Goûteriez-vous la crème glacée au charbon?


Pour ma part, je n’ai jamais goûté à cette crème glacée noire. Ce n’est pas la couleur qui me surprend, mais qu’ils utilisent le charbon de bois. Il parait que le goût est bon, un goût de noix de coco
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Goûteriez-vous la crème glacée au charbon?

 

Quand la p’tite molle subit une cure de jouvence

L’ingrédient magique : le charbon actif. C’est cette substance qui fait en sorte que le cornet et la glace sont tous deux monochromes.

Le charbon actif est fabriqué à base de cosses de noix de coco ou de charbon de bois. Ce produit est parfois utilisé à des fins médicales pour traiter les intoxications.

La crème glacée noire s’apparente à la saveur de noix de coco. Certains y détecteraient un arôme de vanille.

La crèmerie joue avec les contrastes de couleurs avec d’autres saveurs dont vanille, thé vert et ube, une variété de patate sucrée.

Même si certains vantent les vertus du charbon actif, ces cornets de crème glacée ne sont pas des gâteries santé pour autant. C’est un dessert qui contient du sucre!

Même si l’efficacité est incertaine, des gens utilisent ce produit pour se blanchir les dents, traiter leur flore intestinale et même pour prévenir la gueule de bois.

Un engouement grandissant

Toronto n’est pas le premier endroit où cette crème glacée gothique fait rage! Au cours de la dernière année, les gourmands de Los Angeles et de New York ont déjà eu la chance d’y goûter, de prendre leurs égoportraits et de tirer leur langue pour montrer un léger résidu noir.

Deux jeunes femmes posent en tirant la langue et en montrant leurs doigts tachés par la crème glacée au charbon actif

Kelsey et Victoria montrent que la crème glacée au charbon actif laisse des taches sur la langue et sur les doigts Photo : Radio-Canada/Jonathan Bouchard

Shawn Izukawa, un employé d’Ihalo Krunch, vante le mérite des saveurs et des couleurs de sa crème glacée. Il souligne le coup de génie d’une des copropriétaires qui se spécialise en marketing et qui a su saisir l’occasion. Il explique le succès en raison d’une certaine loyauté de la clientèle et surtout du bouche-à-oreille des médias sociaux.

Reste à voir maintenant si l’engouement se poursuivra l’été prochain.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Le Saviez-Vous ► 8 vérités sur l’huile de noix de coco selon des spécialistes en nutrition


Il y a des modes en alimentation qui fait croire que certains aliments sont des superaliments, qu’ils peuvent guérir nombres de maladies et qu’ils sont bons pour la santé. C’est le cas de l’huile de noix de coco. Il y a de bons côtés, mais aussi des mauvais côtés qu’ils faut prendre en compte
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8 vérités sur l’huile de noix de coco selon des spécialistes en nutrition

Ces dernières années, l’huile de coco suscite un fort engouement sur les réseaux sociaux et sur internet. Cependant, il faut y regarder à deux fois avant d’acheter de l’huile de noix de coco à gogo.

PAR ERICA LAMBERG

Noix de coco et gras saturés

Aussi incroyable que cela puisse sembler, l’huile de noix de coco renferme six fois plus de gras saturé que l’huile d’olive, soit près de 12 grammes par cuillère à table.

« Pour la plupart des gens, cela représente plus de la moitié de l’apport quotidien recommandé », souligne Edwina Clark, diététicienne et directrice du département de nutrition et de santé de l’application et du site Yummly.

Il est vrai que tous les gras saturés ne sont pas égaux. Par exemple, l’huile de noix de coco recèle un taux particulièrement élevé d’acide laurique, un gras saturé qui augmente le niveau de bon cholestérol (HDL) comme le font les gras insaturés. Mais, l’acide laurique fait également grimper le mauvais cholestérol (LDL) et le cholestérol total. Edwina Clark souligne que, à l’opposé, les gras polyinsaturés et mono-insaturés de l’huile d’olive et des autres huiles végétales contribuent à abaisser le mauvais cholestérol et le cholestérol total.

