Un lézard à quatre yeux vieux de 49 millions d’années


Une chose que je ne savais pas est que certains vertébrés ont un 3 ème oeil, comme les poissons, amphibiens, reptiles. Mais une espèce de reptile, un varan, avait tant qu’à lui 4 yeux, il y a 49 millions d’années
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Un lézard à quatre yeux vieux de 49 millions d’années

 

Marie-Céline Ray
Journaliste

Des chercheurs américains et allemands décrivent un fossile de varan qui, en plus de ses deux yeux « normaux », possède deux autres yeux sur le haut de la tête. Hormis les lamproies, ces lézards seraient les seuls vertébrés à posséder un quatrième œil.

Certains vertébrés, comme des poissons, amphibiens, reptiles, possèdent un « troisième œil », aussi appelé « œil pinéal » ou « œil pariétal ». Ce troisième œil, assez répandu chez des vertébrés primitifs, dérive souvent de l’organe pinéal. Mais chez les lézards, cette structure photosensible ne dériverait pas de la glande pinéale (l’épiphyse), mais de l’organe parapinéal. Une nouvelle étude de l’université Yale et de l’institut de recherche Senckenberg (Allemagne) apporte une explication.

L’épiphyse (ou glande pinéale) est une petite glande qui contient des photorécepteurs chez les poissons, les batraciens. L’organe pinéal et l’organe parapinéal sont deux diverticules du diencéphale de certains vertébrés (poissons et lamproies). L’épiphyse et l’organe parapinéal jouent des rôles dans l’orientation et l’horloge biologique des animaux.

Le saviez-vous ?

Lors de l’évolution, le complexe pinéal aurait perdu sa photosensibilité, pour jouer davantage un rôle de sécrétion chez les vertébrés à deux yeux. L’épiphyse produit la mélatonine selon un cycle dépendant de l’alternance jour-nuit.

Les chercheurs ont analysé deux fossiles de Saniwa ensidens trouvés dans les années 1870 dans le Wyoming (États-Unis). Ce varan vivait il y a près de 50 millions d’années. Des scanners aux rayons X ont révélé la présence de deux trous en haut du crâne des lézards. D’après les auteurs, ces trous permettaient de connecter le cerveau à deux structures ressemblant à des yeux : l’organe pinéal et l’organe parapinéal. Pour les chercheurs, les deux yeux présents simultanément sur la tête du lézard ne provenaient pas du même organe.

 

Modélisation de la tête de Saniwa ensidens, avec le troisième et le quatrième œil sur la tête. © Senckenberg, Andreas Lachmann

Modélisation de la tête de Saniwa ensidens, avec le troisième et le quatrième œil sur la tête. © Senckenberg, Andreas Lachmann

    Un quatrième œil pinéal derrière le troisième œil parapinéal

    La présence du quatrième œil semble confirmer que le troisième œil des lézards dérive de l’organe parapinéal et non de l’organe pinéal. Krister Smith, le principal auteur de l’article, a expliqué dans un communiqué : 

    « En découvrant un lézard à quatre yeux, dans lequel les deux organes pinéal et parapinéal ont formé un œil sur le sommet de la tête, nous avons pu montrer que le troisième œil du lézard est vraiment différent du troisième œil des autres vertébrés ».

    Ce lézard fossile serait donc le seul vertébré à mâchoire possédant quatre yeux. Les lamproies ont aussi quatre yeux, si l’on considère que la glande pinéale et l’organe parapinéal forment chacun une structure photosensible ressemblant à un œil.

    Les organes pinéal et parapinéal n’ont rien de mystique.

    L’intérêt d’avoir un organe pinéal en-dehors du crâne est d’amplifier la photosensibilité, notamment pour de courtes longueurs d’onde. Chez des vertébrés inférieurs, cet œil pourrait servir à l’orientation, comme l’explique le chercheur : 

    « Il est important de reconnaître que les organes pinéal et parapinéal n’ont rien de mystique. Ils peuvent percevoir la lumière et jouer un rôle dans le système endocrinien. Cependant, certaines capacités conférées par la glande pinéale sont vraiment extraordinaires. Par exemple, certains vertébrés inférieurs peuvent percevoir la polarisation de la lumière avec le troisième œil et s’en servent pour s’orienter géographiquement »

    L’étude paraît dans la revue Current Biology.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Différents vertébrés possèdent un troisième œil sur la tête, provenant souvent de l’organe pinéal (épiphyse).

  • Un lézard fossile possède, en plus de ses deux yeux « normaux », deux autres yeux sur la tête, un pinéal et un parapinéal.

  • Le troisième œil des lézards serait d’origine parapinéale.

https://www.futura-sciences.com/

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On choisit notre route, bien sur, il y a des embuches comme pour tous le monde, mais c’est à nous seul de choisir si nous avançons ou de baisser les bras
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Ce n’est pas le vent qui décide de votre destination, c’est l’orientation que vous donnez à votre voile. Le vent est le même pour tous.

