Humoriste, femme, handicapée, arabe, musulmane


J’ai pris cette vidéo chez https://lamourdelavie.wordpress.com. C’est une belle leçon de vie. Cette femme est étonnante et a su captiver son public américain lors d’une conférence humoristique sur sa condition d’une femme atteinte de paralysie cérébrale, mais que grâce à sa famille et sa ténacité pour gravir les échelons, malgré son handicap, ses origines, sa religion et être une femme
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Humoriste, femme, handicapée, arabe, musulmane, américaine

Atteint d’une paralysie cérébrale, ce garçon laisse tomber sa marchette pour finir son triathlon !


Je n’aime pas les sports professionnels … Mais ce genre de sport ou de vrais héros réussissent des exploits exceptionnels sans drogues ni tricheries, avec courage et ténacité mérite beaucoup plus d’encouragement et de fierté
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Atteint d’une paralysie cérébrale, ce garçon laisse tomber sa marchette pour finir son triathlon !

 

 

« C’est mon garçon », s’écrit le père du petit Bailey Matthews lorsque son fils a terminé le triathlon d’une façon absolument incroyable.

Le petit Bailey Matthews, huit ans est atteint d’une paralysie cérébrale. Il a récemment participé au Castle Howard Triathlon avec sa marchette sous la main. Le jeune a complété le 100 m à la nage, une course 4 km de vélo et 1,3 km de course, ses parents ont dit qu’ils étaient « dépassés » par le soutien de la foule, qui était restée dernière pour regarder Bailey terminer l’un des parcours de triathlon les plus difficiles du pays.

Vers la fin du parcours, Bailey a décidé de laisser sa marchette de côté et de terminer la course debout. Malgré qu’il a trébuché 2 fois avant de se rendre jusqu’à la ligne d’arrivée, son exploit a été acclamé par la foule qui n’en croyait pas ses yeux.

Ce garçon a beaucoup de courage et une détermination extraordinaire. Attendez de voir le papa tenir son fils dans ses bas à la toute fin… Un moment rempli d’émotions!

http://www.tropcute.com/

L’idée géniale d’une maman pour faire "marcher" son fils paralysé


Voilà quelque chose de très positif pour un jeune enfant paralysé des jambes. Même si ce harnais ne pourra jamais redonner une autonomie complète en grandissant, juste le fait de jouer et de se déplacer avec un adulte sans béquilles est quand même un atout
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L’idée géniale d’une maman pour faire « marcher » son fils paralysé

 

Upsee, ou comment faire marcher un enfant paralysé.

Un harnais, quelques scratchs et des sandales dédoublées, le génial accessoire inventé par une maman israélienne pour permettre à son fils handicapé de se tenir debout.

HANDICAP – Une ceinture, quelques scratchs et des sandales dédoublées… il n’en fallait pas plus pour qu’un enfant paralysé puisse se tenir debout. Encore fallait-il y penser.

De l’avis des médecins, son fils âgé de deux ans, n’avait pas la moindre conscience de ses jambes, alors pensez s’il pouvait imaginer ce que cela fait de marcher… Victime d’une forme de paralysie d’origine cérébrale, il est acquis que jamais l’enfant de Debby Elnatan ne pourra se dresser sur ses pieds, mais grâce à sa maman, Rotem et bien d’autres jeunes handicapés vont pouvoir se tenir debout aux côtés d’un valide.

Si simple que personne n’y avait pensé

Bien sûr, il n’est pas question de les guérir, mais l’accessoire que Debby a inventé leur offre dès le plus jeune âge une meilleure intégration sociale. Cela ne saurait leur nuire physiquement ; du point de vue de la circulation sanguine, du développement musculaire, des articulations c’est même salutaire ; et pour le développement mental, c’est probablement une bénédiction.

Dans une brève vidéo sur Youtube, on peut voir un autre garçonnet âgé de cinq ans, tout sourire, taper dans le ballon, presque aussi naturellement et avec autant de plaisir qu’un môme bien portant. L’invention est si simple qu’on se demande comment des ergothérapeutes, des médecins, des ingénieurs n’y ont pas pensé avant. Sans doute fallait-il l’amour et la proximité d’une maman pour accoucher de cette géniale idée : un simple harnais et une paire de sandales adaptées.

