Une publicité Nike créée par une intelligence artificielle


Ce n’est pas une publicité officielle, mais une création sans que Nike en fasse la demande. Un Français a réuni plusieurs publicités de Nike et l’IA en a fait une nouvelle publicité. Pour ma part, je suis un peu déçue, sauf peut-être (et encore) si elle jouer a la radio par exemple, car en vidéo, il n’a rien d’accrochant.
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Une publicité Nike créée par une intelligence artificielle


Fabrice Auclert
Journaliste

Après avoir investi la peinture, la musique et bien sûr le jeu vidéo et la santé, l’intelligence artificielle va-t-elle créer des campagnes de publicité ? Un créatif français a nourri un réseau neuronal de publicités Nike très connues, et voici le résultat…

Ce spot a été produit à titre expérimental et il n’est donc pas officiel mais c’est la première publicité créée par une intelligence artificielle. C’est le concepteur-rédacteur Jean-Baptiste Le Divelec qui en est à l’origine car il a toujours été « fasciné par les réseaux neuronaux et le deep learning ». Avec des amis, il explique qu’il a alimenté un réseau neuronal avec plus d’une « dizaine d’années de publicités Nike » pour voir si l’intelligence artificielle était capable de créer une publicité originale.

Il précise bien que Nike n’est pas à l’initiative du projet, mais il s’est appuyé sur des publicités populaires et connues de tous. Il avait besoin de s’appuyer sur une marque emblématique, mondiale, et dont le corpus de publicités était facilement accessible. On en dénombre 20, et l’intelligence artificielle a fonctionné comme un générateur de textes automatiques. Notamment GPT-2, mis au point par Open-IA, et dont l’utilisation reste universitaire, tant la création de faux textes pourrait poser de problèmes à l’ère du « deep fake » et des « fake news ».

On n’est pas loin de l’écriture automatique lorsque l’IA conçoit une publicité. © Jean-Baptiste Le Divelec

Le prochain slogan va-t-il naître d’une IA ?

Là, il s’agit simplement d’une expérience de création. Jean-Baptiste Le Divelec explique à The Next Web qu’il avait été marqué par les performances de l’IA en musique ou en peinture, persuadé donc que « la machine » pouvait aussi être créatrice. À l’arrivée, le spot de 50 secondes a tout d’une publicité Nike, avec la musique, les codes couleurs, le rythme et l’importance de la sémantique.

Le publicitaire l’a appelé « AI et Kennedy » et même s’il reconnaît qu’on est « à la limite de l’inintelligible » et de « l’absurde », il y observe « une touche de génie ». Pour lui, le prochain slogan fort d’une marque ou le prochain spot de publicité, comme « Just Do It » pourrait donc naître du cerveau d’une intelligence artificielle. Il y a un siècle, on appelait ça le surréalisme, et c’est peut-être l’avenir de la publicité.

https://www.futura-sciences.com/

Une des premières paires de Nike vendue 437 500 $, un record


Payer 437 500 dollars pour une paire de chaussures de sport qui n’a jamais été porté, juste pour l’avoir dans sa collection, me parait vraiment exagéré. En plus, le collectionneur canadien avait acheté les 99 autres chaussures en vente pour la somme de 850 000 dollars. Je ne comprends pas cet engouement pour ce genre de chose.
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Une des premières paires de Nike vendue 437 500 $, un record


Agence France-Presse
New York

Une des premières paires de chaussures de sport jamais produites par l’équipementier américain Nike a été vendue mardi pour 437 500 dollars lors d’enchères en ligne organisées par Sotheby’s, un record mondial pour des « sneakers ».

La « Moon Shoe » était destinée à des concurrents des sélections américaines d’athlétisme pour les Jeux olympiques de 1972. La paire vendue mardi, la seule parmi les 12 exemplaires connus qui n’ait jamais été portée, était estimée entre 110 000 et 160 000 dollars.

Le précédent record avait été établi en 2017 par une paire de Converse Fastbreak portée par la star américaine du basketball Michael Jordan lors de la finale olympique de 1984 à Los Angeles, adjugée à 190 373 dollars lors d’enchères organisées par la maison SCP Auction.

L’acquéreur de la « Moon Shoe » est un entrepreneur canadien de 61 ans, Miles Nadal, qui a prévu d’exposer la paire dans son musée privé de Toronto, le Dare to Dream Automobile Museum, selon un communiqué publié mardi par Sotheby’s.

