Le Saviez-Vous ► Quel animal est le plus capable de retourner chez lui: le cheval, le chien, le chat ou le lapin?


Il y a des animaux domestiques qui reviennent à la maison par conditionnement (ayant appris la route jusqu’à la maison) d’autres laissent des phéromones sur leur passage, et il y a ceux qui ont une boussole interne. Mais d’autres animaux, veulent leur liberté et n’essaieront pas de retrouver leur foyer, alors que d’autres n’ont aucun sens de l’orientation
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Quel animal est le plus capable de retourner chez lui: le cheval, le chien, le chat ou le lapin?

 

«My dog being bored»/joshme17 via FlickR CC Licence By

«My dog being bored»/joshme17 via FlickR CC Licence By

Nina Montané

Cela dépend de leur capacité à s’orienter et de leur envie de retrouver le domicile de leur maître ou leur lieu de reproduction.

Willow va enfin rentrer chez elle. Willow est une chatte américaine qui a été retrouvée dans les rues de Manhattan à 2.500 km du domicile de ses maîtres, 5 ans après sa disparition, raconte The Huffington Post. Partie de Rocky Mountains (dans le Colorado), elle n’est donc pas rentrée toute seule chez elle, contrairement à de nombreux autres animaux qui ont l’honneur des médias justement parce qu’ils réussissent à parcourir de longues distances pour regagner leurs pénates.

Quels sont donc ces animaux qui rentrent chez eux? Quel est l’animal le plus capable de le faire?

Le cheval et l’appel de l’écurie

Dans le cas du cheval, «l’animal rentre tout seul à l’écurie, c’est connu de tous les cavaliers», explique Michel Macé, comportementaliste équin.

Mais la plupart des éducateurs apprennent à ces animaux à rester auprès de celui qui les monte en cas de chute. Malgré tout, ils ont tendance à rentrer là où ils se sentent en sécurité. En se reposant sur des repères olfactifs et visuels, le cheval reconnaît un parcours sans effort.

Avec sa mémoire extraordinaire, il mémorise les chemins et peut retrouver des tronçons sur lesquels il est passé il y a plus d’un an», observe Michel Macé. 

Le chien aussi a une mémoire de cheval

Le chien, comme le cheval, mémorise les itinéraires, principalement grâce à son flair très développé, à sa vue et parfois à des sons, à force de répétition.

«C’est une compétence qu’on développe chez les chiens d’aveugles, en leur montrant le même parcours plusieurs dizaines de fois, explique Manuel Castaneda, chef d’équipe du centre d’éducation canine Caniscool. Le chien n’a pas de sixième sens, il reproduit un parcours à la suite d’un conditionnement, ça n’a rien à voir avec l’instinct.»

Ainsi, de nombreux chasseurs mettent des colliers GPS à leurs chiens, pour les retrouver quand ils s’éloignent trop dans la forêt.

Néanmoins, le chien peut retrouver le chemin jusqu’à chez lui, sur de courtes distances, porté par deux motivations: l’appartenance au groupe que forment ses maîtres et ses congénères (un besoin primaire chez le chien comme chez l’homme, d’après l’éducateur canin, qui cite la pyramide de Maslow) et l’aspect territorial, car il veut retourner sur son lieu de vie. La plupart des animaux «sociaux», comme les chiens — mais aussi les éléphants ou les singes, s’attachent d’abord à la mère, puis au groupe; c’est pour ça qu’ils le rejoignent.

«Les chiens qui ne cherchent pas à rentrer chez eux sont déséquilibrés», observe Daniel Castaneda.

Les chats, petits Poucet à l’odorat hyper puissant

De la même manière, le chat rentre chez lui pour retrouver ses habitudes et son confort.

«Très angoissé, il a besoin de rituels, que chaque jour se passe exactement comme le précédent, explique Marie-Hélène Bonnet, comportementaliste pour chats.

Sa capacité à rentrer chez lui dépend surtout de son flair. Le persan au nez écrasé sera perdu si on le pose à 20 mètres de sa maison, alors que le siamois à l’odorat surdéveloppé retrouvera vite son chemin (d’autant plus que cette espèce sait ouvrir des portes).

