Le Saviez-Vous ► Quelle est l’origine des 7 péchés capitaux ?


    L’origine des 7 péchés capitaux a certes une source chrétienne, mais ils ne sont pas explicitement écrit dans la Bible. L’ébauche a été écrite au IVe siècle et c’étaient 8 passions, puis plus tard la liste a été modifié pour devenir ce que les chrétiens connaissent aujourd’hui.
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    Quelle est l’origine des 7 péchés capitaux ?

     

    par Marine

    À l’évocation de ce sujet, chacun·e aura peut-être en tête le film Seven (1996) de David Fincher avec Morgan Freeman et Brad Pitt, avec son final haletant. Les crimes qui rythment cette fiction sont en effet basés sur les 7 péchés capitaux, et force est de constater que personne n’est à l’abri de correspondre à l’un de ces défauts. Mais quelle en est l’origine au juste ?

    Sauriez-vous tous les citer (sans tricher) ?

    Que l’on en cumule plusieurs ou que l’on ne se reconnaisse dans aucun en particulier (auquel cas il faut tout de même se pencher sur celui d’orgueil, sait-on jamais), tout le monde a déjà entendu parler des péchés capitaux. Au cas où votre mémoire aurait quelques difficultés à tous les lister, les voici :

  • Orgueil

  • Avarice

  • Luxure

  • Envie

  • Gourmandise

  • Colère

  • Paresse

    Une origine religieuse

    Quant à savoir à qui nous devons cette liste, il s’avère que plusieurs contributeurs ont aidé à la bâtir au fil des siècles, et qu’ils sont tous des religieux issus du christianisme. Également, les 7 péchés capitaux ne sont pas évoqués dans la Bible en tant que tels, ce qui peut paraître surprenant.

    En vérité, le premier à avoir réfléchi et écrit au sujet de péchés impardonnables est le moine Évagre le Pontique, au IVe siècle. Plus précisément, il évoque 8 “passions” parmi les plus préjudiciables aux mortels dans leur quête de la vie éternelle. Y figurent ceux évoqués plus haut, avec quelques différences. Il y inscrit donc la tristesse, l’acédie (le découragement et la paresse dans la pratique de la foi) et la notion de vaine gloire. La paresse et l’envie n’en font pas partie.

    Bien plus tard – au VIe siècle -, le pape Grégoire Ier le Grand effectue une modification de cette liste. La vaine gloire est intégrée à la notion d’orgueil et celle de l’acédie est retirée au profit de la tristesse. Il ajoute également l’envie. Plus tard, Saint Thomas d’Aquin réfléchira lui aussi à la notion de péché, affirmant que ceux-ci ne devraient pas être classés selon un ordre d’importance comme c’était le cas jusqu’alors.

    C’est grâce à tous ces débats religieux et à l’hégémonie incontestable de la pensée chrétienne de l’époque que les 7 péchés capitaux vont prendre de l’importance. En témoignent les nombreuses œuvres picturales et littéraires qui les évoquent, notamment pendant la Renaissance.

    Pourquoi “seulement” 7 péchés capitaux ?

    Au XVIIe siècle, le péché de tristesse est remplacé par celui de la paresse. La liste est désormais “complète” – si tant est qu’il soit possible d’établir une liste de tous les péchés humains. Et justement, pourquoi le meurtre, le vol ou d’autres crimes ne figurent-ils pas dans cette liste ?

    Pour répondre à cette question, il faut partir du principe que ceux qui ont créé cette liste ont souhaité retenir des termes génériques. Leur simple évocation peut en effet amener à des actes répréhensibles : il est possible de tuer par colère, de tromper son ou sa partenaire par luxure, de voler par avarice, etc. De manière générale, les 7 péchés capitaux ont longtemps fait office de lignes de conduite – à éviter bien sûr – pour ne pas s’éloigner de Dieu.

    Et il ne faut pas non plus oublier que 7 est un chiffre clé dans la religion chrétienne. Il est maintes fois évoqué dans la Bible. Selon cet ouvrage, Dieu a par exemple créé le monde en 7 jours, et il existe également 7 sacrements. Voilà qui peut expliquer pourquoi les péchés capitaux sont au nombre de 7 eux aussi. Mais il existe aussi leur contraire !

