Il y a 300 millions d’années, une espèce de lézard protégeait déjà sa progéniture


    Comme l’humain, les mammifères s’occupent de leurs bébés pendant un certain temps. Il y a plus de 300 millions d’années, les scientifiques ont trouvé des preuves en Nouvelle-Écosse, une province canadienne, que des lézards pratiquaient aussi les soins postnataux à leur progéniture.
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    Il y a 300 millions d’années, une espèce de lézard protégeait déjà sa progéniture

    Nathalie Mayer

    Journaliste

    Les animaux qui peuplaient notre Planète au Carbonifère sont parfois considérés comme primitifs. Mais des fossiles trouvés récemment au Canada montrent que les ancêtres des mammifères, qui vivaient sur terre à cette époque lointaine, faisaient déjà preuve d’une attention particulière envers leur progéniture. 

    « Il s’agit de la plus ancienne preuve de soins postnataux prolongés chez un vertébré », assure Hillary Maddin, chercheur à l’université de Carleton (Canada).

    La preuve en question, c’est un fossile vieux de près de 310 millions d’années. Des fossiles de lézard, plus exactement. Des animaux ressemblant aux varans de nos jours. Ils ont été trouvés sur une île de Nouvelle-Ecosse (Canada).

    « L’animal adulte semble cacher et protéger l’un de ses petits dans une tanière », précise Hillary Maddin.

    Le petit est disposé sous la patte arrière de l’adulte et encerclé par sa queue. Et les deux animaux ont été trouvé à l’intérieur d’une souche d’arbre lithifiée. 

    « Ce type de comportement est commun chez les mammifères d’aujourd’hui. Il est intéressant d’observer que cet animal le présentait aussi tôt », poursuit Hillary Maddin.

    Une vue d’artiste de ce à quoi devait ressembler le vertébré terrestre dont les fossiles ont été retrouvé par les chercheurs de l’université de Carleton (Canada), un vertébré ressemblant à un lézard et ancêtre de nos mammifères. © Henry Sharpe, Université de Carleton

    Une vue d’artiste de ce à quoi devait ressembler le vertébré terrestre dont les fossiles ont été retrouvé par les chercheurs de l’université de Carleton (Canada), un vertébré ressemblant à un lézard et ancêtre de nos mammifères. © Henry Sharpe, Université de Carleton

    Une histoire évolutive à préciser

    Car même si le Varanopidae retrouvé a l’aspect d’un lézard, il s’inscrit bien dans la branche évolutive qui a conduit aux mammifères. Laissant les reptiles, les oiseaux et les dinosaures à leur propre destin.

    Rappelons que les soins parentaux constituent une stratégie comportementale coûteuse pour le parent. Il détourne en effet des ressources dont il pourrait user à son propre bénéfice pour augmenter les chances de survie de sa progéniture. En la matière, les soins postnataux prolongés sont probablement même les plus coûteux. C’est une pratique courante chez les mammifères dont les petits dépendent de leur mère pour se nourrir. Mais l’histoire évolutive de ce comportement reste encore peu connue.

    https://www.futura-sciences.com/

Une éclosion de salmonellose serait liée à des serpents et des rongeurs


Nous avons souvent des avertissements de salmonellose, on croit avoir découvert les sources de contaminations. Des rongeurs, des serpents de compagnies et des rongeurs pour nourrir les serpents.

Nuage


Une éclosion de salmonellose serait liée à des serpents et des rongeurs

PHOTO CARL DE SOUZA, AGENCE FRANCE-PRESSE

Les reptiles et les rongeurs peuvent être porteurs de la bactérie salmonelle même s’ils semblent propres et en bonne santé.

(Ottawa) Une éclosion de salmonellose dans six provinces canadiennes depuis deux ans et demi serait vraisemblablement liée à des contacts avec des serpents et des rongeurs « de compagnie », indique l’Agence de la santé publique du Canada.

LA PRESSE CANADIENNE

Un avis publié cette semaine indique que 92 cas de cette infection bactérienne ont été signalés entre avril 2017 et octobre 2019, dont 52 au Québec. On a signalé aussi 16 cas en Ontario et neuf cas au Nouveau-Brunswick.

L’agence affirme que selon les constatations de l’enquête menée jusqu’ici, l’exposition à des serpents et à des rongeurs a été identifiée comme « source probable de l’éclosion ».

« Plusieurs personnes infectées déclarent avoir eu un contact direct ou indirect avec des serpents, avec des rats de compagnie et avec des rongeurs servant à nourrir [les reptiles] avant l’apparition de la maladie », indique l’agence fédérale.

Les reptiles et les rongeurs peuvent être porteurs de la bactérie salmonelle même s’ils semblent propres et en bonne santé. Les gens peuvent tomber malades par contact direct avec les animaux mais aussi par contact indirect, avec leur environnement. 