G. Rohn

Reconnaître un chameau ou tracer l’heure: le test auquel a été soumis Trump


Le monde a reçu le bilan de santé sur Donald Trump, à part son poids qui risque d’être un problème, il semble qu’il soit en santé et serait même capable de faire un 2 ème mandat s’il le voulait (pitié non !!!) Ailleurs ont dit qu’il ne veut pas faire des exercices alors il aime mieux un régime, (Adieu McDo, vraiment ???) Pour ce qui est du test pour détecter certains problèmes cognitifs, il parait qu’il est reconnu dans le monde … Septique, mais bon
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Reconnaître un chameau ou tracer l’heure: le test auquel a été soumis Trump

 

Donald Trump... (PHOTO Jonathan Ernst, archives REUTERS)

Donald Trump

PHOTO JONATHAN ERNST, ARCHIVES REUTERS

 

Agence France-Presse
Washington

Dessiner l’heure sur une horloge, savoir nommer un chameau ou encore donner le point commun entre un train et un vélo: voici à quoi ressemblaient les épreuves auxquelles a été soumis le président américain Donald Trump pour détecter d’éventuels troubles cognitifs.

Le dirigeant a obtenu le score maximum de 30/30 à ce test du «Montreal cognitive assessment» (Moca).

«Il n’y a absolument aucun signe d’un quelconque problème cognitif», a ainsi conclu le médecin de la Maison-Blanche, Ronny Jackson, en précisant que M. Trump avait lui-même demandé à effectuer ce test pour faire taire les spéculations.

L’examen, conçu par le docteur Ziad Nasreddine et publié en 2005, est un des plus utilisés dans le monde pour dépister les personnes souffrant de dysfonctionnements cognitifs, en particulier quand il paraît s’agir de troubles légers. Toute inquiétude peut être levée au-delà de 26/30.

Existant en de nombreuses versions et langues, il consiste en un court questionnaire d’une page destiné à mesurer entre autres la mémoire, les fonctions exécutives, les capacités d’abstraction, la concentration, le langage, le calcul, l’orientation dans le temps et l’espace. La durée du test est d’environ 10 minutes.

Les personnes examinées ont instruction de copier un cube, dessiner une horloge indiquant une heure spécifiée (avec une note distincte pour le contour, les chiffres et les aiguilles), reconnaître trois animaux (par exemple un lion, un rhinocéros et un chameau), selon un modèle type mis à disposition sur le site internet officiel du Moca. Voir ici

Elles doivent ensuite répéter une liste de mots (comme visage, velours, église, marguerite, rouge) et de chiffres, se les remémorer un peu plus tard, et exécuter une série de soustractions faciles de type 100-7, puis 93-7 et ainsi de suite.

Si ses détracteurs lui reprochent un vocabulaire limité, le chef d’État américain a réussi haut la main l’épreuve du langage, selon le médecin. Il n’a ainsi eu aucun problème pour redire des phrases telles que: «Le colibri a déposé ses oeufs sur le sable», ou pour énumérer en une minute le maximum de mots débutant par la même lettre.

Parmi les autres exemples de questions: «dites-moi en quoi une montre et une règle se ressemblent», un train et une bicyclette.

Enfin, Donald Trump devait donner le jour, le mois et l’année, de même que l’endroit et la ville où il se trouvait.

Les interrogations sur les capacités mentales de l’hôte de la Maison-Blanche ont été relancées par le livre polémique du journaliste Michael Wolff qui dresse un portait au vitriol de l’ancien magnat de l’immobilier, assurant que son entourage doute de sa faculté à gouverner.

Des compétences que le test du Moca, s’il est unanimement reconnu dans son domaine, ne prétend cependant pas jauger.

http://www.lapresse.ca

Les pesticides perturbent le cerveau des abeilles


Il y aura un temps que nous ne pourrions plus rien faire pour sauver les abeilles .. En Europe, on pense que certains pesticides seraient plus que néfastes pour les abeilles mais on refuse de changer quoique ce soit .. alors qu’il faudra bien un jour… changer nos méthodes se tourner vers des méthodes plus naturelles pour l’agriculture
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Les pesticides perturbent le cerveau des abeilles

 

Les pesticides perturbent le cerveau des abeilles

Photo Reuters

Des pesticides pouvant être utilisés dans les ruches perturbent le fonctionnement du cerveau des abeilles, affectant leurs facultés de mémoire et d’orientation, selon une étude publiée mercredi.