    Voici les 7 vertus qui contrebalancent les péchés capitaux :

  • Chasteté

  • Prodigalité

  • Modestie

  • Courage

  • Humilité

  • Charité

  • Tempérance

    https://lesavaistu.fr/

Le Saviez-Vous ► L’étonnante signification des fleurs


Si on veut envoyer un message d’une façon originale, on peut se servir des fleurs. Les fleurs peuvent être un symbole d’amour, vertu, la persévérance …
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L’étonnante signification des fleurs

 

L’ellébore est une fleur à surveiller car elle symbolise le scandale. © getty.

Jeanne Poma

Il y a la fleur de l’amour, de la chasteté, mais aussi de la passion et de la trahison. Saviez-vous que la lavande était la plus aphrodisiaque des fleurs? Avant d’offrir votre prochain bouquet, penchez-vous sur ce petit guide du langage des fleurs.

Les orchidées

Considérées comme un symbole de virilité depuis la Grèce antique, elles séduisent pour leur forme exotique et sensuelle. 

Le mimosa

Bien qu’il soit le symbole du 8 mars, il est associé à la chasteté car sa petite fleur est délicate et se ferme la nuit ou quand on la touche. 

Le lys blanc

Ses pétales blancs évoquent la pureté. La fleur de lys était aussi le symbole de la monarchie française. 

L’iris

Tout dépend de la couleur. Violet, l’iris représente la sagesse, c’est une manière de faire un compliment. Bleu, il devient un symbole de foi et d’espoir. Jaune, c’est la passion. Blanc, il représente la pureté. 

Les marguerites

Elles sont associées à l’innocence de l’enfance. Ce sont aussi les fleurs les plus proches du soleil. 

L’ellébore

Une fleur à surveiller car elle symbolise le scandale. Ceux qui le reçoivent devraient l’interpréter comme une volonté de surmonter une catastrophe qui est sur le point d’arriver de la part de celui qui l’offre. 

La rose

Un symbole d’amour passionné quand elle est rouge. Blanche, elle représente la vertu et la chasteté. Jaune, elle annonce une bonne nouvelle, bien qu’à l’époque victorienne, elle représentait l’infidélité. 

La lavande

Elle réduit le stress et augmente le flux sanguin. Elle est donc considérée comme la plus puissante des fleurs aphrodisiaques. 

La tulipe

Une fleur aux significations multiples: on appelle « l’âge des tulipes » les périodes les plus prospères de l’Empire ottoman. Elles avaient alors une connotation positive. Pour les Anglais, c’est un symbole de passion. Pour les Hollandais, elle symbolise la brièveté de la vie. 

La jacinthe

Le bleu est synonyme de persévérance, de joie et d’audace. Violette, elle représente la douleur. Blanche, la beauté et jaune, la jalousie.

http://www.7sur7.be/

Le Saviez-vous ► Cette femme a inventé la police scientifique en construisant des maisons de poupées


La première chose que j’ai pensée en voyant la vidéo est la série Les Experts et le tueur à la maquette, l’assassin reproduisait avec précision ses crimes. C’est un aperçu du travail d’une femme au foyer Frances Glessner Lee, qui n’était pas une psychopathe, mais plutôt une passionnée de la médecine des enquêtes de  Sherlock Holmes et des crimes. Elle s’est mis à fabriquer des maisons de poupée avec tous les indices laissé sur une scène de crime. Grâce à elle, la police scientifique est née. Cela démontre que même une femme au foyer peut changer les choses
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Cette femme a inventé la police scientifique en construisant des maisons de poupées

Frances Lee était passionnée du détail. Pour résoudre des crimes, elle a eu l’idée de reproduire les scènes en miniature. Lee reproduisait les lieux avec une extrême précision pour dénicher des preuves. Son travail a ouvert la porte à la police scientifique.

Source : Smithsonian

 

 

Frances Glessner Lee, née le 25 mars 1878 à Chicago et morte le 27 janvier 1962, est une médecin légiste américain, surnommée « la mère de la science forensique ». Wikipédia

http://www.ulyces.co

La revanche d’une petite fille qui avait une passion "bizarre"


Moi, aussi, j’aime les insectes ! Je dis bravo à la maman qui a pris les grands moyens pour fortifier sa fille a lui donner confiance pour sa passion qui sera peut-être une profession dans son avenir
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La revanche d’une petite fille qui avait une passion « bizarre »

 

Fascinée par les insectes depuis l’âge de deux ans, Sophia subissait les moqueries de ses camarades à l’école.