« Par exemple, un enfant qui joue dans une pièce où un reptile s’est promené peut être à risque de contracter la salmonellose », précise-t-on.

L’Agence de santé publique recommande notamment de se laver fréquemment les mains et de manipuler en toute sécurité les serpents et les rongeurs et leur nourriture — y compris les rongeurs congelés utilisés pour nourrir les serpents, car la congélation ne détruit pas les salmonelles. Il ne faut pas non plus garder des rongeurs congelés dans un réfrigérateur où se trouvent des aliments destinés à la consommation humaine.

D’autres cas ont aussi été signalés en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse et à Terre-Neuve-et-Labrador.

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Des jujubes au pot dans un sac d’Halloween


Heureusement, que des parents donnent des consignes de ne pas manger de bonbons pendant la collecte et que les parents font une inspection tout en jetant les bonbons qui n’ont l’emballage d’origine. Dans le fond, je ne vois vraiment pas l’intérêt de faire des bonbons au THC qui sont comme ceux que les enfants mangent. Probablement, qu’il s’agit d’une erreur (enfin, j’espère) cela montre qu’il y a des gens vraiment irresponsables.
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Des jujubes au pot dans un sac d’Halloween

PHOTO FOURNIE PAR LA GRC VIA PC

La police affirme que les parents ont par la suite découvert dans le sac de friandises un sachet aux couleurs de l’Halloween contenant plusieurs bonbons de type jujubes.

(Coldbrook) Des parents en Nouvelle-Écosse ont découvert un produit de cannabis comestible dans le sac de bonbons récoltés par leur enfant à l’Halloween.

LA PRESSE CANADIENNE

Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), les parents, de Coldbrook, dans la vallée d’Annapolis, ont déclaré aux enquêteurs que leur enfant faisait partie d’un petit groupe de huit jeunes qui ont passé l’Halloween dans la région jeudi soir.

La police affirme que les parents ont par la suite découvert dans le sac de friandises un sachet aux couleurs de l’Halloween contenant plusieurs bonbons de type jujubes.

Le sachet comprenait, au dos, des informations sur la teneur en THC du produit ainsi qu’un logo représentant une feuille de marijuana.

PHOTO FOURNIE PAR LA GRC VIA PC

Les parents ignorent l’origine du sachet puisque les enfants ont visité des maisons à Cambridge, Kentville et Coldbrook.

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Ouragan Dorian : les résidents des Maritimes prennent la mesure des dégâts


L’ouragan Dorian fait encore des ravages même si elle est classée tempête post-tropicale. Elle s’est abattue dans l’est du Québec aux îles de la Madelaine et dans les Maritimes et elle continue sa route. J’étais inquiète pour mon petit frère qui reste à Halifax depuis 2 ans.  Hier, il a poster sur Facebook que la tempête avait commencé et qu’il n’y avait plus d’électricité. Toute la journée, j’ai pensé à lui guettant son statut. et ce n’est que vers 16h 30 qu’il s’est manifesté aujourd’hui. Il dit que cela n’a pas été si terrible enfin pas si on regarde les photos… mais je suis quand même soulagée.
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Ouragan Dorian : les résidents des Maritimes prennent la mesure des dégâts


Plusieurs résidents ramassent des branches d'arbres tombées dans une rue d'Halifax.

Des résidents d’Halifax s’attaquent au nettoyage de leur rue, dimanche matin.

PHOTO : RADIO-CANADA / STÉPHANIE BLANCHET

Radio-Canada

Les citoyens des Maritimes, dont des centaines de milliers sont sans électricité, s’éveillent dimanche et constatent l’ampleur des dégâts. L’ouragan Dorian, rétrogradé en puissante tempête post-tropicale tout juste avant de toucher terre dans la région d’Halifax, samedi, a causé d’importants dommages dans la journée de samedi et la nuit dernière.

Les intempéries ont plongé de nombreuses régions dans le noir. À travers les trois provinces maritimes, ils étaient un demi-million à être privés de courant samedi soir.

Un arbre tombé au travers d'une rue à Halifax.

Les scènes comme celle-ci sont nombreuses, à Halifax.

PHOTO : RADIO-CANADA / ALAIN ARSENEAU

Les pires pannes de l’histoire de la Nouvelle-Écosse

À 10 h 45, dimanche matin, il y avait toujours 368 000 clients de NS Power sans électricité. La société d’énergie affirme qu’il s’agit des pires pannes de l’histoire de la province.

Au Nouveau-Brunswick, 54 000 clients d’Énergie NB étaient sans courant. À l’Île-du-Prince-Édouard, il y avait toujours 50 000 clients de Maritime Electric privés d’électricité.

Dimanche, ce sont quelque 1000 employés, dont 600 techniciens, qui se sont attaqués à la tâche monumentale de rebrancher tous les Néo-Écossais. Des monteurs de ligne du Maine ont été appelés en renfort.

