Un castor obèse pris dans une clôture a été secouru en Ontario


Pauvre castor ! Son obésité est due à son épaisse couche de graisse qu’il avait besoin pour survivre de son hibernation. Un bien mauvais réveil, mais heureusement, malgré ses blessures, il pourra bientôt reprendre la route de la liberté
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Un castor obèse pris dans une clôture a été secouru en Ontario

 

Un castor obèse est resté pris au piège dans une clôture, dans la ville ontarienne de Hamilton, mais a pu être libéré grâce aux mains savonneuses d’une employée municipale qui est intervenue.

La Ville de Hamilton a expliqué qu’une employée des services animaliers rentrait chez elle, mardi vers midi, et a remarqué sur son chemin l’animal en détresse, pris entre deux tiges de la clôture en fer. Le castor revêtait une importante couche de graisse en raison de son hibernation, a-t-on précisé.

Sarah Mombourquette a eu recours à du savon pour aider le castor à glisser entre les deux barres de métal qui le tenaient captif, selon l’information rapportée par les autorités municipales.

Le castor a repris des forces dans un refuge après sa mésaventure, ont affirmé des responsables.

Le castor a ensuite été transféré au centre Hobbitstee Wildlife à Jarvis, une autre localité ontarienne.

Le rongeur aura besoin d’un certain temps pour se remettre de ses blessures et pour pouvoir être remis en liberté.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Les enfants obèses plus susceptibles de développer un cancer


Beaucoup de maladies sont causé par nos habitudes de vie, quand des mauvaises habitudes datent de plusieurs années, des cancers peuvent surgir. Ce genre d’étude montre comment il est important de prendre de bonnes alimentaires dès le jeune âge et de faire bouger nos enfants
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Les enfants obèses plus susceptibles de développer un cancer

 

Les enfants obèses plus susceptibles de développer un cancer

Crédit photo : Archives Reuters

Agence QMI

Les enfants affichant un surpoids ou obèses ont davantage de risques de développer un cancer de la vessie, des voies urinaires ou colorectal plus tard dans leur vie, selon une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, en Israël.

Selon les auteurs de ces travaux, les enfants souffrant d’obésité ont un risque 50% fois plus élevé de développer ces types de cancers à l’âge adulte par rapport aux enfants présentant un poids santé.

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont examiné les données relatives à 1,1 million de personnes, et ce, sur une période de 18 ans. Les scientifiques ont découvert qu’il existe un lien tangible entre l’indice de masse corporelle dans l’enfance et le diagnostic de cancer plus tard dans l’existence.

Les cancers urothéliaux (vessie et voies urinaires) représentent 6 à 8% des cancers chez l’homme et 2 % chez la femme. Le cancer colorectal est le plus fréquent des cancers.

D’autres recherches devront être menées pour savoir si l’obésité constitue également un facteur de risque pour d’autres types de cancer, comme celui du pancréas.

Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention.

http://tvanouvelles.ca

Une alimentation saine plus efficace que des régimes frustrants


Beaucoup le savent, mais voilà qu’une étude semble prouver que les régimes commerciaux sont moins efficaces du moins a long terme que suivre une alimentation saine sans interdit avec exercices qui peut être simplement la marche. Ce qui est par contre désolant c’est de voir que des femmes et même des hommes qui n’ont pas de poids a perdre … suivent des régimes restrictifs commerciaux .. 
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Une alimentation saine plus efficace que des régimes frustrants

 

Une alimentation saine plus efficace que des régimes frustrants

© Shutterstock

Pour maigrir, une alimentation variée, sans interdit, basée sur les recommandations nutritionnelles, est plus efficace à long terme que les régimes commerciaux frustrants type Dukan.

 

Par Brigitte Castelnau

L’image idéale du corps est telle que plus de deux femmes sur trois (70%) et un homme sur deux voudraient maigrir.

Et parmi eux, 67% des femmes et 39% des hommes ont fait au moins un régime dans leur vie, selon des données issues de 105 771 Nutrinautes.

«La pression d’une certaine image du corps dans notre société fait que même des sujets de poids normal, ni obèses, ni même en surpoids, font des régimes: près de deux femmes sur trois (58%) de poids normal font des régimes», constate le professeur Serge Hercberg (institut Inserm, université de Paris 13) qui coordonne l’étude.

«Fait nouveau, même 27% des hommes de poids normal souhaitent maigrir», ajoute-t-il.

«Il y a vraiment un problème de perception du corps, de modèles véhiculés par la mode, les médias», lance-t-il.

Mais, pour en savoir plus sur la perception des régimes amaigrissants, l’étude s’est surtout penchée sur un sous-échantillon de 18 188 Nutrinautes qui ont fait au moins un régime.

Parmi ceux-ci, plus d’une femme sur 4 et un homme sur 7 ont fait plus de 5 régimes dans leur vie.

La «spirale des régimes» est plus répandue chez les femmes:

«quasiment 30% des femmes ont fait au moins cinq régimes dans leur vie, dont 9% ont même suivi plus de dix régimes (4% des hommes). Cela s’explique en partie parce que souvent les femmes commencent le régime plus tôt, 36% d’entre elles ont commencé entre 15 et 25 ans, contre 18% des hommes», selon le Pr Hercberg.

Activité physique

 

Les adeptes des régimes restrictifs commerciaux (Dukan, Cohen, Chrononutrition…) sont plus nombreux (40%) à considérer que leur régime a été efficace uniquement à court terme par rapport à ceux qui ont choisi d’autres types de régimes.

Par contre, les Nutrinautes qui ont suivi un régime basé sur les recommandations nutritionnelles globales de «bon sens» (manger varié, diminuer les quantités, pas d’aliment interdit…), sont 76% à estimer que ce rééquilibrage a été efficace à long terme, avec un maintien de la perte de poids au-delà de 6 mois.

Un score nettement supérieur à celui des autres régimes. Ils sont en outre les plus nombreux (57,5%) à avoir associé une augmentation d’activité physique (marche…) à la modification de leur comportement alimentaire (contre 39% pour des régimes type Dukan, Cohen).

C’est le régime qui a la meilleure efficacité à long terme, relève le Pr Hercberg.

Vient en deuxième, le régime avec coaching collectif style Weight Watchers (61%).

Les moins bonnes performances déclarées en termes d’efficacité à long terme concernent la catégorie des régimes restrictifs, et parmi ceux-ci, surtout les régimes bricolés «maison» basés sur la prise de substituts de repas et de produits diététiques (41%); et les régimes Cohen et Dukan (respectivement 50 et 51%).

Le régime Dukan et ceux basés sur des substituts de repas/produits diététiques sont jugés les plus frustrants, selon l’étude.

Trois ans après son lancement, NutriNet-santé regroupe 223 000 internautes et cherche plus de volontaires pour atteindre les 500 000, afin de poursuivre ce travail sur la nourriture et la santé (www.etude-nutrinet-sante.fr).

http://fr.canoe.ca