Des archéologues découvrent les ruines d’un vaste palais maya au Mexique


Je trouve les civilisations maya et Inca tout aussi fascinant que la civilisation égyptienne. Au Mexique, les archéologues ont trouvé un immense palais de la civilisation maya. Il reste encore beaucoup a étudier pour mieux comprendre l’architecture et la vie pendant cette période lointaine.
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Des archéologues découvrent les ruines d’un vaste palais maya au Mexique


Par Emeline Férard –

Une archéologue étudie l’une des structures découvertes au sein de la cité antique de Kulubá au Mexique.© Mauricio Marat/INAH

Dans la cité antique de Kulubá au Mexique, des archéologues ont mis au jour les ruines d’un vaste bâtiment de six mètres de haut et de cinquante mètres de large. Il s’agirait d’un palais construit il y a plus de 1.000 ans et utilisé par l’élite de la civilisation maya.

Dans la jungle du Mexique, des ruines mayas viennent de ressortir de l’oubli. Des archéologues ont annoncé avoir découvert un bâtiment jusqu’ici inconnu dans la cité antique de Kulubá. Localisé à quelque 150 kilomètres de Cancún dans le Yucatán, ce site archéologique est connu depuis les années 1930 mais ce n’est que récemment que des fouilles approfondies ont pu y être démarrées.

Les spécialistes supposent que Kulubá entretenait des liens importants avec les cités mayas d’Ek’ Balam et surtout de Chichén Itzá située à une centaine de kilomètres de là. Une hypothèse que les récentes découvertes réalisées par l’Institut national d’anthropologie et d’histoire mexicain (INAH), dont celle du nouvel édifice, semblent confirmer.

Un palais occupé dès 600

Les ruines mises au jour appartiennent à un bâtiment étendu sur six mètres de haut, environ 55 mètres de long et 15 mètres de large. Si les fouilles sont encore en cours pour tenter d’excaver ses murs, les archéologues ont réussi à collecter de premières informations sur l’édifice. D’après l’INAH, il s’agirait d’un palais construit il y a plus de 1.000 ans qui aurait compté au moins six chambres ainsi que des escaliers.

L’analyse des structures et de matériau découverts sur place suggèrent que le site aurait connu deux phases d’occupation : une première durant le Classique tardif (entre 600 et 900 de notre ère) et une seconde durant la fin de la période classique (entre 850 et 1000). Une chronologie qui semble correspondre à celle de Chichén Itzá, devenue entre 800 et 900, l’une des cités les plus importantes de la région.

« Nous avons trouvé des preuves d’une architecture et de céramiques similaires à celles de Chichén, de l’obsidienne de sources similaires à celle de Chichén ainsi qu’une technique de peinture murale très similaire à celle utilisée à Chichén Itzá », explique dans une vidéo, Alfredo Barrera Rubio, archéologue qui a dirigé les recherches sur place.

Autant de découvertes qui laissent penser que Kulubá était une enclave de la célèbre cité maya. En plus du palais qui aurait été fréquenté par l’élite de la société, les archéologues ont mis en évidence quatre autres structures dans la zone nommée « groupe C » : deux habitations, un autel et une structure ronde qu’ils pensent être un four.

Ils ont également exhumé une sépulture contenant plusieurs squelettes quasiment complets. Des examens sont en cours pour tenter de déterminer le sexe, l’âge, les pathologies ainsi que le mode de vie et les activités des défunts. Néanmoins, les fouilles ne font que commencer sur le site de Kulubá, a confirmé Alfredo Barrera Rubio.

Un site à protéger et restaurer

« Nous commençons à peine à mettre au jour l’une des plus grandes structures du site », a-t-il souligné. « Nous en savons très peu sur les caractéristiques architecturales de cette région, le nord-est du Yucatán ».

Grâce à cette découverte, les archéologues espèrent ainsi en apprendre davantage sur l’architecture de la cité antique de même que sur sa société.