Un monteur de ligne dans une nacelle s'apprête à réparer une ligne électrique.

Un monteur de lignes effectue un rebranchement dans un quartier d’Halifax.

PHOTO : RADIO-CANADA / ALAIN ARSENEAU

Au Nouveau-Brunswick, 69 équipes seront sur le terrain dimanche, indique un porte-parole d’Énergie NB, Marc Belliveau. Il n’est pas en mesure de prédire à quel moment le courant sera rétabli pour tous. Une estimation pourra être faite plus tard dimanche, indique-t-il.


Ce ne sont pas que les techniciens des distributeurs d’électricité qui seront sur le terrain dimanche; les forces armées canadiennes s’apprêtent à déployer 700 militaires.

Des arbres tombés sur des maisons à Halifax.

La tâche d’enlever les nombreux arbres et débris qui sont tombés, à Halifax, sera monumentale.

PHOTO : RADIO-CANADA / ALAIN ARSENEAU

En Nouvelle-Écosse, des vents soufflant parfois jusqu’à 150 km/h, accompagnés de pluie souvent forte, ont déraciné des arbres, cassé des branches et abîmé des toitures et des véhicules. 

Au centre-ville d’Halifax, une grue s’est effondrée et affaissée sur le toit d’un immeuble en construction.

Une grue tombée sur un immeuble d'Halifax.

En début de journée dimanche, à Halifax, l’ampleur des dégâts causés par Dorian apparaissait au grand jour.

PHOTO : RADIO-CANADA / NICOLAS STEINBACH

De lourds dégâts

Dans le port d’Halifax, les vagues ont déferlé et endommagé certaines sections de la promenade du front de mer. Des images et des vidéos partagés sur les médias sociaux dans l’après-midi montraient l’eau atteignant les restaurants situés près de l’eau.

Des vagues montent sur un quai

Les eaux étaient très agitées sur le front de mer d’Halifax à l’approche de l’ouragan Dorian.

PHOTO : RADIO-CANADA / ALAIN ARSENEAU

Trois refuges avaient été ouverts pour accueillir des sinistrés. Ils ont hébergé environ 150 résidents selon une porte-parole de la Croix-Rouge canadienne, Sarah Palisio. Il s’agit de gens touchés par des évacuations volontaires, ou des résidents touchés par des dommages à leurs habitations ou par des inondations. Leurs besoins seront évalués en cours de journée dimanche pour déterminer combien de temps les refuges demeureront ouverts.

Au Nouveau-Brunswick, les précipitations ont été abondantes. À la marina de Shediac, plusieurs bateaux ont été poussés les uns sur les autres par la force des vents et des marées. Le quai de Pointe-du-Chêne, à proximité, a subi de lourds dommages.

Des voiliers éparpillés dans une marina au Nouveau-Brunswick. Image prise des airs.

Des voiliers projetés dans tous les sens au Shediac Bay Yacht Club, au Nouveau-Brunswick.

PHOTO : GRACIEUSETÉ DE GILLES MAILLET

À Saint-Jean, on rapportait samedi des inondations par endroits.

Quantité de pluie tombée samedi :

  • Moncton : 121 mm;

  • Miramichi : 101 mm;

  • Saint-Jean, N.-B. : 83 mm;

  • Summerside : 89 mm;

  • Halifax : 73 mm.

La tempête n’a pas épargné la Péninsule acadienne. Des inondations ont été signalées à Pointe Canot, sur l’île de Lamèque, notamment.

Les débris d'un toit au sol, à l'Anse-Bleue, dans la Péninsule acadienne.

Une toiture qui s’est envolée à l’Anse-Bleue, dans la Péninsule acadienne.

PHOTO : RADIO-CANADA / FRANÇOIS VIGNEAULT

L’armée en renfort

Environ 700 militaires du Canada Atlantique se préparent à être déployés dès dimanche matin en Nouvelle-Écosse, a indiqué le ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, par communiqué samedi soir.

Dans l’après-midi, M. Goodale avait annoncé que le gouvernement fédéral déploierait sans hésitation l’armée, à la demande du gouvernement de la Nouvelle-Écosse.

Des voitures sont écrasées par une toiture sous la pluie.

Une toiture a été arrachée d’un immeuble et elle a atterri sur des véhicules garés non loin, à Halifax, en raison de la tempête post-tropicale Dorian, samedi.

PHOTO : RADIO-CANADA / CRAIG PAISLEY

Un arbre déraciné en face d'une maison à Halifax.

Après avoir été classé comme ouragan de catégorie 2 en début d’après-midi, Dorian a été rétrogradé en tempête post-tropicale en fin d’après-midi.

