Un homme soupçonné de braconnage tué par un éléphant et mangé par des lions


Braconner des animaux qui sont dans un parc national est interdit et cruel. Cela comporte aussi des risques pour eux. Un braconnier a goûté à sa propre médecine en se faisant piétiné par les éléphants et mangé par des lions.
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Un homme soupçonné de braconnage tué par un éléphant et mangé par des lions

 

(Photo

BRUCE WILLIAMS VIA GETTY IMAGES(Photo prétexte)

Dans le parc Kruger en Afrique du Sud, un homme soupçonné d’être un braconnier a été piétiné par des éléphants.

  • Par Claire Tervé, HuffPost France

ANIMAUX – Tout comme les braconniers, la nature peut être sans pitié. Il ne restait que le crâne humain et le pantalon d’un homme soupçonné de braconnage dans le parc national Kruger en Afrique du Sud. Il aurait été piétiné par un éléphant, puis mangé par des lions, selon plusieurs sources.

Ce dimanche 7 avril, plusieurs médias anglophones, dont la BBC, ont rapporté la mort brutale de cet homme, d’abord annoncée dans un communiqué du parc Kruger. Selon ce dernier, l’homme et plusieurs complices auraient pénétré sur les lieux pour braconner des rhinocéros le 2 avril. Le lendemain, la famille de la victime, ne la voyant pas revenir, a contacté les rangers du parc pour la trouver. Quatre hommes ont été arrêtés, mais le cinquième homme recherché manquait à l’appel.

Il aura fallu attendre jusqu’au jeudi 4 avril pour que la dépouille, ou ce qu’il en restait, soit retrouvée grâce aux recherches et aux indications des complices présumés. Ces derniers ont expliqué que l’homme avait été tué, piétiné par un éléphant.

« Au cours de cette perquisition … les restes d’un corps ont été découverts », a déclaré le parc national sud-africain dans un communiqué. « Les indications trouvées sur les lieux suggèrent qu’une meute de lions avait dévoré les restes, ne laissant qu’un crâne humain et un pantalon ».

Le parc national Kruger, l’une des plus grandes réserves de gibier d’Afrique, est réputé pour sa grande densité d’animaux sauvages, notamment les lions, les léopards, les rhinocéros et les éléphants.

Ce n’est pas la première fois qu’un homme est tué par les animaux sauvages dans cette configuration. En 2018, un braconnier avait également été mangé par des lions, ces derniers ne laissant que « la tête et quelques restes ».

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Des phénomènes naturels étonnant aux quatre coins du monde


Il y a tellement des coins magnifiques sur notre Terre. Chaque endroit est unique avec un paysage époustouflant. Il serait dommage que tout cela disparaisse par notre faute
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Des phénomènes naturels étonnant aux quatre coins du monde

1. La porte de l’enfer, au Turkménistan, est un champ de gaz naturel brûlant en permanence depuis qu’il a été allumé par des scientifiques soviétiques

@sfw.so

2. Situé au plein centre de l’île, le Wai-O-Tapu Geothermal Wonderland est un parc géothermique des plus étonnants.

La star incontestée des lieux, c’est « Lady Knox », un geyser qui projette son eau à plus de 20 m de haut !

@Florian Bugiel/Flickr

3. Le lac Natron est un lac salé au nord de la Tanzanie (Afrique).

Ses eaux chargées de micro-organismes (qui donnent cette couleur écarlate aux fonds) attirent une importante communauté de flamants nains qui se régalent d’algues bleues et qui s’y reproduisent et y nidifient.

@flgoo.com

4. La dépression de Danakil, d’une superficie de 4000 km², est située sous le niveau de la mer (jusqu’à -155m).

Elle s’étale entre l’Éthiopie, l’Érythrée, le sud de Djibouti et l’extrême nord-ouest de la Somalie, entourée de montagnes et de falaises culminant à plus de 4000m d’altitude.

@phununews.vn

5. Le Parc Naturel des Lagunas de La Mata-Torrevieja est situé dans la province d’Alicante.

Il se compose principalement de deux lagunes, le Salinas de Torrevieja, et Salinas de La Mata, dont les eaux ont une couleur rose caractéristique. Les lagunes sont interconnectées et le sel y est exploité.

@David Herraez Calzada/Shutterstock.com

6. Pamukkale (« château de coton » en turc) est un site naturel et touristique de Turquie composé de sources formant une tufière (une création géologique insolite qui occasionne ces concrétions calcaires en formes d’escaliers et de cascades).

@muratart/Shutterstock.com

7. Dans la ville de Genève se rejoignent le Rhône, dont l’eau est claire, et la rivière Arve, dont l’eau chargée en éléments minéraux venant des montagnes et a une couleur gris/beige.

