Sous le nid de poule, un tunnel vers la banque


Il y a des gens qui regarde trop de films policiers, pour creuser un tunnel rejoignant la banque. Bien qu’ils ne semblent pas savoir qui est le ou les auteurs, le vol de banque n’aurait pas eu lieu.
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Sous le nid de poule, un tunnel vers la banque

 

© afp.

Un nid de poule au milieu d’une rue de Miami, en Floride, a mis au jour un tunnel clandestin relié à une banque, selon l’antenne locale du FBI qui a ouvert une enquête pour tentative de cambriolage, ont indiqué jeudi les médias locaux.

Le trou s’est formé au beau milieu de Flamingo Rd, dans le quartier de Pembroke Pines, dans l’ouest de la ville, au niveau d’une succursale de la Chase Bank.

Il a finalement laissé entrevoir un tunnel creusé à quelques centimètres seulement du bitume, selon les photos diffusées sur le compte Twitter de l’antenne locale de la police fédérale.

Le trou a été signalé mercredi par un riverain aux services locaux de la voirie, qui a averti la police de Miami en découvrant un tuyau d’arrosage dans le conduit, a raconté le quotidien Miami Herald.

La police locale, avec le soutien du FBI, a retrouvé l’entrée du tunnel cachée par des palettes de l’autre côté de la rue. A côté se trouvait un générateur électrique, un treuil et un petit wagon, a précisé le porte-parole du FBI, Michael Leverock.

45 mètres

Le tunnel, d’une longueur de 45 mètres environ, ne faisait que 60 à 90 cm de diamètre.

 « Il faut être très petit pour y entrer et il ne faut pas être claustrophobe », a expliqué le policier.

Selon lui, le terrassier amateur creusait depuis « plusieurs mois, ça ne se fait pas en un jour ».

La banque, qui n’a pas souhaité faire de commentaire, n’a pas été victime de cambriolage, a précisé le FBI.

Le mode opératoire rappelle le célèbre « casse du siècle » qui avait visé à l’été 1976 la banque Société Générale de Nice (sud-est de la France). Les cambrioleurs étaient passés par les égouts puis avaient creusé un tunnel jusque dans la salle des coffres. Le butin, qui n’a jamais été retrouvé, a été estimé à 46 millions de francs, soit l’équivalent de 29,6 millions d’euros actuels.

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Ils plantent des fleurs dans les rues, parce que dans ces villes, les autorités ne veulent pas remplir les nids de poule.


On devrait faire la même chose dans ma ville, il y a des nids poules à ne plus finir et qui endommage des automobiles. C’est une bonne idée
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Ils plantent des fleurs dans les rues, parce que dans ces villes, les autorités ne veulent pas remplir les nids de poule.

 

 

Le jardinage de guérilla devient populaire dans le monde entier

Les nids de poule ou les trous dans la route ne les effrayent pas. Ils peuvent transformer chaque trou peu profond en pot. Avoir une voiture n’est pas un luxe, c’est souvent une nécessité. Surtout pour ceux qui vivent dans de petites villes avec des modes de communication peu développés.

Même les gens de la ville travaillant dans de grands conglomérats ne peuvent pas circuler avec une voiture. C’est très pratique toutefois, pour pouvoir partir quelque part pour le week-end où c’est plus calme, et l’air n’est pas autant pollué.

Habituellement, les routes ne sont pas si mauvaises dans les grandes villes résidentielles, mais nous pouvons tomber sur des routes assez terribles dans la banlieue. En luttant contre les nids de poule, ce jardinier de guérilla a décidé de faire de chaque trou un pot.

Les autorités enclines à la procrastination ont généralement (ou soyons réelles, elles prétendent avoir) d’autres dépenses plus importantes que le remplissage des nids de poule dans les anciennes routes. Encore plus, puisque l’asphalte qui y est disposé n’est plus de la même qualité que précédemment. Les entreprises de construction ont de courts délais pour utiliser ces investissements, alors, dans le but d’être achevés à temps, ils réparent les routes de manière négligente, en oubliant certains facteurs comme par exemple, le gel. Le résultat? Les nids de poule sont encore présents à la surface, remplis de temps en temps avec du gravier.

Mais maintenant, il existe un remède pour cela. Il suffit d’y planter des fleurs. Les fleurs plantées dans les nids-de-poule sur la route ont été remarquées non seulement par les conducteurs qui tentent de les éviter, mais aussi par les autorités de la ville. Le gouvernement de la ville qui a fermé les yeux sur l’état terrible des routes jusqu’à présent ne peut plus ignorer ces protestations silencieuses. Pourquoi? Parce que cela les embarrasse.