PHOTO : REUTERS / JOHN MORRIS

La tempête se dirige vers le Cap-Breton et Terre-Neuve, où des avertissements d’ouragan demeurent en vigueur pour certaines régions. À Terre-Neuve, la tempête devrait toucher particulièrement le sud-ouest, la côte ouest et la péninsule Nord de l’île de Terre-Neuve. Des rafales de vent de 150 km/h pourraient toucher des secteurs côtiers dans les environs de Channel-Port aux Basques, entre autres, dimanche après-midi.

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Dorian touchera le Canada en fin de semaine


L’ouragan Dorian vient vers le Canada du côté des Maritimes. Il semble que Terre-Neuve et la Nouvelle-Écosse vont ressentir les vents violents et des précipitations. L’ouragan aura quand même diminué en catégorie 1.
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Dorian touchera le Canada en fin de semaine


(Halifax) Selon le Centre canadien de prévision des ouragans, l’ouragan Dorian touchera en fin de semaine le Canada atlantique et l’extrême est du Québec sous forme d’ouragan de catégorie 1 ou de forte tempête tropicale.


LA PRESSE CANADIENNE

Dans son premier communiqué officiel concernant Dorian, le centre indique que la tempête remontera vendredi le long de la côte est jusqu’au cap Hatteras, en Caroline du Nord, et se déplacera près de la Nouvelle-Écosse samedi.

Un ouragan de catégorie 1 produit des vents soutenus supérieurs à 119 km/h.

Le centre de Halifax indique que Dorian pourrait encore être un ouragan à part entière une fois qu’il aura pénétré dans les eaux canadiennes, mais qu’il devrait s’atténuer pour devenir une tempête tropicale lorsqu’il se déplacera dans la région de l’Atlantique.

De fortes précipitations sont attendues, en particulier au nord et à l’ouest de la trajectoire de Dorian, ce qui signifie que les plus grosses averses tomberont probablement sur le sud des Maritimes samedi et sur certaines parties de Terre-Neuve dimanche.

Environnement Canada indique que la plupart des régions de l’Atlantique auront des vents violents de force tempête tropicale, dépassant 63 km/h.

Les vents violents pourraient causer des pannes de courant, et de grosses vagues sont attendues en Nouvelle-Écosse et à Terre-Neuve.

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Des poissons tropicaux aperçus en Nouvelle-Écosse


Avec les changements climatiques oui encore …  et les eaux, des mers se réchauffent aussi au Canada. Il semble que cela amène des nouveaux venus chez les poissons qui aiment les mers plus chaudes. Ils sont beaux, mais viendront aussi des prédateurs qui sont nuisibles à la faune marine en plus des maladies qui risquent d’apparaître.
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Des poissons tropicaux aperçus en Nouvelle-Écosse

Un poisson-papillon ocellé aperçu au sud de la... (PHOTO LLOYD BOND, LA PRESSE CANADIENNE)


Un poisson-papillon ocellé aperçu au sud de la Nouvelle-Écosse

PHOTO LLOYD BOND, LA PRESSE CANADIENNE

MICHAEL TUTTON
La Presse Canadienne
Halifax

Un biologiste marin s’intéresse aux photos spectaculaires de poissons tropicaux qui ont été captées par un plongeur amateur dans les eaux plus chaudes du sud de la Nouvelle-Écosse.

Boris Worm, de l’Université de Dalhousie – qui est aussi plongeur depuis des décennies – souligne que l’hippocampe, le poisson-papillon ocellé et le poisson-flûte étaient auparavant considérés comme des espèces rares en Nouvelle-Écosse.

Un hippocampe

PHOTO LLOYD BOND, LA PRESSE CANADIENNE

Or, le plongeur Lloyd Bond affirme que dans les six dernières années, il a pu prendre plusieurs images numériques des espèces colorées à Paddy’s Head, qui donne sur la baie Sainte-Marguerite.

M. Worm estime que la présence de ces poissons est un autre signe du changement climatique, avec des effets qui pourraient devenir préoccupants pour les pêcheries existantes.

Selon un rapport du ministère des Pêches et des Océans, « Les océans du Canada maintenant », deux des cinq années les plus chaudes de l’histoire ont été enregistrées en 2012 et 2014 pour les températures atmosphériques – et les températures à la surface de la mer ont suivi cette tendance.

Un poisson-flûte... (PHOTO LLOYD BOND, LA PRESSE CANADIENNE) - image 3.0

Un poisson-flûte

PHOTO LLOYD BOND, LA PRESSE CANADIENNE

De plus, l’influence du courant Gulf Stream augmente, ce qui entraîne « des températures élevées records des eaux profondes du plateau néo-écossais et des chenaux profonds du golfe du Saint-Laurent ».

Les effets du Gulf Stream

Selon M. Worm, certains tourbillons du Gulf Stream pourraient se transporter dans les baies et eaux côtières, et ainsi amener des poissons tropicaux et subtropicaux.