Attention à l’abus

Une fois tombé sous le charme du goût tropical de l’huile de noix de coco, vous pourriez être tenté de l’utiliser pour faire revenir, frire, griller ou cuire tous vos plats.

« L’huile de noix de coco apportera une touche d’exotisme aux rôties, aux barres granolas, aux beurres de noix, aux smoothies, au maïs soufflé et aux soupes, précise Edwina Clark. Mais n’oubliez pas qu’une toute petite quantité suffit. »

Pour la cuisson en général, l’huile d’olive (extra vierge en particulier) et les autres huiles végétales comme les huiles de canola, de carthame et de tournesol sont les plus appropriées.

« Ne dépassez pas 1 à 2 c. à café d’huile de noix de coco par jour pour respecter les recommandations en gras saturés et prendre soin de la santé de votre cœur », précise Edwina Clark.

L’huile de noix de coco n’est pas un superaliment

C’est peut-être dur à croire après tout ce qu’on a entendu dire sur la blogosphère, mais l’huile de noix de coco n’est pas un superaliment comme le saumon.

« Il n’existe pas jusqu’à maintenant d’étude exhaustive ni de recherche sérieuse sur lesquelles s’appuyer pour affirmer que les huiles et beurres de noix de coco stimulent l’énergie, renforcent l’immunité, guérissent l’hypothyroïdie, augmentent la satiété ou diminuent les fringales », écrit la diététicienne Nicole Morrissey sur son blogue PreventionRD.com.

L’huile de noix de coco possède des composants antioxydants qui pourraient diminuer le risque de certaines maladies.

« On a parlé de remède “miracle” pour les maladies cardiaques, la perte de poids, la baisse du cholestérol et pour prévenir ou retarder l’apparition de la maladie d’Alzheimer », affirme Gary Appelsies, responsable de l’alimentation saine au YMCA de la Floride centrale. « Que l’huile de noix de coco soit utile pour traiter certaines maladies chroniques, c’est comme pour le reste, on n’a pas encore tout vu. »

Il y a d’autres gras meilleurs pour la santé

Nous savons aujourd’hui que les gras alimentaires ne sont pas aussi dangereux pour la santé qu’on l’a cru il y a quelques décennies. Mais, il y a des sources de lipides meilleures pour la santé que la noix de coco : c’est le cas des noix, des graines et des avocats.

« N’oubliez pas non plus d’ajouter des fruits et des légumes frais, des grains entiers, des protéines maigres ou d’origine végétale à votre alimentation quotidienne, souligne Gary Appelsies. C’est la combinaison de tous ces éléments qui aura un effet positif sur votre santé et votre organisme, pas seulement le produit à la mode qui se prétend le nouveau miracle. »

Des gras trans cachés

Lorsque vous achetez de l’huile de noix de coco, vérifiez sur l’étiquette si elle ne contient pas d’huile hydrogénée ou partiellement hydrogénée, ce qui indiquerait la présence de gras trans.

« Le gras trans ne sera jamais un bon gras pour la santé », précise Nicole Morrissey.

Des bienfaits surprenants

L’huile de noix de coco est efficace contre la plaque dentaire.

« Les bains de bouche d’huile (oil pulling) s’utilisent en médecine traditionnelle ayurvédique », précise Monica Amsterdam, directrice de la nutrition au Medical and Wellness Center of New Jersey à Cedar Knolls.

Pendant 15 minutes, faites circuler de l’huile de noix de coco (sans l’avaler) entre vos dents pour déloger la plaque dentaire, conseille-t-elle. Poursuivez 30 à 45 minutes supplémentaires afin d’améliorer votre santé générale.

« Ce processus permet à huile d’aspirer les virus, les bactéries et les levures », dit-elle.

Le meilleur moment pour le faire est le matin avant le déjeuner : ce traitement buccal améliore la santé de vos dents et votre état de santé général.

L’huile de noix de coco ne fait pas maigrir

La consommation modérée d’huile de noix de coco peut faire partie d’une alimentation saine et équilibrée, mais elle ne vous fera pas perdre de poids, comme l’ont suggéré certains.

