Ce chat mort appelé Pika­chu va être envoyé en orbite autour de la Terre


Bien que je comprends la tristesse du maitre du chat décédé, je trouve que payer 5 000 $ us pour qu’une partie de ses cendres puisse être en orbite autour de la terre, me parait exagéré. En fait que ce soit des animaux ou des êtres humains, ce sont des dépenses onéreuses
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Ce chat mort appelé Pika­chu va être envoyé en orbite autour de la Terre

 

Crédits : Steve Munt

par  Malaurie Chokoualé

 

Pika­chu va avoir droit à un enter­re­ment cosmique. Le proprié­taire de ce chat roux décédé en janvier dans l’Ore­gon, aux États-Unis, n’a pas pu se résoudre à l’en­ter­rer humble­ment

 Il va donc envoyer les cendres de son animal de compa­gnie bien-aimé dans l’es­pace, rapporte le site Space.com, ce qui fera de Pika­chu le premier chat inci­néré à repo­ser en orbite.

En janvier 2018, on a diagnos­tiqué à Pika­chu une forme de diabète. Suite à de nombreuses compli­ca­tions, le chat a été hospi­ta­lisé à deux reprises avant de s’éteindre en janvier 2019, devant ses maîtres en larmes.

Steve Munt espère désor­mais pouvoir envoyer « une partie de ses restes, de son cœur » en orbite, d’où « il surveillera la Terre, et nous pour­rons suivre son empla­ce­ment alors qu’il déver­sera son amour sur le monde ».

C’est grâce à la start-up texane Celes­tis Pets – la branche pour animaux de compa­gnie de la société Celes­tis, qui lance des restes humains inci­né­rés dans l’es­pace – que Pika­chu s’élè­vera pour un dernier voyage « dans le cadre d’une mission spatiale réelle, embarquant un satel­lite commer­cial ou scien­ti­fique ».

Depuis le début de son exis­tence en 2014, Celes­tis Pets a déjà mis en orbite les restes de deux chiens. Munt voulait que Pika­chu soit le premier chat. Offrir une sépul­ture spatiale à son compa­gnon coûte près de 5 000 dollars, somme que Munt dit avoir déjà payé.

Sur la campagne de collecte de fonds GoFundMe qu’il a créée le 27 janvier, Munt tente à présent de rassem­bler 5 000 dollars pour rembour­ser ses frais, même s’il a expliqué à Space.com que ce n’était plus sa préoc­cu­pa­tion première.

« Aidez-nous à écrire l’his­toire et à assu­rer la place de Pika­chu dans les cieux en tant qu’ange gardien de cette Terre », écrit-il. Le lance­ment est attendu « dans les 18 prochains mois ».

 

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Dans l’Oregon, un homme survit cinq jours dans sa voiture enneigée grâce à des paquets de sauce piquante


C’est Taco Bell qui va être content ! C’est une belle publicité pour eux. Lors d’une tempête de neige en Oregon aux États-Unis, un homme et son chien ont vécu 5 jours dans l’auto  trop enterrée dans la neige. Il a survécu avec de la sauce piquante du restaurant Taco Bell.
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Dans l’Oregon, un homme survit cinq jours dans sa voiture enneigée grâce à des paquets de sauce piquante

 

Une voiture enneigée | MoneyforCoffee via Pixabay License by

Une voiture enneigée | MoneyforCoffee via Pixabay License by

Repéré sur The Guardian

Repéré par Christophe-Cécil Garnier

C’étaient des sauces de la marque Taco Bell.

Jeremy Taylor partait tranquillement faire le plein d’essence du côté de Sunriver, dans l’état américain de l’Oregon, quand il se retrouva coincé dans une tempête de neige sur la route. Accompagné de son chien, Ally, il s’endormit dans sa voiture, en espérant que la neige allait passer. Sauf que lors de son réveil, plus de neige était tombée encore, raconte le Guardian.