Leur jonction offre un spectacle très spécial, les deux eaux ne se mélangeant pas.

@Elenarts/Shutterstock.com

8. Les rizières en terrasse de Yuanyang, en Chine, s’étendent sur une vaste superficie au sud de la rivière Rouge.

Elles totalisent plus de 11300 ha de rizières en terrasse. Les pentes des rizières en terrasse varient de 15 à 75 degrés. Une rizière peut alors posséder 3000 terrasses !

@asharkyu/Shutterstock

9. Le lac du Croissant de lune, une oasis au milieu d’un désert en Chine.

Situé à environ 6 km au sud de la ville de Dunhuang, dans le nord-ouest de la Chine, ce point d’eau existerait depuis 2000 ans.

@DR Reddit

10. Le Grand Prismatic Spring est un énorme bassin d’eau chauffée à plus de 70 °C se trouvant dans le parc national de Yellowstone.

Il s’agit de la troisième plus importante source chaude au niveau mondial. Chaque minute, plus de deux mille litres d’eau brûlante montent des entrailles de la terre et viennent remplir cette cuvette volcanique aux anneaux bleus, verts, jaunes et ocre.

@windows10free.org

11. Les Salinas Grandes, en Argentine, est un petit désert de sel situé sur les hauts plateaux des provinces de Jujuy et de Salta. Sa superficie est de plus ou moins 12 000 ha, soit 120 km2. Le site se trouve à environ 3 350 m d’altitude.

@flickr.com

12. Le Vermilion Cliffs National Monument abrite bien des merveilles.

La plus connue de toutes est sans aucun doute « The Wave » (traduction : la vague) aux lignes absolument parfaites.

@blaineharrington.photoshelter.com

13. La station de ski la plus connue dans la préfecture de Yamagata est sans aucun doute celle de Zao Onsen.

Chaque hiver, un phénomène naturel célèbre dans le monde entier pour sa beauté se produit. Les rudes conditions climatiques génèrent du givre qui recouvre les arbres donnant ainsi l’illusion de monstres enneigés peuplant la montagne.

@KPG_Payless/Shutterstock.com

14. La structure de Richat, surnommée « l’œil de l’Afrique, est une structure géologique située dans le désert du Sahara en Mauritanie.

Longtemps considérée comme une « énigme scientifique », elle mesure environ 50 km de diamètre et ne s’observe pleinement que depuis l’espace. Depuis les années 2000, il est acquis que la structure de Richat est issue d’une forme rare de volcanisme géant, vieux de 100 millions d’années.

@mashable.com

15. Le parc national des lacs de Plitvice, situé en Croatie, entre les villes de Zagreb et Zadar, et d’une superficie de 296 kilomètres carrés, est formé d’un ensemble de seize grands lacs, reliés entre eux par 92 cascades ou de petites rivières.

@wilderange.org

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Source : ScienceAlert

http://www.demotivateur.fr

Etats-Unis : un homme tombe dans un lac rempli d’eau acide et se dissout


Si dans un parc, il y a des panneaux d’interdiction de ne pas franchir les barrières pour aller plus près d’un endroit, ce n’est pas pour rien. Cet homme est mort et rien ne reste de lui, parce qu’il voulait voir de plus près ce lac dont l’eau est très chaude et contient de l’acide
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Etats-Unis : un homme tombe dans un lac rempli d’eau acide et se dissout

 

Le lac de Yellowstone, aux Etats-Unis.

Le lac de Yellowstone, aux Etats-Unis.

Aux Etats-Unis, dans un parc naturel dans le Wyoming, un randonneur a quitté le sentier balisé, et est tombé dans un lac, celui de Yelloswtone dans le parc naturel du même nom. Partout ailleurs, il aurait pu s’en tirer, sauf que ce lac a la particularité d’être rempli, à certaines saisons, d’eau bouillante… et d’acide.

Les secours militaires ont suspendu leurs opérations de recherche mercredi.

« Ils ont pu récupérer quelques effets personnels », a raconté la porte-parole du parc, Charissa Reid. « Mais il n’y avait aucun reste à récupérer », rapportent les médias américains.

Très dangereux

Colin Nathaniel Scott, 23 ans, originaire de Portland, était en promenade avec sa sœur, dans le parc, mardi dernier. D’après les premiers éléments, il serait sorti du sentier balisé, sans doute pour mieux s’approcher de ce curieux lac. Il aurait parcouru environ 200 mètres sur la croûte du geyser, quand il a glissé et est tombé dans une source d’eau chaude, dans le bassin de Geyser Norris. La sœur de Scott a immédiatement signalé la chute. Les secours ont tenté de s’avancer sur cette très fragile croûte, formée lorsque les minéraux souterrains sont dissous par l’eau à haute température, et se déposent à la surface. Une croûte très mince, et donc friable, par endroits. En raison de ces conditions extrêmes, les secours ont arrêté les recherches mercredi. Pour eux, ces efforts étaient vains : le lac au printemps a une température très élevées, et des eaux acides.

