Ça signifie que vous avez appris quelque chose.
L’échec ne signifie pas que vous avez été idiot…
     Ça signifie que vous avez eu une grande foi.
L’échec ne signifie pas que vous êtes déshonoré…
      Ça signifie que vous avez eu la volonté d’essayer.
L’échec ne signifie pas que vous ne l’avez pas…
      Ça signifie que vous devez le faire de façon différente.
L’échec ne signifie pas que vous êtes inférieur…
     Ça signifie que vous n’êtes pas parfait.
L’échec ne signifie pas que vous avez gâché votre vie…
      Ça signifie que vous avez une raison de recommencer à neuf.
L’échec ne signifie pas que vous devez abandonner…
     Ça signifie que vous devez essayer plus fort.
L’échec ne signifie pas que vous n’y arriverez jamais…
      Ça signifie que ça prendra un peu plus de temps.

(Robert H. Schuller /extrait de « Devenez la personne que vous rêvez 
d’être » – Editions Un monde différent)