Nouvelle loi : En Pennsylvanie, vous pouvez maintenant être emprisonné pour avoir laissé votre chien dehors dans le froid


C’est une très belle initiative de protéger les animaux domestiques par temps froid ou trop chaud. Ce qui par contre m’agace, est que ceux qui laissent leur chien a ces températures risque 1 an de prison, alors qu’on laisse des humains dans des mêmes conditions, mais il n’y a pas de loi pour les protéger  …
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Nouvelle loi : En Pennsylvanie, vous pouvez maintenant être emprisonné pour avoir laissé votre chien dehors dans le froid

 

Public Domain Pictures / George Hodan

Maintenant, l’état de Pennsylvanie a introduit une nouvelle loi stipulant qu’il est illégal de laisser un chien dehors pendant plus de 30 minutes si la température est de 0 ou moins.

À l’autre extrémité de l’échelle, il sera également illégal de laisser votre chien à l’extérieur si la température atteint plus de 32 degrés.

La loi a été faite en dédicace à Libre, un chien qui a souffert dans des conditions terribles. En tant que chiot, il a finalement été sauvé par un amoureux des animaux qui s’est alarmé de sa terrible condition. Libre a été l’un des chanceux ; sauvé avant qu’il ne puisse devenir une autre statistique de la maltraitance et de la négligence.

Peines encourues

Il a été rapporté que quiconque viole la loi de Libre peut être condamné à une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à un an.

« Cela ne mettra pas fin aux mauvais traitements infligés aux animaux, mais soulignera l’importance de la justice pour la souffrance des animaux « , a déclaré Jennifer Nields, qui travaille à la Lancaster County Animal Coalition.

La Pennsylvania Veterinary Medical Association s’est également félicitée de la nouvelle loi, la surnommant ainsi : « une victoire sans précédent pour tous les animaux. »

La Pennsylvanie est le premier État à prendre position en matière de protection des animaux contre les conditions climatiques extrêmes.

La loi de Libre s’inscrit dans le cadre des efforts déployés par le gouverneur Tom Wolf pour renforcer les lois qui protègent les animaux dans le but de faire baisser les chiffres sur la maltraitance des animaux.

Public Domain Pictures / George Hodan

Les chiens dans le froid

Beaucoup de propriétaires d’animaux font l’erreur de croire que les chiens sont éternellement chauds à cause de leur pelage, mais ils peuvent aussi être sensibles au froid.

Si vous possédez un chien, assurez-vous toujours qu’il est bien équipé lorsque la température baisse. Leurs pattes sont souvent une indication lorsque le sol est trop froid, alors surveillez attentivement votre ami à quatre pattes.

Si vous apercevez un chien qui semble souffrir du froid, ou si vous connaissez quelqu’un qui ignore les besoins fondamentaux de ses animaux domestiques, n’hésitez pas à contacter les autorités compétentes pour demander conseil et/ou aide.

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Le sexisme tue 239 000 petites Indiennes par an, estiment des chercheurs


Le sexisme peut tuer ! En Inde, en plus du manque de protection des femmes et adolescentes, les petites filles subissent des injustices en rapport aux jeunes garçons. Elles souffrent plus de malnutrition, de soins et sont victimes de négligences surtout dans les zones les plus pauvres.
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Le sexisme tue 239 000 petites Indiennes par an, estiment des chercheurs

 

L'Inde est connue pour la fréquence des avortements... (PHOTO DOMINIQUE FAGET, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE)

L’Inde est connue pour la fréquence des avortements dus au sexe du bébé. Mais leur nombre est inférieur à celui de ces morts de filles de moins de cinq ans.

PHOTO DOMINIQUE FAGET, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Agence France-Presse
Paris

 

Quelque 239 000 petites Indiennes meurent chaque année en raison de négligences dont souffrent moins les garçons dans une société sexiste, ont affirmé des chercheurs mardi.

«La discrimination fondée sur le sexe ne les empêche pas seulement de naître, elle peut aussi précipiter la mort de celles qui sont nées», a écrit l’un des auteurs de cette étude publiée dans The Lancet, le démographe Christophe Guilmoto, de l’université Paris Descartes.

L’Inde est connue pour la fréquence des avortements dus au sexe du bébé. Mais leur nombre est inférieur à celui de ces morts de filles de moins de cinq ans.

