Le Saviez-Vous ► Les oiseaux pyromanes


L’Australie perd des milliers d’hectares à cause du feu. Il y a des feux qui sont malheureusement causés par des oiseaux de proie. Ces oiseaux ont compris que le feu, leur permet de faire sortir leurs proies éventuelles des forêts ou de la brousse.
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Les oiseaux pyromanes

 

Un épervier fuit l’ouragan Harvey et trouve refuge dans un taxi


UN oiseau de proie qui n’était pas dans un environnement normal avec la tempête Harvey, au Texas a réussi à se réfugier dans un taxi, même si la fenêtre était ouverte pour le laisser libre de sortir, il a décidé de rester dans l’auto et a fait confiance au chauffeur. Le lendemain, il a été pris en charge par une association …
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Un épervier fuit l’ouragan Harvey et trouve refuge dans un taxi

 

L'épervier effrayé qui a trouvé refuge dans la voiture du chauffeur de taxi

L’oiseau affolé a trouvé refuge dans la voiture du chauffeur de taxi et est resté un moment immobile, même lorsqu’il avait la possibilité de reprendre son envol.

WILLIAM BRUSO YOUTUBE

Par Lison Gevers

Alors que l’ouragan Harvey fait des ravages aux Etats-Unis, comment les animaux s’adaptent-ils aux catastrophes naturelles ? Un chauffeur de taxi a eu la surprise d’avoir un client un peu particulier : un épervier fuyant l’ouragan.

Des associations sont présentes sur les zones ravagées par les catastrophes naturelles pour prendre en charge les populations humaines, mais aussi animales qui sont prises dans la tempête. Depuis quelques jours, les Etats-Unis font face à l’ouragan Harvey qui fait de nombreux dégâts. La vidéo rendue publique d’un épervier effrayé qui a trouvé refuge dans la voiture d’un chauffeur de taxi a illustré à quel point les animaux peuvent aussi subir les foudres de la nature.

Le conducteur du taxi, William Bruso, un américain de 45 ans du Missouri, au Texas, a été surpris de découvrir un épervier de Cooper (accipiter cooperii) qui a trouvé refuge dans son taxi, entré par une fenêtre ouverte vendredi 25 août 2017. L’oiseau de proie, perturbé par la basse pression et les vents forts, s’est laissé approcher de très près comme le montrent les vidéos de sa chaîne Youtube.

 

Bruso a laissé une fenêtre ouverte pour laisse l’animal recouvrer sa liberté, mais l’oiseau est resté avec « son » chauffeur de taxi.

« C’était une expérience magique. C’est un oiseau de proie, un tueur naturel né dans son environnement normal. Mais ce n’était pas une situation normale », a t-il déclaré.

Un représentant de la Texas Wildlife Rehabilitation Coalition de Houston, un centre qui s’occupe d’animaux sauvages blessés, a finalement pris en charge l’animal le lendemain. Alors qu’il a été prouvé que les animaux peuvent prédire l’imminence des catastrophes, ils restent tout aussi impuissants que les hommes dans de telles situations… 

https://www.sciencesetavenir.fr

Le Saviez-Vous ► Cet imposant oiseau est l’un des plus gros au monde


C’est un oiseau imposant et un excellent prédateur. Il vit au Mexique et une bonne partie de l’Amérique du Sud. À voir ses serres mieux vaut ne pas avoir affaire à lui
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Cet imposant oiseau est l’un des plus gros au monde

 

Facebook/Sun Gazing

Les oiseaux sont parmi les espèces les plus cool du règne animal. Ils constituent un bien meilleur rappel des temps préhistoriques que les fossiles. On peut apprendre énormément sur notre passé grâce aux oiseaux.

Vous en avez déjà vu d’assez étranges ou exotiques ici, disposant d’incroyables qualités leur permettant de se démarquer de leurs camarades à plumes. Mais parmi les oiseaux de proie, aucun n’est aussi redoutable que la harpie féroce.

Ces imposantes créatures sont véritablement impressionnantes, et elles font les choses de manière un peu… différente par rapport au reste des oiseaux. Quand vous découvrirez ce qui les différencie des autres volatiles, vous serez ébloui, et peut-être un peu intimidé !

La harpie féroce est le plus grand et le plus puissant des aigles, et elle peut atteindre une longueur supérieure à 1 mètre. !

 

Leur envergure peut atteindre un record de 2,3 mètres. Imaginez-vous la sensation produite par le fait de voir une créature d’une telle envergure voler dans votre direction ? La plupart des gens prendraient leurs jambes à leur cou !

 

Facebook/Sun Gazing

Et leurs serres sont longues d’environ 7 à 10 cm, ce qui est la taille des griffes d’un grizzly. Oui oui, d’un grizzly ! Ce qui nous amène à poser la question : dans un combat opposant une harpie féroce et un grizzly, qui l’emporterait ? Heureusement, on ne le saura jamais.