L’un des objectifs est également de protéger et restaurer cet héritage culturel soumis aux éléments et situé non loin d’une région très touristique au Mexique. Les spécialistes planchent actuellement sur la possibilité de reboiser des zones rasées au cours de précédentes fouilles afin de protéger les ruines d’éventuels dommages causés par le vent et le soleil.

Certaines parties de Kulubá, où d’autres structures ont été mises au jour par le passé, sont déjà ouvertes au public.

« À moyen terme », l’INAH espère rendre ces nouvelles ruines, une fois restaurées et protégées, également accessibles.

https://www.geo.fr/

Le Taj Mahal est menacé de destruction à cause de la pollution


Je crois que le Taj Mahal en Inde est aussi connu que la tour Eifel à Paris. Ce mausolée construit dans les années 1650 de marbre blanc et de pierre semi-précieuse. Malheureusement, le Taj Mahal n’a pas été bien entretenu et a perdu son teint dû à la pollution causé par les usines à charbon, des voitures, l’incinération des morts près des bâtiments, des rivières polluées …
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Le Taj Mahal est menacé de destruction à cause de la pollution

 

Taj Mahal matin

Alors, brûme matinale ou smog ? Crédits : Pixabay

par Louison

En juillet 2018, la Cour suprême d’Inde émettait un message très clair :

“Soit nous fermons et demandons la démolition du Taj, soit vous le restaurez ».

La raison de cette menace ? L’absence de restauration décente et de moyens, qui entachent la beauté de la structure.

Aujourd’hui, de plus en plus de clichés du Taj Mahal sont pris alors que celui est passé à une teinte jaunâtre. C’est loin du blanc, du doré et du rose qui sont ses couleurs habituelles selon le moment de la journée. La raison cette dégradation accélérée ? La pollution environnante.

    Les origines du Taj Mahal

    Situé dans la ville d’Agra, dans l’État d’Uttar Pradesh au nord de l’Inde, le Taj Mahal est l’une des 7 merveilles du monde selon le classement de la New Seven Wonders Foundation. Il a été construit par l’empereur Shah Jahan pour témoigner de son chagrin après la mort de sa première femme, Mumtaz Mahal. Le palais est donc un gigantesque mausolée.

    Le Taj Mahal a été construit en marbre blanc translucide, amené à Agra depuis la région du Rajasthan, au nord-ouest de l’Inde. Il a ensuite été incrusté de pierres semi-précieuses, dont le jaspe, le jade, le turquoise, le lapis-lazuli, le saphir et la cornaline. L’ensemble a été achevé en 1653.

    Mais depuis quelques années, le palais s’assombrit

    Même le marbre s’oxyde naturellement : de ce fait, le palais est devenu plus sombre que ce qu’il était à l’époque. Mais cela ne suffit pas à expliquer l’état dans lequel il se trouve aujourd’hui. Les 3 principaux responsables sont les suivants :

    • les pluies acides

    • la suie

    • les polluants atmosphériques

      En effet, les villes indiennes sont connues pour être parmi les plus polluées du monde. En 2017, la capitale de l’Inde atteignait un taux de particules fines PM 2,5 de 1 000 microgrammes par mètre cube d’air. À titre comparatif, Paris est généralement à 35 microgrammes par mètre cube d’air de moyenne annuelle ces dernières années. L’OMS recommande de descendre en dessous des 25 microgrammes pour ce type de particules.

      Taj mahal

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      Crédits : Pxhere

      L’Inde est l’un des plus gros producteurs de tissus du monde. C’est un pays qui fonctionne encore grâce à des usines à charbon, dont les tanneries sont encore actives et dont les habitants achètent de plus en plus de voitures.

      New Delhi inquiète d’ailleurs énormément les climatologues. Ils craignent que la ville devienne tellement toxique que des smogs similaires à ceux de Londres au XXe siècle finissent par se produire. Si c’était le cas, la densité bien supérieure de la population rendrait la situation catastrophique.