Ce terrible accident a en effet eu lieu dans l’un des zones les plus chaudes de Yellowstone. Zone qui est aussi dangereuse, car si le sentier balisé est en sécurisé, les touristes ont tendance à vouloir s’approcher trop près de la faune, et prennent de vrais risques. Depuis 1890, environ 22 décès ont été recensés, des personnes ayant succombé aux blessures liées à ces fortes chaleurs. La plupart des décès sont dus à des accidents. Deux personnes, néanmoins, étaient décédées après avoir essayé de se baigner dans cette source chaude. Des panneaux avertissent les visiteurs de rester sur les sentiers.

Le bassin de Yellowstone est une vraie attraction populaire, dans le premier parc national du pays, qui a reçu un nombre record de 4,1 millions de visiteurs l’an dernier. La température de l’eau peut atteindre 100 degrés Celsius.

http://www.metronews.fr/

Ils risquent leur vie en sauvant un couguar pris au piège


Dans un parc national de l’Utah aux États-Unis, deux agents ont fait preuve d’un grand courage pour aider un couguar pris au piège. Ils ont usé d’ingéniosité pour le libérer sans le blesser et surtout sans qu’eux-mêmes se fassent mordre.
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Ils risquent leur vie en sauvant un couguar pris au piège

 

Pour une somme importante Un chasseur accusé d’avoir tué le plus célèbre lion du Zimbabwe


Une autre triste histoire du côté animal Les gens sont vraiment égoïstes pour de l’argent, ils sont prêt à tuer un animal protégé ou en voie d’extinction et pire quand ils chassent dans un parc national ou une réserve pour satisfaire des riches cons (pour rester polie)
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Pour une somme importante

Un chasseur accusé d’avoir tué le plus célèbre lion du Zimbabwe

 

(capture d’écran, YouTube – Bryan Orford)

Un riche touriste étranger est accusé de s’être offert la tête du plus célèbre lion du Zimbabwe, vedette du parc national de Hwange en raison de sa crinière noire, tué après une chasse à l’arc, a-t-on appris lundi auprès d’une ONG de protection de la nature.

L’animal, un mâle baptisé Cecil, très populaire auprès des touristes, a été retrouvé il y a deux semaines gisant hors de la réserve.

(Thomas Joyce – site de la BBC)

«L’intermédiaire spécialisé dans les permis de chasse et un chasseur ont été inculpés», a indiqué Johnny Rodrigues, président de l’ONG Zimbabwe Conservation Taskforce. «Nous cherchons encore à établir l’identité et la nationalité du chasseur. 50.000 dollars auraient changé de mains selon certaines allégations qui restent à vérifier».

Le contrevenant – un Espagnol selon des sources proches des autorités du parc, un Américain selon d’autres indications – devrait comparaître pour braconnage avec un intermédiaire soupçonné d’avoir empoché beaucoup d’argent, selon M. Rodrigues.

Ni les autorités du parc, ni la police n’étaient joignables dans l’immédiat.

«Qu’un lion aussi emblématique soit tué, c’est une vraie perte pour le tourisme local et une grande source d’anxiété», a commenté Emmanuel Fundira, président de l’association des opérateurs de safaris.

«Cecil portait un collier. Cela signifie qu’il avait été choisi à des fins de recherches et d’études. Il était aussi populaire auprès des visiteurs de Hwange qui étaient fascinés par sa crinière noire et voulaient toujours savoir où il était», a-t-il ajouté.

Les riches amateurs de chasse, majoritairement américains, sont prêts à payer des fortunes pour pister et tuer des buffles, grands félins, ou autres gros gibiers sur les terres africaines, où la chasse au trophée est légale.

Ils font appel à des intermédiaires qui leur vendent le permis de tuer tel ou tel animal, les bénéfices servant à entretenir les réserves.

La chasse n’est autorisée que dans les réserves privées, pas dans les parcs nationaux comme Hwange, ou le Kruger en Afrique du Sud.

http://tvanouvelles.ca/

 

Le plus vieux parc naturel d’Afrique menacé par le pétrole


La malédiction du pétrole est un vrai cauchemar pour ceux qui veulent défendre des milieux naturels qui abritent nombres d’animaux en péril et cela serait un crime de souiller un des plus vieux parcs naturels qui n’apporterait probablement pas les richesses souhaiter aux pays qui tournent autour de ce parc
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Le plus vieux parc naturel d’Afrique menacé par le pétrole

 

Le parc national des Virunga abrite une biodiversité exceptionnelle.... (PHOTO WWF)

Le parc national des Virunga abrite une biodiversité exceptionnelle.