« L’huile de noix de coco comprend beaucoup de calories et plus de gras saturés que le lard (90 % contre 40 %) », nous dit Farzaneh Daghigh, professeure en biochimie et en gastroentérologie au College of Osteopathic Medecine (Philadelphie).  Une dose de 15 ml (1 c. à table) fournit plus de 13 g de gras et 125 calories. Si vous en consommez trop, vous absorberez des calories qui vont amener votre organisme à emmagasiner plus de graisse. »

Plus de satiété mais plus de calories aussi

La concentration en gras de l’huile de noix de coco indique faussement aux récepteurs de la leptine que vous êtes rassasiés, ce qui peut diminuer votre faim et éventuellement votre appétit. Tant mieux si cela vous éloigne de la boîte à biscuits, mais cela n’a aucun effet sur votre consommation totale de calories.

« Une dose de 15 ml d’huile de noix de coco contient environ 125 calories », rappelle Patrick Henigan, propriétaire du centre d’entraînement Jacksonville Fitness Academy (Floride).

« Bien qu’il puisse s’agir de “bonnes” calories, ça ne change rien au fait qu’un excès de calories se traduira par une prise de poids. »

Si vous ajoutez l’huile de noix de coco à votre alimentation, vous devrez réduire d’autant les calories provenant d’autres aliments.

« D’où qu’elles proviennent, les calories supplémentaires vous feront prendre du poids », conclut-il.

http://selection.readersdigest.ca

9 animaux qui ont trouvé des endroits très étranges pour dormir


Les animaux trouvent parfois de bien drôle d’endroit pour faire leur petit roupillon.
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9 animaux qui ont trouvé des endroits très étranges pour dormir

 

1. « C’est mon lit à partir de maintenant! »

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2. « En dehors de l’odeur de transpiration des pieds, c’est l’endroit idéal pour dormir! »

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3. « Il y a des endroits pires pour dormir …. »

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4. « C’est mon pain maintenant! »

Imgur/MichaelBallman

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5. « Les bottes sont destinées à marcher – et à être portées »

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6. « Moi et l’eau – je suis chat, et je n’aime pas l’eau! »

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7. « Une piña colada de plus, s’il vous plaît! »

Pinterest

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8. « Qu’est-ce qui a commencé à pousser dans le jardin du voisin? »

Facebook/Nothing But Kitty Cats

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9. « Je suis une fleur- je suis beau n’est-ce pas? »

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http://incroyable.co/

En amitié, êtes-vous plutôt pêche ou noix de coco?


Au Canada, nous sommes aussi comme les Américains (enfin pour ce genre de chose)de la culture pêche. Alors que d’autres cultures pensent que nous manipulons les gens par nos sourires, entrées en conversation avec des purs inconnus
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En amitié, êtes-vous plutôt pêche ou noix de coco?

 

Photos: Pèche | Amanda Wray via Flickr CC License by et Noix de coco | Anna Verdina (Karnova) via Flickr CC License by

Photos: Pèche | Amanda Wray via Flickr CC License by et Noix de coco | Anna Verdina (Karnova) via Flickr CC License by

Erin Meyer

L’attitude vis-à-vis de personnes que l’on rencontre pour la première fois varie selon les pays. La familiarité des Américains ou celle des Brésiliens, par exemple, surprend toujours les Français. Tout est ici affaire de culture.

Notre auteur, Américaine installée en France depuis dix-sept ans, est professeur de management. Dans cet extrait de son livre La carte des différences culturelles: 8 clés pour travailler à l’international (éd. Diateino), traduit par Philippe Blanchard, elle s’appuie sur les travaux d’anthropologues et de psychologues. Et montre que la manière dont chacun se comporte en présence d’inconnus est d’abord une affaire de culture.

Les Américains ont tendance, à la différence d’autres cultures, à sourire à des étrangers et à entreprendre des personnes qu’ils connaissent à peine. D’autres risquent de prendre ces «amabilités» pour une offre d’amitié. Ensuite, comme les Américains ne donnent pas suite à une proposition qu’ils n’avaient pas l’intention de faire, ils risquent de se faire accuser de «fausseté» ou d’«hypocrisie».