      Les traditions ont la vie dure

      En Inde, il est courant que les morts soient incinérés. En effet, il s’agit d’une tradition hindoue. Le problème, c’est que ces feux sont souvent faits à proximité des bâtiments. Pourquoi ? Car la zone autour du Taj Mahal est censée être protégée contre le trop-plein de pollution, donc l’air y est plus respirable (la zone Taj Trapezium)… Cette situation est contradictoire, mais cause de gros dégâts aux murs et aux statues.

      La pollution de la rivière est en cause

      Les villes – mais aussi les rivières – indiennes méritent le titre d’endroits parmi les plus pollués du monde. Les eaux usées et les déchets industriels non traités se déversent dans la rivière Yamuna, créant des eaux riches en nutriments et en vie bactérienne. Tout cela est ensuite capté par le vent et déposé dans les pierres de plus en plus poreuses du palais. Cette situation permet aux micro-organismes de la rivière de prospérer et de colorer les pierres en vert.

      Une autre source de pollution a été pointée du doigt : les excréments d’insectes. Les eaux polluées de la rivière sont une aubaine pour eux aussi. Cependant, même s’il est prouvé que cela a un impact, ce n’est sûrement pas la source principale de pollution.

      Le point de non-retour est-il atteint ?

      Heureusement non, en se basant sur le précédent cas de la cathédrale de Saint-Paul de Londres construite en pierre poreuse aussi. Les scientifiques semblent penser que des actions décisives peuvent encore être entreprises pour sauver le monument

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      Source

      https://sciencepost.fr/

      Une constellation de vestiges Mayas inconnus repérés au Guatemala


      Grâce a des technologies plus poussées, il est possible de voir tous les reliefs mêmes dans des forêts. Il a été utilisé au Guatemala et une découverte d’envergure a été mise à jour un cité maya comprenant pyramides, palais, lieux de culte, habitations, irrigations, terres cultivées
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      Une constellation de vestiges Mayas inconnus repérés au Guatemala

       

      Tikal Lidar

      Restitution 3D du site de Tikal, où une pyramide inconnue a été révélée.

      CRÉDITS: PACUNAM

      Par Bernadette Arnaud

      Des milliers de ruines mayas ont été détectées dans la jungle du Guatemala grâce à la technologie Lidar, révélant l’ampleur insoupçonnée des interconnexions entre cités.

      La découverte est exceptionnelle. Des milliers de structures et bâtiments mayas inconnus, dissimulés sous la canopée depuis des siècles, viennent tout juste d’être repérés par les archéologues. Ces constructions d’envergure comprennent des pyramides, des palais, des centres cérémoniels, mais aussi des ouvrages moins spectaculaires comme des parcelles cultivées ou des habitations. Toutes sont situées dans la jungle du nord du Guatemala, et c’est grâce à l’utilisation du Lidar (Light Detection And Ranging), un système de télédétection aéroportée, qu’elles ont été repérées dans le cadre d’un consortium créé sous l’égide de la Fondation PACUNAM (Patrimonio Cultural y Natural Maya), un fonds de recherche guatémaltèque à but non lucratif créé en 2006. Un projet franco-guatémaltèque, Naachtun, dirigé par Philippe Nondedeo, fait d’ailleurs partie de ce consortium, et a lui-même bénéficié d’une couverture Lidar sur 140 km2

      Ce système laser, couplé à un GPS de haute précision, permet en effet de détecter tous les détails au sol, y compris sous un épais couvert forestier. Il avait été notamment utilisé avec succès sur le site d’Angkor au Cambodge. L’ensemble des points enregistrés au cours du survol aérien est ensuite filtré à l’aide d’algorithmes puissants pour réaliser un modèle numérique du terrain via des restitutions photogrammétriques en 3D. Le Lidar permet ainsi une sorte de déforestation virtuelle digitale qui révèle tous les détails topographiques présents sur de vastes étendues.

      Les relevés Lidar ont révélé que la cité maya d’El Palmar était 40 fois plus étendue qu’on ne le pensait. © PACUNAM

      Cette cartographie numérique s’étend ici sur 2100 km2  découpés en neuf secteurs au nord du Péten, en particulier dans la « réserve de biosphère Maya », créée en 1990 pour protéger la plus grande superficie de forêts tropicales restantes en Amérique centrale. 