Il a alors tenté de sortir de sa voiture mais la quantité de neige était trop importante. Il a ensuite pris la décision de retourner dans sa voiture avec son chien. Il a survécu dedans pendant cinq jours, du 24 au 29 février, en mangeant des paquets de sauce piquante de chez Taco Bell, une chaîne de restauration américaine, et en allumant le moteur de sa voiture pour se chauffer. Il a ensuite été retrouvé par une motoneige. Les autorités ont ensuite déblayé la voiture grâce à un tracteur.

«Merci à tout le monde, a déclaré Jeremy Taylor sur Facebook. J’ai vraiment apprécié l’aide que vous m’avez apportée. J’ai eu de la chance, mais je ne le ferai plus jamais».

À un commentaire qui lui demandait comment il avait mangé trois paquets de sauce piquante Taco Bell durant cette épreuve, il a répondu en plaisantant: «La fire sauce de Taco Bell sauve des vies!».

L’homme de 36 ans et son chien ont été trouvés en bonne santé par les autorités mais «étaient affamés» indique le quotidien anglais.

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États-Unis : un puma fait la sieste dans son canapé, elle attend six heures dehors


Un invité très inusité, c’est installer sur le sofa dans le salon d’une maison. Un puma ! La dame l’a laissé tranquille et s’est mit en retrait. Lors d’un de ses moments de demi-réveil de l’animal, elle est restée près du chat sauvage en clignant des yeux, pour le calmer. À mon avis, elle a pris des risques .. Enfin tout s’est quand même bien passé. Le puma a bien dormi et les gens ont pu reprendre possession de la maison.
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États-Unis : un puma fait la sieste dans son canapé, elle attend six heures dehors

Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste (illustration)./

Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste (illustration)./

Une habitante de l’Oregon, aux États-Unis, a reçu une drôle de visite, dimanche 15 juillet. Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste. L’Américaine, qui ne voulait pas le déranger, a dû attendre pas moins de six heures dans son jardin, le temps que l’animal se réveille.

Dimanche 15 juillet, Lauren Taylor, une habitante de l’Oregon (États-Unis) a découvert sur son canapé un drôle de visiteur. Alors qu’elle entrait dans son salon, l’Américaine a remarqué deux yeux qui brillaient derrière son canapé. Lauren Taylor s’est alors rendue compte qu’il s’agissait d’un puma.

L’animal s’était immiscé par la porte arrière de sa maison, laissée ouverte. Le puma, trouvant sans doute le canapé confortable, en a profité pour faire une longue sieste, rapporte Mashable.

Elle est restée très calme et en retrait

Sur Facebook, la jeune femme se présente comme une connaisseuse des « énergies » et se dit être une habituée des animaux sauvages. Elle explique être restée très calme tout en se contentant de rester en retrait dans son salon, sans que l’animal n’en sorte.

« Mais après qu’une personne présente également dans la maison a claqué une porte, la lionne a commencé à s’agiter et a tenté de sortir par une fenêtre fermée. Au bout de quelques minutes, elle s’est à nouveau calmée », raconte-t-elle.

Lauren Taylor explique qu’elle est ensuite sortie dans son jardin pour observer l’animal endormi depuis une fenêtre.

 « Je voulais voir ce qu’elle faisait et elle était en train de dormir ! Quand j’ai fait un peu de bruit, elle s’est réveillée et avait l’air surprise, alors je l’ai regardée chaleureusement dans les yeux, et j’ai utilisé le système des clignements d’yeux des félins pour l’apaiser. C’était incroyable de réaliser que ça avait marché. Et puis elle s’est rendormie », détaille l’Américaine.

Une sieste de six heures

La jeune femme a alors patienté six longues heures. Lauren pense que ce sont les récents feux de forêt dans la région qui ont poussé l’animal sauvage à se rapprocher des habitations.

« Nous avons compris qu’il ne restait que quelques heures avant que le soleil ne se lève. Nous devions l’inviter à partir sans trop l’inquiéter au point qu’elle panique », explique l’Américaine.