Cette étude paraît dans Nature Communications alors que la Commission européenne propose d’interdire, pendant deux ans, l’utilisation de plusieurs pesticides mortels pour les abeilles. Cette proposition, visant des substances appelées néonicotinoïdes, a été rejetée à la mi-mars par une majorité d’États, mais la Commission a annoncé un nouveau vote au printemps en espérant une entrée en vigueur au 1er juillet.

L’étude s’intéresse aux effets sur le cerveau des abeilles de deux de ces nénicotinoïdes utilisés pour protéger les cultures, ainsi qu’à un autre type de pesticides, appelés organophosphorés, en l’occurrence le coumaphos, parfois utilisé contre le parasite Varroa dans les ruches, selon les chercheurs.

En cas d’exposition à des concentrations similaires à celles constatées en champs, les abeilles subissent des perturbations, ont-ils observé.

«Ensemble, ces deux classes de pesticides montrent un impact négatif plus grand sur le cerveau de l’abeille et semblent inhiber l’apprentissage des abeilles», a indiqué à l’AFP, Christopher Connolly, chercheur au centre de recherche médical de l’université de Dundee (Ecosse) et co-auteur de l’étude.

Le 16 janvier, l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) avait rendu des conclusions, qualifiées d’«inquiétantes» par la Commission européenne, sur l’impact sur le nectar et le pollen des trois néonicotinoïdes que Bruxelles souhaite aujourd’hui suspendre.

Les auteurs de l’étude appellent pour leur part à un examen plus approfondi des alternatives possibles à ces substances, dont les effets sur la santé des abeilles restent faibles, assurent les fabricants, lorsqu’ils sont utilisés dans les règles.

Dans un commentaire, un professeur d’apiculture de l’Université du Sussex, Francis Ratnieks, a estimé pour sa part que les concentrations de pesticides utilisées dans l’étude sont plus importantes que celles constatées dans la réalité.

«Nous ne savons pas si des niveaux faibles de nénicotinoïdes dans le nectar et le pollen des plantes traitées (…) ont des impacts négatifs dans le monde réel», a-t-il estimé.

http://fr.canoe.ca

Votre cerveau vous joue-t-il des mauvais tours?


Nous faisons des choses inconsciemment, certains sont tellement routinier que nous pourrions les faire les yeux fermés. D’autres situations peut nous sembler bizarres, voir inquiétantes.. comme si nous sommes en train de devenir sénile alors que d’autres facteurs sont en cause tel que le stress, la fatigue etc … Comprendre notre cerveau est souvent complexe
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Votre cerveau vous joue-t-il des mauvais tours?

1. Il se met « sur le pilote automatique »

Vous vous dites: « Quand je suis arrivé au stationnement du bureau ce matin, j’ai réalisé que j’avais tout oublié de mon trajet. Comment le cerveau est-il capable de passer en pilotage automatique? »

Dr David Perlmutter, expert du cerveau: Le papillon monarque a un cerveau plus petit qu’une tête d’épingle et, pourtant, il peut migrer sur plus de 3 000 km jusqu’à un endroit précis. Votre gros cerveau peut certainement vous conduire jusqu’au bureau sans participation consciente, bien que je ne le recommande pas. Les activités et les comportements créent des lots d’informations stockées dans le cerveau qui, au fil du temps, deviennent des instructions lorsque ces activités sont répétées. En conditions normales, nous faisons appel à ces instructions pour effectuer des tâches courantes, y apportant de légères modifications au moment où notre environnement change. Si vous aviez vu un gros objet devant vous, votre cerveau aurait fait sauter le pilotage automatique et aurait repris le contrôle pour contourner l’obstacle.

2. Il confond’

Vous dites: « Il y a environ un an et demi, j’ai réservé un vol de dernière minute pour une réunion d’affaires. J’ai dormi durant la plus grande partie du vol et me suis réveillé brusquement quand l’avion a atterri. Après quelques minutes, j’ai finalement ouvert ma serviette et vérifié mon emploi du temps. Ha ha! Une réunion à Toronto. Ce n’est qu’après le trajet de 7 minutes sur l’aérodrome que j’ai réalisé que j’étais dans un aéroport autre que celui où je croyais être. Je sais que je peux avoir été un peu désorienté au réveil, mais pourquoi n’ai-je pas été attentif aux annonces en vol, aux panneaux, ou encore à l’aménagement de l’aéroport? »

Dr Perlmutter: Vous avez déjà mentionné une raison importante de votre confusion. Il est fréquent d’être confus au réveil, surtout quand on a dormi à un moment inhabituel pour notre horloge biologique.

Un autre facteur important est évident. Cette réservation de vol « à la dernière minute». En raison des préoccupations et des contraintes de temps, il est évident que votre esprit était ailleurs. Avec tout ce qui se passait, vous avez été soulagé de trouver la réponse à votre confusion dans votre agenda, de sorte que le reste de votre cerveau s’est détendu et s’est rendu à l’idée erronée que vous étiez à l’aéroport Pearson (Toronto). Avec moins de stress, vous ne connaîtrez pas cette expérience à nouveau.