« J’aimerais qu’elle réalise qu’elle n’est pas bizarre ou étrange parce qu’elle aime les insectes. »

Fatiguée de voir sa fille rentrer triste de l’école, Nicole Spencer a décidé de contacter la Société d’entomologie du Canada en août 2016 pour lui prouver qu’elle pourrait un jour vivre de sa passion. À deux ans, la petite fille visitait les chutes du Niagara quand un papillon s’est posé sur elle. Depuis, elle adore observer les insectes et passe des heures à se documenter sur le sujet.

Malheureusement, cette passion lui a aussi valu des moqueries désagréables de la part de ses camarades de classe, qui ne comprenaient pas pourquoi elle débarquait parfois avec un insecte sur l’épaule.

« Elle voulait tout arrêter pour mieux s’intégrer », raconte la maman au Huffington Post.

Mais c’était sans compter la magie d’Internet. « Une jeune fille qui aime les insectes est harcelée à l’école et a besoin de notre aide », a indiqué la Société d’entomologie du Canada sur Twitter il y a un an, en partageant la lettre de Nicole.

Via le hashtag #BugsR4Girls, des entomologistes du monde entier se sont manifestés pour soutenir Sophia, 8 ans.

Au cours des derniers mois, Sophia a commencé à travailler avec Morgan Jackson, un doctorant de l’Université de Guelph. Et en septembre, leurs premières expériences ont été publiées dans la revue Annals of the Entomological Society of America. Une immense fierté pour la petite fille et sa mère. Aujourd’hui, Sophia est déterminée à devenir entomologiste quand elle sera grande.

« Si quelqu’un me disait que les insectes, ce n’est pas pour les filles, je serais très fâchée, mais je ne ferais rien, j’arrêterais de leur parler. Je pense que tout le monde peut aimer n’importe quoi, y compris les insectes », a-t-elle écrit dans son article scientifique.

 

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La folie des chaussures


Si je m’achète une paire de souliers par années, c’est beau … et encore c’est une paire d’espadrilles et celle que j’ai déjà sont pour la maison, pour finir de les user à la corde .. J’avoue ne pas comprendre cette passion pour les souliers qui souvent sont des talons hauts ce que je n’ai pas … Que d’argent gaspillé pour des souliers qui passent plus de temps dans le placard qu’aux pieds des femmes
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La folie des chaussures

 

OLIVIA LÉVY
La Presse

La passion pour les chaussures frise la folie. Il est parfois difficile de comprendre ce phénomène grandissant. Au moindre petit chagrin, de nombreuses femmes s’offrent une paire de chaussures et se sentent mieux. D’autres se distinguent en portant des souliers originaux ou des talons vertigineux. Au-delà de l’utilité d’en porter pour marcher, les chaussures sont devenues des accessoires incontournables qui reflètent une partie de notre personnalité.

Les Américaines occupent le premier rang mondial de la consommation de chaussures. Elles achètent près de huit paires par année. Les Françaises les suivent de près au deuxième rang avec six paires et sont ainsi les championnes européennes. Pour ce qui est des Canadiennes, elles sont plus sages avec environ quatre paires par année.

«Les chaussures représentent beaucoup plus qu’un simple objet du quotidien, explique la sociologue française Coline Lett, coauteure de Tout savoir sur les femmes et leurs chaussures (éditions Kawa). Il existe des raisons historiques. Au XIXe siècle, avec l’essor du capitalisme et les débuts de l’industrialisation, les bourgeois portent des costumes sombres et veulent ainsi se différencier de l’aristocratie oisive qui porte des tenues extravagantes. Les hommes veulent manifester leur prise de pouvoir sur le monde. Leurs chaussures prennent des formes simples. Mais comme il faut bien montrer son appartenance à une classe sociale supérieure, les femmes poursuivent la compétition vestimentaire selon le modèle aristocratique et continuent de consommer de manière ostentatoire. D’où la légitimité historique des femmes à collectionner des vêtements et des chaussures», poursuit la sociologue.