      En rouge, les différentes zones archéologiques survolées par le LiDAR, au nord de la région du Péten (Guatemala): El Zotz, La Corona-Achiotal, Holmul, Naachtun, Uaxactun, Xultun-San Bartolo, Tikal, El Peru-Waka et El Tintal. © PACUNAM

      « Le Lidar est une technologie de télédétection aéroportée relativement nouvelle qui permet une cartographie détaillée de la surface de la terre à une échelle très fine. Elle est de loin supérieure aux formes précédentes de cartographie par satellite ou par avion en ce sens que le Lidar peut pénétrer dans la végétation dense. Il est idéal pour les basses terres mayas, où la végétation de la jungle empêche la cartographie traditionnelle », a précisé Michael E. Smith, spécialiste d’archéologie mésoaméricaine à l’Université d’Arizona (Etats-Unis), joint par Sciences et Avenir.

       Les chercheurs ont ainsi découvert l’existence de plusieurs centres urbains, de systèmes d’irrigations sophistiqués et de réalisations telles que des chaussées surélevées pouvant être utilisées pendant la saison des pluies. Ils ont aussi pu pointer plus de 60 000 structures individuelles, qu’il s’agisse de maisons isolées, de réservoirs ou de fortifications. Une pyramide de 30m de haut -précédemment identifiée comme une colline-, a même été détectée à Tikal, pourtant l’une des villes les plus étudiées et visitées du monde maya!

      Comparaison de deux relevés Lidar, à gauche, la région d’El Zotz sous couvert forestier, à droite, la restitution 3D révélant tous les détails du sol et les structures présentes sous la forêt. © PACUNAM / Garrison/ Proyecto Arqueologico El Zotz.

      « Dans certains cas, les centres urbains connus se sont révélés 40 fois plus vastes que ne le montraient les cartes existantes, y compris plusieurs complexes monumentaux considérés auparavant comme des sites distincts », a expliqué Francisco-Estrada Belli, de l’université de Tulane, à la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis), impliqué dans l’étude où il dirige le projet Holmul*.

      L’une des plus importantes informations livrées par ces travaux demeure l’interconnexion ignorée existant entre différentes cités mayas, dans cette région pourtant bien connue des archéologues pour sa richesse architecturale, en particulier à la période dite classique (250 à 900 après JC).

      « La Réserve de biosphère Maya » est en effet célèbre pour abriter une forte concentration d’anciennes cités, dont Tikal, abandonnée au Xe siècle.

      Deux autres vues 3D de Tikal, sans le couvert forestier, obtenues à partir des analyses des relevés Lidar. © PACUNAM

      « N’oublions pas que sur chaque image obtenue, il y a un millénaire et demi d’occupation humaine concentrée ! », rappelle Dominique Michelet, directeur de recherche émérite au Laboratoire d’archéologie des Amériques (UMR 8096) au CNRS, impliqué dans le projet Naachtun.

      Aussi, pour lui, pas question d’interprétations hâtives. 

      « Passer de ces restitutions 3D à des extrapolations sur des chiffres d’occupation par les populations mayas, en évoquant des millions d’individus comme on a pu le lire, est tout simplement ahurissant », a poursuivi l’archéologue.

      Ce que confirme, à sa manière, Michael E. Smith: « Le Lidar va certainement contribuer à révolutionner l’étude de la colonisation et de la démographie des Mayas. Mais nous n’en sommes qu’au stade préliminaire pour établir de jolies cartes 3D… Pas encore celui d’avoir des résultats solides sur les architectures, la démographie ou encore le fonctionnement de ces sociétés « .

      Il faudra donc attendre des analyses plus fines pour obtenir des estimations sérieuses sur la population. Et ces étapes ne font que commencer pour les basses terres mayas, où tout le modèle d’occupation est désormais à revoir. 