La « Moon Shoe » faisait initialement partie d’un lot de 100 paires proposé lors de la vente en ligne de Sotheby’s en partenariat avec le site spécialisé Stadium Goods, mais Miles Nadal avait acquis les 99 autres la semaine dernière pour 850 000 dollars, un record pour une collection de « sneakers ».

L’entrepreneur souhaitait également acquérir la paire de « Moon Shoe », mais son propriétaire avait préféré attendre la fin prévue de la vente, mardi. Miles Nadal a donc fini par réunir les 100 paires.

Selon la légende, l’entraîneur américain d’athlétisme Bill Bowerman, co-fondateur de Nike, aurait eu l’idée de la semelle en coulant du caoutchouc dans la machine à gaufre de son épouse.

La « Moon Shoe » doit ainsi son nom à la ressemblance entre les traces laissées par cette nouvelle chaussure et les empreintes des astronautes américains sur la Lune.

La vente achevée mardi s’inscrit dans le cadre de la montée en puissance de nouveaux marchés pour les collectionneurs : planches de skateboard, premiers ordinateurs ou baskets, populaires auprès d’une nouvelle génération d’amateurs.

Historiquement, les ventes de « sneakers » concernaient surtout des modèles portés par des sportifs, mais l’explosion des baskets de collection, qui sont souvent neuves et pas forcément destinées à être portées, a largement supplanté le marché de niche des baskets utilisées en compétition.

« Je pense que la culture « sneakers » est en passe d’exploser », a déclaré Miles Nadal, cité dans le communiqué.

https://www.lapresse.ca

Les baskets à semelles épaisses sont très mauvaises pour vos pieds


Bien que ce soit moins pire que porter des talons haut, il semble que les souliers à semelle épaisse qui sont très vendeurs présentement ne soient non plus recommandé. Ils solliciteraient les muscles de l’avant du tibia et pourraient provoquer des périostites tibiales. Il parait que nos pieds seraient mieux dans des chaussures à orteils séparés.
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Les baskets à semelles épaisses sont très mauvaises pour vos pieds


Ces baskets sont déconseillées pour la pratique d’une activité physique puisqu’elles ne permettent pas de soutenir correctement le pied et la cheville. | Mehdi-Thomas Boutdarine via Unsplash

 

Ces baskets sont déconseillées pour la pratique d’une activité physique puisqu’elles ne permettent pas de soutenir correctement le pied et la cheville. | Mehdi-Thomas Boutdarine via Unsplash

Repéré par Audrey Renault

Repéré sur The guardian

Selon les podologues, les chaussures phares du moment sont un réel danger pour les muscles et les articulations de la cheville et de la jambe.

Fila, Nike, New Balance, Reebok, Superga… Toutes les marques proposent aujourd’hui leurs baskets à semelles épaisses, reprenant l’esthétique des années 1990 qui fait la mode d’aujourd’hui. Mais si elles semblent confortables et inoffensives à première vue, ces grosses baskets ne sont pas une bonne nouvelle pour nos petons.

«Les baskets à semelles épaisses sont plus lourdes. Le surpoids peut augmenter la sollicitation des muscles de l’avant du tibia, explique William Joyce, podologue dans une clinique londonienne. Cela peut provoquer des douleurs à l’avant de la jambe que l’on appelle des périostites tibiales.»

Parmi les paires les plus lourdes du marché, la journaliste Leah Harper cite dans un article pour The Guardian les Reebok Triple Platform X Gigi Hadid, qui pèsent 557 grammes, et les Superga 2790 Linea Up Down, 481 grammes au compteur.

Malgré leur poids, le succès de ces baskets ne se dément pas. Au premier semestre 2019, les baskets pour femmes Alexander McQueen et leurs semelles surdimensionnées ont ainsi caracolé en tête du Lyst Index, un classement trimestriel des marques et des produits de mode les plus populaires du moment. Chez les hommes, ce sont les Nike React Element 87 qui trônent au sommet d’un palmarès composé exclusivement de baskets. Une première.

Moins dangereuses que les talons hauts

Commercialisées par des labels sportifs, ces baskets ne sont pas pour autant conseillées pour la pratique d’une activité physique puisqu’elles ne permettent pas de soutenir correctement le pied et la cheville.