Les formes de cette négligence sont multiples: malnutrition, manque de soins, absence de vaccination.

Elle aboutit à une «surmortalité» chez les filles, la plus marquée dans les régions les plus pauvres, à la plus forte natalité, et au plus fort illettrisme, surtout dans le nord du pays.

«Une fertilité élevée est ce qui prédit le mieux la discrimination postnatale contre les filles, laissant penser que les morts supplémentaires de filles sont en partie la conséquence de grossesses non désirées et par la suite d’une négligence», ont souligné les auteurs.

En comparant l’Inde à 46 autres pays, ils ont évalué cette mortalité à 18,5 % chez les filles nées entre 2000 et 2005.

«Environ 22 % de la surmortalité chez les filles est donc due à une forme de sexisme», a déploré dans un communiqué l’Institut international pour l’analyse des systèmes appliqués (IIASA), centre de recherche autrichien.

«Comme le démontre les estimations par régions des morts en excès chez les filles, toute intervention pour réduire la discrimination dans la répartition de la nourriture ou les soins médicaux devrait par conséquent en cibler certaines en priorité (…) où persistent la pauvreté, un faible développement social et des institutions patriarcales», a commenté une démographe indienne de l’IIASA, Nandita Saikia.

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"Maison de l’horreur": les parents inculpés pour torture et maltraitance


Les accusations sont portées contre le couple qui a maltraité, torturé les 12 enfants, 1l 13 ème un enfant de 2 ans était bien nourri et a éviter les sévices. Pendant 8 ans ces enfants ont été maltraités et certains souffre de déficiences cognitives et de lésions nerveuses. Imaginer ne savoir voir ce qu’est un policier une fille de 17 ne savait pas à quoi servent les médicaments….  Je ne voudrais pas être un avocat pour défendre ce genre de personne qui ont gaspiller l’enfance et l’avenir sera sans doute plus beau de ce qu’ils ont connus, mais il sera sûrement difficile de rattraper ces années perdues
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« Maison de l’horreur »: les parents inculpés pour torture et maltraitance

 

Source: Belga

Un couple d’Américains arrêté en Californie, qui a séquestré et affamé ses treize enfants pendant plusieurs années, a été inculpé jeudi pour torture et maltraitance, a indiqué le procureur du comté de Riverside, Mike Hestrin. Si tous les chefs d’inculpation sont retenus contre eux, David Allen Turpin, 57 ans, et son épouse Louise Anna Turpin, 49 ans, risquent de 94 ans à la prison à vie, a précisé M. Hestrin au ©

Le couple a été arrêté dimanche à Perris, à 110 kilomètres au sud-est de Los Angeles, à la suite de l’évasion d’une de leur fille, âgée de 17 ans, qui a donné l’alerte. Les enfants, âgés de 2 à 29 ans, ont été retrouvés pour certains enchaînés à un lit, dans des conditions d’extrême saleté et de malnutrition sévère. Sept ont plus de 18 ans. Selon le procureur, la fratrie préparait « depuis plus de deux ans » un plan d’évasion.

Douze chefs d’accusation

Dans le détail, le couple est visé par douze chefs d’accusation de torture —l’enfant de deux ans n’aurait pas été torturé et était bien nourri–, sept chefs de maltraitance d’un adulte dépendant, six chefs de maltraitance ou négligence d’enfant et douze pour séquestration. David Turpin est également visé par un chef d’acte obscène sur un enfant par la force, la peur ou la contrainte. Le procureur a précisé qu’il s’agissait de la façon dont le père avait ligoté l’une de ses filles, âgé de 14 ans. Ces chefs d’accusation portent sur des faits survenus depuis 2010.

Punitions et dérives

Selon le procureur, ces maltraitances ont « commencé comme une punition » mais « ont empiré avec le temps » lorsque la famille habitait près de Fort Worth, au Texas, et après son arrivée en Californie. « Ce qui a commencé comme de la négligence s’est achevé par ces maltraitances brutales ». Plusieurs des enfants souffrent de « déficiences cognitives » et de lésions nerveuses. Certains ne savaient pas ce qu’était un policier et l’adolescente de 17 ignorait ce qu’était un médicament.