Tout doucement, ses colocataires et elle-même ont alors ouvert des portes de la maison et ont commencé à frapper sur des objets pour faire fuir le puma. Sa sieste terminée, l’animal s’est paisiblement dirigé vers l’extérieur puis a disparu dans un champ proche de la maison.

ladepeche.fr

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Le Saviez-Vous ► Avant les arbres, des champignons géants recouvraient la Terre


On se doute qu’il y ait 420 et 350 millions d’années le paysage de la Terre était complément différent de ce que l’on voit aujourd’hui même en pleine nature. Alors quelle sorte de végétation pouvait-il exister à cette époque. Des champignons ?
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Avant les arbres, des champignons géants recouvraient la Terre

 

Entre 420 et 350 millions d’années, les arbres n’existaient pas. À la place, d’énormes champignons pullulaient à la surface de la planète. Leur pied mesurait parfois jusqu’à huit mètres de haut et un mètre de diamètre. Comme l’a révélé National Geographic, c’est la découverte d’un fossile en Arabie saoudite qui a permis d’établir ces conclusions.

« Un fungi (champignon) de six mètres de haut serait assez étrange dans le monde d’aujourd’hui, même si nous sommes désormais habitués à des arbres bien plus hauts », explique C. Kevin Boyce, géophysicien à l’université de Chicago, aux États-Unis. « Les plantes à cette époque-là n’étaient pas bien hautes, les animaux invertébrés étaient petits et les vertébrés terrestres n’existaient pas. Ce fossile était sans doute des plus imposants au cœur d’un tel paysage. »

Ce genre de fossiles, baptisés prototaxites, ont été pour la première fois découverts en 1859. Mais personne n’a su de quoi il s’agissait jusqu’en 2007. Certains scientifiques appelaient cela du lichen, d’autres des fungis, d’autres les associaient à des sortes d’arbres. En vérité, lorsqu’on observait leur anatomie, cela évoquait beaucoup de choses différentes, mais nul ne savait quoi, explique le professeur Boyce.

Cela dépassait également toute logique géologique. Qui pouvait bien croire à un lichen de 20 mètres de haut ? Lorsque l’étude est parue en 2007, elle n’a que peu convaincu.

Certains chercheurs ont même essayé de réfuter cette hypothèse en affirmant dans une contre-étude que les prototaxites étaient en fait des hépatiques, une variété de plantes ayant conservé beaucoup de caractères ancestraux. Puis de reconnaître, dans une étude suivante, qu’il s’agissait peut-être finalement de champignons.

Ces fossiles conservent encore une part de mystère et ne mettent pas tout le monde d’accord. Le plus grand organisme vivant jamais observé sur Terre est un de ces champignons/ lichen/on ne sait pas vraiment quoi. D’après ABC, il s’étendait sur plus de 890 hectares, dans une forêt de l’Oregon, aux États-Unis.

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Un tsunami apporte des espèces marines jamais vues dans les eaux de la côte ouest


Vous souvenez qu’en 2011, avait eu lieu à un tsunami monstre au Japon. 4 ans après, à l’ouest de l’Amérique du Nord. Au Canada, des espèces étrangères et du plastique se sont retrouvé dans nos eaux. Depuis, les scientifiques essaient de trouver si ces nouveaux venus sont des espèces invasives et cela ne semble pas causer de problème pour le moment. Cela montre que l’océan ne connait pas de frontières
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Un tsunami apporte des espèces marines jamais vues dans les eaux de la côte ouest

 

Des limaces de mer

Des limaces de mer prisonnières d’un bateau japonais qui a dérivé jusqu’en Oregon à la suite du tsunami de 2011.   Photo : John W. Chapman/Associated Press

Des débris du tsunami de 2011 au Japon ont migré jusqu’en Amérique du Nord, livrant ainsi une vie marine jamais observée dans les eaux de la Colombie-Britannique.

Des matériaux de plastique qui ont mis quatre ans à traverser l’océan Pacifique transportaient sur eux des poissons et des invertébrés, explique le scientifique James Carlton, dont la recherche a été publiée dans le journal Science.

Son équipe a trouvé 289 invertébrés marins et deux espèces de poissons étrangers à l’écosystème de la côte ouest. Les chercheurs se doutaient que certains arriveraient à parcourir les 7500 kilomètres qui séparent les côtes japonaises de celles du Canada, mais n’avaient aucune idée du nombre d’entre eux qui survivraient à la traversée de quatre ans.