 

Facebook/Sun Gazing

Et ne vous y trompez pas, elle utilise ces serres pour chasser et démembrer des primates. Ce qui peut rendre un peu nerveux quand on prend en compte la ressemblance qui existe entre les primates et les humains. Ces énormes serres peuvent stopper n’importe quel primate dans sa course.

 

Facebook/Sun Gazing

http://bridoz.com/

Un aigle essaie d’enlever un enfant pendant un spectacle d’oiseaux en Australie


On se souvient qu’en 2012, l’histoire d’un aigle qui essayait d’enlever un enfant au Québec était un canular. En Australie, l’histoire semble réelle.
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Un aigle essaie d’enlever un enfant pendant un spectacle d’oiseaux en Australie

 

Le 6 juillet dernier, un spectacle d’oiseaux de proie à Alice Springs Desert Park dans le Territoire du Nord de l’Australie a mal tourné après qu’un oiseau a, apparemment, essayé d’enlever un petit garçon, rapporte The Guardian.

«Nous avions décider d’aller voir un spectacle d’oiseaux de proie dans un parc national à Alice Springs. Pendant que nous regardions le spectacle, un jeune garçon dans un gilet vert s’amusait à descendre et à remonter la fermeture éclair de celui-ci», écrivait Christine O’Connell sur Instagram, une spectatrice de l’incident. «Pour une raison quelconque, l’aigle d’Australie n’a pas aimé ça et a immédiatement foncé sur garçon pour l’attaquer.»

Un autre témoin, Keenan Lucas, aurait déclaré à NT News que la mère de l’enfant était désemparée et que, à cause cet incident, le spectacle s’est terminé plus rapidement.

Le site Internet d’Alice Springs Desert Park a décrit le spectacle comme une occasion de «se rapprocher du plus grand oiseau d’Australie».

Le petit garçon n’aurait subi que quelques blessures mineures. Le parc a déclaré par voie de communiqué qu’il étudierait cet incident. L’aigle sera retiré du spectacle jusqu’à nouvel ordre.

attaque aigle enfant

Le parc a confirmé à NT News et au Guardian que l’incident avait bel et bien eu lieu. Cette histoire n’est pas sans rappeler un canular qui avait fait bien jaser en 2012, alors qu’un vidéaste disait avoir capté un aigle s’envolant avec un bébé sur le mont Royal.

Cet article initialement publié sur le Huffington Post américain a été traduit de l’anglais.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Inde: vautours recherchés


Comme rite funéraire c’est assez spécial, sans compter que cela peut se voir de tous homme, femme et enfant … mais bon ..pour ce qui est de réintroduire le vautour c’est une bonne idée car il est quand même très utile a l’environnement ..
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Inde: vautours recherchés

 

Le gouvernement indien planche sur la construction d'une... (Photo : Am Panthaky, archives AFP)

Le gouvernement indien planche sur la construction d’une dizaine de volières dans le pays afin de régénérer la population de vautours. Les nécessités écologiques rejoignent les convictions religieuses…

PHOTO : AM PANTHAKY, ARCHIVES AFP

FRÉDÉRICK LAVOIE, collaboration spéciale
La Presse

(Bombay) Durant des siècles, les Parsis de Bombay ont laissé les dépouilles de leurs défunts en pâture aux vautours dans des tours en pierre en plein coeur de la capitale économique de l’Inde. Jusqu’à ce que les oiseaux de proie disparaissent mystérieusement du ciel indien, il y a 15 ans. Aujourd’hui, la petite communauté veut recréer une population de rapaces pour perpétuer cette tradition menacée.

Les préceptes enseignés par le prophète Zarathoustra il y a 3500 ans sont clairs: le feu, l’eau, l’air et la terre sont sacrés. Puisque la mort est une «victoire temporaire du Mal», les cadavres sont impurs et ne peuvent être ni brûlés, ni submergés, ni enterrés, afin de ne pas «polluer» les éléments. Seule solution: laisser le soleil et les vautours se charger de les faire disparaître.

Jusqu’à récemment, il était aisé pour les quelque 75 000 Parsis d’Inde – venus de la Perse il y a un millénaire et principalement installés à Bombay – de poursuivre cette tradition de disposition des morts au sommet de tours en pierre. Leur pays d’adoption comptait une importante population d’oiseaux prédateurs.

Tout a changé au tournant des années 90. De 40 millions, le nombre de vautours a chuté à environ 60 000 en à peine une décennie. Le plus rapide déclin d’une population d’oiseaux jamais enregistré sur la planète.

