Quel effet a la pluie sur nos vies?


A ce stade du mois de mars, j’aime mieux la pluie que la neige. La pluie aurait des effets négatifs sur le moral surtout des femmes. Les orages ou d’une averse aurait un impact chez les enfants qui sont plus susceptibles aux caprices et crises de larmes. Mais comme toute chose, il y a aussi des côtés positifs sur le sommeil et sur la baisse de criminalité
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Quel effet a la pluie sur nos vies?

 

Par temps de pluie, les femmes sont plus sujettes à une baisse de moral que les hommes. | SweetIceCreamPhotography via Unsplash

Par temps de pluie, les femmes sont plus sujettes à une baisse de moral que les hommes. | SweetIceCreamPhotography via Unsplash

Repéré par Audrey Renault

Le mauvais temps entraîne, entre autres, une baisse du taux de criminalité.

 

Repéré sur The Guardian

Savez-vous que les jours de pluie, le nombre de posts Facebook à tonalité négative ou pessimiste augmente? Rien d’étonnant à cela: par temps maussade, le manque de rayons de soleil entraîne une baisse de notre taux de sérotonine, ce qui a des répercussions défavorables sur notre moral. Une déprime des jours pluvieux qui concerne particulièrement les femmes, selon une étude publiée en 2012 par la chercheuse canadienne Marie Connolly. Cette baisse de sérotonine, souvent associée à un profond ennui ou un après-midi devant la télé, entraîne également une hausse de notre appétit, et peut, sur le long terme, contribuer à une prise de poids pernicieuse.

Autre phénomène notable, à l’approche d’un orage ou d’une averse, la présence dans l’atmosphère d’ions positifs augmenterait notre pression sanguine et donc, notre irritabilité. Une réaction chimique qui s’observerait particulièrement chez les enfants, alors plus enclins aux crises de larmes et caprices.

Une baisse du taux de criminalité

Mais la pluie a aussi ses bons côtés, à l’image du bruit de ses gouttes martelant le sol ou un toit, qui, en réduisant l’activité de notre cerveau, favoriserait une meilleure qualité de sommeil et de relaxation. Autre avantage, et non des moindres, elle influerait directement sur le taux de criminalité. D’après une enquête des journalistes du New York Times Andrew Lehren et Christine Hausser, les crimes recensés dans la ville seraient bien moins nombreux les jours de mauvais temps. Une observation validée en 2015 par les travaux du docteur Langmead-Jones, arrivé à la même conclusion après avoir épluché pendant plus de dix ans les rapports de la police de Manchester.

Selon ses recherches, le taux de criminalité, et en particulier les violences conjugales, chute significativement lorsqu’il pleut:

«Il y a une forte corrélation entre la pluie et les violences domestiques, mais nous savons que les violences conjugales sont souvent déclenchées par l’alcool et il est probable que par mauvais temps, les gens ne sortent pas acheter d’alcool et donc en consomment moins, explique-t-il. Une chose est sûre, plus il pleut, moins il y a de crimes».

http://www.slate.fr/

L’art de se plaindre


C’est normal de se plaindre, ce qui l’est moins, c’est de se plaindre pour un tout et un rien, d’accuser les autres et le monde entier de nos malheurs. Entendre des gens se plaindre tout le temps, nous avons tendance à s’écarter de ces personnes. Il y a aussi ce qui se plaignent a tout le monde au lieu de la bonne personne qui en cause, ou encore la façon de se plaindre peut faire tout la différence
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L’art de se plaindre

 

Le mousseur ne mousse plus, la petite a trois formulaires à faire remplir, là,... (Photomontage La Presse)

 

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SILVIA GALIPEAU
La Presse

Le mousseur ne mousse plus, la petite a trois formulaires à faire remplir, là, tout de suite, vous devez changer votre mot de passe, encore, et la fermeture éclair de votre nouvelle robe vient de craquer, au tout premier essayage. On s’entend, il y a des matins comme ça où la terre entière vous en veut. Et où vous en voulez à la terre entière. Que faire?