Au contraire de ces baskets à semelles épaisses, les chaussures idéales, pour le sport comme pour le quotidien, seraient selon les expert·es une paire minimaliste comme les fameuses chaussures à orteils séparés, ces sortes de gants pour pieds qui reproduisent la sensation de marcher ou courir pied nu.

Si les podologues assurent que la chaussure la plus adaptée dépend évidemment de l’âge, de l’état de santé ou du poids de chaque personne, ces spécialistes sont néanmoins unanimes sur les dangers des talons hauts, jugés bien plus dangereux que les baskets à semelles épaisses.

«Les talons hauts sont généralement pires que ces baskets, assure Andrew Gladstone, directeur d’un centre de podologie à Londres. Les orteils y sont à l’étroit ce qui entraîne la formation de cors, une pression accrue sur les orteils et les articulations et des problèmes d’ongles, tandis que leurs semelles minces et dures peuvent causer des douleurs à la plante du pied, en endommageant les articulations métatarsiennes et en fatiguant le pied de manière générale.»


http://www.slate.fr/

Se vêtir avec des déchets


Et pourquoi pas ! Si les grandes compagnies se vantent d’utiliser les déchets plastiques et autres pour faire des vêtements, chaussures et certains objets en recyclant alors tant mieux. Enfin, je pense que cela est moins pire que laisser ces objets flotter dans nos océans ou des dépotoirs
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Se vêtir avec des déchets

 

Adidas a dévoilé le mois dernier une paire... (Photo fournie par Adidas)

Adidas a dévoilé le mois dernier une paire de chaussures sport entièrement faites de plastique et de filets récupérés dans les océans.

PHOTO FOURNIE PAR ADIDAS

PHILIPPE MERCURE
La Presse

Chaussures sport et jeans faits de plastique récupéré dans l’océan. Vêtements de sport fabriqués avec des bouteilles de boisson gazeuse. Sacs confectionnés à partir de vieilles toiles de camion et de chambres à air de vélo. Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à choisir les déchets pour fabriquer vêtements et accessoires. Veulent-elles sauver la planète ou soigner leur image?

Chaussures sport

C’est le plus récent coup d’éclat dans la catégorie «vêtements fabriqués avec des déchets». Adidas a dévoilé le mois dernier une paire de chaussures sport entièrement faites de plastique et de filets récupérés dans les océans. L’initiative découle d’un partenariat avec Parley for the Oceans, une organisation qui veut sensibiliser le grand public au sort des océans. Mais ne cherchez pas les souliers en magasin: la paire dévoilée n’est qu’un prototype.

«Nous prévoyons avoir des produits sur le marché qui incorporent du plastique provenant des océans au début de l’an prochain», explique la porte-parole Maria Culp.

Jeans

Des jeans faits de plastique? C’est ce que fabrique l’entreprise néerlandaise G-Star Raw depuis l’an dernier. Les fibres des pantalons sont conçues avec du plastique récupéré dans les océans et manufacturées par l’entreprise Bionic Yarn. Les vêtements sont promus par la star musicale Pharrell Williams, présentée comme le directeur créatif de la collection.

Maillots de soccer

C’était impossible à voir lorsqu’elles ont sauté de joie lors de leur victoire contre le Japon, mais les joueuses de l’équipe américaine de la dernière Coupe du monde de soccer, qui s’est tenue cet été au Canada, portaient des maillots blancs faits avec de vieilles bouteilles de plastique. Selon Nike, qui a fabriqué les maillots, l’équivalent de 18 bouteilles ont été nécessaires pour fabriquer chaque uniforme.

Sacs

À Zurich, l’entreprise Freitag, elle-même installée dans un bâtiment fait de conteneurs, fabrique des sacs confectionnés à partir de vieilles bâches utilisées par les camionneurs pour couvrir les marchandises lors du transport. D’autres déchets comme des chambres à air et des ceintures de sécurité de voiture usagées entrent aussi dans la fabrication des sacs. L’entreprise dit utiliser 350 tonnes de bâches de camion chaque année.

Effet d’entraînement

Selon Paul Lanoie, professeur d’économie appliquée à HEC Montréal, on aurait tort de ne voir que du marketing dans de tels efforts.

«À mes yeux, ça a une très bonne valeur. Dans un monde où il y a de moins en moins de ressources naturelles, la réutilisation des ressources est très pertinente», dit-il.

Il se réjouit particulièrement de voir des géants comme Nike et Adidas se mettre à recycler des déchets.