« C’est fascinant d’observer la rencontre et le mélange d’espèces de deux écosystèmes marins », raconte James Carlton.

On a trouvé des étoiles de mer, des éponges, une grande variété de mollusques, des crabes, une sélection surprenante d’espèces qui ont survécu au voyage. James Carlton, scientifique maritime

Deux étoiles de mer japonaises dans la main d'une personne

Des étoiles de mer japonaises trouvées sur un quai en provenance de Misawa échoué près de Newport en Oregon   Photo : John W. Chapman/Associated Press

 

Les chercheurs croient que les changements climatiques qui accroissent la gravité des tempêtes pourraient aider à propulser la vie marine à l’extérieur de ses frontières habituelles.

Des traces d’Orient à Ucluelet

Les premières trouvailles provenant du tsunami ont été aperçues en Oregon en 2012 et par la suite sur la côte de l’île de Vancouver.

En 2013, la responsable des services d’urgence d’Ucluelet, en Colombie-Britannique, Karla Robison, a installé une station d’observation. Son équipe a découvert des débris en provenance du Japon et sur eux une petite moule.

« J’ai compris que c’était un moment important. »

La plupart des espèces trouvées n’avaient jamais été vues ni en Amérique du Nord ni dans les îles hawaïennes. James Carlton, scientifique maritime

Des dizaines de milliers de moules

« Quand le premier quai est arrivé, il était entièrement couvert de moules, des dizaines de milliers de moules japonaises drapées dans les algues, raconte James Carlton. On ne sait pas combien d’espèces ont entamé le grand voyage et combien ont été détruites par le tsunami. »

Un quai japonais couvert d'espèces marines échoué sur la côte de l'Oregon

Un quai japonais couvert d’espèces marines échoué sur la côte de l’Oregon   Photo : James Carlton

Tâche ardue pour les scientifiques : déterminer quelles espèces étrangères pourraient menacer la survie de la vie marine indigène de la côte ouest nord-américaine.

« C’est une roulette écologique, avoue James Carlton. Des espèces qui n’ont jamais manifesté de tendance à l’invasion peuvent devenir une menace dans un nouvel environnement avec de nouveaux prédateurs et compétiteurs. »

Pour l’instant, aucune espèce invasive n’a été observée et cela pourrait prendre des années pour qu’un tel phénomène se produise ou que les scientifiques puissent le détecter.

Ce qui se passe dans l’océan montre notre interconnectivité. Les frontières sont une illusion.

Karla Robison, responsable des services d’urgence d’Ucluelet

Karla Robison affirme que les nouveaux venus dans les eaux de la côte ouest illustrent qu’il n’y a qu’un seul environnement planétaire et démontrent aussi l’importance de réduire la production de plastique.

ici.radio-canada

Un Américain meurt «en paix» après qu’on lui a dit que Trump venait d’être destitué


Non, malheureusement Donald Trump n’a pas été destitué, mais pour faire plaisir à son ex mari avant sa mort en lui disant qu’il était destitué, elle pense qu’il est parti apaisé vers la mort. Quoiqu’il en soit, il est certain que son ex mari n’a pas voté pour Trump
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Un Américain meurt «en paix» après qu’on lui a dit que Trump venait d’être destitué

 

Brendan Smialowski / AFP

Brendan Smialowski / AFP

Repéré par Grégor Brandy

Repéré sur The Hill, CNN, The Oregonian

Mais non, promis, la destitution n’a pas vraiment eu lieu.

 

Pendant la campagne présidentielle américaine, les médias avaient parfois parlé de ces avis de décès et nécrologies où il était écrit qu’une personne qui venait de mourir appelait à ne pas voter pour tel ou telle candidat(e). Visiblement, la tendance n’a pas pris fin avec la fin de la campagne et l’élection de Donald Trump, puisque The Hill rapporte l’histoire d’un homme dans l’Oregon (dans l’Ouest du pays), dont la nécrologie explique qu’il est mort «en paix» après qu’on lui a dit que Donald Trump venait d’être destitué.

Cette nécrologie a été publiée dans le quotidien local The Oregonian, et on peut y lire ceci.