Râler pour tout et pour rien Comment avoir gain de cause, sans lasser vos proches, vos collègues, la voisine et le fils de la boulangère au passage…

Christine Lewicki se revoit un soir, épuisée après avoir couché ses trois enfants et enduré les derniers verres d’eau et envies de pipi à répétition, s’effondrer sur son lit et se plaindre tout haut de sa «journée pourrie». Encore.

Vous vous reconnaissez? 

En moyenne, souligne la coach et conférencière – dont le livre J’arrête de chialer arrive tout juste en librairie au Québec -, nous nous plaignons tous entre 15 et 30 fois par jour. Parce que nous sommes en retard, parce qu’il y a des bouchons, des cônes orange, parce que notre boîte de courriels (pourriels?) déborde, encore. Parce que les frais bancaires, parce que les taxes, parce que l’auto, parce que le vélo, le chum, l’ex, les enfants, le poisson rouge et la perruche. Alouette.

Fait à noter, alors que nous nous plaisons à raconter à qui veut bien nous écouter notre énième contravention injustifiée, nos déboires avec notre compagnie d’assurances ou encore ce café imbuvable qu’on a osé nous servir, que nous nous défoulons sur les réseaux sociaux à coup de #jenpeuxplus, combien d’entre nous s’adressent une fois pour toutes aux principaux intéressés?

Poser la question, c’est y répondre.

Le râleur occasionnel

C’est que se plaindre, une fois de temps en temps, défoule. Personne ne s’en cachera.

Mais à long terme? Cultiver tout ce négativisme ne peut pas être franchement bon pour la santé. Le New York Magazine a souligné dans un numéro récent les résultats d’une étude de l’European Journal of Work and Organizational Psychology selon laquelle les gens qui se plaignent ont tendance à être moins satisfaits de leur journée, une insatisfaction qui déborde sur les jours suivants.

Le mousseur ne mousse plus, la petite a trois... (Photomontage La Presse) - image 2.0

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En gros, non, les râleurs ne sont pas les plus heureux.

«J’ai réalisé que je ne voulais plus me coucher comme ça. J’ai réalisé que j’allais mourir un jour, et que j’aurais passé ma vie à résister à ma vie», explique Christine Lewicki, auteure française établie à Los Angeles.

Arrêter de râler sans se faire marcher sur les pieds

Selon Will Bowen, conférencier de renom à qui l’on doit la fameuse campagne et le livre du même nom A Complaint Free World, cela ne fait aucun doute: râler, c’est mauvais pour la santé, tranche-t-il.

«Il y a énormément d’études qui lient le fait de se plaindre à une hausse de la pression sanguine, à une hausse du taux de divorce, à une moindre ascension au sein des organisations, etc. Et ça a un impact sur la santé globale.»

Et cela tombe sous le sens: le conjoint qui se plaint de sa femme à son collègue ne fait rien pour sauver son couple. Idem pour l’employé qui râle en douce contre son patron. Il ne risque pas d’avoir une augmentation. Mais faut-il pour autant tout endurer les yeux fermés?

Non, répondent les experts interrogés. C’est qu’il y a un monde entre hurler:

«Comment osez-vous me servir une soupe froide?» et demander poliment: «Ma soupe est froide, pouvez-vous la réchauffer, s’il vous plaît?», illustre Will Bowen, dont le livre a été vendu à plus de 3 millions d’exemplaires et traduit dans une trentaine de langues.

«C’est le plus gros malentendu, renchérit Christine Lewicki. Arrêter de râler ne veut absolument pas dire tout accepter!»

L’idée n’est donc pas d’enfiler des lunettes roses en cultivant l’art de voir le verre à moitié plein dans le meilleur des mondes. Au contraire, il s’agit plutôt de changer de posture: exit le statut de victime, on prend ici sa vie en main.