Un produit à démocratiser

Le prototype conçu par Debby se résume en effet à une ceinture, à quelques bandes « scratch » adaptables à la taille de l’enfant et à des chaussures doubles, pour solidariser les membres inférieurs et les pieds de l’enfant à ceux d’un adulte. Ainsi, le bébé ou l’enfant handicapé peut se tenir à la verticale, se déplacer sans être porté et en gardant les mains libres.

Seul hic dans cette belle histoire qui ne fait que commencer, pour l’heure, le dispositif est assez cher. De l’ordre de trois cents euros, dit-on… La bonne nouvelle est qu’un industriel irlandais, fabricant de jouets, a été convaincu et devrait distribuer les premiers exemplaires commerciaux du « Upsee » début avril. Gageons que le succès et la concurrence aidant, le prix baissera.

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Paralysie cérébrale chez les enfants Une étude donne beaucoup d’espoir


C’est une belle avancée médicale pour éviter aux enfants atteint de paralysie cérébrale d’être plus autonome pour se déplacer
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Paralysie cérébrale chez les enfants : Une étude donne beaucoup d’espoir

 

Une étude donne beaucoup d'espoir

Crédit photo : TVA Nouvelles

Sara est atteinte de paralysie cérébrale, depuis son opération, elle peut marcher toute seule.

TVA Nouvelles

Une étude médicale réalisée à Montréal vient donner de grands espoirs aux parents d’enfants atteints de paralysie cérébrale.

L’Hôpital de Montréal pour enfants et les Shriners ont réussi pour la première fois à mesurer l’efficacité d’une intervention chirurgicale qui permet aux patients d’éviter de se retrouver en fauteuil roulant.

Sara a quatre ans et est atteinte de paralysie cérébrale.

Il y a un an, elle avait beaucoup de difficulté à se déplacer et devait utiliser une marchette. Depuis son intervention chirurgicale subie à l’Hôpital de Montréal pour enfants, elle n’a pratiquement plus besoin d’aide pour se déplacer.

Sara a été opérée pendant huit heures par l’équipe du docteur Jean-Pierre Farmer afin de traiter ses raideurs musculaires et ses réflexes exagérés. On appelle ça la spasticité.

Ils stimulent électroniquement les terminaisons des fibres nerveuses qui acheminent l’influx nerveux des muscles à la moelle épinière dans le dos.

«Les racines d’un nerf […] ça aide un peu à orienter. On divise […] en morceaux, en branches et on stimule chaque branche, après. On coupe les fils où le courant passe moins bien, où il y a un court-circuit, si vous voulez», explique Chantal Poulin, neurologue à l’Hôpital de Montréal pour enfants.

Depuis 1991, 250 jeunes patients ont ainsi été opérés à l’Hôpital de Montréal pour enfants, qui vient de publier la première étude scientifique sur une longue période démontrant les bienfaits de cette méthode.

«Si des muscles sont déjà serrés à 3 ans; à 13 ans puis à 15 ans, tu vas être en chaise roulante, à ce moment-là», affirme le Dr Jean-Pierre Farmer.

Ali Ammar a 24 ans. Il a été opéré à l’âge de deux ans et demi. Il avait beaucoup de difficulté à bouger.

Depuis, il est devenu comédien et a joué le rôle d’une personne atteinte de paralysie cérébrale dans le film québécois Roméo onze.

Le jeune homme donne beaucoup d’espoir à cette mère de famille de Saguenay, dont le fils a été opéré la semaine dernière.

Il pourra maintenant suivre les pas d’Ali.

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Paralysie cérébrale Un traitement différent


Un traitement qui semble faire ses preuves pour améliorer le tonus musculaire et la posture des enfants atteint de paralysie cérébrale. Cela permet pour eux faire des choses eux même qui sans cela des améliorations jusqu’ici seraient vaines
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Paralysie cérébrale → Un traitement différent

 

Un traitement différent

Crédit photo : Agence QMI

Par Ève Lévesque | Agence QMI

Des scientifiques ont mis au point une méthode qui permet à des enfants atteints de paralysie cérébrale d’améliorer leurs mouvements, leur tonus musculaire et leur posture. La technique ABR (Réadaptation biomécanique avancée) a également été conçue pour être enseignée aux parents.

