Ce grand chien s’est fait voler son jouet par un chat


Ellie le Grand Danois et un chat qui est vraiment une victime ? Jack, le chat est comme tout le chat aime ce prélassé sur les fauteuils, et même prendre un jouet, tant pis si cela appartient au chien. Ellie aimerait bien reprendre sa peluche, mais affronter Jack, c’est un gros obstacle à surmonter.
Nuage

 

Ce grand chien s’est fait voler son jouet par un chat

 

Un garçon de 9 ans demande une machine à coudre


Selon sa mère, Sonya Whittaker, de Campbell raconte que son fils à 9 ans voulait de l’argent pour acheter des cadeaux pour les enfants d’un hôpital local. Mais avec 10 bouches à nourrir ce n’était pas possible à cette époque, alors il a trouvé une autre façon d’aider ces enfants. Il a utilisé une machine à coudre et il a réalisé lui-même des cadeaux. Quand son père a eu un cancer, il a tricoté des ours en peluche pour l’aider à son combat. À ce jour, il a cousu plus de 800 ours.
Nuage

 

Un garçon de 9 ans demande une machine à coudre

 

Nounours piratés : des millions de messages d’enfants et de parents dérobés


Pourquoi acheter une peluche connectée et lui parler à travers le toutou par le truchement de Smartphone ? Pourquoi pas lui parler par téléphone si le parent est au travail ou toutes autres raisons ? Je veux bien croire qu’on veut être à la mode et être connecté de partout, mais les enfants en ont-ils vraiment besoin ? C’est un risque de plus pour le piratage des objets connectés
Nuage

 

Nounours piratés : des millions de messages d’enfants et de parents dérobés

 

Nounours piratés : des millions de messages d'enfants et de parents dérobés

Les animaux en peluche de CloudPets (page d’accueil du site web de CloudPets)

Parler à son bébé via son doudou, c’est charmant… mais faute de sécurité, c’est la porte ouverte au vol de données et aux demandes de rançon informatique.

 

Thierry Noisette

Comme c’est trognon : des lapins et des ours en peluche connectés, qui permettent aux parents d’envoyer un message vocal à leur enfant qui le reçoit via son jouet, et peut répondre à papa ou maman, ou tout autre proche. Charmante idée en apparence, sauf que, dans le cas des doudous du californien CloudPets, il y avait une faille de sécurité, révèle un spécialiste en sécurité informatique, Troy Hunt.

Résultat, plus de 820 000 comptes utilisateurs étaient exposés, ainsi que 2,2 millions de messages audio enregistrés dont l’URL (l’adresse web du fichier) était facile à retrouver.

Troy Hunt explique que les gens « ne pensaient pas au fait que quand vous vous connectez à l’ours en peluche, la voix de vos enfants se trouve dans un serveur d’Amazon ».

Les jouets de CloudPets sont reliés à des applis mobiles ; l’utilisateur crée un compte chez CloudPets en donnant le nom de son enfant, une adresse e-mail et une photo. Il peut ensuite envoyer ou recevoir des messages par le truchement du joujou.

Voici la vidéo publicitaire de ces jouets :

 

CloudPets, qui a lancé ses jouets connectés (chat, chien, lapin et ours en peluche) en 2015, héberge ses données en ligne, mais cette base de données n’était pas protégée. Hunt a expliqué à CNN que c’est du même ordre qu’avoir un smartphone non verrouillé par un code. Cette base de données était indexée par Shodan, un moteur de recherche d’objets connectés à Internet – qui peut servir à détecter des dispositifs mal sécurisés, comme des caméras, ce que Rue89 a fait en 2014.

L’entreprise n’a rien dit à ses utilisateurs

Selon Hunt, quelqu’un a volé les données du service de CloudPets, puis les a effacées et a demandé à l’entreprise une rançon, en bitcoins. Au lieu de payer les malfaiteurs pour récupérer ces données, CloudPets les a restaurées avec une sauvegarde antérieure. Cependant, la compagnie n’a pas prévenu ses utilisateurs de la fuite (des témoignages rapportés par Hunt montrent même que plusieurs messages d’alerte de clients ont été ignorés pendant des jours), et les mots de passe dérobés sont toujours valides, ont constaté les chercheurs.

CNN relève que cela pourrait être un délit : la loi californienne oblige les entreprises à signaler aux utilisateurs si leurs informations ont été exposées en ligne, et CloudPets et son fabricant Spiral Toys se trouvent en Californie.

Le site Motherboard, alerté par les chercheurs en sécurité, souligne qu’en janvier la base de données en ligne de CloudPets a été effacée au moins deux fois, et que des pirates y ont accédé à plusieurs reprises.