Le chat peut en effet retrouver son chemin grâce aux marquages olfactifs qu’il laisse sur ses pas. En frottant ses joues, son cou et la base de sa queue, il dépose des phéromones sur son chemin, et n’aura plus qu’à remonter cette piste au retour. S’il gratte l’écorce d’un arbre avec ses griffes, son odeur peut rester incrustée dans le bois pendant des années.

Les histoires de chats qui marchent sur des centaines de kilomètres pour retrouver leur maître restent anecdotiques. Mais il arrive que certains parcourent des distances surprenantes, comme le raconte Ariane Demazier, vétérinaire à Allogny, dans le Cher:

«Des clients ont une chatte qu’ils avaient laissée chez leur fille pendant les vacances, à 5 km à vol d’oiseaux de chez eux. La chatte s’est échappée et a fini par revenir chez eux, de l’autre côté de la forêt, un mois plus tard. C’est étonnant, car elle ne connaissait pas le chemin avant».

L’habitude à être dehors joue aussi. Un félin qui n’est jamais sorti de son appartement sera complètement perdu si on le lâche au bout de sa rue (sans lui avoir permis de marquer son chemin), alors qu’un chat de gouttière se montrera plus débrouillard.

Les pigeons à tête chercheuse

Parmi les oiseaux apprivoisés, certains sont aussi mieux armés que d’autres.

Les pigeons voyageurs « sont capables de s’orienter grâce au champ magnétique terrestre et à la position du soleil», observe Romain Julliard, maître de conférence au Muséum national d’histoire naturelle.

Lors de courses organisées, des pigeons peuvent être lancés à des centaines de kilomètres de chez eux, le gagnant étant celui qui retourne le plus vite à sa volière.

Ces espèces de pigeons peuvent voler d’une traite jusqu’à destination. Les oiseaux domestiques, comme les canaris, les perruches et les perroquets, retourneront également dans leur cage s’ils la considèrent comme leur territoire. Mais leur mauvaise connaissance de l’environnement extérieur peut les faire se perdre facilement; ces espèces s’avèrent également plus vulnérables, et auront du mal à déjouer les prédateurs.

La boussole interne des oiseaux migrateurs

Les champions de l’orientation dans l’air restent les oiseaux migrateurs. Grues, cigognes, canards… il en existe de nombreuses espèces — rien que 522 populations sur l’itinéraire Afrique-Eurasie, notamment. En général, ils parcourent des milliers de kilomètres pour retourner sur leur site de reproduction chaque année. Les hirondelles vont jusqu’à retrouver le même nid au fil des ans.

Ils s’orientent grâce aux champs magnétiques générés par la Terre et aux étoiles, car la plupart de ces espèces volent de nuit pour échapper aux prédateurs. Les montagnes et les mers constituent autant des obstacles à éviter que des repères. Ces capacités d’orientation sont à la fois innées et acquises. Romain Julliard:

«Les jeunes volent instinctivement dans une certaine direction, la première fois qu’ils migrent. Mais alors qu’un jeune sera désorienté si on le déplace de son point de départ naturel, un adulte saura s’adapter. De même, ces chemins s’apprennent au sein d’un groupe: si l’hiver est plus rigoureux que d’habitude, les jeunes suivront les vieux pour aller plus au sud. Il y a une transmission culturelle.»

Quant aux animaux marins migrateurs, comme certaines tortues, ils se repèrent sur de très longues distances grâce, eux aussi, aux champs magnétiques.

«Les femelles doivent retourner sur certains sites pour pondre leurs œufs», explique Ivan Ineich, responsable de la collection reptiles et amphibiens au Muséum national d’histoire naturelle.

Fourmis exploratrices et système de navigation social

Pour une fourmi, rentrer chez soi signifie rentrer à la fourmilière. Mais toutes n’ont pas la même capacité à y retourner – non seulement parce qu’il existe 12.000 espèces de fourmis, avec chacune des manière d’orientation différentes, mais aussi parce qu’il existe des rôles différents au sein des colonies, explique Dominique Fresneau, directeur du Laboratoire d’éthologie expérimentale et comparée Université Paris-XIII:

«Les fourmis exploratrices se déplacent d’abord au hasard, puis trouvent de la nourriture et rentrent avec. Elles sont capables de repérer le chemin le plus court pour rentrer à la fourmilière, tout en laissant une piste chimique qui va servir aux autres fourmis à retourner jusqu’à la nourriture.»