La paralysie cérébrale peut survenir à la suite d’une lésion au cerveau pendant la phase de développement de l’enfant, a expliqué le médecin physiatre Pierre Marois, spécialisé en réadaptation pédiatrique au Centre de réadaptation Marie Enfant du CHU Sainte-Justine.

«Cela peut résulter d’un traumatisme subi dans les premiers mois de la vie, d’une anomalie du placenta. Elle s’exprime par une faiblesse chez l’enfant, un manque de contrôle des mouvements, un manque de tonus et beaucoup de raideurs.»

Or, selon les inventeurs de la méthode ABR, le mathématicien russe Leonid Blyum et son père, un médecin, la lésion cérébrale n’est peut-être pas la première responsable des problèmes physiques résultant de la paralysie cérébrale.

L’équipe d’ABR, composé de médecins sportifs, de physiothérapeutes et de massothérapeute, a donc choisi de s’attaquer directement aux distorsions musculo-squelettiques.

«On n’a aucune idée du message que le cerveau envoie, parce que les mouvements sont bloqués de toute façon, a expliqué Annie Lachaud, directrice d’ABR Canada. Même si on changeait le cerveau endommagé pour un nouveau cerveau, les distorsions physiques demeureraient.»

La réadaptation biomécanique utilisée vise donc à remodeler les tissus ciblés avec une pression légère appliquée de façon répétitive.

Le concept d’ABR est d’enseigner la méthode aux parents afin qu’ils puissent traiter leur enfant tous les jours.

À raison de quatre rencontres de trois jours la première année, puis de deux rencontres par année les années suivantes, les entraîneurs d’ABR établissent avec les parents les exercices prioritaires, et assurent un suivi par Skype tous les deux mois, en plus d’être disponibles en tout temps. De leur côté, les parents doivent travailler avec leur enfant entre 1h et 3h par jour.

«Ces enfants ont tous des distorsions corporelles importantes. On essaie donc de normaliser cette structure, et de l’amener le plus près d’une structure normale. Plus on fait cela, plus l’enfant commence à faire des choses que l’on pensait qu’il ne ferait jamais. L’enfant se redresse, peut s’asseoir sans support, et ainsi de suite.»

Venir de loin pour ABR

Malgré les témoignages de plusieurs parents, il est encore difficile d’évaluer les effets bénéfiques de la méthode ABR. Pour le médecin physiatre Pierre Marois, il s’agit d’une méthode très intense sur le plan psychologique pour les parents.

ABR a disposé d’entraîneurs dans quelques pays. Ouvert depuis 1999, le centre montréalais suit plus de 250 enfants.

Venus de Toronto, les parents de Christopher, âgé de six ans, suivent la technique ABR depuis un an. Ils affirment qu’il s’agit de la technique la plus efficace qu’ils aient essayée.

«C’est avec cela que nous avons le plus de résultats, a affirmé Jo Graci, le père de Christopher. Le tonus de son tronc s’est renforcé, son corps et ses muscles sont bien alignés.»

Ses bras étaient recroquevillés et ses mains étaient toujours en position de poing. Maintenant, ses doigts bougent et ses bras sont relâchés.

«Même s’il s’agit d’un gros engagement en terme de temps, nous nous sommes fait enseigner les techniques et nous pouvons le faire selon notre propre horaire à la maison.»

Ness Elmahti, la maman de Kareem, 3 ans, est aussi impressionnée par les résultats visibles sur son fils.

«Lorsque nous avons commencé les traitements ABR, la tête de Kareem était coincée dans son cou. Il était maigre et ses épaules étaient rentrées. Maintenant, il peut ramper, utiliser ses bras et manger par lui-même.»

L’entraîneuse et physiothérapeute Mariana Barreto travaille avec les enfants atteints de paralysie cérébrale depuis 13 ans.

«Je travaillais au Venezuela, et quelqu’un de ma famille m’a parlé de ABR. J’ai été tellement impressionnée que je suis venue visiter le centre en 2010. Je ne savais pas comment ils arrivaient à ces résultats, alors j’ai voulu apprendre. Et maintenant, je travaille ici.»

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