Trump autorise l’utilisation de pesticides tueurs d’abeilles


Encore des interdictions aux États-Unis du temps Obama qui viennent d’être levé, les pesticides qui mettent en grands dangers les abeilles et autre pollinisateurs ainsi que l’OGM dans les réserves naturelles. Même si on prétend que l’utilisation sera du cas par cas, je doute que le cas par cas soit plus généralisé par les pesticides et l’OMG.
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Trump autorise l’utilisation de pesticides tueurs d’abeilles

 

© afp.

Source: Belga

Le gouvernement américain a mis fin à une mesure qui interdisait l’utilisation de pesticides qui seraient responsables du déclin des populations d’abeilles et proscrivait des cultures génétiquement modifiées dans des réserves naturelles du pays, rapportent samedi plusieurs médias. Ces deux interdictions avaient été décrétées par le prédécesseur de Donald Trump, Barack Obama.

Le levée de l’interdiction d’utiliser des néonicotinoïdes dans des réserves naturelles est parue dans une publication du Service américain en charge de la pêche et de la faune (The U.S. Fish & Wildlife Service). Ces insecticides seraient responsables d’un important déclin des populations d’abeilles. Les papillons et autres pollinisateurs seraient aussi menacés par l’utilisation de ces produits.

Les OGM autorisées dans les réserves naturelles

L’autre mesure autorise à présent les agriculteurs à planter des cultures génétiquement modifiées comme du maïs ou du soja dans les réserves naturelles du pays.

Selon Greg Sheehan, vice-directeur du Fish and Wildlife Service, l’usage d’organismes génétiquement modifiés doit aider à « maximiser la production ». Il a soutenu que la levée de ces interdictions ne signifiait pas que les OGM et les pesticides seraient utilisés dans toutes les réserves naturelles en question. Leur utilisation sera décidée « au cas pas cas ».

https://www.7sur7.be/

Le Saviez-Vous ► Que veulent dire les chiffres sur les étiquettes des fruits et légumes?


Si vous voulez éviter d’acheter des fruits génétiquement modifié, que vous préférer manger bio, il serait avantageux d’apprendre les codes qui sont mis sur ces produits
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Que veulent dire les chiffres sur les étiquettes des fruits et légumes?

 

 

Il s’agit du numéro d’identification de chaque fruit et légume. Il s’agit d’un code international appelé PLU (Price Look Up), qui est utilisé pour faciliter le contrôle de l’inventaire et des prix à la caisse des magasins.

Dans la plupart des cas, c’est un code à quatre chiffres, qui commence par un « 3 » ou un « 4« , ce qui veut dire que le fruit ou légume en question a été cultivé de façon conventionnelle (avec engrais et pesticides, etc).

Si le numéro contient 5 chiffres et commence par un « 9« , il s’agit d’un produit biologique.

Si le numéro contient 5 chiffres et commence par un « 8« , alors il s’agit un produit qui a été modifié génétiquement (OGM). Remarquez que cet étiquetage n’est pas obligatoire en Amérique du Nord. Cela reste à la discrétion du manufacturier/distributeur.

À titre d’exemple, une banane conventionnelle a comme étiquette le numéro 4011, une banane biologique 94011 et une banane OGM aurait 84011. Intéréssant n’est-ce-pas?

Donc je vous invite à porter plus d’attention la prochaine fois à l’épicerie et aussi à vous renseigner sur la présence des OGM dans nos assiettes auprès du groupe Vigilance OGM et de Greenpeace

http://www.soscuisine.com/

Virus Zika : les États-Unis vont-ils lâcher des moustiques OGM ?


Est-ce une bonne idée ? Peut-être à court terme, mais à long terme ? Est-ce qu’il y a de mieux à faire ? L’OGM n’est pas naturel et beaucoup redoutent des conséquences de changer par des organismes génétiquement modifiés
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Virus Zika : les États-Unis vont-ils lâcher des moustiques OGM ?

 

Moustique Aedes Aegypti © Felipe Dana/AP/SIPA

Moustique Aedes Aegypti © Felipe Dana/AP/SIPA

 

L’agence américaine des médicaments a donné son accord de principe à un lâcher expérimental de moustiques génétiquement modifiés en Floride, afin de limiter la propagation du virus Zika.