Ce n’est pas le premier piratage de jouets connectés : fin 2015, Troy Hunt avait découvert une faille dans des gadgets Vtech, exposant les données de millions de parents et d’enfants.

Poupées interdites en Allemagne

Il y a quelques jours, l’Allemagne a interdit la vente des poupées Cayla en raison de leur facilité à être piratées, et recommandé aux parents en ayant déjà acheté de les jeter – le distributeur a assuré qu’en suivant le mode d’emploi elle ne permettait pas l’espionnage, et déclaré qu’il irait en justice contre cette décision du régulateur des télécoms.

Peu avant Noël, l’UFC Que Choisir avait alerté contre les lacunes en sécurité et en protection des données de deux jouets, la poupée Cayla et le robot i-Que. L’association de défense des consommateurs a saisi la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) et la DGCCRF.

Motherboard note qu’en attendant que les concepteurs et fabricants d’objets dits « intelligents » de « l’Internet des objets » se décident à en améliorer la sécurité, « si vous êtes un parent qui ne voulez pas que vos messages affectueux à vos enfants soient divulgués en ligne, vous pourriez vouloir un bon vieux nounours à l’ancienne, qui ne soit pas relié à un serveur à distance non sécurisé ».

La CNIL a publié en novembre un rappel sur la sécurité des objets connectés.

http://tempsreel.nouvelobs.com

Des vétérinaires offrent leur service pour soigner des animaux… en peluche


C’est une idée intéressante de parfaire les techniques de chirurgie tout en réparant des toutous pour les enfants
Nuage

 

Des vétérinaires offrent leur service pour soigner des animaux… en peluche

 

Des vétérinaires offrent leur service pour soigner des animaux… en peluche

Fort Leavenworth Veterinary Treatment Facility/Facebook

BOBOS – Au Kansas, des vétérinaires ont décidé d’ouvrir leur clinique pendant deux jours à de drôles de patients : les peluches blessées. En plus de réparer les doudous, oursons et autres pandas, cette initiative avait pour but d’entraîner les internes à la chirurgie.

 

Du lundi 18 au mercredi 20 juillet, les vétérinaires de la clinique Fort Leavenworth dans le Kansas aux Etats-Unis ont reçu des patients bien sages. Les internes ont offert leurs services pour réparer, recoudre, greffer, ou rafistoler les peluches des jeunes propriétaires.

Réparer et s’entraîner

En plus d’apporter leur expertise pour offrir une deuxième jeunesse aux peluches, les internes en ont profité pour parfaire leurs compétences en chirurgie, en vue de manipuler des patients vivants. La clinique a reçu environ 12 peluches à soigner, selon le site The Dodo.

Les vétérinaires ont effectué les mêmes gestes de chirurgie que sur des patients plus classiques.

Les vétérinaires ont effectué les mêmes gestes de chirurgie que sur des patients plus classiques.

Fort Leavenworth Veterinary Treatment Facility/Facebook

« Nous avons eu un bras amputé à réattacher. Nous avons même eu un don d’organe – une paire d’yeux. Nous avons cousu de nouveaux boutons sur les yeux d’un panda », a expliqué Lynelle, membre de la clinique.

Selon la presse locale, cette idée a été inspirée par une initiative similaire à Fort Carson dans le Colorado. En mai dernier, des militaires avait soigné 60 peluches.

http://www.metronews.fr/

Le Saviez-Vous ► Comment sortez-vous un animal en peluche d’un distributeur automatique?


Vous savez les machines à jouets qu’on met une pièce et on essaie d’attraper une peluche à l’aide d’une pince qu’on voit un peu partout, vous l’avez déjà essayé ? Avez-vous réussit ? Non, ce n’est pas surprenant, car c’est truqué comme bien des machines à jeux
Nuage

 

Comment sortez-vous un animal en peluche d’un distributeur automatique?

 

Sortir des animaux en peluche d’une machine à jouet est assez facile. Selon le type et la taille de l’appareil, on insère une pièce de monnaie et essaye d’attraper l’animal en peluche que nous aimons le plus.

Et même si nous ne pouvons pas le faire à la première tentative, nous allons essayer à nouveau. Le doux visage nous regarde avec de grands yeux derrière la fenêtre de la machine et nous tente dans une mesure telle que, sans hésitation, nous insérons une autre pièce. Si un enfant est debout à côté de nous, nous nous sentons encore plus de pression et nous voulons donner à tout prix à l’enfant quelque chose à câliner .

1

Qu’est-ce qu’on fait? Nous prenons l’argent hors de notre portefeuille et essayons à nouveau. Et avant de s’en rendre compte, la quantité insérée dépasse la valeur réelle du jouet. Souvent, il y a une situation dans laquelle nous sommes sûrs que nous avons presque attrapé le trophée. La pince saisit l’ours en peluche, mais se libère lentement et la peluche finit par tomber.