« Ces (tourbillons) se produisent lorsque nous avons des eaux très chaudes, de 20 degrés ou plus, et ils transportent les espèces tropicales et subtropicales », a-t-il expliqué.

Ce n’est pas la présence en soi des poissons qui devrait déranger les écosystèmes, indique le biologiste, mais il est possible que les espèces prédatrices envahissantes et les maladies des eaux chaudes ne soient pas loin derrière.

« Ce qui a un impact plus important, c’est le réchauffement de l’eau lui-même, qui modifie la composition du phytoplancton et […] réorganise vraiment le réseau alimentaire », a-t-il soutenu.

Des impacts sur les pêches ?

Des eaux plus chaudes peuvent aussi éventuellement transporter de nouvelles maladies dans les eaux de la Nouvelle-Écosse.

« En règle générale, un monde plus chaud est un monde plus malade, a-t-il souligné. Plus de micro-organismes peuvent survivre dans des eaux plus chaudes pendant de plus longues périodes. »

Il cite en exemple l’effondrement de la pêche au homard au sud du Rhode Island après une maladie des coquillages « qui est probablement arrivée avec des eaux plus chaudes ».

Le rapport du ministère sur le réchauffement des eaux a aussi fait mention des effets du réchauffement sur les pêches.

On a notamment observé un déclin des populations de crevettes nordiques et de crabes des neiges, qui préfèrent l’eau froide, ainsi qu’une augmentation des populations de homards, qui se développent dans les environnements plus chauds.

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Cette maison construite à partir de bouteilles en plastique est capable de résister aux ouragans


Les bouteilles jetables ont la première place que l’on trouve dans la nature, et c’est bouteilles sont pourtant recyclables. JD Composites Inc, une société canadienne a fabriquer une maison faite de d’environ 612.000 bouteilles de plastiques en Nouvelle-Écosse. Elle aurait la propriété de résister a des ouragans F5 en plus d’être isolée pour faire face à l’hiver comme à l’été étant résistante à l’humidité.
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Cette maison construite à partir de bouteilles en plastique est capable de résister aux ouragans


La maison en bouteilles de plastique possède trois chambres, deux salles de bain ainsi qu’une terrasse sur le toit. – JD Composites Inc

Par Emeline Férard

En juin dernier, une société canadienne a dévoilé une maison pas comme les autres. Son secret : ses panneaux sont fabriqués à partir de plus de 600.000 bouteilles en plastique. Un matériau insolite qui lui confèrerait plusieurs avantages dont celui de résister à des ouragans de force 5.

Et si les maisons de demain étaient construites à partir de bouteilles en plastique ? L’idée peut sembler folle. C’est pourtant le défi qu’a réussi à relever la société canadienne JD Composites Inc. A Meteghan River dans la petite province de Nova Scotia, elle a dévoilé en juin dernier un concept inédit : une maison construite à partir de centaines de milliers de bouteilles de plastique.

De l’extérieur, difficile de deviner la particularité de l’habitation. Avec ses fenêtres, sa porte, ses trois chambres et sa terrasse sur le toit, elle peut ressembler à n’importe quelle maison. Il faut s’intéresser de près à ses parois et plus exactement aux panneaux qui les composent pour comprendre son originalité. Conçus avec la firme Armacell, ils sont entièrement faits de polyethylene terephthalate (ou PET) recyclé.

Au total, quelque 612.000 bouteilles de plastique ont été utilisées et réduites en morceaux avant de passer par un processus d’extrusion pour obtenir de la mousse. Cette dernière a ensuite servi à concevoir les parois moulées et coupées sur mesure pour la maison : 172 panneaux de 15 centimètres d’épaisseur ont été nécessaires afin de façonner l’habitation nommée « Beach House ».

Une maison résistant à un ouragan de catégorie 5

Quand nous avons parlé de maison construite à partir de bouteilles en plastique, « les gens nous regardaient comme si nous étions fous », a raconté à CBC Joel German, l’un des dirigeants de JD Composites Inc.

Leur concept a pourtant permis de créer une habitation complète qui, en plus d’utiliser un matériau recyclé, affiche plusieurs avantages, affirment Joel German et son partenaire, David Saulnier.

Parmi eux, la rapidité de construction. Selon ses concepteurs, il n’a fallu que trois semaines pour façonner les panneaux et à peine un jour pour les ériger et les assembler. Les mois suivants ont été consacrés à l’aménagement de l’intérieur.

« C’est assez rapide à construire une fois que les panneaux sont conçus. Tout s’assemble assez rapidement », a expliqué David Saulnier à CTV News.