Cordes, chaînes cadenassées

Dans un premier temps, les parents utilisaient des cordes pour ligoter leurs enfants mais, après que l’un d’entre eux soit parvenu à se libérer, ils sont passés à des chaînes cadenassées, a-t-il poursuivi. L’un des motifs pour qu’un enfant soit enchaîné était notamment qu’il se lave les mains au-dessus du poignet, ce que les parents considéraient comme « jouer avec l’eau ». Les punitions comprenaient aussi des coups et des strangulations.

« Sévèrement dénutris »

Il a confirmé que les enfants étaient « sévèrement dénutris » –l’un d’eux âgé de 12 ans pèse comme la moyenne d’un enfant de sept ans–, aucun ne pouvait se doucher plus d’une fois l’an, aucun n’a vu de dentiste de sa vie ni de médecin depuis « au moins quatre ans ». D’après les éléments constatés sur place, les enfants « souvent n’étaient pas libérés de leurs chaînes pour pouvoir aller aux toilettes », a indiqué le procureur.

Traitement

A une époque, lorsque la famille était encore au Texas, parents et enfants vivaient « séparément » et les parents « déposaient de la nourriture ».

M. Hestrin a précisé qu’aucun enfant n’avait accès à des jouets alors que de très nombreux ont été retrouvés dans la maison, toujours dans leur emballage. En revanche, ils avaient la possibilité de tenir un journal et les enquêteurs en ont récupéré « des centaines ».

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Une fillette de 19 mois brûlée vive dans un four


Quelle horreur ! Comment peut-on laisser des enfants de bas âge seul à la maison. Un manque de maturité de la part de la mère.
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Une fillette de 19 mois brûlée vive dans un four

 

Un dramatique accident est survenu à Houston, au Texas, le 16 novembre dernier. Une fillette de 19 mois est morte brûlée vive dans le four du logement familial. Elle aurait été placée dans l’appareil de cuisson par ses frères, alors que sa mère était sortie acheter des pizzas.

Selon les médias américains, la mère de l’enfant, Raqual Thompson, âgée de 25 ans, était sortie ce soir-là avec son petit-ami pour aller chercher des pizzas et récupérer des médicaments dans une pharmacie. Le couple aurait pu demander à la grand-mère, qui vit dans le même bâtiment qu’eux, de garder les enfants. Mais il ne l’a pas fait. Les frères et sœurs ont été livrés à eux-mêmes.

Interrogés par les services sociaux, des jumeaux de trois ans ont expliqué en pleurs que l’un d’entre eux avait placé la petite sœur, J’Zyra Thompson, dans le four. L’autre l’aurait rendu « chaud ». Un enfant de 5 ans se trouvait également dans le logement. Raqual Thompson doit comparaître lundi prochain devant la justice. Elle est visée par quatre chefs d’accusation de mise en danger d’enfant.

« Nous pensons que les enfants étaient souvent laissés à la maison sans la surveillance d’un adulte », a expliqué la porte-parole des services sociaux sur ABC.

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Parents arrêtés Cruellement punie pour avoir mangé un Pop-Tart


Il ne faut pas s’étonner si des enfants développeraient des problèmes de comportement alimentaire après un tel abus de pouvoir de leur parent.
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Parents arrêtés

Cruellement punie pour avoir mangé un Pop-Tart

 

Cruellement punie pour avoir mangé un Pop-Tart

Crédit photo : Gracieuseté

Des parents ont obligé leur fille de 14 ans à vivre seule dans les bois, afin de la punir d’avoir grignoté un Pop-Tart.

La police, qui a été alertée par la grand-mère de l’adolescente, a arrêté les parents de l’enfant pour négligence, écrit WNCN.Crystal Lynn Driggers, 36 ans, et James Allen Driggers, 33 ans, des adeptes de culturiste de Dalzell en Caroline du Sud ont forcé leur fille, qui avait mangé une collation sans leur consentement, à demeurer dans une tente dans la forêt où il y aurait des chiens sauvages toujours d’après le site web américain.

Violents orages

Seule à plus d’un demi-kilomètre du domicile familial, ses parents lui avaient laissé seulement un rouleau de papier de toilette, une lampe de poche, un sifflet et une montre.

L’enfant n’avait aucune nourriture en sa possession. Elle devait retourner chez elle à l’heure prévue, mais demeurer derrière la clôture, afin de recevoir son repas.