Plaisir coupable

L’achat de chaussures est une grande source de plaisir, tout comme le fait de les accumuler. Cette joie s’accompagne parfois d’une culpabilité. Dans une garde-robe, la femme aura besoin de bottes, sandales, ballerines, escarpins, baskets, mocassins.

«Les femmes cachent souvent leurs achats comme si elles avaient un peu honte de dépenser pour des choses sans grande utilité. C’est un vrai plaisir narcissique», estime Coline Lett.

«Les femmes ont cette illusion que cet objet va les transformer totalement» Pierre Hardy, créateur de chaussure

Au fil des années, les chaussures sont devenues incontournables et l’engouement autour de cet objet est réel. Mais pourquoi les chaussures plus que les robes, les bijoux ou les chapeaux?

«Les femmes sont plus compulsives dans l’achat de chaussures peut-être parce qu’il est plus facile de trouver chaussure à son pied que de dénicher la robe parfaite, explique la psychologue Julie Roussin. Dans une société où l’idéal de beauté est la minceur, il est plus simple d’être belle et coquette avec de jolies chaussures malgré des complexes liés au poids. La gratification est plus directe et facile surtout qu’une chaussure sera rarement moins belle sur moi que dans la vitrine.»

Se sentir belle, voilà une bonne raison d’aimer les chaussures qui nous magnifient et nous donnent confiance.

«Se sentir attirante augmente l’estime de soi tout comme le désir de séduire. Le soulier est l’objet érotique par excellence et il est le plus prisé chez les gens qui souffrent de fétichisme», ajoute Julie Roussin.

Il peut également dévoiler un trait de caractère. Dans le documentaire God Save My Shoes, la chanteuse des Black Eyed Peas, Fergie, en grande passionnée, déclare qu’une paire de chaussures raconte notre histoire, révèle notre personnalité et peut changer la façon dont une femme se perçoit. D’ailleurs, une étude de l’Université du Kansas a démontré que le style de chaussures porté par une personne permet de se faire une idée de sa personnalité. La chaussure est un indicateur du statut social dans de nombreux cas.

Ainsi, une chaussure griffée à un prix insensé sera certainement portée par une personne qui a un salaire élevé. Des chaussures colorées seront associées à des extravertis. Des souliers pratiques et fonctionnels à des gens agréables, les timides optent pour des modèles neutres et les bottines signalent une certaine agressivité.

«Les femmes trouvent toujours une raison d’acheter des souliers», déclare Inès de la Fressange, ex-mannequin et ambassadrice du chausseur français Roger Vivier. «C’est la femme qu’on aimerait être et qu’on imagine. C’est l’équivalent des jouets quand on était enfant. On a l’impression que toute notre vie sera transformée par ce seul accessoire très puissant. C’est magique. D’un seul coup, les souliers peuvent tout changer dans notre allure. On peut avoir du style, être chic, et changer notre silhouette grâce à une paire de chaussures.»

Pour le livre Tout savoir sur les femmes et leurs chaussures, Vanessa Genin a interrogé les Françaises sur le rapport qu’elles entretiennent avec leurs chaussures. Au-delà de l’esthétisme, rien n’est innocent dans le choix des souliers.

«Les fonctions des chaussures sont multiples. Une femme décidera de porter des talons hauts lorsqu’elle aura une réunion et qu’elle devra négocier. Ça lui donnera de l’assurance. On mettra aussi un talon haut pour paraître plus grande et élancée. Des femmes plus âgées mettront des baskets pour se rajeunir. C’est un vrai outil et un allié qui permet d’exprimer une certaine féminité», explique Vanessa Genin.

Selon elle, le premier critère quand on achète des chaussures est le confort… sauf que la réalité est tout autre puisque 73% des Françaises se plaignent de douleurs aux pieds.

Finalement, les chaussures sont au centre de la vie. «En faisant parler les femmes de leurs chaussures, j’ai appris beaucoup sur leurs préoccupations, que ce soit l’importance de leur apparence, de maîtriser leur corps, et de s’insérer dans leur milieu professionnel», confie Coline Lett, sociologue.

50 000 euros pour les chaussures royales

La reine Marie-Antoinette, qui aimait beaucoup la mode, possédait 500 paires de chaussures. Elle avait un domestique qui s’occupait exclusivement de leur entretien. L’année dernière, lors d’une vente aux enchères à l’hôtel Drouot, à Paris, des chaussures de soie rose et vert de Marie-Antoinette ont été adjugées 50 000 euros (62 460 euros avec les frais).