Ce faisant, la coach a fait trois constats: si vous n’aimez pas quelque chose dans votre vie, changez-le (bref, cessez de jouer les victimes); si vous voulez changer les choses, faites attention à la façon dont vous vous exprimez (si vous mettez l’autre dans la position du coupable, il ne risque pas d’avoir envie de coopérer, parlez plutôt au «je» en évitant le «tu»); et lâchez prise. Oui, parfois, c’est drôlement salvateur.

«J’ai revisité mes attentes, résume-t-elle. Et j’ai choisi mes batailles.»

Et quand, parfois, elle sent tout de même que la pression monte et qu’elle va exploser, parce qu’elle a trop peu dormi ou que les irritants s’accumulent, et qu’en plus, les chaussettes traînent encore par terre, Christine Lewicki a un truc infaillible.

«Je chante! dit-elle en pouffant de rire. Ça sort l’énergie! Et ça sort la tension!»

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Arrêter de se plaindre, un bracelet à la fois

Le défi lancé par Wil Bowen il y a plus de 10 ans, relevé par Christine Lewicki récemment, est tout simple: il s’agit de cesser de se plaindre pendant 21 jours. Parce que c’est le temps, dit-on, que cela prend pour défaire (ou prendre) une habitude. Pour ce faire, armé d’un bracelet mauve au poignet, à la moindre râlerie, au moindre chialage gratuit, on change le bracelet de côté. L’objectif étant de garder le bracelet intouché pendant 21 jours consécutifs. De son propre aveu, Will Bowen a mis six mois à y arriver, et Christine Lewicky, quatre.

Respirez par le nez Le New York Times citait récemment un expert de la revue Consumerist qui suggérait à tous les râleurs cherchant gain de cause («How to Complain and Get Results») de commencer par respirer. Si on vous a injustement facturé quelque chose ou si votre chambre d’hôtel sent la cigarette, respirez d’abord par le nez. Objectif? Éviter à tout prix d’envoyer un courriel enflammé ou de hurler au téléphone au premier incompétent venu, des obscénités vite regrettées qui ne vous feront finalement rien gagner du tout.

Enrobez La formulation de la plainte est un art en soi. Tous les articles sur le sujet recommandent la technique élaborée par le psychologue et auteur Guy Winch (à qui l’on doit l’Art de se plaindre et de se faire entendre), qui suggère en gros de faire un «sandwich» de sa plainte – bref, de l’enrober. Commencez donc le tout par un commentaire positif c’est la tranche de pain: 

«Je viens toujours ici, j’adore tous vos plats»), suivi de votre plainte (la viande, en mode maigre, avec les détails pertinents, sans plus: «mais ma soupe est froide»), pour finir par une dernière note positive (la seconde tranche de pain: «j’espère que vous pourrez faire quelque chose»).

Sachez pourquoi C’est bien beau de se plaindre du moteur de son auto, encore faut-il savoir pourquoi on râle. Car c’est là le noeud du problème: d’après un article publié dans Fast Company («Why Complaining May Be Dangerous to Your Health»), 95 % des clients insatisfaits d’un produit ne se plaignent jamais à l’entreprise, préférant rouspéter auprès de leurs proches Et qui sont ceux qui se plaignent? Les gens les plus heureux! D’après une étude publiée en 2014 dans le Journal of Social Psychology («How do Happy People Complain?»), les gens heureux, adeptes de pleine conscience, ont aussi tendance à se plaindre avec une intention. Un but. Jamais dans le vent, pour rien, quoi.

Soyez clairs Déterminez ce que vous espérez: un remboursement, une compensation, un échange? Soyez clairs dans vos demandes, mais surtout concis. Personne ne veut entendre les détails de votre vie. Mais sachez-le: d’après un article publié dans Money Sense sur l’art de se plaindre (littéralement «The Art of Complaining»), il coûte six fois plus cher à une entreprise d’attirer un nouveau client que de préserver un client existant. Vous avez donc le gros bout du bâton. Ne l’oubliez pas.