«Michael Garland Elliott est mort paisiblement le 6 avril 2017, entouré par ceux qui l’aimaient profondément et qui avaient pris soin de lui de façon désintéressée, pendant les derniers mois de sa vie. Il était né à Charlottesville, en Virginie, en 1940 ou 1941 (il ne savait honnêtement pas!) et était élève au lycée Lane, où il a brillé sur les terrains de basket. […] Mike n’avait plus de famille depuis longtemps, et laisse derrière lui son ex-femme et sa meilleure amie, Teresa Elliott. Même si leur mariage avait fini en divorce, leur amitié n’en était devenu que plus forte, et sa voix fut la dernière que Mike a entendue. La dernière chose qu’elle lui a dit est: “Donald Trump a été destitué.” En entendant ces mots, il a rendu un dernier et doux souffle, et son temps sur Terre venait d’arriver à sa fin. Mike manquera à tous, et ne sera jamais oublié. Une cérémonie digne de ce nom est prévue pour le mois d’août.»

Par souci de précision, CNN rappelle que Trump n’a pas été destitué, «mais on peut légitimement penser qu’Elliott n’était pas un fan du président».

Le meilleur de ces trolls date néanmoins d’avant l’élection, quand on avait pu lire qu’une femme de 68 ans, originaire de Virginie (dans l’Est du pays) avait préféré mourir plutôt que de choisir entre Donald Trump et Hillary Clinton, continue le site de la chaîne américaine.

«Son mari, Jim avait ensuite indiqué à NBC que l’un de ses fils avait écrit la nécrologie, et qu’il fallait y voir une blague, une façon pour la famille de préserver son sens de l’humour.»

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Atteint de vitiligo, ce chien au passé douloureux est aujourd’hui très heureux


Même les animaux peuvent souffrir de vitiligo. Cette dépigmentation de la peau, donne un air assez spécial au labrador
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Atteint de vitiligo, ce chien au passé douloureux est aujourd’hui très heureux

 

Rowdy est probablement le toutou le plus heureux de tout l’Oregon. Et pour cause, atteint de vitiligo et déjà passé deux fois à une patte de la mort, il savoure désormais la vie plus que quiconque…

Avec ses incroyables tours d’yeux décolorés qui lui confère des airs de panda inversé ou encore, de Spawn, Rowdy le labrador noir est d’une beauté aussi rare qu’incroyable. Et si son étonnante pigmentation n’est pas due à la peinture mais au vitiligo, rassurez-vous : il ne souffre pas !

Le vitiligo ? C’est une dermatose qui cause justement une dépigmentation. Mais celle-ci est loin de l’empêcher d’être heureux !

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rowdy labrador vitiligo

rowdy labrador vitiligo

rowdy labrador vitiligo

Il profite de la vie

Et pour cause, il sait mieux que quiconque la valeur de cette dernière. Du haut de 14 ans, qu’il a fêté ce 5 mai, il a déjà échappé deux fois à la mort : une première fois en s’empoisonnant avec l’eau d’une rivière et la seconde fois, ce sont des policiers qui lui ont accidentellement tiré dessus lors d’un braquage !

rowdy labrador vitiligo

rowdy labrador vitiligo

rowdy labrador vitiligo

Par Deborah Koslowski

Crédits photo : Instagram – @white_eyed_rowdy

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Le sauvetage d’un bébé grand-duc tombé du nid


C’est un sauvetage vraiment extraordinaire. Réussir a sauver un oisillon et après quelque temps le remettre dans son nid et être accepté par les siens est vraiment impressionnant
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Le sauvetage d’un bébé grand-duc tombé du nid

 

Le sauvetage d'un bébé grand-duc tombé du nid

L’oisillon secouru par les bénévoles du refuge.Capture d’écran Gentside Découverte

Il arrive parfois que des oisillons malchanceux finissent, pour diverses raisons, par tomber de leur nid. Abandonnées du cocon familial, ces petites créatures fragiles et sans défense n’ont généralement aucune chance de survivre.