PHOTO WWF

MARC JOURDIER
Agence France-Presse
Goma, RDC

La plus vieille réserve naturelle d’Afrique, dans l’est de la République démocratique du Congo, a surmonté bien des aléas, mais l’avenir de ce joyau du patrimoine mondial de l’humanité apparaît sérieusement menacé par les convoitises que suscite son sous-sol.

En cause : la détermination d’une petite société britannique, SOCO International, à mener, avec l’appui de Kinshasa, des activités d’exploration pétrolière au sein du parc national des Virunga.

Créée en 1925 sous la colonisation belge, cette zone protégée s’étend sur près de 800 000 hectares à la frontière avec l’Ouganda et le Rwanda. L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) l’a inscrite en 1994 sur sa liste du patrimoine mondial «en péril».

Ironie du sort, cet espace abritant une biodiversité exceptionnelle se trouve en effet au Nord-Kivu, province déchirée par les conflits depuis plus de vingt ans.

Plus que la déforestation, le braconnage, la présence de groupes armés, de soldats, ou de populations installées illégalement dans l’enceinte du parc, ce sont les dommages irréparables que causerait une éventuelle exploitation pétrolière qui inquiètent.

«Cela constituerait un risque de pollution majeur pour le site, situé non loin des sources du Nil», a déclaré au début du mois le commissaire européen au Développement Andris Piebalgs.

SOCO a obtenu en 2010 du gouvernement congolais un contrat de partage de production pétrolière portant sur une concession à cheval sur une partie des Virunga.

À la suite d’une campagne de protestation internationale, Kinshasa a suspendu en 2011 le permis d’exploration attribué à SOCO dans l’attente des résultats d’une «évaluation environnementale stratégique» (EES).

Pour les opposants au projet, parmi lesquels le Fonds mondial pour la nature (WWF) et plusieurs associations locales, c’est insuffisant.

Ils arguent que les contrats et permis attribués par l’Etat violent la loi congolaise sur la conservation de la nature et la convention de l’UNESCO sur la protection du patrimoine mondial.

Ils dénoncent le fait que SOCO soit déjà à l’oeuvre depuis plusieurs mois au sein du parc, car le gouvernement a associé l’entreprise à l’EES, situation pour eux anormale, où elle se retrouve juge et partie.

«La malédiction du pétrole»

«À ce stade, assure SOCO, aucun forage n’est prévu ni garanti»,

mais ses adversaires s’inquiètent des tests sismiques qu’elle s’apprête à mener et affirment qu’il s’agit ni plus ni moins d’activités d’exploration pétrolière masquées aux conséquences graves pour l’environnement.

Kinshasa met en avant la nécessité d’exploiter le pétrole au nom du développement économique de la RDC, un des pays les plus pauvres au monde.

Mais pour Bantu Lukambo, directeur général de l’ONG Initiative pour le développement et la protection de l’environnement, c’est une illusion.

Basé à Goma, la capitale du Nord-Kivu, il cite comme un contre-exemple la ville de Muanda, sur l’océan Atlantique, à l’autre bout du pays, où l’or noir est exploité depuis une trentaine d’années, et refuse d’«accepter la malédiction du pétrole».

Un récent rapport du Comité catholique contre la faim et pour le développement note que «loin de constituer une manne pour le développement», l’exploitation du pétrole à Muanda a plutôt entraîné «pollution» et dégradation de l’environnement.

Pour Thierry Vircoulon, directeur du projet Afrique centrale du cercle de réflexion International Crisis Group, «la confirmation des réserves de pétrole dans l’est exacerberait la dynamique de conflits à l’oeuvre» au Kivu.

Désavouée par le gouvernement britannique, SOCO refuse de s’aligner sur le groupe pétrolier français Total, qui, bien qu’ayant signé avec Kinshasa un accord similaire au sien, s’est engagé à ne pas entrer dans le périmètre du parc.

L’entreprise se justifie en faisant valoir que son intérêt est très limité géographiquement, que son bloc n’englobe pas la zone d’habitat du gorille des montagnes, espèce menacée, et qu’elle «ne cherchera jamais» à développer des activités dans ce secteur.

Peu importe, répond l’UNESCO, exploration et exploitation pétrolières ne sont «pas compatibles» avec les statuts du patrimoine mondial et le parc risque donc d’être déclassé en partie, ce que ses défenseurs veulent à tout prix éviter.

Pour contrer les projets de SOCO, le WWF fait campagne pour convaincre que la RDC a beaucoup plus à gagner sur le plan économique en protégeant le parc et en y développant le tourisme, une pêche et des projets hydroélectriques durables plutôt que de chercher à y extraire du pétrole dont la présence n’a encore rien d’avéré.

http://www.lapresse.ca/