La jeune fille a également été laissée à elle-même pendant les orages violents qui ont secoué la région. Elle a été confiée aux services sociaux en attendant la suite de l’enquête.

Les quatre autres enfants de Crystal Lynn Driggers et James Allen Driggers sont gardés chez leurs grands-parents.

 

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Irlande 800 bébés enterrés dans la fosse septique d’un ancien couvent


C’est difficile de voir que des enfants sont soufferts pendant leur courte vie, a cause des mentalités de l’époque. Ces enfants méritent que la vérité soit mise à jour Ce n’est pas la religion qui est en cause, mais les personnes qui l’appliquaient. Car peu importent la religion, il y a des interprétations qui sont carrément sans fondement et vont au contraire de leurs enseignements.
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Irlande

800 bébés enterrés dans la fosse septique d’un ancien couvent

 

800 bébés enterrés dans la fosse septique d'un ancien couvent

Crédit photo : Reuters

Une historienne irlandaise affirme avoir établi que les ossements découverts dans une fosse septique d’un ancien couvent catholique irlandais de Tuam étaient ceux de quelque 800 bébés de mères célibataires, accueillies par des soeurs entre 1925 et 1961.

Cette fosse, remplie à ras bord d’ossements, a été découverte en 1975 par les habitants de Tuam, lorsque les dalles de béton qui la couvraient se sont dissociées.

Jusqu’à présent, les habitants croyaient que les os étaient principalement ceux de victimes de la grande famine qui a touché l’Irlande à partir de 1840.

«Quelqu’un m’avait mentionné l’existence d’un cimetière pour nouveau-nés, mais ce que j’ai découvert était bien plus que cela», a déclaré l’historienne Catherine Corless.

C’est en réalisant des recherches sur les archives d’un ancien couvent de l’ouest de l’Irlande, aujourd’hui reconverti en lotissement, qu’elle a découvert les registres de décès suggérant que 796 enfants avaient été secrètement enterrés sans cercueil ni pierre tombale par les bonnes soeurs du Couvent de Bon Secours.

Selon les registres de décès, ces enfants sont décédés de malnutrition et de maladies infectieuses comme la tuberculose.

(Reuters)

Wiliam Joseph Dolan, un proche d’un enfant ayant vécu dans cette institution, a déposé une plainte afin de comprendre ce qui s’est passé.

L’archevêque de Dublin Diarmuid Martin s’est dit favorable «à des fouilles sur ce qui pourrait être des tombes anonymes», affirmant qu’il était nécessaire de revenir sur l’histoire de ces institutions en l’absence d’enquête publique.

Ciaran Cannon, secrétaire d’État à l’Éducation, a quant à lui souhaité une enquête gouvernementale complète sur cette affaire, affirmant que «ne rien faire n’était simplement pas possible».

Une levée de fonds a également été lancée pour construire un mémorial avec le nom de chaque enfant.

Il s’agit d’un nouvel épisode incriminant l’institution catholique irlandaise après de multiples révélations d’abus et de négligences dans des écoles ou des établissements tenus par les catholiques au cours des dernières décennies.

Au début du XXe siècle, des milliers de femmes célibataires enceintes, considérées à l’époque comme des «femmes déchues», ont été envoyées dans ce genre d’institutions pour accoucher discrètement de leurs bébés.

Ostracisées par la société conservatrice catholique, elles ont souvent été forcées d’abandonner leur enfant pour qu’il soit adopté.

Le film Philomena du britannique Stephen Frears retraçait l’histoire de l’une de ces mères à la recherche pendant des décennies de son fils adopté par des Américains.

L’affaire de Tuam rappelle également un autre scandale impliquant des mères célibataires.

Entre 1922 et 1996, plus de 10 000 jeunes filles et femmes avaient travaillé gratuitement dans des blanchisseries exploitées commercialement par des religieuses catholiques en Irlande.

Les pensionnaires, surnommées les «Magdalene Sisters», étaient des filles ayant accouché hors mariage ou qui avaient un comportement jugé immoral dans ce pays à forte tradition catholique.

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Maltraitances : les coulisses du cinéma hollywoodien


Malgré la technologie pour les effets spéciaux dans les films afin d’éviter de prendre des animaux, il reste quand même dans les oeuvres cinématographiques des animaux qui ont été blessé voir même sont mort. Est-ce que cela valait vraiment la peine ?
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Maltraitances : les coulisses du cinéma hollywoodien

 

Par Robin Antoine

Si tous les films utilisant des animaux mentionnent au générique « Aucun animal n’a été blessé durant ce tournage« , la réalité en est tout autre. C’est l’écoeurant constat révélé dans une longue enquête du magazine The Hollywood Reporter.