Céline et son placard merveilleux

Céline Dion possède plus de 3000 paires de chaussures. La chanteuse a spécialement aménagé un immense placard où son porte-chaussures est entièrement automatisé. Il lui suffit d’appuyer sur un bouton pour faire défiler devant ses yeux ses milliers de paires.

http://www.lapresse.ca

L’essentiel


On croit,  a tord qu’avoir beaucoup de choses matériels nous donnera plus de satisfaction et pourtant plus qu’on amasse moins nous avons le temps pour les gens, les évènements vraiment importants
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L’essentiel

 

« Nous agissons toujours comme si le confort et le luxe étaient essentiels à notre existence, alors qu’il suffit pour être réellement heureux de trouver quelque chose qui nous intéresse passionnément. »

Charles Kingsley

Vie


Toute cette vie est chevauché par nos émotions, nos envies, nos peurs, nos déceptions, nos échecs et réussites .. nos amours, quelque fois notre indifférence, nos convictions .. bref .. c’est la vie qui s’écoulent au jour le jour
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Vie

 

 

J’ai pardonné des erreurs presque impardonnables,
j’ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables
et oublier des personnes inoubliables.
J’ai agi par impulsion,
j’ai été déçu par des gens que j’en croyais incapables,
mais j’ai déçu des gens aussi.
J’ai tenu quelqu’un dans mes bras pour le protéger
j’ai ri quand il ne fallait pas
je me suis fait des amis éternels
j’ai aimé et l’ai été en retour,
mais j’ai aussi été repoussé,
j’ai été aimé et je n’ai pas su aimer,
j’ai crié et sauté de tant de joie,
j’ai vécu d’amour
et fait des promesses éternelles,
mais je me suis brisé le coeur
tant de fois!
J’ai pleuré en écoutant de la musique ou en
regardant des photos,
j’ai téléphoné juste pour entendre une voix,
je suis déjà tombé amoureux d’un sourire,
j’ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et…..
J’ai peur de perdre quelqu’un de très spécial
(que j’ai fini par perdre)….

Mais, j’ai survécu!
Et je vis encore!
Et la vie, je ne m’en passe pas….
Et toi non plus tu ne devrais pas t’en passer,
Vis!!!

Ce qui est vraiment bon,
c’est de se battre avec persuasion,
embrasser la vie et vivre avec passion,
perdre avec classe et vaincre en osant,
parce que le monde appartient à celui qui ose
et
La vie c’est beaucoup trop pour être insignifiante!

Charlie Chaplin

Le conte des maux de tête


Une histoire qui fait sourire … peut-être donnant l’origine en histoire des migraines .. pas tout a fait le mal de tête mais les maux du coeur .. qui sont tout aussi difficile a vivre
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Le conte des maux de tête

 

Dans ce pays-là, que je connais bien pour l’avoir visité, tous les enfants naissaient avec une graine d’amour, qui ne pouvait germer que dans leur cœur.

Ce qu’il faut savoir, c’est que cette graine avait une particularité… très originale, en ce sens qu’elle était constituée de deux moitiés de graines. Une moitié de graine d’amour pour soi et une moitié de graine d’amour pour autrui.

Vous allez tout de suite me dire : « Ce n’est pas juste, c’est disproportionné, ça ne peut pas marcher ! Une moitié pour un, d’accord, car il faut s’aimer. Mais une seule moitié de graine d’amour pour autrui, pour tous les autres, ah non alors ! Cela va bien au début de la vie, quand un enfant n’a pas beaucoup de personnes à aimer, seulement sa mère, son père, un ou deux grands-parents… Mais plus tard, vous y pensez, plus tard, quand devenu adulte chacun est susceptible d’aimer beaucoup de personnes, cela est déséquilibré. Une seule moitié de graine d’amour à partager entre tant d’amours… Cela est invivable ! ».

Oui, vous me diriez tout cela avec passion, mais c’était ainsi dans ce pays ! Et d’ailleurs, ceux qui savaient laisser germer et laisser fleurir chacune de leurs moitiés de graine d’amour, avec intensité, avec passion, avec enthousiasme et respect, ceux-là découvraient plus tard qu’ils pouvaient à la fois s’aimer et aimer, aimer et être aimés.

