Un livre d’oracles vieux de 1500 ans, intitulé "Évangile des destinées de Marie", déchiffré


Évangile des destinées de Marie qui a été écrit il y a environs 1500 ans a été traduit, ce n’est pas un évangile comme dans la Bible au contraire, mais plutôt des oracles qui peut-être servait de réponses
à des gens qui venaient consulter
Nuage

 

Un livre d’oracles vieux de 1500 ans, intitulé « Évangile des destinées de Marie », déchiffré

 

evangile destinée marie

Crédits : Harvard Art Museums/Arthur M. Sackler Museum, Gift of Mrs. Beatrice Kelekian in memory of her husband, Charles Dikran Kelekian, 1984.669

Par Julie Aram

Un ancien recueil d’oracles, écrit il y a 1500 ans en langue copte, a été déchiffré par un chercheur américain. Intitulé « Évangile des destinées de Marie », cet ouvrage était vraisemblablement utilisé à des fins de divination.

REVUE DE PRESSE – Sept centimètres sur six. Telle est la minuscule taille de ce livre vieux de 1500 ans, écrit en copte, et qui vient d’être déchiffré par le professeur de religionAnne-Marie Luijendijk (Université de Princeton, États-Unis). L’information est publiée le 3 février par nos confrères de la revue en ligne anglophone LiveScience.

Que contient ce livre ? Des oracles, au nombre de 37 :

« Lorsque j’ai commencé à déchiffrer le manuscrit et que j’ai rencontré le mot « évangile » au début du texte, je m’attendais à lire des faits au sujet de la vie et de la mort de Jésus, comme dans les évangiles canoniques », explique Anne-Marie Luijendijk.

Mais à la place, le chercheur américain a découvert une série d’oracles, dont très peu faisant allusion à Jésus.

Selon Anne-Marie Luijendijk, ce livre ancien qui est aujourd’hui la propriété du Musée Sackler de l’Université de Harvard (États-Unis), était utilisé à des fins de divination : il aurait eu pour but de prodiguer des encouragements et des conseils sur la conduite à tenir aux personnes en détresse, se questionnant sur leur avenir.

Par exemple, toujours selon le chercheur américain, une personne souhaitant obtenir une réponse à une question pouvait se tourner vers le propriétaire de ce livre, lequel sélectionnait alors au hasard d’un des 37 oracles du livre. Le propriétaire de l’ouvrage agissait peut-être comme un devin, en aidant à interpréter les oracles.

Le livre était peut-être aussi utilisé par son propriétaire qui, lorsqu’il était confronté à une question, sélectionnait tout simplement un oracle au hasard pour chercher une réponse.

De fait, les traductions sont éloquentes. Le septième oracle du livre dit ainsi ceci :

« Ô humain, tu sais que tu as fait du mieux que tu le pouvais. Tu n’as gagné rien d’autre que la perte, le conflit et la guerre. Mais si tu as un peu de patience, ta situation connaîtra la réussite à travers le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob ».

Quant à l’oracle 34, en voici une traduction :

« Va de l’avant, immédiatement. C’est une chose de Dieu. Tu sais que tu souffres beaucoup depuis de nombreux jours. Mais cela ne doit pas t’importer, parce que tu es au havre de la victoire ».

Mais au fait, pourquoi le terme « évangile » a-t-il été utilisé par son auteur ?

Selon Anne-Marie Luijendijk, le terme « évangile » est à entendre comme « bonnes nouvelles » :

« Le fait que ce livre est appelé ainsi est très signifiant. Pour moi, cela indique que cela a un rapport avec la façon dont les gens le consultaient, et le voyaient peut-être comme une source de bonnes nouvelles. Personne ne veut entendre de mauvaises nouvelles lorsqu’il s’agit de connaître son avenir ».