Le journaliste Gary Baum y énumère des preuves accablantes contre l’industrie cinématographique et contre l’American Humane Association, une ONG surveillant le traitement des animaux lors des tournages. Selon le Hollywood Reporter, la liste des films ayant bafoué des droits des animaux jusqu’à, parfois, en entraîner la mort est longue. Trop longue. Pirate des Caraïbes, Le Hobbit, Cheval de guerre, Narnia, L’odysée de PI et bien d’autres blockbusters sont mis en cause.

Pourquoi ces films ont-ils obtenu l’agrément de l’AHA?

Il faut tout d’abord savoir que l’ONG est en partie fiancée par les studios de production, chose qui limite son pouvoir. D’autant plus que certains studios choisissent eux-mêmes quel représentant de l’association sera présent pour surveiller le tournage. Barbara Casey, une ancienne employée de l’AHA a d’ailleurs porté plainte contre l’ONG lorsqu’à sa demande ils ont refusé de durcir les conditions d’attribution de l’agrément.

Contactés par le Hollywood Reporter, les employés de l’AHA ont déclaré :

« Les choses ne sont pas en train de changer. Elles empirent ».

Les films mis en cause :

Point positif, bien que les accidents puissent malheureusement arriver, il semblerait que le cinéma qui utilise de plus en plus d’effets spéciaux ait parallèlement de moins en moins besoin d’animaux vivants.

Par exemple, a l’apogée des westerns, les studios perdaient quotidiennement des chevaux, mais ces films ne mentionnaient pas que les animaux avaient été correctement traités. Tous les défenseurs de la cause animale seront soucieux de savoir quels ont été les incidents intervenus lors des tournages révélés par le journal américain. Retour sur les faits en images :

L’Odyssée de Pi

© DR

Epuisé, King, le tigre du Bengale ayant joué dans L’Odyssée de Pi a failli se noyer lors du tournage. Son dresseur l’a extrait de l’eau grâce à une corde. L’information est restée secrète jusqu’à ce qu’une employée de l’AHA divulgue un mail interne où elle était annotée comme secrète.

Hobbit

© DR

Sur le tournage du Hobbit : un voyage inattendu, de Peter Jackson, 27 moutons et chèvres sont morts de fatigue et de déshydratation.

Antartica

© Disney

En 2006, dans le film Antartica, prisonniers du froid, un Husky a été violement frappé par son dresseur.

Cheval de guerre

© DR

Il faut avouer que les choses vont mieux si l’on compare à ce qu’il pouvait se passer il y a 50 ans. Dans le film Ben-Hur (1959), près de 100 chevaux ont trouvés la mort. Dans Cheval de guerre, il semblerait que la négligence de Spielberg ait causée la mort du cheval vedette.

Pirates des Caraïbes

© Disney

Les multiples explosions maritimes de Pirates des Caraïbes ont entrainé la mort de milliers de poissons et d’animaux marins.

Narnia

© Disney

Lors du tournage des Chroniques de Narnia : le Prince Caspian, les chevaux étaient régulièrement gravement blessés pendant les scènes de combat.

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Violences entre enfants: l’éducation parentale jouerait un rôle important


Les enfants apprennent par l’exemple mais aussi par leurs propre expérience. Si l’enfant vit dans la violence, il y a des chances qu’il reproduira la violence, s’il est surprotégé, il n’avancera pas. Il faut trouver le juste milieu pour qu’il puisse s’épanouir
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Violences entre enfants: l’éducation parentale jouerait un rôle important

 

Alors que certains parents essaient de protéger leurs enfants au mieux en les... (Photo Anita Patterson Peppers/shutterstock.com)

 

PHOTO ANITA PATTERSON PEPPERS/SHUTTERSTOCK.COM

RelaxNews
Londres

Alors que certains parents essaient de protéger leurs enfants au mieux en les couvant, une étude anglaise montre que les jeunes surprotégés ont plus tendance à se faire malmener par les autres. Cependant, les parents qui énoncent des règles claires tout en offrant un environnement chaleureux tendent à avoir des enfants moins harcelés par les autres.