Ceux qui ne développaient qu’une moitié de graine, soit en s’aimant trop, soit en n’aimant que les autres, soit encore en n’aimant qu’une seule personne au monde, ceux-là avaient des mi-graines qui durcissaient, qui durcissaient tellement leur cœur… que parfois leur tête éclatait de douleur.

Ah ! Vivre seulement avec une mi-graine d’amour, cela doit être terrible ! D’autant plus qu’il n’y a aucun remède à ces migraines et qu’elles sont susceptibles de durer des années.


Ainsi se termine le conte des maux de tête qui sont surtout des maux de cœur…

Jacques Salomé

Le Saviez-vous ► Expression : Par coeur


Par coeur !!! Combien de leçons qu’ils fallaient savoir par coeur, pour une récitation ou un contrôle à l’école ?? Pourtant le coeur, n’est pas le siège de la mémoire
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Par coeur

 

De mémoire (à propos de choses à rapporter / rapportées fidèlement)

Depuis quand le coeur est-il le siège de la mémoire ?
Eh bien il faut aller voir chez les Grecs, à l’Antiquité. Chez ces gens-là, cet organe était le siège à la fois du courage
(le mot à la même racine), de la sensibilité, de l’affectivité ou même de l’intelligence.

Plus tard, malgré une meilleure connaissance du rôle réel du coeur, il est resté associé aux sensations, aux émotions, aux passions…

Au Moyen Âge, il était utilisé dans l’expression « souper par coeur », ce qui signifiait « manger par la pensée / par l’imagination » ou, autrement dit maintenant, « se serrer la ceinture », c’est-à-dire ne pas avoir de quoi manger. On peut aussi dire ‘faire tintin’, surtout si Milou a déjà été mangé en chien chaud et qu’il ne reste vraiment rien à grignoter.

C’est au XVIe siècle, chez Rabelais, que l’expression « savoir par coeur » semble apparaître pour la première fois. On la trouve ensuite chez Choliéres.

Cette utilisation de ‘coeur’ comme siège de la pensée ou de la mémoire s’est maintenant complètement perdue, ce qui rend l’origine de l’expression assez incompréhensible.

Certains évoquent quand même le fait que quand on aime quelqu’un[1], on ne peut pas l’oublier. C’est ainsi que le lien de l’organe à la mémoire serait fait.

[1] Parce qu’il est bien connu que le coeur est le siège de l’amour, non ? Il suffit de demander à ce pauvre Cupidon qui s’évertue à y planter ses flèches !

http://www.expressio.fr

Lettres incurvées


Quelle tristesse de voir des familles qui enfants et parents s’émerveillaient et qu’avec les années de fausses vérités, des mensonges se sont installées pour brisé les liens
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Lettres incurvées

Isolé dans mon coin
Excédé de ma vie
Je mets enfin les points
Aux i de mes envies

Les majuscules tombent
Puis très vite faiblissent
Dans la noirceur des tombes
Avec tous leurs complices

Lettres trop incurvées
Telle l’ove des vieux
Qui après la corvée
Sont expulsé des lieux

Voyant les belles images
Mourir une après l’autre
Ou devenir mirages
Pour l’encens des apôtres

Ces mots sont-ils en cire ?
Liquéfiés goutte à goutte
Sur les flammes de mon ire
Embrasant tous les doutes

Où bois dans la fournaise
D’abus qui les crépitent
Futée cette foutaise
Pour laquelle on s’excite 

Ces outils d’atelier
Soufflés par les déluges
Rives sur les mortiers
Les dictons se transfugent

Les lettres qui jadis
Fleuraient une beauté
Des fleurs du paradis
En faisant sursauter

Au sein de ma cité
Les tisons de l’enfer
N’ont pu phagocyter
De ce qui est amer

Le A, un vieux tréteau
Que le temps a rouillé
Le T, tel un marteau
Que les mains ont souillé

Ces lettres ne sonnent plus
Au ciel de ma famille
Dans leur chut absolu
Las, mon âme vacille

Devenu plaie béante
Plus virulente au cœur
Pourtant chercher l’entente
Pour unifier en chœur

Mais ces liens trop rigides
Ont trituré les veines
De mes passions candides
Qui meurent sous les peines

Rachel Hubert (Nuage) Saïd
7 Juillet 2005