En lire plus sur le site de LiveScience (en anglais) : « Newfound ‘Gospel of the Lots of Mary’ Discovered in Ancient Text »

http://www.journaldelascience.fr/

Internet Explorer, navigateur le plus utilisé mais aussi le moins sécurisé


Cela fait belle lurette que j’ai délaissé Internet Explorer, il y a d’autres domaines d’exploitations qui sont plus sécuritaire et on s’habitue très vite à les utiliser.
Nuage

 

Internet Explorer, navigateur le plus utilisé mais aussi le moins sécurisé

Une fois encore, c’est Internet Explorer qui a enregistré le plus de vulnérabilités au premier trimestre 2014. La rançon d’un succès qui se ternit. Photo : NVD/Bromium

Florence Santrot

metronews.fr

SÉCURITÉ – En perte de vitesse, Internet Explorer demeure le navigateur Web le plus populaire. Mais c’est aussi celui qui compte le plus de failles de sécurité, selon un nouveau rapport.

Avec 58 % de parts de marché*, un chiffre stable, Internet Explorer reste encore et toujours le navigateur Web le plus populaire. Mais qui dit grand nombre d’utilisateurs, dit aussi multiples attaques des pirates. Selon le nouveau rapport établi par Bromium, le navigateur de Microsoft était – et de loin – le plus vulnérable en termes de sécurité au premier semestre 2014, souligne le site Tom’s Guide.

De nettes améliorations pour Firefox et Chrome

Le cabinet Bromium, qui analyse les données issues du NVD, la base de données américaine des vulnérabilités, vient d’établir qu’Internet Explorer est le navigateur potentiellement le plus dangereux en ce début d’année, alors que Chrome et Firefox étaient en tête en 2013. Malgré de nombreux patches de sécurité appliqués au premier semestre, les ingénieurs d’IE (qui en est à sa version 11) n’ont donc pas réussi à inverser la tendance alors que ceux de Mozilla (Firefox) et Google (Chrome) ont fait faire de nets progrès à leur logiciel.

Dans le même temps, des logiciels comme Java (Oracle) ou Flash (Adobe) ont nettement progressé en termes de sécurité, même si ce dernier demeure le plus visé par des attaques avec Internet Explorer. La suite Microsoft Office connaît elle aussi une amélioration du nombre de vulnérabilités constatées.

*Source : Netmarketshare

Les navigateurs Web par ordre de popularité (juin 2014)

Dans le monde (selon Netmarketshare)

– Internet Explorer : 58,38 %

– Chrome : 19,34 %

– Firefox 15,54 %

– Safari : 5,28 %

– Opera : 1,05 %

En France (chiffres basés sur les statistiques d’audience de metronews.fr)

– Chrome : 38,7 %

– Firefox : 25,6 %

– Internet Explorer : 20,05 %

– Safari : 11,3 %

– Opera : 0,6 %

http://www.metronews.fr

Mon coeur, une rose


C’est je crois, un de mes plus beaux poèmes dont je suis très très fière
Nuage

 

Mon coeur, une rose

 


La tristesse de mon coeur,  une fleur unique existe
Chaque pétale est un pleur, d’un mal qui persiste
Des perles claires de cristal, naissent en secret la nuit
D’où jaillissent mes dédales, recherchant cajoleries

Rouge vif couleur de sang, de mes veines mutilées
Par la nuance du temps, je cris ma vie brisé
De ces ardeurs d’espoirs, tous ces songes sont déchu
Au fond de la nuit noire, mon âme cherche une issue

Aux feuilles vertes d’armistice, s’unissent pour ma prière
Implorant cette justice, au Dieu de l’univers
Ainsi sortir des méandres, m’éloigné du malheur
Crépuscule de mes cendres, j’ai droit à ce bonheur!

Corps protégé d’épines, semble parfois me cribler
Des chimères libertines, qui un jour m’ont charmées
Hantent à jamais l’esprit, d’une douceur longtemps crue
Du désir déconfit, de l’oracle corrompu

Souvenirs qui germe mon coeur, habite ma fleur une rose
Propageant cette odeur, d’une émotion éclose
Comme cette rose fragile, je me soumets à la vie
Que mon destin futile, je puisse fuir sans sursis

Rachel Hubert (Nuage)
6 août 2002