Le coupable de cette hécatombe n’a été découvert qu’en 2004: le diclofénac (commercialisé sous les noms de Voltaren et Pennsaid au Canada), un antidouleur administré aux bovins et aux humains, notamment en fin de vie. Une fois dans l’organisme des vautours, ce médicament cause une insuffisance rénale souvent mortelle. Deux ans après cette découverte, l’Inde, le Pakistan et le Népal ont interdit l’utilisation de ce médicament chez les animaux. Mais il était déjà trop tard.

«Je n’ai pas vu un vautour dans le ciel de Bombay depuis 20 ans!», se désole Dinshaw Rur Mehta, président élu du Panchayat (assemblée) parsi de Bombay.

Afin d’accélérer la décomposition des corps, le Panchayat a installé en 2001 des panneaux solaires pointant vers les «tours du silence», nichées dans une forêt de 54 acres jouxtant l’un des quartiers les plus luxueux de Bombay.

Or, durant les deux mois et demi de mousson, quand le ciel est couvert, les corps peuvent mettre plusieurs semaines à se décomposer. Les odeurs pestilentielles qui en émanent ont entraîné des plaintes de la part des résidants des tours d’habitation des environs.

Intérêts concordants

La solution idéale pour pérenniser la tradition serait donc de faire réapparaître les oiseaux de proie dans le ciel indien. Et justement, le gouvernement indien planche sur la construction d’une dizaine de volières dans le pays afin de régénérer la population de vautours. Non pas pour des raisons religieuses, mais parce que leur disparition a eu de sérieuses conséquences écologiques partout sur le territoire.

C’est que l’Inde compte le plus grand cheptel bovin au monde – plus de 300 millions de têtes. Sans vautours, leurs carcasses se décomposent lentement dans les champs, contaminent les sources d’eau et favorisent l’apparition de charognards terrestres comme les rats, souvent porteurs de maladies.

Les intérêts du pays et des Parsis concordent donc. Un centre de reproduction qui sera créé dans un parc naturel en périphérie de Bombay. L’installation de volières sur deux des quatre tours pourrait commencer en avril prochain et dès janvier 2014, les vautours y reprendraient du service.

Même si on ne recense qu’environ 800 décès par année chez les Parsis, cette communauté très riche, d’où sont issues plusieurs des grandes familles commerciales de l’Inde, est prête à investir 5 millions de dollars sur 15 ans pour financer le projet.

Scepticisme

Avant de commencer les travaux, le Panchayat devra toutefois obtenir l’assentiment officiel des six grands prêtres, gardiens de l’orthodoxie zoroastrienne. «Ensuite, nous devrons consulter des médecins», explique Dinshaw Rur Mehta. Car pour ne pas menacer la survie des oiseaux, il faudra développer un test permettant de s’assurer que les défunts n’ont pas consommé de diclofénac dans les 72 heures précédant leur décès.

Si une majorité de Parsis semble appuyer le projet, certains émettent des réserves quant à ses chances de réussite.

«Comment le Panchayat pourra-t-il contrôler toutes les maladies [aviaires] et les médicaments pris par les défunts?», s’interroge notamment Homi B. Dhalla, président de la Fondation culturelle mondiale zaratushti.

Devant le mauvais fonctionnement des «tours du silence», ou pour des raisons pratiques, certains Parsis ont délaissé la tradition et se sont tournés vers la crémation. L’écrasante majorité continue tout de même de suivre ce rite funéraire, vanté comme étant «le plus écologique qui soit».

http://www.lapresse.ca

Les oiseaux de proies


Parmi les oiseaux qui font rêver, les oiseaux aux chants magiques, aux oiseaux colorés et de toutes beautés par leur fragilité, il y a aussi des oiseaux puissants par leur statures, aux regards menaçants et l’oeil alertes, ces oiseaux sont des prédateurs et malgré tout on un grand charme même les moins jolis
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Les oiseaux de proies


Aiglon

Photographie par Jacky Gerritsen


Duc d’Amérique

Photographie par Joe Dubberly


Vautour

Photographie par Marcello Spiazzi,


Grand hibou à cornes

Photographie par James Galletto


Duc d’Amérique

Photographie par Steven Besserman


Pygargue à tête blanche

Photographie par Ellen Shannon,


Trois bébés balbuzards

Photographie par Doc Baldwin


Épervier de Cooper

Photographie par Mary Ann Bridge


Faucon pèlerin

Photographie par Terry Piotraschke


Épervier de Cooper

Photographie par Katie Barnes


Nourrir les oiseaux

Photographie par Agnes Kiss,


Le roi vautour

Photographie par Jacky Gerritsen


Poule et Coq de Guinée

Photographie par Armando Mejia


Super Faucon

Photographie par Luc Ormand


http://animals.nationalgeographic.com