La bonne vue de ces fourmis et leur mémoire leur permettent de repérer exactement leur position. Elles peuvent parcourir ainsi des distances impressionnantes pour leur taille, jusqu’à 30 mètres. Certaines espèces primitives utilisent également la lumière polarisée du soleil pour s’orienter. En revanche, de nombreuses fourmis ouvrières peuvent se perdre, car elles ne disposent pas d’un aussi bon système de navigation interne. Surtout si la piste chimique tracée par les exploratrices est coupée, comme s’en amusent les studios Pixar au tout début de 1001 pattes.

Serpents et lézards fugueurs

Les serpents et les lézards domestiques, eux, ne reviendront jamais dans leur cage spontanément. Ils chercheront toujours la liberté, explique Ivan Ineich :

«Comme ce sont des animaux à température variable, ils ressentent par moment le besoin de se mettre au froid ou au chaud, ce qu’ils peuvent faire sans problème dans la nature. Dans une cage, la température est constante, donc l’animal sera stressé.»

Les vaches et l’appât de l’herbe

Dans un élevage, une vache ne fuguerait jamais toute seule, car le troupeau lui importe trop. Par contre, elles ont aussi une tendance à vouloir fuir l’étable en groupe, à aller vers l’extérieur… et surtout vers la bonne herbe, raconte Cyril Guiet, éleveur bovin:

«Si les meneuses, les plus vieilles vaches, restent, alors tout le groupe reste. Mais si le troupeau entier s’en va,elles peuvent marcher loin, jusqu’à 10 km, mais s’arrêteront de préférence dans un champ où elles sont déjà allées et où elles savent l’herbe bonne.»

Les rongeurs pas équipés pour les expéditions lointaines

Les rongeurs domestiques finissent derniers de ce palmarès. Lapins, hamsters et autres cochons d’Inde seront les plus prompts à se perdre définitivement.

Selon le docteur Quinton, vétérinaire à Paris, «si vous prenez un lapin et que vous le mettez à quelques centaines de mètres de son habitat habituel, c’est fichu pour lui», explique-t-il. «Les rongeurs ne sont pas équipés pour revenir depuis une destination lointaine» et se retrouvent très vite désorientés.

Nina Montané

http://www.slate.fr/

Pourquoi utiliser ses pattes quand on peut voyager à bord d’une tortue


Un transport pas très stressant, en effet ! Mais, je me demande de quel droit qu’on peut se permettre de faire ce genre de chose, alors que les tortues sont quand même une espèce menacée. L’homme change sa routine, son instinct pour épater la galerie. Peut-on dire que nous respectons les tortues ?
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Pourquoi utiliser ses pattes quand on peut voyager à bord d’une tortue

 

Par Sophie Le Roux Crédits photo : Youtube – mihaifrancu

Votre compagnon à 4 pattes est un peu flemmard ? Il rechigne à se dresser sur ses pattounes pour aller se balader, préférant de loin somnoler sur le canapé ? Et si vous lui offriez une tortue ?

Merveilleux moyen de locomotion, la tortue n’est certes pas très rapide, mais elle a le mérite de laisser le temps aux chiens, chats, oiseaux et autres passagers à poils ou à plumes, d’admirer le paysage !
Complaisante, voire beaucoup trop gentille, elle offre de bon coeur sa carapace, sans jamais se plaindre.

A bord du taxi-tortue, aucun stress, seulement la promesse d’une promenade paisible et relaxante !

http://wamiz.com/

ARTISANAT : Des bijoux controversés


Est-ce glauque ou de l’art ? Ce fut une pratique courante il y a bien longtemps que les chasseurs portaient leur trophée en guise de collier Mais aujourd’hui ??? D’autres veulent rendre a leurs animaux un aspect éternelle (personnellement, je n’aime pas la taxidermie) et beaucoup vont trouver cela normal Quoiqu’il en soit, elle ne mérite quand même pas les menaces de mort du moins pas de la façon qu’elle se procure ses animaux
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ARTISANAT : Des bijoux controversés

PHOTOS LE JOURNAL DE MONTRÉAL, SIMON BOUSQUET

Abigaëlle Hébert porte des boucles d’oreilles ornées de griffes de coyote et tient des colliers faits de têtes d’oiseau. Elle est l’une des seules artistes au monde à créer des bijoux à partir d’animaux morts.