Fort heureusement, ce bébé grand-duc d’Amérique a été retrouvé au bon moment par les bonnes personnes. Une famille prévenante a identifié le petit rapace au pied d’un arbre et a jugé que son état était bien trop critique pour le laisser se débrouiller tout seul. Ils ont donc appelé le Chintimini Wildlife Center, basé dans la ville de Corvallis, en Oregon.

Les bénévoles de l’association ont rapidement pris en charge l’oisillon et l’ont nourri durant trois jours le temps que celui-ci se remette et reprenne des forces. Le bébé a été manipulé avec des gants et des masques pour être sûr qu’il soit encore reconnu par sa famille après son séjour au refuge. Au final, les soins apportés ont permis au petit de tripler pratiquement de taille.

UN RETOUR AU NID

Désormais bien en forme, celui-ci a été ramené dans son milieu naturel. Les membres du centre de réhabilitation ont passé près de six heures à rechercher son nid en s’aidant des signalements de la familles et en écoutant les cris des oiseaux. Après plusieurs tentatives, ils ont finalement réussi à  identifier le nid. Celui-ci se situait dans un arbre à plus de 20 mètres de hauteur.

Une société arboricole a été appelée en renfort pour acheminer l’oisillon jusqu’au nid. Selon les membres du refuge, l’opération s’est déroulée avec succès sous l’oeil attentif des parents surveillant la scène un peu plus haut. Le bébé a été accueilli dans le nid par sa grande soeur et a pu continuer à grandir tranquillement.

L’initiative est une petite victoire pour les responsables en charge de la conservation des grand-ducs d’Amérique. Cette espèce est en effet actuellement menacée par la destruction de son habitat et par la contamination de certaines de ses proies par les pesticides ou autres substances toxiques. 

http://fr.canoe.ca/

Tuerie en Oregon : une communauté qui refuse de rendre ses armes


Les Américains tiennent à leurs armes et ce que cela donne à penser pour les gens de l’extérieur,que les fusillades fait partie de la vie, tant pis s’il y a des morts, les armes ne sont pas en cause Pourtant, cela semble clair qu’avoir une arme accessible est plus dangereux d’avoir des morts inutiles et violentes Bien que la nouvelle règlementation puisse vérifier le passé psychologique, cela ne garantit en rien la diminution des fusillades. Personnellement, je ne trouve pas rassurant de savoir que des voisins seraient armés juste pour se sentir en sécurité
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Tuerie en Oregon : une communauté qui refuse de rendre ses armes

 

10 morts dans une fusillade en Oregon

10 morts dans une fusillade en Oregon Photo :  Steve Dipaola / Reuters

Un texte de Raphaël Bouvier-Auclair

En Oregon, les autorités ont confirmé que le tireur qui a tué 9 personnes sur le campus Umpqua de Roseburg avait 14 armes en sa possession, dont 6 qu’il avait avec lui sur le site de la fusillade. À Roseburg, le drame change néanmoins peu les opinions sur le contrôle des armes.

Dans le petit marché qui est installé tous les samedis à Roseburg, on trouve de tout. Fruits, légumes et fleurs de toutes les couleurs. Mais l’ambiance est toujours très sombre dans la petite ville où 10 personnes ont trouvé la mort dans la fusillade de jeudi.

Tout le monde pense et discute de ces événements, du deuil que vit la communauté, mais aussi du débat entourant le contrôle des armes à feu.

Dans la soirée qui a suivi le drame, le président américain Barack Obama a lancé un plaidoyer contre la résignation entourant la question des armes à feu.

Pour Jim Leet, qui vend ses légumes au marché de Roseburg, cette sortie du président était politique et n’était pas appropriée.

« Enlever les armes à feu n’est pas une solution », dit-il ajoutant qu’il faut s’intéresser à l’état psychologique des personnes qui pourraient commettre ce genre d’attaque.

« C’est comme si un enfant commet un acte avec quelque chose avec et qu’on confisque à tous les autres qui n’ont pas été coupable, ça paraît un petit peu extrême », dit de son côté Viviane Pulis, une autre résidente de Roseburg.

Il faut dire que dans la ville de 22 000 habitants du sud de l’Oregon, les fusils sont populaires.