Des chercheurs de l’université de Warwick au Royaume-Uni ont aussi noté que les enfants de parents négligents ou violents devenaient aussi les cibles privilégiées des petits caïds, selon une méta-analyse de 70 études sur le sujet menées sur plus de 200 000 enfants.

«Même si l’engagement parental, le soutien et le fort encadrement réduisent les chances de violences à l’école, pour les victimes, la surprotection accroît ce risque», a noté un des auteurs de l’étude, Dieter Wolke, dans un communiqué de l’université.

«Les enfants ont besoin de soutien, mais certains parents essaient de protéger leurs enfants de n’importe quelle expérience négative», note-t-il. «Ainsi, ils empêchent leurs enfants à apprendre comment faire face aux autres, les rendant ainsi plus vulnérables».

«Il est possible que les enfants surprotégés par leurs parents n’arrivent pas à développer des qualités d’autonomie et d’affirmation de soi, devenant ainsi des proies d’autres enfants», a ajouté le professeur Wolke.

Et de conclure, «mais il se peut aussi que les parents de victimes surprotègent leurs enfants. Dans tous les cas, les parents ne peuvent pas s’asseoir sur les bancs de l’école aux côtés de leurs enfants».

Les résultats de cette étude sont parus dans la revue Child Abuse & Neglect.

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Affamé, un chien abandonné mange sa queue pour survivre


Pourquoi avoir des animaux quand c’est pour les maltraiter ? Un chien affamé a choisi de manger sa queue pour survivre, un comportement rare chez un chien
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Affamé, un chien abandonné mange sa queue pour survivre

 

8 chiens abandonnés, affamés, et décharnés

 

L’histoire de Goldie, une femelle Golden Retriever abandonnée avec 7 autres chiens, est absolument terrifiante. Le pauvre animal, dont on ne connaît pas l’âge exact, a été découvert avec ses congénères par le propriétaire de la maison que louaient ses maîtres, dans l’Iowa, aux Etats-Unis.

L’homme a été contraint d’expulser ses locataires, et lorsqu’il est arrivé dans sa maison après leur départ, il a assisté à un affligeant spectacle, celui de 8 animaux affamés, sales et décharnés.

7 d’entre eux ont heureusement été rapidement adoptés, après avoir été soignés et nettoyés. Mais Goldie, elle, n’a pas eu cette chance.

A l’agonie, la chienne commence à manger sa queue

La chienne, emprisonnée dans une cage pendant trois semaines, était privée de nourriture et d’eau.Pour survivre, elle a commencé à manger sa queue. Lorsque le propriétaire l’a trouvé, le chien était à l’agonie, ses os apparents, et la moitié de sa queue avait disparu.

Affamé, un chien abandonné mange sa queue pour survivre
Goldie ne demande qu’à vivre, et être aimée

L’homme a tout de suite conduit l’animal chez le vétérinaire, qui ne lui a proposé qu’une seule option :l’euthanasie. Mais bien décidé à offrir une seconde chance à Goldie, le propriétaire a refusé, pour se tourner vers l’association de protection animale Humane Society.

Lorsqu’il est arrivé au refuge, les employés ont été surpris, non pas seulement par l’état pitoyable dans lequel se trouvait le chien, mais aussi par son entrain, sa gaieté, son envie de se faire de nouveaux amis, et de vivre, tout simplement.

« Les animaux domestiques ne sont pas jetables »

 

« L’histoire de Goldie nous montre à quel point cette jeune fille est résiliente. Elle a enduré trois semaines terribles de négligence et d’abandon, ce qui confirme que les animaux domestiques ne sont pas jetables ou quelque chose que vous laissez derrière vous quand votre vie change«  souligneSybil Soukup, la directrice du refuge.

Aujourd’hui, Goldie va déjà bien mieux. Sa queue a été amputée, pour éviter une infection, et la chienne suit un régime protéiné. En deux semaines, elle a pris 6 kilos, elle qui ne pesait plus que 9 kilos quand elle a été découverte.

Lorsqu’elle sera totalement remise sur pieds, elle sera proposée à l’adoption. Et Goldie devrait bien vite trouver un foyer. Son histoire a été relayée par de nombreux médias, et le refuge a déjà reçu des centaines d’appels et de messages.