Grâce à ses panneaux en PET, la maison afficherait également de belles performances en matière d’isolation – en été comme en hiver – de durabilité et de résistance face à des problèmes récurrents comme l’humidité. Plus insolite, elle serait également capable de faire face à des vents de plus de 500 kilomètres par heure, soit des vents plus puissants que ceux d’un ouragan de catégorie 5.

C’est du moins ce qu’ont suggéré des tests menés sur des panneaux par la société Exova en Ontario.

« Nous avons poussé leur machine de test jusqu’à la pression maximale. Cela représentait l’équivalent de 524 kilomètres par heure. Nos panneaux ont fléchi de 6,2 millimètres », a assuré David Saulnier.

Une performance loin d’être négligeable pour quiconque voudrait installer sa maison dans une zone à risque.

De potentiels refuges en cas de catastrophe

« Notre idée n’est pas de concevoir des maisons sur mesure pour des couples cherchant à construire une maison de rêve », a confié Joel German à New Atlas. « Notre objectif est de s’aligner avec des projets qui permettent des ventes en volume – de petits logements, des centres d’accueil, des abris, des bureaux, des casernes. Des refuges d’aide en cas de catastrophe figurent aussi dans notre ligne de mire ».

Reste que la maison a un coût : 490.000 dollars canadiens (environ 330.000 euros) pour celle construite à Meteghan River. Un coût que les dirigeants de JD Composites Inc. jugent néanmoins « très compétitif«  au vu de ses performances et comparé à ce qui se fait actuellement. Sans oublier son « aspect vert« , qui permet de trouver une nouvelle utilité à ce plastique devenu un fléau pour l’environnement.

Un récent rapport commandé par les ONG Earthwatch Europe et Plastic Oceans UK a révélé que les bouteilles jetables figurent à la première place des déchets retrouvés dans l’ensemble des eaux vives en Europe (océans, mers, fleuves, rivières…). Or, elles sont le plus souvent faites de ce fameux PET, une résine plastique qui comptent parmi les plus produits les plus recycles, souligne JD Composites Inc.

Si la Beach House de Nova Scotia ne trouve pas d’acheteur, la firme prévoit de rendre la propriété disponible sur la plateforme Airbnb afin de faire parler de leur concept. Parallèlement, ils vont suivre son évolution pour voir comment les différents matériaux de la maison réagissent avec le temps à l’environnement extérieur. Ils planchent également sur des modèles plus petits.

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Un rare ibis falcinelle aperçu en Nouvelle-Écosse


Un oiseau qui généralement a son territoire dans le coin de Portland aux États-Unis s’est vraiment perdu en volant près d’Halifax en Nouvelle-Écosse au Canada. C’est quand même une bonne distance de son point d’origine
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Un rare ibis falcinelle aperçu en Nouvelle-Écosse

L'ibis falcinelle a été aperçu dans les marais... (PHOTO LAURIE ANN QUIGLEY, LA PRESSE CANADIENNE)

L’ibis falcinelle a été aperçu dans les marais près de Brookfield, à environ 80 kilomètres au nord de Halifax.

PHOTO LAURIE ANN QUIGLEY, LA PRESSE CANADIENNE

La Presse Canadienne
Brookfield

Des photographes de la nature sont rassemblés dans une zone marécageuse dans le centre de la Nouvelle-Écosse dans l’espoir de pouvoir surprendre la dernière espèce d’oiseau à s’y présenter.

L’ibis falcinelle est un oiseau échassier à grand bec qui se nourrit notamment d’insectes à l’état de larve, de têtards, d’amphibiens.

Un membre de cette espèce, que l’on peut rarement admirer dans la province, a été aperçu dans les marais près de Brookfield, à environ 80 kilomètres au nord de Halifax.

David Currie, le président de la Société d’ornithologie de la Nouvelle-Écosse, dit que cet oiseau fait partie d’un groupe croissant d’espèces migratoires qui s’aventurent de plus en plus vers le nord du continent à cause du réchauffement des températures.

Selon lui, la limite septentrionale pour observer l’ibis falcinelle est située près de Portland dans le Maine. On peut rarement le croiser dans les Maritimes, habituellement après une tempête ou si l’oiseau s’est égaré au cours de sa migration.

Au cours de la dernière semaine, les ornithologues amateurs ont publié des photographies de l’ibis volant et s’alimentant sans prendre garde aux nombreuses personnes qui observaient le moindre de ses mouvements.

Certaines photographies montraient une image précise des couleurs rougeâtres et brunâtres sur le cou de l’oiseau.

M. Currie dit que la vue d’un oiseau égaré est toujours lui laisse un goût doux-amer, car si cela est emballant pour les amis des oiseaux, cela signifie aussi que cette créature est loin de ses compagnes de reproduction potentielles.