L’agence américaine des médicaments, la Food and Drug Administration (FDA), a donné son feu vert de principe vendredi 11 mars 2016 à un lâcher expérimental de moustiques génétiquement modifiés en Floride qui pourraient permettre de limiter la propagation du virus Zika. La FDA explique avoir déterminé que ces moustiques mâles baptisé « OX513A«  ne présentent probablement pas de risque d’allergie pour les humains, les animaux ou l’environnement. Mais la décision de la FDA ne sera pas finalisée avant plusieurs mois, période durant laquelle l’agence entendra les évaluations des différentes parties prenantes.

Des moustiques testés avec succès au Brésil

Ces moustiques Aedes aegypti OGM produits par la firme britannique Oxitec, sont porteurs d’un gène qui écourte nettement leur vie et celle de leurs progénitures qui meurent avant l’âge adulte. Cela a pour effet d’éliminer les populations de moustiques sauvages qui sont les principaux vecteurs de maladies infectieuses comme le Zika, la dengue, le chikungunya ou le virus du Nil Occidental. Ces moustiques OGM ont déjà montré une certaine efficacité à réduire les populations de moustiques sauvages dans de petits tests effectués au Brésil et d’autres pays d’Amérique du sud.

La FDA a décidé de soumettre sans attendre cette décision aux avis des différentes parties dans le public pour la finaliser au plus vite alors qu’avec l’arrivée des beaux jours aux États-Unis les moustiques vont éclore et se multiplier, avait récemment expliqué devant le Congrès un responsable de la FDA. L’agence des médicaments s’est essentiellement appuyée sur une évaluation d’impact environnemental soumis par Oxitec qui est devenue une filiale de la firme américaine de biotechnologie Intrexon. Les documents d’Oxitec et de la FDA concluent que ces moustiques OGM ne pourront probablement pas « s’échapper » pour établir de larges populations dans la nature par le fait qu’ils sont programmés pour mourir jeunes.

Des effets toxiques « négligeables »

En outre, ils ne présentent aucun danger pour les humains et les autres animaux car ils ne piquent pas étant donné qu’il ne s’agit pour la plupart de mâles. Seules les femelles piquent pour se nourrir de sang. Et même s’il est aussi prévu de lâcher un très petit nombre de moustiques femelles OGM, les protéines qu’elles portent, résultant de leur modification génétique, ne paraissent pas être toxiques ou allergènes, selon la FDA.

Dans son annonce, l’agence conclut que « la probabilité qu’un lâcher de moustiques OX513A mâles ait des effets toxiques ou allergènes chez les humains ou les autres animaux est négligeable… ».

Une autre raison incitant les autorités américaines à accélérer le processus d’approbation est la résistance que développe les moustiques aux insecticides. Les autorités sanitaires se mobilisent pour protéger surtout les femmes enceintes d’une infection par le virus Zika, fortement soupçonné de provoquer la microcéphalie, une malformation grave et irréversible qui se caractérise par une taille anormalement petite du crâne et du cerveau des nouveau-nés.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Vigilance OGM: le maïs sucré passe le test


Le consommateur ne peut pas faire de différence entre le maïs non modifié génétiquement et celui qui a été modifié. D’ou l’importance que les produits OGM soient clairement identifiés
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Vigilance OGM: le maïs sucré passe le test

 

Vigilance OGM: le maïs sucré passe le test

Il n’y a pas d’étiquetage obligatoire des OGM.Photo Fotolia

MONTRÉAL – Alors que la saison des épluchettes de blé d’Inde bat son plein, aucun maïs sucré génétiquement modifié n’a été repéré par l’organisme Vigilance OGM dans les 43 épiceries testées lors de sa campagne annuelle de dépistage.

Pour la quatrième année consécutive, ces tests ont été réalisés durant la saison estivale d’épluchette dans les chaînes IGA (Sobeys), Metro et Loblaws, dans 15 villes à travers le Québec.

En l’absence d’étiquetage obligatoire des OGM, les consommateurs ne peuvent savoir quels sont les produits génétiquement modifiés offerts dans les épiceries. Les tests de Vigilance OGM constituent donc une source d’information intéressante.

Cet organisme souligne d’ailleurs que les précédentes campagnes de dépistage ont poussé les grandes chaînes d’épicerie à faire signer une entente aux agriculteurs du Québec, leur donnant accès à leurs tablettes uniquement si leur maïs sucré n’est pas génétiquement modifié.

«C’est un excellent exemple d’adaptation tout au long de la chaîne d’approvisionnement où les épiceries et les agriculteurs répondent à la demande des consommateurs», s’est réjoui Thibault Rehn, coordinateur de Vigilance OGM.