Une jeune artisane de Belœil utilise des animaux morts comme matière première pour faire des parures

Des colliers en tête d’oiseau, des boucles d’oreilles en souriceaux et des bracelets en griffes de coyote sont parmi les créations un peu macabres d’une jeune femme de Beloeil.

Abigaëlle Hébert est éducatrice dans une garderie, mais la jeune femme de 24 ans à un passe-temps unique. Elle empaille des animaux pour en faire des bijoux.

«Mon plus gros vendeur, ce sont les boucles d’oreilles faites en pattes ­d’oiseaux», explique l’artiste.

Avant-gardiste

La plupart des bijoux de l’artiste sont abordables allant de 20 $ à 40 $ pour une paire de boucles d’oreilles. Mais les créations taxidermistes sont extravagantes et peu de personnes ont l’audace de les porter.

«Il y a des femmes qui me disent, par exemple, “j’aime beaucoup le collier en tête ­d’oiseau, mais je n’aurai jamais ­l’occasion de le porter”.»

Depuis qu’elle a commencé à créer, en octobre 2012, l’artiste attire de plus en plus l’attention.

Elle croit que ses bijoux pourraient devenir très tendance d’ici peu. Des créateurs de haute couture, comme Alexander McQueen, ont d’ailleurs dessiné des robes et des accessoires à partir d’animaux morts.

«On voit que les gens portent de plus en plus de boucles d’oreilles ornées de plumes. Moi, je vais un peu plus loin en mettant les pattes. J’ai un pied dans la marge», admet Mme Hébert.

Menaces de mort

Mais l’attention grandissante pour le travail de l’artisane n’a pas que du bon.

Certains la traitent de sorcière ou prétendent qu’elle fait des jouets sexuels en peau d’animaux.

Quelqu’un l’a même menacée en lui écrivant «Je veux ta peau de sale conne sur mon plancher!» sur sa page ­Facebook.

L’artiste a récemment été forcée ­d’effacer son annonce sur le site Kijiji en raison d’un trop grand nombre de menaces.

«Si j’étais un vieil homme barbu dans le bois, ça passerait sûrement mieux, estime Mme Hébert. Pourtant, je ne contreviens à aucune règle et l’Association des taxidermistes du Québec m’a récemment admise puisqu’ils ­jugent mon travail respectable.»

Selon elle, c’est la méconnaissance des gens pour ses techniques ancestrales qui provoque ces réactions.

«Les gens ont l’image d’une ­personne qui joue dans des cadavres d’animaux pourris, mais ce n’est pas ça du tout. Ça n’a rien de morbide, ­soutient-elle. C’est comme faire la cuisine. Je ne fais que découper la peau. Il n’y a pas de sang ni de tripes partout.»

UNE TÊTE D’OISEAU MORT DANS LE COU

Abigaëlle Hébert aime travailler les animaux morts. Paradoxalement, c’est son amour des bêtes qui est à l’origine de cette passion.

«Quand j’étais petite, je voulais être ­vétérinaire, mais je n’avais pas les notes alors, au lieu de soigner les animaux, je les rends immortels», explique-t-elle.

Pour faire ses créations, l’artiste ne chasse pas d’animaux. Les peaux utilisées sont celles d’animaux qu’elle trouve ou que des chasseurs lui apportent. Elles sont ensuite nettoyées et stérilisées.

«Lorsque je les récupère, je m’assure qu’elles sont toujours fraîches et en bon état. Certains de ces animaux sont nuisibles et ont été abattus par un propriétaire de chalet», explique Mme Hébert.

Passion macabre

La jeune femme a appris les techniques de taxidermie dans les livres, puisqu’il n’existe pas de cours au Québec.

Elle a débuté par la restauration ­d’animaux déjà empaillés depuis ­longtemps. Son premier projet était une table faite avec des pattes d’orignal.

En mettant à contribution ses ­habiletés à manier le séchoir, qu’elle a ­acquises lorsqu’elle était coiffeuse, elle peut ­rendre les plumes particulièrement éclatantes.

En demande

À mesure que son travail se fait connaître, des amateurs de partout dans le monde la contactent pour apprendre ses techniques. Elle a reçu des demandes d’aussi loin que la France et l’Australie.

Son talent aussi est en demande. Elle raconte devoir refuser régulièrement des clients.