      Image de la couverture Lidar de la région de Naachtun (140 km2) indiquant, par un point rouge, chacune des 12 000 structures repérées. © Naachtun/PACUNAM

      Le projet Naachtun

      « Les résultats de l’exploitation de l’imagerie Lidar sur la région du Guatemala au coeur de nos activités ont été un véritable choc », avoue Philippe Nondeneo, directeur du projet franco-guatémaltèque Naachtun, nom d’un important centre maya situé dans la région du Péten et le bassin d’El Mirador, que le chercheur étudie depuis 2011 avec Dominique Michelet. 

      Dans un texte à paraître, les deux chercheurs expliquent que les résultats livrés par la technologie Lidar ont étendu ce territoire d’investigation à 140 km2, soit 70 fois la zone d’étude abordée jusque-là. 12.000 structures de toutes périodes y ont été repérées! Soit une densité d’occupation supérieure à tout ce qu’ils pouvaient imaginer. Finalement, seules les zones marécageuses seraient exemptes de vestiges.

      « Si l’on compare ces résultats à l’ensemble des sites mayas qui ont aussi fait l’objet de cette couverture Lidar, il ressort que Naachtun, par sa densité de structures, est désormais comparable à la grande Tikal ! ».

      https://www.sciencesetavenir.fr

      Le Saviez-Vous ► Le Machu Picchu!


      Le Machu Picchu, un coin que j’aimerais bien visiter, la civilisation Inca qui est particulière par son organisation et sa disparition et il reste les vestiges témoins de leur histoire
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      Le Machu Picchu!

       


      Photo:
      Machu Pichu, Pérou

      Le site du Machu Picchu émeut par ses magnifiques ruines d’une cité jadis majestueuse, perdue dans les nuages au Pérou. Populaire tant auprès des amateurs de plein air que des amants de l’histoire précolombienne,

      La cité des Incas


      Photo:
      Parure en or inca © Museo Larco Herrera

      Située au nord-ouest de la ville de Cuzco et à 7000 pieds au-dessus du niveau de la mer, la cité du Machu Picchu a été construite par le peuple des Incas, alors que ces derniers dominaient la Cordillère des Andes aux 15e et 16e siècles. 


      Photo:
      Palais royal

      Site bien caché en hauteur, s’agissait-il d’une ville réservée aux rois et à l’élite? D’une cité religieuse et sacrée? Le Machu Picchu semble effectivement avoir été une cité pour des privilégiés de la société inca, comme en témoigne entre autres la magnificence de ses vestiges aux pierres parfaitement imbriquées, bien positionnés en fonction des différents escarpements du site. Près de 3000 marches en pierre mènent aux différents bâtiments!


      Photo:
      Temples et palais des montagnes

      Pour faire vivre une communauté à cette altitude, il fallait pouvoir y cultiver la terre. Les Incas ont donc construit un imposant système d’agriculture en terrasses, alimentées par un système d’irrigation relativement sophistiqué. 


      (Source)

      Les bâtiments principaux consistent en des temples, des palais et des habitations luxueuses faites de pierres de maçonnerie assemblées sans mortier. La cité est construite en quartiers incluant le centre de la ville elle-même, une zone agricole en terrasses, un secteur résidentiel et surtout une zone royale/sacrée.


      Photo:
      Ruines du temple du Soleil

      Une ville abandonnée, puis redécouverte


      Photo:
      Hiram Bingham

      Cette magnifique cité semble avoir été abandonnée un peu plus de cent ans après sa construction, soit vers 1530, alors que les Espagnols commençaient leur conquête de l’Amérique du Sud. Les circonstances de cet abandon restent mystérieuses, puisque les conquistadors ne semblent pas avoir atteint le Machu Picchu.

      Le site fut découvert à l’été 1911 par l’archéologue américain Hiram Bingham qui publia un livre, « La fabuleuse découverte de la cité perdue des Incas », un best-seller qui moussa rapidement le tourisme dans cette région.

      Un engouement par ailleurs toujours aussi fort plus de 100 ans après la redécouverte du site! 

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      Spécialisée en histoire ancienne, Evelyne Ferron

      http://www.historiatv.com/