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Dons d’organes : la N.-É. opte pour le consentement automatique


Je trouve que l’idée de la Nouvelle-Écosse est bonne que le don d’organe soit automatique. Ceux qui ne veulent pas devront faire les démarches pour ne pas être un donneur. Cela serait une première au Canada et aussi en Amérique du Nord, mais cette façon de faire, existe dans d’autres pays dans le monde.
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Dons d’organes : la N.-É. opte pour le consentement automatique

Un ambulancier porte une glacière bleue pour un don d'organes. Une civière se trouve en avant-plan.

Le projet de loi déposé par le gouvernement n’entrera pas en vigueur avant au moins un an. Photo: iStock

Radio-Canada

Le premier ministre de la Nouvelle-Écosse, Stephen McNeil, a déposé mardi un projet de loi pour renverser la pratique actuelle en matière de don d’organes et de tissus. En vertu de cette loi, tous les Néo-Écossais seront automatiquement considérés comme donneurs potentiels.

Ce serait, selon la province, une première en Amérique du Nord. Une fois la loi adoptée, c’est ceux qui refusent de devenir donneurs qui devront se manifester.

C’est une très belle journée, s’est réjoui le directeur médical du programme provincial de dons d’organes Legacy of Life, Stephen Beed.

Cette idée a commencé à prendre de l’ampleur il y a près de 15 ans, a-t-il fait remarquer. Plusieurs autres pays comme la Belgique et l’Espagne ont déjà légiféré en ce sens.

En Nouvelle-Écosse, l’ancien gouvernement néo-démocrate avait déposé un projet de loi similaire en 2010, mais la loi n’est jamais entrée en vigueur.

Contrairement à aujourd’hui, le programme provincial de dons d’organes n’était pas prêt à un tel changement à l’époque, selon son directeur médical.

Accès inégal en Nouvelle-Écosse

Il reste encore du travail à faire à travers la province pour égaliser l’accès au don d’organe.

Je veux être capable de dire que tous les Néo-Écossais, peu importe où ils vivent, peu importe leur code postal, auront le même accès au don d’organe. Stephen Beed, directeur médical, Legacy of Life

Il espère que le nouveau programme sera en place dans 12 ou 18 mois.

Entre-temps, les travailleurs de la santé de première ligne devront notamment être formés pour mieux reconnaître les donneurs d’organes potentiels et les référer aux équipes spécialisées.

Pour le spécialiste québécois en matière de don d’organes, Pierre Marsolais, l’éducation des professionnels est la chose primordiale à faire. Le consentement automatique n’est pas une solution, selon lui.

Il faut que les travailleurs de la santé soient capables d’identifier le donneur, de soutenir une famille et de créer un lien de confiance fort avec elle, parce que les proches du donneur, dit-il, donneront seulement leur approbation à condition qu’il soit décédé.

Si vous êtes convaincu qu’il n’est pas décédé, consentement présumé ou pas, vous allez dire non.Pierre Marsolais, médecin coordonnateur, Centre de prélèvement d’organes, CIUSS nord de l’île de Montréal

Pas avant un an

Le premier ministre Stephen McNeil estime de son côté que ce projet de loi vient répondre à un besoin dans la province. La Nouvelle-Écosse a un des plus gros taux de donneurs consentants au pays.

Ça ne se traduit pas toujours par un don, a-t-il dit.

Nous savons que dans plusieurs parties de la province, incluant celle où je vis, qui est une partie rurale de la Nouvelle-Écosse, nous avons du travail à faire. Stephen McNeil, premier ministre, N.-É.

Le premier ministre s’est engagé à mettre en place les services nécessaires pour rendre le nouveau système accessible partout en Nouvelle-Écosse.

La loi ne sera pas en vigueur avant au moins un an.

Le ministre de la Santé, Randy Delorey, a indiqué qu’une période de 12 à 18 mois sera nécessaire pour, entre autres, éduquer le public à propos du changement.

Malgré cette nouvelle loi, le ministre encourage les citoyens à discuter de leur volonté avec leurs proches afin que ce soit clair le moment venu.

Il n’est pas clair quelles répercussions ce changement aura sur le nombre de dons.

Le directeur du programme provincial, Stephen Beed, prend en exemple les régions en Europe où ce changement a provoqué une hausse des dons allant jusqu’à 35 %.

Avec les informations de CBC

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La mécanique du réchauffement climatique à l’origine du froid extrême


Je crois que Donald Trump ne devrait s’occuper à temps plein que du golf et pas autre chose. Ce qui est moi drôle, le vortex polaire que nous avons connu, le froid intense de janvier ne sera pas des évènements isolés. Brrrrr .. Les froids, ,les chaleurs, les pluies qui n’arrête plus, seront de plus en plus présent quelque part sur la Terre
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La mécanique du réchauffement climatique à l’origine du froid extrême

 

Une femme marche par grand froid.