«L’autre jour, il y avait un homme qui voulait que j’empaille un ours, mais c’est impossible, car mon condo n’est pas assez grand. Je me concentre donc sur les ­bijoux», explique Mme Hébert.

L’artiste utilise aussi ses œuvres à des fins éducatives. Elle a présenté quelques «pièces simples» à sa classe d’enfants d’âge préscolaire, lors d’un atelier sur les animaux.

«Je n’ai pas dit que c’était moi qui les avais empaillés. Je ne voulais pas faire freaker les parents»,

admet-elle.

http://www.journaldequebec.com/

Des oiseaux menacés d’extinction forcent l’arrêt de travaux à Ottawa


Une loi qui protège des hirondelles rustiques lors de nidification, de quoi a donné des maux de tête aux entrepreneurs, mais je trouve que c’est un maigre sacrifice que l’homme fait avec tous les ravages du territoire des animaux et oiseaux, c’est la moindre des choses
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Des oiseaux menacés d’extinction forcent l’arrêt de travaux à Ottawa

Le ministère des Richesses naturelles de l’Ontario a mis un frein à un important projet de travaux routiers dans le sud d’Ottawa en raison de la présence d’oiseaux menacés et de leur habitat naturel.

Des hirondelles rustiques, qui sont protégées en vertu de la Loi ontarienne sur les espèces en voie de disparition, sont présentement en nidification au pont Jockvale, dans le secteur de Barrhaven. Des travaux de démolition du pont sont en cours afin de permettre l’installation d’une deuxième travée et l’ajout de deux voies de circulation.

Selon la Loi, il est illégal de perturber l’habitat des hirondelles rustiques pendant la période de nidification, qui s’étend du 1er mai au 31 août.

La Ville d’Ottawa aurait cependant pu continuer les travaux si les hirondelles avaient été chassées du site avant le 1er mai.

La conseillère Jan Harder, qui représente le secteur de Barrhaven à l’hôtel de Ville, a déclaré que le projet devait aller de l’avant. Elle est inquiète que les travaux ne soient pas terminés avant l’hiver et s’est dite complètement exaspérée par la situation.

http://actualites.ca.msn.com

Le réchauffement climatique menace des espèces encore solides


Nous savons tous qu’il y a des espèces qui sont en danger de disparaître mais ceux qui sont en force sont aussi vulnérables. L’enjeu est grand pour ces espèces si les températures augmentent un temps, soit peu sans compter que l’homme s’accapare du terrain sans se préoccuper de briser la chaine pour que la biodiversité puisse s’épanouir
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Le réchauffement climatique menace des espèces encore solides

 

Biodiversité - Le réchauffement climatique menace des espèces encore solides

Environ 22% des coraux, non encore menacés, se trouvent «hautement vulnérables» face aux modifications climatiques.

Photo fotolia

OSLO  – De nombreuses espèces d’oiseaux, d’amphibiens et de coraux, qui ne sont pas actuellement menacés, pourraient se retrouver en danger en raison du réchauffement climatique, indique une étude internationale, mercredi.

Les oiseaux et les amphibiens de la forêt tropicale amazonienne, ainsi que les coraux au large de l’Indonésie apparaissent particulièrement vulnérables à la hausse générale des températures.

Au total, 41% de toutes les espèces d’oiseaux, 29% des amphibiens et 22% des coraux, non encore menacés, se trouvent «hautement vulnérables» face aux modifications climatiques, indique l’équipe de scientifiques qui a réalisé l’étude dans le journal Plos One.

Revoir les priorités

 

«Cela est une surprise», a commenté Wendy Foden de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui a dirigé les travaux d’une centaine de scientifiques.

Selon elle, les priorités en matière de conservation de la nature doivent être revues, en particulier afin de déterminer des zones protégées de la vie sauvage.

«Le changement climatique n’est pas la menace la plus importante pour le moment», a-t-elle expliqué.

Surexploitation

La perte de l’habitat animal provoquée par la hausse de la population humaine, la surexploitation et la présence d’espèces envahissantes sont les principales causes d’extinction, précise l’étude.

Les chercheurs ont adopté une nouvelle échelle de mesure pour évaluer la vulnérabilité au changement climatique. Elle se fonde sur l’exposition probable de chaque animal, sur sa sensibilité au changement et sur sa capacité d’adaptation.