«Ça peut provoquer un effet d’entraînement, dit-il. Les grandes entreprises ont beaucoup de fournisseurs et leurs décisions peuvent avoir un impact sur toute la chaîne en amont.»

Info manquante

Hugues Imbeault-Tétreault, analyste au Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services, convient qu’on obtient habituellement un gain environnemental en fabriquant des produits à partir de matières recyclées. Mais il aurait aimé que les fabricants documentent ce gain sur l’ensemble de la vie de leurs produits.

«Dans ce que j’ai vu, on ne tient compte ni de l’utilisation ni de la fin de vie du produit», dit-il.

Un exemple: il est possible qu’en lavant des vêtements faits de plastique, on génère des microbilles de polymère qui échoueront au fond des cours d’eau et seront très difficiles à récupérer.

Patagonia fait figure de pionnière dans la fabrication de vêtements à partir de déchets. Dès 1993, l’entreprise a commencé à utiliser de vieilles bouteilles de boissons gazeuses pour fabriquer le polyester de ses vestes. Elle incite aussi ses clients à lui retourner leurs vieux vêtements, qui servent à en fabriquer de nouveaux. En réponse aux inquiétudes de l’analyste Hugues Imbeault-Tétreault, Patagonia dit avoir étudié l’impact de ses fibres sur l’ensemble du cycle de vie des produits. Pour ce qui est de la production des matières premières, l’entreprise dit utiliser 76 % moins d’énergie et émettre 71 % moins de CO2 en utilisant des matériaux recyclés.

«Nous évitons le forage et le raffinage associés au pétrole servant à faire le polyester», explique Jill Dumain, directrice de la stratégie environnementale chez Patagonia.

Selon elle, le reste du cycle – l’utilisation et la fin de vie des vêtements – est semblable pour les vêtements de polyester normal et les vêtements de polyester recyclé. L’entreprise vient par ailleurs de lancer une étude pour voir si le lavage de ses vêtements génère des microbilles de plastique.

http://www.lapresse.ca/

Des produits toxiques dans des vêtements pour enfants


Autrement dit acheter des marques reconnues faites à l’étranger ne garantit en rien qu’ils ne sont pas dangereux pour les enfants. C’est vraiment dommage qu’au nom de je ne sais pas trop quoi, on puisse mettre des enfants en danger
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Des produits toxiques dans des vêtements pour enfants

 

Des activistes de Greenpeace dénoncent la présence de substances chimiques susceptibles de provoquer des cancers et des désordres hormonaux dans des produits de marques lors d’une performance à Budapest, en Hongrie.

PHOTO ATTILA KISBENEDEK, AFP

Agence France-Presse
PÉKIN

Greenpeace a affirmé mardi à Pékin avoir détecté des substances chimiques dangereuses dans des vêtements pour enfants fabriqués par des grandes marques, parmi lesquelles Disney, Burberry ou Adidas.

L’organisation de défense de l’environnement a expliqué dans un communiqué avoir soumis 82 articles de douze marques à des analyses, et avoir retrouvé chez chacune de ces enseignes des produits chimiques nocifs.

Parmi les marques ciblées par l’ONG figuraient également Nike, American Apparel, C&A et Gap. Les articles testés ont été fabriqués dans douze régions ou pays, et pour un tiers d’entre eux en Chine.

«Les parents soucieux d’acheter à leurs enfants des vêtements qui ne contiennent pas de produits chimiques dangereux font face à un véritable cauchemar», a commenté Chih An Lee, de Greenpeace.

L’ONG a appelé la Chine, premier producteur textile et premier consommateur de produits chimiques du monde, à cesser d’utiliser des substances néfastes dans son industrie textile.

Ce n’est pas la première fois que Greenpeace met en cause de grands fabricants de vêtements.

Ces deux dernières années, l’ONG a publié plusieurs études montrant la présence de substances chimiques susceptibles de provoquer des cancers et des désordres hormonaux dans des produits de marques telles que Zara, Calvin Klein, Levi’s et Li Ning.

Et en 2011, Greenpeace avait publié «Dirty Laundry» et «Dirty Laundry 2», deux rapports qui montraient comment les fournisseurs de grands groupes textiles empoisonnaient l’eau de certains fleuves chinois avec leurs rejets, ces substances chimiques se retrouvant également dans les fibres des produits vendus.

http://www.lapresse.ca

Il poursuit Nike pour un crime violent qu’il a commis


Non ce n’est pas ma faute si je fais un truc criminel, c’est la faute des autres, de quelques choses mais pas responsable des dégâts … Et puis quoi encore !!!
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Il poursuit Nike pour un crime violent qu’il a commis

 

Un proxénète de Portland, en Oregon, poursuit Nike pour 100 millions $ en affirmant que le fabricant serait partiellement responsable d’un crime qu’il a commis.