M. Rehn émet toutefois un bémol.

«L’un des problèmes que nous avons identifiés cette année, c’est que les épiceries ont probablement un système de deux poids, deux mesures. Ils demandent des maïs sucrés non OGM aux agriculteurs du Québec, mais n’ont sûrement pas les mêmes exigences envers leurs autres fournisseurs de l’Ontario et des États-Unis», a-t-il déploré.

http://fr.canoe.ca/

Aux Etats-Unis, on devrait avoir bientôt droit à une pomme de terre transgénique potentiellement anti-cancérigène


Monsanto veut mettre sur le marché une nouvelle pomme de terre qui serait probablement anti cancérigène (alors que l’enzyme responsable agit quand elle est frites) Si cette patate réponds a leurs normes, méfiez-vous des frites chez McDonalds
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Aux Etats-Unis, on devrait avoir bientôt droit à une pomme de terre transgénique potentiellement anti-cancérigène

 

potatoes sethoscope via Flickr CC License by

Le ministère de l’agriculture américain vient d’approuver la culture d’une pomme de terre transgénique dont l’ADN a été modifié pour réduire sa teneur en acrylamide, une substance potentiellement cancérigène.

L’acrylamide est généré dans la patate lorsque celle-ci est frite, mais l’ADN de cette nouvelle pomme de terre –baptisée pomme de terre «innée»– a été modifié pour réduire la production de certaines enzymes. Cet OGM a une autre propriété: il s’abîme moins facilement quand on le transporte.

Le ministère de l’agriculture a établi que ce produit ne menacerait pas d’autres plantes, et l’agence américaine chargée de la régulation des aliments et des médicaments (la FDA) est en train d’examiner si cette «patate innée» est aussi sans danger pour les consommateurs.

Une autre pomme de terre transgénique, créée par Monsanto, avait été commercialisée il y a plus de dix ans, mais ensuite retirée de la vente suite au manque d’intérêt des agriculteurs et des consommateurs. Cette fois-ci, c’est la compagnie agro-alimentaire J.R. Simplot, un des principaux fournisseurs de McDonald’s, qui est à l’origine du produit.

Selon le Wall Street Journal, il s’agit d’un des premiers aliments OGM qui prétend avoir des propriétés bénéfiques pour la santé. Ceci dit, ce bénéfice n’est pas évident, car les scientifiques ne savent pas encore si les taux d’acrylamide présents dans les aliments sont dangereux pour les humains. L’effet cancérigène de cette substance n’a pour l’instant été observé que sur des rongeurs.

http://www.slate.fr

Manger bio, est-ce sain ?


Je suis contre les aliments OMG, mais financièrement, choisir entre le bio ou non c’est une question de prix. Mais, il semble que les valeurs nutritives sont les mêmes … la différence est donc ailleurs
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Manger bio, est-ce sain ?

 

Les Français mangent de plus en plus de légumes bio. ©Phovoir

Les Français mangent de plus en plus de légumes bio. ©Phovoir

Vache folle, Bisphénol A, viande de cheval dans des plats cuisinés. En cette période trouble sur le plan alimentaire, nous somme de plus en plus nombreux à nous tourner vers le Bio. Mais est-ce vraiment plus sain ?

Les produits bio sont fabriqués et transformés selon un cahier des charges très strict. L’utilisation de produits toxiques comme les pesticides ou les antibiotiques est ainsi limitée. Sans parler des OGM tout bonnement interdits. Problème, les différentes études réalisées sur le sujet ont du mal à s’entendre, notamment sur la richesse nutritionnelle de ses produits.

Ainsi, dès 2009, l’Association française des Diététiciens Nutritionnistes (AFDN) expliquait que « les bénéfices santé des produits issus de l’agriculture biologique ne sont pas scientifiquement démontrés. »

Une pomme issue de l’agriculture biologique ou conventionnelle reste… une pomme, avec des vertus nutritionnelles identiques. La différence bien sûr – et elle est énorme – est que la pomme bio renfermera moins de pesticides que l’autre. En revanche, elle abritera « un plus grand nombre de contaminations par microbes ou champignons car les produits issus de l’agriculture biologique ne subissent pas de traitements antifongiques. Ils se conservent donc moins longtemps.

Source : AFDN, site consulte le 15 septembre 2014

https://destinationsante.com