Pourquoi cela arrive-t-il? Ces machines sont programmées pour fonctionner selon un algorithme spécifique. Habituellement, ils ont un bouton qui peut ajuster le nombre de tentatives frauduleuses. Ils sont utilisés pour régler la force de serrage. Bien sûr, vous pouvez les régler afin que cela soit pratiquement impossible d’obtenir le jouet. Les dispositifs sont délibérément forgés pour élever le jouet, afin d’encourager le joueur à renoncer à la prochaine pièce.

http://www.estpositive.fr/

Des greffes de peluches pour promouvoir le don d’organes


Les mentalités peuvent être difficiles à changer pour ce qui est du don d’organe. Le Japon a trouvé une façon original pour promouvoir le don d’organe au pays
Nuage

 

Des greffes de peluches pour promouvoir le don d’organes

Ces images viennent d’une campagne qui utilise des peluches d’animaux sur lesquelles ont été greffés des membres de peluches différentes pour promouvoir l’idée de don d’organe, notamment à destination des enfants, au Japon.

Le sujet est important car si le système médical japonais est très bon, le don d’organes est un domaine dans lequel il est loin des standards des pays développés à cause de lois restrictives et des mentalités qui sont encore assez réticentes sur ce sujet.

Vous pouvez en apprendre plus sur le site du projet « Second Life Toys« .

greffe-peluche-02

greffe-peluche-03

greffe-peluche-04

greffe-peluche-05

greffe-peluche-06

greffe-peluche-07

greffe-peluche-08

 

greffe-peluche-09

greffe-peluche-10

greffe-peluche-11

greffe-peluche-12

 

peluche-greffe-don-organe

greffe-peluche-13

 

http://www.laboiteverte.fr/

Google : un brevet pour un effrayant ours en peluche connecté


Je n’aime pas trop l’idée d’un jouet pour enfant ayant des caméras, micros et tout le tra la la et qui en plus se connecte à un serveur. Maintenant, il y a tellement de façon d’aller chercher des informations sur les gens qu’en plus, ils vont trouver une autre porte d’entrée dans les maisons grâce à ses jouets
Nuage

 

Google : un brevet pour un effrayant ours en peluche connecté

 

Le brevet décrit des peluches équipées de micros, caméras et haut-parleurs.Photo : Capture d’écran

VIE PRIVÉE — Google a déposé un brevet décrivant les peluches bardées de micros et caméras. Elles seraient capables d’interagir avec son interlocuteur, mais effraient surtout quant aux questions de vie privée au sein du foyer.

Vous aviez déjà peur de Chucky, l’effrayante poupée star de la série de films d’horreur ? C’était sans compter le brevet déposé par Google le 21 mai dernier concernant des jouets connectés, à qui certains le comparent déjà. En l’analysant en détail, on s’aperçoit ainsi que la société californienne voudrait équiper des jouets de caméras (dans les yeux), de micros (dans les oreilles), de haut-parleurs (dans la bouche) et d’un moteur dans le cou.

Un dessin d’illustration du brevet montre ainsi un ours et un lapin en peluche équipés de ces technologies. Le jouet décrit pourrait donc écouter son interlocuteur, tourner la tête quand il l’appelle, mais aussi lui répondre en fonction de sa demande.

Un espion dans la maison ?

Également équipés de WiFi et de Bluetooth, ces jouets pourraient se connecter à d’autres équipements de la maison pour lancer de la musique ou un film. Ils joueraient ainsi le rôle d’une télécommande intelligente au sein du foyer. Le système décrit pourrait aussi prendre une forme anthropomorphique et s’imposer comme un robot domestique, tel un majordome connecté.

Brevet jouet connecté Google

L’utilisation de ce type d’équipement dans la maison pose cependant des problèmes éthiques. Le jouet serait capable de déterminer qui lui parle grâce à la reconnaissance faciale et proposer des préférences personnalisées en fonction de son interlocuteur. Mais ses caméras et ses micros pourraient également devenir des points d’entrée privilégiés dans l’un des derniers bastions de la vie privée : le domicile.

Le modèle économique de Google, basé sur la publicité ciblée en fonction des comportements des utilisateurs, pourrait de la sorte s’enrichir de nouvelles données importantes, comme les heures de présence au domicile et les habitudes de ses occupants. La société cible aussi de plus en plus les enfants. En février, elle mettait ainsi en ligne l’application YouTube Kids, qui leur spécifiquement destinée. Des jouets finalement pas si inoffensifs que ça.

http://www.metronews.fr/