Un groupe de scientifiques de l’Onu a estimé que 20 à 30% des espèces au niveau mondial sont confrontées à un risque croissant de disparition si les températures augmentent de plus de deux ou trois degrés au-dessus des niveaux de l’ère pré-industrielle.

http://fr.canoe.ca

Voyage aux Antilles française


Les nuits sont plus fraiches, des signes que l’hiver sont de plus en plus évidentes …  le froid viendra régner pendant quelques mois. Un petit voyage virtuel au pays du soleil … pour se réchauffer un peu
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Voyage aux Antilles française

 

© Patrick Foure

la plage de Deshaies Gualoupe

© Florian Schomburg / Fotolia

Un éden de faune et de flore.

© Jacques Geiller

L’îlet à Fajou

© Stéphane Jinkins

Grotte Marie-Galante,

© Jessica Tagliamento

Une libellule dans la forêt tropicale à Baie-Mahault

© Pascal Benard

Forêt tropicale

© Danielle Bonardelle / Fotolia

Crabe « touloulou » joue au chat, sur l’île de la Grande-Terre à Port-Louis.

©Maryjo Lasserre

Les iguanes

© Pawel Reklewski

Coucher de soleil de Guadeloupe

© Elise Alphonse

 Commémorant le naufrage d’un bateau négrier. C’est aussi un hommage aux victimes du trafic des esclaves.

© Jean-pierre Marro

Le petit peuple de la forêt

© Jean-Marc Phillebeaux

Dauphins blancs de Martinique

© Clément St Rose / Fotolia

http://www.linternaute.com

Les refuges pour animaux croulent sous les retours


Le temps des fêtes est un cauchemars pour les animaux, car nombres d’entre eux se retrouvent trop souvent qu’autrement dans la rue ou dans un refuge, abandonnés. Pourtant, la plupart d’entre-nous trouve cruel de voir des animaux abandonné alors pourquoi vouloir donner en cadeau un animal sans une préparation adéquate et d’expliquer toutes les conséquences d’avoir un animal dans sa maison … ? Il est clair que malgré les histoires tristes ou d’horreur de ses animaux que le message ne passe pas encore
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Les refuges pour animaux croulent sous les retours

 

Les refuges pour animaux croulent sous les retours

© Shutterstock

Un mois après les Fêtes, le Service pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) croule sous les retours de «cadeaux» achetés sur un coup de tête.

 

L’organisme accueille plusieurs jeunes chiens et chats depuis quelques jours, des animaux qui avaient vraisemblablement été offerts à Noël alors qu’ils n’étaient que des bébés.

Encore une fois cette année, des animaux paient le prix de l’immaturité de certains propriétaires.

«L’après temps des Fêtes, surtout janvier, est notre deuxième moment le plus occupé après la période des déménagements de juillet, a confié Alanna Devinne, porte-parole à la SPCA. Les chiens et chats qu’on nous apporte après les Fêtes sont beaucoup plus jeunes que durant le reste de l’année. Ça nous dit qu’ils étaient peut-être bébés à Noël, et donc qu’ils ont été donnés en cadeau à un proche pour leur faire plaisir.»

Les animaux entrent au refuge à un rythme effréné. L’endroit accueille non seulement chiens et chats, mais aussi lapins oiseaux et furets. En ce moment, il est bondé avec une population d’adoption de 175 bêtes, sans compter les dizaines d’animaux en attente de diagnostic et ceux qui ont temporairement été placés dans une famille d’accueil.

Mme Devinne explique que les propriétaires utilisent souvent le prétexte du mauvais comportement de l’animal pour justifier son abandon dans un refuge.

«Pourtant, ce sont les propriétaires qui ne savent pas comment prendre soin de leurs animaux. Les problèmes sont souvent faciles à régler», a-t-elle indiqué.

Noël: non à l’adoption

Plusieurs organismes d’adoption ont, depuis quelques années, fait la guerre aux «cadeaux de Noël» sur quatre pattes.

C’est le cas de Denise Bouchard, directrice du Refuge pour chats de Verdun.

«Environ deux semaines avant Noël, quand on voit qu’il y a soudain plus de gens qui veulent adopter, on se doute que certaines de ces personnes vont offrir le chat en cadeau, a-t-elle remarqué. Alors on arrête tout et on reprend seulement le 8 janvier.»