« C’est une communauté où il y a de la chasse et où les armes de différent style sont très nombreuses », lance Bill Tipton, un barbier.

D’ailleurs, dans son commerce, les clients qui attendent de se faire couper les cheveux ou raser la barbe ont le choix entre divers magazines de chasse ou encore un guide d’armes à feu.

« Nous ne voulons pas perdre nos droits sur la question des armes », ajoute-t-il en expliquant qu’il ne croit pas que la fusillade doive changer les choses.

Une opinion semblable à celle de John Hanlin, shérif du comté de Douglas qui s’occupe de l’enquête. Après la tuerie de Newton, au Connecticut en 2012, au cours de laquelle 20 enfants avaient été tués, il avait écrit une lettre au vice-président américain Joe Biden.

Il lui expliquait qu’il jugeait que « toute action contre le second amendement de la Constitution serait irresponsable et constituerait une insulte à l’endroit du peuple américain ».

Il y ajoutait qu’il ne mettrait pas en application des législations qu’il estime anticonstitutionnelles.

Kate Comiskey veut des réformes sur le débat des armes à feu.

Kate Comiskey veut des réformes sur le débat des armes à feu. Photo :  ICI Radio-Canada/Raphaël Bouvier-Auclair

Dans cette région où les armes sont répandues, il n’est donc pas évident de demander des réformes. C’est pourtant ce que fait Kate Comiskey, qui est née et a grandi dans la région.

« On ne se sent pas à l’aise de parler de cela », explique-t-elle.

Si elle croit que « c’est l’heure de changer les choses », elle reconnaît que les réformes devront venir de manière graduelle. Elle se réjouit de la mise en vigueur en Oregon en août d’une nouvelle règlementations qui exige davantage de vérifications sur le passé psychologique et criminel des acheteurs d’armes.

« Si on y va comme ça, dans 50 ans, ça va changer. Mais on doit avoir la patience », lance-t-elle.

Il était une fois en 1968…

En mai 1968, Robert Kennedy, alors candidat aux primaires démocrates, s’était arrêté pour faire campagne à Roseburg en Oregon, où il a entre autres abordé le sujet du contrôle des armes à feu. Sur place, il était attendu par des résidents qui lui montraient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire:

« Protéger notre droit de posséder et de conserver nos armes »

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On a enfin découvert pourquoi l’eau du Lost Lake, en Oregon, disparait dans un trou année après année


La nature est quand même bien fait si on ne dérange pas ses plans. Il y a un endroit en Oregon, d’une rivière existe en hiver et devient une prairie au printemps
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On a enfin découvert pourquoi l’eau du Lost Lake, en Oregon, disparait dans un trou année après année

 

oregon lost lake

Le Lost Lake, en Oregon, est, depuis aussi longtemps qu’on se souvienne, le théâtre d’un phénomène unique.

L’eau s’écoule par le trou de Lost Lake.

Chaque année, lorsque les températures deviennent plus chaudes au printemps, les eaux du lac situé dans la Forêt nationale Willamette disparaissent par un gros trou, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-bas

Selon les propos de Jude McHugh, une porte-parole de la forêt nationale, rapportés par un quotidien de la région,

« le lac se remplit l’hiver parce que l’apport d’eau excède la vitesse du drainage, puis à l’arrivée du printemps, le lac se vide et devient une prairie ».

La porte-parole ajoute que, si quelqu’un décidait de boucher le trou, des inondations en résulteraient.

On a finalement compris l’origine de la crevasse. Il s’agit d’un tunnel de lave, une conduite créée par la lave venant de l’intérieur de la terre qui ressort à la surface. L’extérieur des flots de lave refroidit et devient solide, ce qui forme une conduite permanente. L’infographie ci-dessous résume le processus.

lava tube
Une image produite par le U.S. Geological Survey.

McHugh ajoute que l’eau qui s’écoule du Lost Lake par le tunnel de lave remplit le réseau sous-terrain qui alimente les sources d’eau et la végétation de la forêt, en plus d’offrir de l’eau potable aux habitants des environs.

Cet article initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l’anglais.

http://quebec.huffingtonpost.ca/