3. Il a des ennuis avec des visages familiers

Vous vous dites : « Pourquoi ai-je parfois de la difficulté à trouver le nom des personnes proches lorsque je veux les présenter. C’est arrivé une fois, au centre commercial, j’étais avec mon meilleur ami. J’ai rencontré un autre ami. Je les ai regardés, je ne pouvais plus me souvenir de leurs noms, et j’ai finalement dit: « Voulez-vous, s’il vous plaît, vous présenter l’un à l’autre? Pourquoi est-ce arrivé?»

Dr Perlmutter: L’information était très bien codée dans votre cerveau; le problème était sa récupération. Il se peut que de voir votre ami dans le centre commercial vous ait surpris en quelque sorte, ou inquiété sur la bonne façon de gérer la situation. L’émotion a temporairement bloqué votre système de récupération. C’est tout à fait normal. Maintenant, voici la mauvaise nouvelle: parce que cela vous est arrivé et que l’expérience a été embarrassante, toute situation semblable pourrait devenir source d’anxiété. Si le cerveau « se fige », cela pourra se reproduire. C’est une forme courante de trac. Comme un acteur, essayez de dire vos « répliques » au fur et à mesure que se déroule l’action et vous vous en sortirez très bien.

4. Il est différent de celui de votre mari’

Vous vous dites: « Mon mari peut conduire ou être conduit et se rappeler du chemin à suivre, des mois plus tard, même si c’est dans une autre province. Par contre, je me perds encore dans ma propre ville, à moins de suivre un itinéraire connu… Y a-t-il un centre de l’orientation dans le cerveau? Ou est-ce que son cerveau a une meilleure mémoire (bien qu’il oublie d’acheter du lait)?»

Dr Perlmutter: Bonne observation! En fait, le lobe pariétal droit et d’autres zones du cerveau sont spécifiquement impliqués dans le processus d’apprentissage et du souvenir des directions et de l’orientation. Les hommes semblent avoir une meilleure compétence en cela que les femmes. Les femmes, d’autre part, sont plus habiles à la lecture de signaux émotionnels humains. Différentes personnes, différents talents

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Révisez périodiquement votre vie


Quand rien ne va plus, il serait avantageux de s’assoir et de réfléchir sur nos choix, sur notre vie, sur les buts que nous avons envisager pour réorienter notre parcours … Faire ce genre d’exercice mentale de temps a autre ne sera que plus bénéfique pour nous …
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Révisez périodiquement votre vie

 

 

"L’homme doit régulièrement réviser sa vie pour trouver l’équilibre entre l’idéal et la réalité."

Parfois, notre routine quotidienne fait en sorte que la vie prend une orientation qui nous éloigne de notre idéal de bonheur. Nous avons alors tendance à oublier nos valeurs profondes et nous sommes absorbés par nos activités prosaïques. Celles-ci font en sorte que nous sommes parfois obsédés par les acquisitions matérielles, par nos caprices, par nos titres, notre position sociale, etc. Conséquemment, il est salutaire de réviser périodiquement notre vie afin d’effectuer un triage pour ne conserver que ce qui est vraiment utile.

"La seule façon d’atteindre son but avec une boussole est de se réorienter régulièrement."

Périodiquement (par exemple tous les trois mois), examinez votre vie pour déterminer si elle est en accord avec vos objectifs de bonheur. Une telle révision peut être facilitée par les questions suivantes :

  • Qu’est-ce qui était vraiment important pour moi ?
  • Quelles sont les choses que je voulais améliorer ?
  • Sur quels sujets ai-je progressé et pourquoi ?
  • Sur quels sujets ai-je reculé et pourquoi ?
  • Est-ce que je suis heureux ?
  • Est-ce que mes activités me conduisent vraiment là où je veux aller ?
  • Si j’apprenais que j’allais mourir aujourd’hui, est-ce que je serais satisfait de ma vie ?

Lorsqu’ils font le bilan de leur vie, plusieurs reconnaissent qu’ils ont gaspillé leurs forces, leur santé, leur joie de vivre dans des activités qui n’en valaient pas vraiment la peine. Bien sûr, ils en ont retiré quelques avantages, surtout matériels. Mais plusieurs ont des regrets car ils s’aperçoivent qu’ils ont dévié d’une façon de vivre qui les rapprochait de leurs idéaux. Les réorientations de vie ont pour objet de nous ramener sur le bon chemin ; soit le chemin que l’on a choisi soi-même, non pas celui que la vie moderne superficielle tente de choisir à notre place.

"Est-ce qu’il existe une chose plus importante que de bien orienter sa vie ?
Non, car tout le reste en dépend."

Denis St-Pierre