Selon le journal The Oregonian, Sirgiorgiro Clardy a été condamné à une peine de 100 ans, notamment pour avoir sévèrement battu un autre homme en lui écrasant le visage avec ses pieds.

Il poursuit Nike parce que la compagnie n’aurait pas averti les consommateurs que ses chaussures Air Jordan pourraient être utilisées comme armes dangereuses.

Clardy, qui se représente lui-même, affirme avoir souffert mentalement en raison de l’«omission» alléguée de Nike.

Son comportement en cour ne l’aidera toutefois pas, rappelle The Oregonian. Clardy a crié des insultes au juge, aux avocats et aux jurés.

L’homme a aussi été déclaré coupable d’autres crimes précédemment, comme d’avoir effectué un vol et d’avoir battu une de ses prostituées.

http://www.journaldequebec.com

Nike : Une chaussure pour éléphant !


Que ce soit Nike, Adidas ou qu’importe, ce qui est vraiment important c’est d’avoir permis à un éléphant d’avoir ou circuler convenablement grâce a ce gros, gros. gros soulier
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Nike : Une chaussure pour éléphant !

 

Nike chaussure éléphant

La chaussure a été crée par Nike exclusivement pour un éléphant

Les chaussures Nike ce ne sont pas seulement les Air Jordan. Alors que la marque lancera prochainement un nouveau prototype des chaussures de Marty McFly de Retour Vers Le Futur, elle a aussi créé il y a quelques années une chaussure exclusive pour un éléphant.

Ce modèle, aujourd’hui préservé au siège, a été pensé pour un éléphant particulier qui avait une jambe plus courte que les autres. Pour lui permettre de marcher normalement, la chaussure disposait d’une semelle qui lui permettait de compenser l’écart avec les autres jambes de l’animal et qui pouvait supporter son poids. Grâce aux lacets, son articulation était aussi stabilisé. On peut apercevoir la fameuse virgule rose, qui s’est abimée avec le temps. L’éléphant étant aujourd’hui décédé, la marque a choisi d’exposer la chaussure dans ses locaux.

 

http://www.meltybuzz.fr/

Commerce – La folie pour des espadrilles griffées


Payez 300 dollars pour des espadrilles non mais ou on va là !!! Ah oui ils sont griffées mais cela demeure quand même juste des espadrilles. Elles n’ont pas le pouvoir de vous faire marcher ou courir plus vite .. !  Gaspillage d’argent .. en plus les personnes qui viennent de loin .. le 300 dollars est vite dépassé. C’est de la surconsommation, de l’exagération
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Commerce – La folie pour des espadrilles griffées

 

Des dizaines de fanatiques et de collectionneurs ont dormi à la belle étoile pour une paire d’espadrilles signées Kanye West. Ils n’ont pas hésité à attendre devant un magasin de la rue Rideau, à Ottawa, pendant quelques jours.

Certains acheteurs sont même venus de très loin afin de mettre la main sur une paire, comme Chris Cabello du New Jersey qui a campé quatre jours sur la rue Rideau.

Moins de 3000 paires de ces espadrilles vendues par le groupe Nike sont disponibles dans le monde. Elles se trouvent dans certains magasins seulement dont une demi-douzaine au pays.

Le propriétaire du commerce de la rue Rideau a refusé de dévoiler le nombre de paires disponibles à Ottawa.

Les souliers se sont envolées en moins de 10 minutes. Le gérant de la boutique, Naj Peterson, n’a pas été surpris de cet engouement.

Il indique que les espadrilles se vendent environ 300 $ la paire. (environs 233.00 euro)  Sur les sites de revente dans Internet, les prix peuvent grimper jusqu’à 2000 $. (1 554,00 euro)

Kanye West est un rappeur américain qui collabore avec Nike dans la fabrication du soulier. Les espadrilles vendues à Ottawa et ailleurs dans le monde, samedi, ont été baptisées Air Yeezy 3­. Deux autres modèles avaient déjà été créés depuis 2009.

D’après un reportage de Frédérica Dupuis.

http://actualites.ca.msn.com