Le propriétaire du Berger blanc abonde dans le même sens. Le centre ferme boutique durant les Fêtes.

«Les gens doivent comprendre qu’offrir un chat ou un chien, ce n’est pas comme donner un écran géant. Si c’est pour grand-papa ou grand-maman, c’est non», a dit Pierre Couture.

Afin de garder sous contrôle la prolifération de la population féline, Mme Bouchard propose aux arrondissements de s’inspirer de Verdun en obligeant les animaleries à vendre des bêtes stérilisées.

Des excuses qui ne tiennent pas la route

Certains propriétaires d’animaux, honteux de ramener au refuge leur chien ou leur chat reçu en cadeau à Noël, tentent de faire croire au préposé qu’ils viennent de trouver la bête dans une ruelle.

Et ils se démasquent parfois eux-mêmes, comme dans cette anecdote survenue à la SPCA, où un homme se pointe au comptoir avec un chat. «Il était abandonné», a-t-il dit à l’employé. Puis, ayant de la difficulté à calmer la bête, l’homme en question s’adresse à son chat, apparemment tout juste trouvé, par son nom: «Boby, reste tranquille!»

Parfois, la conseillère en adoption ne peut aussi s’empêcher de demander aux gens qui viennent porter un animal:

«Si vous venez de le trouver, pourquoi avez-vous son collier, sa laisse, de la nourriture et son jouet préféré?»

http://fr.canoe.ca/

Faune nordique


Des animaux adapté au froid et aux climats difficiles, attendant la belle saisons pour que de nouvelles naissances puissent agrandir le groupe. Voici quelques photos d’une rare qualité dans la routine d’un monde ou que l’important  c’est de vivre au présent
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Faune nordique

Galerie photo de l’émission Nordic Wild.
De nombreux animaux survivent aux températures et à la rudesse des saisons nordiques

http://natgeotv.com/fr

Quand les loups font repousser les arbres


Cela fait longtemps qu’on l’ont sait pourtant qu’il est important qu’il y ai des prédateurs naturels dans un environnement, c’est l’équilibre des choses, un cycle de vie, si un maillon se casse c’est toute la chaine qui se retrouve en déséquilibre
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Quand les loups font repousser les arbres

Un loup gris.

Un loup gris. AUSLOOS HENRI/SIPA

ENVIRONNEMENT – Dans le parc Yellowstone, aux Etats-Unis, la réintroduction des loups a été bénéfique pour les arbres…


Dans le parc naturel américain de Yellowstone,
les loups sont plutôt bien vus:selon les scientifiques, le retour du loup gris a permis de limiter la population d’élans qui grignotait les jeunes pousses de peupliers, de saules et de trembles.

Un des auteurs de l’étude, publiée dans la revue scientifique Biological conservation, a constaté que la végétation s’était considérablement étendue dans le Yellowstone depuis la réintroduction des loups en 1995. Parallèlement, la population d’élans a fortement diminué. Grâce à la centaine de loups qui peuple le parc, les oiseaux et les castors ont aussi retrouvé des abris dans les arbres et de quoi se nourrir.

Audrey Chauvet

http://www.20minutes.fr

Ontario – Des milliers d’oiseaux morts à la baie Georgienne


Et l’histoire recommence, des animaux meurent en masse, aujourd’hui ce sont des oiseaux. La cause n’est pas certaine, on suppose que c’est après avoir ingéré des poissons mort …
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Ontario – Des milliers d’oiseaux morts à la baie Georgienne

Ontario - Des milliers d'oiseaux morts à la baie Georgienne

Des agents de protection de la faune doivent gérer la mort de milliers d’oiseaux sur les berges de la baie Georgienne, en Ontario.

Un agent de la police provinciale, Peter Leon, a indiqué que le nombre de sauvagines mortes oscillait entre 5000 et 6000.

Le policier Leon a ajouté qu’on retrouvait des oiseaux morts sur une distance de près de trois kilomètres sur le versant nord de la communauté de Wasaga Beach.

Les autorités provinciales et fédérales croient que les oiseaux ont été tués par une forme de botulisme, alors que les sauvagines auraient mangé des poissons morts.

La police a demandé aux résidants des environs de redoubler de prudence afin de s’assurer que leurs enfants et leurs animaux domestiques n’approchent pas les oiseaux.

http://actualites.ca.msn.com