La vague de froid intense qui s’abat sur le nord des États-Unis a fait une douzaine de morts. Photo: The Associated Press / John Minchillo

La vague de froid extrême qui s’abat sur le centre des États-Unis et sur le Canada, des Prairies à la Nouvelle-Écosse, donne des munitions à certains sceptiques, dont le président américain, qui se demandent où est donc passé le réchauffement climatique. Or, c’est bel et bien le même phénomène qui est derrière ce froid brutal. Comment est-ce possible?

D’après un texte de Nicole Mortillaro, de CBC News

C’est presque devenu une coutume. Dès que du temps glacial s’abat sur le nord-est ou le centre des États-Unis, Donald Trump souligne l’absurdité apparente de la situation, dans un contexte où la communauté scientifique met en garde la population mondiale contre les effets du réchauffement climatique.

« Dans le magnifique Midwest […] les gens ne peuvent même pas tenir quelques minutes dehors tellement il fait froid. Mais que se passe-t-il avec le réchauffement climatique? On t’en supplie, revient. Nous avons besoin de toi! », a-t-il écrit mardi sur Twitter.

Pourtant, ce sont bel et bien les changements climatiques qui sont responsables de cette vague de froid, et ce, en raison d’un phénomène que vous connaissez probablement, celui du vortex polaire ou tourbillon arctique.

Il s’agit d’une masse d’air froid qui se forme sur l’Arctique au cours de l’hiver et qui tourne sur elle-même, comme une toupie. Or, sa vitesse de rotation peut changer selon les influences du courant-jet, une bande d’air qui se déplace rapidement et qui marque la limite entre deux masses d’air distinctes.

Une image infrarouge de la NASA montre le vortex polaire au-dessus de la terre.

Le vortex polaire est la masse mauve qui se trouve au-dessus de l’Arctique et le courant-jet correspond à la ligne bleue qui délimite cette masse froide de l’air chaud plus au sud. Photo : NASA

« Le vortex polaire est bien connu, et cette masse d’air bouge et se trouve souvent déplacée. Présentement, le courant-jet l’a repoussée jusque dans le Midwest américain », explique la météorologue de CBC, Johanna Wagstaffe. « Parfois, elle peut aussi se diviser sous l’influence du courant-jet et donc faire un peu de surplace quelque part. »

C’est exactement ce qui se produit présentement : le courant-jet a divisé le vortex polaire en trois bras qui descendent plus au sud qu’à l’habitude.

Plus marqué et plus fréquent

On étudie ce phénomène depuis peu, mais les observations suggèrent que sa fréquence et son intensité devraient s’accentuer. C’est-à-dire que sous l’influence du courant-jet, le vortex polaire devrait descendre au sud plus souvent et entraîner des températures de plus en plus froides.

Auparavant, le courant-jet bougeait de manière relativement stable autour de l’hémisphère nord. Mais récemment, il affiche des ondulations du nord au sud plus prononcées, ce qui permet à l’air froid de l’Arctique de descendre beaucoup plus au sud et, inversement, à l’air chaud du golfe du Mexique de monter beaucoup plus au nord.

Un dessin fourni par la NASA montre une bande d'air et ses ondulations près de l'hémisphère nord.

Cette image illustre les ondulations prononcées que peut présenter le courant-jet, transportant les masses d’air froid au sud et les masses d’air chaud au nord. Photo : NASA

L’air de l’Arctique, qui se réchauffe deux à trois fois plus vite que le reste de la Terre, est à l’origine de ces ondulations plus prononcées dans le mouvement du courant-jet.

« Nous avons observé ce phénomène, c’est prouvé, affirme Johanna Wagstaffe. Et tous nos modèles climatiques montrent que cette tendance va persister. »

« Cela ne signifie pas simplement plus de sécheresse et de chaleur. Cela implique aussi plus de vagues de froid extrême et de systèmes dépressionnaires, que ce soit de la pluie ou de la neige, qui demeurent en place plus longtemps qu’auparavant. »

Climat ou température?

Il est impératif de savoir distinguer climat et température quand vient le temps de discuter de changement climatique.

La température représente l’état de l’atmosphère à un endroit et un moment précis, et se détermine grâce à la mesure de facteurs comme le vent ou l’humidité. Or, le climat est déterminé par la moyenne des mesures de ces facteurs sur une longue période de temps.

Une vague de froid ne signifie donc pas que les changements climatiques n’existent pas. En fait, au moment même où le froid engourdit une partie de l’Amérique du Nord, on enregistre des températures anormalement élevées ailleurs.

« L’atmosphère tente toujours de balancer son énergie, explique Mme Wagstaffe. Donc, présentement, de l’autre côté de la planète, dans le nord de l’Europe et de la Russie, ils battent des records de chaleur pour cette période-ci de l’année. »

Les changements climatiques ne se produisent pas à un endroit donné et un moment précis. C’est un phénomène global, qu’on observe sur une longue période de temps.

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