Ces plantes ont ensuite été photographiées et diffusées rapidement sur internet. Alors, il n’était plus possible pour les fonctionnaires de cacher leur négligence dans l’entretien de la route. De cette façon, les villes ont eu mauvaise réputation. Par crainte d’être moqués, les fonctionnaires mettent de l’argent dans le rebouchage des nids-de-poule qu’ils n’avaient jamais vus jusque là. Le combat qui semblait être vain s’est finalement achevé triomphalement. Vous devez admettre que les mini-jardins des manifestants plantés pour protester contre la négligence des autorités sont vraiment mignons.

Les jardiniers remplissent d’abord les trous avec de la terre et plantent des fleurs colorées comme des violettes et des jonquilles. Beaucoup de villes ont été décorées de cette façon déjà, de Londres à Chicago. Vous trouverez également des fleurs dans les nids-de-poule dans les petites villes comme, par exemple, Schenectady, Moose Jaw ou Bangor ainsi que dans des régions métropolitaines comme Montréal, par exemple. Les adversaires de ces décorations routières affirment que les plantes détournent l’attention des conducteurs. Et, ajoutent-ils, le temps que ces jardiniers consacrent à planter des plantes pourrait être utilisé pour remplir les trous.

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Des bactéries pour solidifier les routes


À chaque printemps, les nids-de-poule font légion. Les villes doivent donc réparer ces trous et cela fini par coûter cher. Une technologie pourrait aider à diminuer ces trous grâce aux bactéries et au calcium. Donc, à suivre …
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Des bactéries pour solidifier les routes

 

Une équipe de Polytechnique Montréal utilisera cet été... (PHOTO ALAIN ROBERGE, archives LA PRESSE)

Une équipe de Polytechnique Montréal utilisera cet été en laboratoire des bactéries pour allonger la durabilité des routes. Cette technologie pourrait aussi réduire la profondeur des nids-de-poule.

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

MATHIEU PERREAULT
La Presse

D’ici quelques années, les ingénieurs civils pourraient avoir recours à la biotechnologie pour allonger la durabilité des routes. Une équipe de Polytechnique Montréal testera cet été en laboratoire une route-pilote pour voir la viabilité de cette technologie.

« L’idée est d’injecter dans le gravier et le sable qui forment l’assise d’une route des bactéries qui fabriquent des précipités de carbonate de calcium », explique Benoît Courcelles, ingénieur civil à Polytechnique Montréal, qui présentait jeudi l’un de ses projets de « biocalcification » au congrès de l’ACFAS. « Ces précipités forment des liens entre les particules de sable et de gravier qui résistent mieux à la pression des véhicules. Il y a moins de cisaillement et de rupture. »

À l’ACFAS, M. Courcelles a présenté les résultats d’un essai réalisé cet hiver qui a confirmé que les précipités sécrétés par ces bactéries résistent au froid.

« On s’est demandé ce qui se passerait avec les calcites si l’eau gèle et gonfle. On a vu qu’il y a rupture de certains ponts calcites, mais pas tous, parce que le sol devient plus souple quand il y a moins de ponts calcites et que cette souplesse permet aux ponts calcites qui restent de résister aux variations de volume. »

Les bactéries en question ont été développées par des microbiologistes, généralement australiens et néerlandais, voilà une quinzaine d’années. Quand on les met en présence de sel de calcium, ces bactéries fabriquent autour d’elles une petite pellicule de calcite pour se protéger. Au bout d’un à trois jours, elles meurent, parce qu’elles sont séparées de leurs nutriments par la pellicule de calcite. Le procédé consiste à un épandage de solution bactérienne, puis un autre épandage d’une solution de sel de calcium.

« Les géotechniciens ont pris le relais il y a sept ou huit ans, dit M. Courcelles. Je travaillais moi-même dans le domaine, en France, avant d’enseigner à l’université. Je collabore toujours avec Geopac, la filiale québécoise de la compagnie où je travaillais en France. »

UTILE CONTRE LES NIDS-DE-POULE ?

L’objectif est d’avoir une solution bactérienne qui peut être étendue sur le gravier par un camion-citerne, sans qu’il soit nécessaire d’avoir des techniciens sur place.

« Ça ne devrait pas augmenter beaucoup les coûts d’une route, dit M. Courcelles. En plus, il se peut que ça réduise la quantité de compactage nécessaire, ce qui serait une économie. Et la route pourrait permettre le passage de véhicules plus lourds. »

Le même procédé pourrait être utilisé pour solidifier des fondations, même d’immeubles déjà existants, et va réduire la profondeur des nids-de-poule.

« Les très gros nids-de-poule qu’on voit sont dus à la dispersion du gravier sous l’asphalte, dit M. Courcelles. Si le gravier est solidifié par les calcites, il va mieux résister. »

Quand le procédé sera-t-il utilisé commercialement ? 