Igor Agapova, un de mes collègues russes à l’Insead, raconte une anecdote qui date de son premier voyage aux États-Unis:

«Pendant les neuf heures de vol jusqu’à New York, j’étais assis à côté d’un inconnu. C’était un Américain et il a commencé à me poser des questions personnelles, me demandant si j’avais des enfants, si c’était la première fois que je me rendais aux États-Unis, ce que je laissais derrière moi en Russie, etc. Puis, il s’est mis à me donner des informations personnelles sur lui-même. Il m’a montré des photos de ses enfants, il m’a dit qu’il jouait de la basse et m’a raconté que sa femme, qui était actuellement en Floride avec leur dernier-né, avait du mal à supporter ses déplacements fréquents.»

En retour, Igor Agapova se mit à faire une chose qui ne lui était pas du tout naturel et qui n’est pas du tout usuel dans la culture russe: il raconta sa vie très honnêtement à ce sympathique inconnu, en ayant l’impression qu’ils s’étaient liés, en si peu de temps, d’une amitié incroyablement profonde.

La suite n’en fut que plus décevante:

«Je pensais qu’après une rencontre de ce genre, nous allions être amis pour longtemps. Après l’atterrissage, j’ai cherché un morceau de papier pour écrire mon numéro de téléphone mais imaginez ma surprise quand je vis mon ami se lever et me faire un grand signe de la main, en me disant: “J’ai été enchanté de vous rencontrer. Je vous souhaite un très bon séjour.” Et ce fut tout. Je ne l’ai plus jamais revu. J’ai eu l’impression qu’il m’avait manipulé pour que je m’ouvre à lui, alors qu’il n’avait aucune intention de donner suite à la relation dont il avait été l’initiateur.»

L’influence de la culture dans laquelle on a grandi

Le psychologue américain d’origine allemande Kurt Lewin a été l’un des premiers chercheurs en sciences humaines à étudier le rôle que joue, dans la formation de la personnalité, le système culturel dans lequel un individu a grandi. C’est notamment le sujet de son article

«Quelques différences sociaux-psychologiques entre les États-Unis et l’Allemagne» («Some social-psychological differences between the United States and Germany»), paru en 1936 dans la revue scientifique Character and Personality.

Par la suite, les chercheurs et consultants néerlandais Fons Trompenaars et Charles Hampden-Turner se sont appuyés sur le modèle de Lewin pour expliquer comment, selon les cultures, certains niveaux d’information appartiennent au domaine public ou, au contraire, sont réservés à la sphère des relations privées, comme exposé dans leur livre paru en 1998, Riding the Waves of Culture: Understanding Diversity in Global Business. On appelle fréquemment par des noms de fruits, «pêche» et «noix de coco», ces modèles d’interaction.

La douceur d’une pêche

Dans les cultures «pêche», fruit à la peau veloutée, comme aux États-Unis ou au Brésil pour n’en citer que deux, on a tendance à se montrer amical –«sympa»– avec des personnes que l’on vient juste de rencontrer. On sourit beaucoup aux étrangers, on passe vite aux prénoms, on raconte sa vie et on pose des questions personnelles à des gens que l’on connaît à peine. Mais après ce premier contact sympathique avec une «pêche», on risque de tomber soudain sur la partie dure, le noyau, sous laquelle la pêche protège son moi véritable. Dans ces cultures, être amical ne veut pas dire être ami.

Deux touristes engagent la conversation sur une plage en Grèce. Dans les cultures « pêche », on se montre sympathique dès le premier contact. Robert Wallace/Flickr, CC BY-NC-ND

Au cours d’un atelier que j’animais au Brésil, un participant allemand qui vivait à Rio depuis un an me parla en ces termes:

«Les gens sont si aimables que c’en est incroyable. Vous faites vos courses à l’épicerie ou vous traversez tout bonnement la rue, et quelqu’un vient vous poser des questions, vous parler de sa famille et vous inviter à venir boire un café ou vous laisser entendre que vous vous reverrez le lendemain à la plage. Au début, j’étais très heureux de recevoir toutes ces manifestations d’amitié. Mais je n’ai pas mis longtemps à me rendre compte que tous ces gens qui m’invitaient pour le café oubliaient de me donner leur adresse et que ces propositions de se retrouver le lendemain à la plage n’étaient jamais suivies d’effet. Parce que la plage, comme chacun le sait, fait plusieurs kilomètres de long…»

Trop de sourires pour être honnête?