Ces enfants, qui ont accompagné leur demande d’une adorable photo, seront peut-être les heureux élus !


« Nous promettons d’aimer et de prendre soin de Goldie » ont écrit ces enfants, peut-être les futurs maîtres de la chienne

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Inde : le petit ami de l’étudiante violée témoigne pour la première fois


Si cette jeune fille aurait survécu a cet enfer qu’elle a vécu,. je crois qu’il aurait été vraiment difficile de remonter psychologique la pente .. Mais pour avoir si souffert, j’espère qu’elle aura donner une conscience que les femmes ont des droits
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Inde : le petit ami de l’étudiante violée témoigne pour la première fois

 

Deux semaines après le viol d’une étudiante en Inde, son petit ami, blessé lui aussi, a témoigné de la cruauté de l’agression.

La jeune fille de 23 ans a été victime d’un viol collectif dans un autobus en présence de son copain, qui a été battu par les agresseurs.

Elle est morte samedi à Singapour, où elle avait été transférée, souffrant d’importantes lésions à l’intestin et au cerveau.

Le couple revenait du cinéma, où ils avaient vu L’histoire de Pi. N’ayant pas pu prendre un rickshaw, ils se sont rabattus sur un autobus, qui s’est avéré fatal.

Le véhicule habituellement destiné au transport scolaire était occupé par un groupe d’hommes qui avaient pris le bus pour « une virée nocturne » dans la capitale.

Le supplice

Une fois dans l’autobus, le groupe d’hommes, dont le chauffeur, a neutralisé le garçon pour ensuite violer à plusieurs reprises la fille. Elle a même été agressée sexuellement à l’aide d’une barre de fer rouillée. Par la suite, elle et son compagnon ont été jetés nus hors de l’autobus.

Le chauffeur a commencé à faire des remarques obscènes et ses compagnons se sont joints à lui pour railler le couple. Le petit ami de la victime a raconté avoir ensuite demandé au chauffeur d’arrêter l’autobus, mais ses complices avaient verrouillé les deux portes.

« Ils m’ont battu avec un court bâton et ont traîné mon amie jusqu’à un siège près de la cabine du chauffeur ».

Par la suite, « le chauffeur et les autres hommes ont violé mon amie et l’ont battue de la pire façon sur les parties les plus intimes de son corps ».

« Je ne peux pas vous dire ce que je ressens lorsque j’y pense. Je tremble de douleur. » — Le petit ami de la victime

« J’ai essayé de lutter contre les hommes, mais après je les ai suppliés encore et encore de la laisser », a déclaré le jeune homme.

« L’attaque a été si brutale que je ne peux même pas vous la raconter. […] Même les animaux ne se comportent pas ainsi. » — 

Indifférence et négligence

Souffrant d’une fracture à la jambe, le jeune homme a raconté que personne n’est venu leur porter secours quand ils se sont retrouvés dans la rue après une heure de supplice.

Le témoin a critiqué le travail de la police et des médecins à l’hôpital public. Selon lui, la police n’a pas bien pris en compte ses propres blessures ni son traumatisme psychologique.

« J’ai été traité comme un objet par la police […]. Ils voulaient résoudre l’affaire avant même qu’on me donne le bon traitement. Personne n’a été témoin du traumatisme que j’ai subi », a-t-il dénoncé.

« Je ne suis pas médecin, mais je peux dire qu’il y a eu beaucoup de retard. Elle et moi n’avons pas été soignés à temps », a-t-il affirmé.

Avant d’être transférée à Singapour, la victime avait subi trois opérations et avait eu un arrêt cardiaque en Inde.

Deux médecins d’un hôpital privé indien réputé, qui faisaient partie de l’équipe qui a surveillé l’évolution de l’état de la jeune femme avant son départ pour Singapour, ont nié que l’hôpital public ait manqué à ses obligations.

Le viol de l’étudiante avait provoqué de violentes manifestations dans tout le pays pour dénoncer la violence contre les femmes.

Six personnes, dont un mineur se présentant comme ayant 17 ans, ont été arrêtées peu après l’agression.

Cinq suspects, âgés de 19 à 35 ans et qui encourent la peine de mort s’ils sont jugés coupables par la justice, ont été formellement inculpés jeudi d’enlèvement, de viol et de meurtre.

http://www.radio-canada.ca