« Il y a des compagnies en France qui font des injections en saturé », dans des fissures d’ouvrages en béton, dit M. Courcelles.

Cette approche « autocicatrisante » a aussi été proposée pour les ponts. Le « biobéton », mis au point par l’Université de Delft aux Pays-Bas, contient des capsules de bactéries biocalcifiantes et de calcium. Quand l’eau s’infiltre dans le béton, les capsules se dissolvent et la bactérie biocalcifiante se retrouve en contact avec le calcium, ce qui la pousse à produire de la calcite.

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La saison du nid-de-poule est ouverte


Tout Québécois le sait : quand la belle saison pointe son bout du nez, les nids-de-poule eux font l’apparition sur nos routes causé par le gel et dégel ainsi que les camions poids lourds. C’est le cauchemar pour automobilistes, mais une manne pour les garagistes
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La saison du nid-de-poule est ouverte

 

Avec les variations soudaines de températures et les pluies abondantes de cette... (PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE)

PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE

ROSS MAROWITS
La Presse Canadienne

Avec les variations soudaines de températures et les pluies abondantes de cette semaine, le nid-de-poule aura la cote ce printemps. Et les garagistes en auront plein les bras.

Jantes déformées, pneus fissurés, suspensions défoncées, désalignement sérieux: l’automobiliste en sera quitte pour une bonne colère contre «la Ville» et une facture salée chez le carrossier – entre 200 et 500 $, selon la gravité de la blessure… ou la profondeur du nid.

Jack Bayramian, propriétaire du Garage Décarie, à Montréal, admet qu’environ 30 % de ses revenus annuels sont une gracieuseté des nids-de-poule. Et son collègue Ben Lalonde, d’Ottawa, soutient que 2016 sera probablement la pire depuis une douzaine d’années côté nids-de-poule.

On ne tient pas de statistiques sur l’industrie du nid-de-poule au Canada. Aux États-Unis, un sondage mené par l’American Automobile Association (AAA) suggère que les automobilistes dépensent 3,0 milliards US chaque année en moyenne en frais de réparations pour des dommages causés par les nids-de-poule. Le CAA, petit frère canadien de l’AAA, doit mener son propre sondage cette année.

Même si certains garagistes remercient chaque printemps la manne des nids-de-poule, d’autres, amoureux de la voiture bichonnée et de la sécurité du client, déplorent que cette dépense inattendue vienne souvent rogner sur le budget d’entretien général.

Si la facture ne dépasse pas trop la franchise de l’assurance, la plupart des automobilistes paieront de leurs poches les réparations dues aux nids-de-poule, pour ne pas envenimer leur dossier. Certains autres auront le coeur bien accroché et intenteront aussi une poursuite contre leur municipalité. Pour plusieurs grandes villes canadiennes, printemps rime en effet avec plaintes citoyennes pour nids-de-poule, qui seraient parmi les plus fréquentes de toutes.

«Le tableau est particulièrement noir cette année», admet Bryden Denyes, un responsable du pavé à Ottawa.

La Ville a colmaté 51 000 nids-de-poule jusqu’ici cette année, contre 20 200 à la même époque l’an dernier, mais un peu moins qu’il y a deux ans. L’hiver très rigoureux de l’an dernier avait amené moins de gels-dégels – 11 cycles, contre 28 cette année.

Lionel Perez, conseiller municipal de Montréal responsable notamment des Infrastructures, explique que la lutte aux nids-de-poule est constante, surtout dans une ville qui a négligé les investissements dans ses artères.

Une consolation? Edmonton enregistre depuis neuf ans 455 000 nouveaux nids-de-poule chaque année en moyenne.

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La pire route du monde est russe


Si au Québec on se plaint des nids de poules qui certains peuvent endommager les automobiles, ce n’est rien a comparer a une route de la Russie que la nature a un peu mal mener
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La pire route du monde est russe

 

 

Suite à un mouvement de terrain, cette route située non loin de Rostov (sud de la Russie) est devenue impraticable. Et pourtant…

King kong est-il passé par là ? Vous trouvez certaines routes françaises un peu chaotiques ? C’est sans doute que vous n’habitez pas dans le sud de la Russie. Non loin de Rostov, ce bandeau de bitume a fortement souffert d’un mouvement de terrain, au point d’en devenir impraticable.

Pourtant, certaines personnes particulièrement motivées roulent dessus tant bien que mal à vélo ou à moto. Il est vrai que seule une portion de cette route a été endommagée. Mais pour les amateurs d’émotions fortes, c’est le terrain de jeu idéal. Des montagnes russes créées par mère Nature !

http://www.metronews.fr/i