Dans le Minnesota, l’État américain où j’ai grandi, nous apprenons dès notre plus tendre enfance à prodiguer nos sourires à ceux dont nous venons de faire la connaissance. C’est un des traits de la culture «pêche». Une Française qui était venue voir ma famille dans le Minnesota fut déconcertée par notre côté «pêche»:

«Les serveurs ont tout le temps le sourire aux lèvres et me demandent tous si je passe une bonne journée. Ils ne me connaissent même pas ! Cela me met mal à l’aise et me rend soupçonneuse : que me veulent-ils ? Pour toute réaction, je serre mon sac à main plus fortement contre moi.»

Inversement, moi qui suis issue d’une culture «pêche», j’ai été tout aussi déconcertée quand je suis venue m’installer en Europe. Mes sourires aimables et mes remarques personnelles rencontraient un accueil glacial chez mes nouveaux collègues polonais, français, allemands ou russes. J’interprétais leur expression impassible comme un signe d’arrogance, voire d’hostilité.

La rudesse d’une noix de coco

Dans ces cultures «noix de coco», les gens sont plus fermés (comme la rude coque de la noix de coco) vis-à-vis de ceux avec qui ils n’ont pas de relation d’amitié. Il est rare qu’ils sourient aux inconnus, qu’ils posent des questions personnelles à de simples relations ou qu’ils se confient à des personnes avec qui ils n’ont pas un lien étroit. Il faut du temps pour percer l’écorce extérieure mais, progressivement, la relation devient plus chaleureuse et plus amicale. Et les amitiés qui mettent plus de temps à se construire tendent à durer plus longtemps.

Discussion par la fenêtre, en Allemagne. Dans une culture «noix de coco». comme celle des Allemands, on reste sur la réserve avec les inconnus. Jaime Gonzalez/Flickr, CC BY

Quand vous arrivez dans une culture «noix de coco», l’hôtesse d’accueil de l’entreprise avec laquelle vous avez rendez-vous ne vous demandera pas si vous avez passé un bon week-end et le coiffeur qui vous coiffe pour la première fois ne vous dira pas:

«Une Américaine mariée à un Français? Où avez-vous rencontré votre mari ?»

«C’est soit un fou, soit un Américain»

Si vous êtes «pêche» et que vous voyagez en culture «noix de coco», sachez que les Russes disent que, quand ils rencontrent quelqu’un qui sourit dans la rue:

«C’est soit un fou, soit un Américain». Imaginez que vous entrez dans une salle de réunion à Moscou (ou à Belgrade, Prague, voire Munich ou Stockholm) et que vous vous trouvez face à un groupe de managers à l’air grave dont aucun ne cherche à bavarder avec vous, n’en déduisez pas que leur culture considère qu’il est sans intérêt de nouer des relations.

Au contraire, c’est en cultivant une relation personnelle chaleureuse sur le long terme que vos interlocuteurs «noix de coco» deviendront des partenaires confiants et loyaux. Ce qui est en cause, bien entendu, c’est que toutes les cultures n’ont pas le même point de vue sur les comportements à observer vis-à-vis des inconnus et sur ceux qui indiquent qu’une amitié véritable est en train de se former.

http://www.slate.fr/

Pieuvre noix de coco en déplacement


Cette pieuvre, nous rappelle comment certains jours porter son fardeau est lourd sur les épaules, mais nécessaire
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Pieuvre noix de coco en déplacement

La pieuvre veinée (Amphioctopus marginatus) est connue sous le nom de pieuvre noix de coco.

Pourquoi ? Car elle est réputée pour transporter des noix de coco afin de l’utiliser comme abri ou protection.

Elle adopte le comportement d’un bipède quand elle se déplace avec une noix de coco.

http://www.insoliteqc.com/