Ciblez Détail non négligeable: parlez à la bonne personne! Le téléphoniste au bout du fil n’a probablement rien à voir avec l’erreur commise dans votre réservation. Inutile de l’agresser verbalement. C’est ici qu’il est toujours utile de glisser la fameuse phrase: «Passez-moi votre superviseur», histoire de parler avec quelqu’un qui aura le pouvoir de corriger la faute. De la même manière, si vous en voulez à votre femme, n’en parlez pas à votre voisin de bureau, et si vous en voulez à votre voisin, n’en parlez pas non plus à votre femme, illustre l’auteur et conférencier Will Bowen (à qui l’on doit 21 jours sans se plaindre).

Exploitez Toujours selon Money Sense, les gens qui obtiennent gain de cause n’ont pas forcément de grandes qualités ou des traits psychologiques qui les distinguent. Judy Zaichkowsky, professeure de marketing à l’Université Simon Fraser, citée par le magazine, a sondé des centaines de râleurs efficaces. Le seul point qu’ils ont en commun, c’est une compréhension du système, et une capacité de l’exploiter à leur avantage.

Charmez Un chialeur professionnel, interrogé par Money Sense, suggère de charmer ici son interlocuteur au passage: souriez, appelez-le par son petit nom (vive les badges), et évidemment, restez calme. Personne n’a envie de satisfaire un client hystérique.

Lâchez prise Une fois tout cela dit, gardez-vous toujours l’option de tourner la page. Ne vous obstinez pas outre mesure. Ne vous rendez pas malade pour un mélangeur ou un grille-pain, aussi défectueux soit-il. Gardez en tête ce que vous avez à gagner, et tout ce que vous perdez ici en énergie. Toute cette frustration vaut-elle 5 $ de réparation? À vous de juger.

http://www.lapresse.ca

Votre chien, miroir de votre personnalité


 L’on considère les chiens comme les meilleurs amis de l’homme. En fait, leur personnalité va de pair avec son maître qu’il soit positif ou négatif
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Votre chien, miroir de votre personnalité

 

Un chien et son maître.

Les chiens vivent aux côtés des humains depuis plus de 33 000 ans. Photo : iStock

Le chien adopte certains traits de personnalité de son meilleur ami humain, confirment les travaux de chercheurs autrichiens.

Un texte d’Alain Labelle


En fait, la Dre Iris Schoberl et ses collègues de l’Université de Vienne expliquent que les chiens peuvent en quelque sorte être le miroir de l’anxiété et de la négativité de leur maître.

D’un côté plus positif, un toutou relax et amical peut également influer sur la personnalité de son maître en l’aidant à gérer son stress.

En 2016, des chercheurs américains avaient montré que le toutou était capable de comprendre des expressions du visage et des intonations de voix, et pouvait ainsi avoir une idée de l’humeur d’une personne.

Dans les présents travaux, plus de 100 chiens et leurs maîtres ont effectué plusieurs tests (par exemple, la réaction à une menace) et mesures (par exemple, la fréquence cardiaque).

Des échantillons de salive ont également permis de mesurer les niveaux de cortisol, une hormone sécrétée par le cerveau et qui est un marqueur établi du stress.

Les propriétaires ont ensuite été évalués pour cinq grandes caractéristiques d’une personnalité :

  • la nervosité
  • l’extraversion
  • l’ouverture à l’expérience
  • l’agréabilité
  • la consciencieusité

La personnalité des chiens était aussi établie à l’aide d’un questionnaire soumis au maître.

Les résultats montrent que les propriétaires et les chiens influencent les mécanismes d’adaptation l’un de l’autre, mais l’humain serait plus influençable que le chien.

Nos résultats laissent à penser que les propriétaires et leurs chiens sont des dyades sociales [un groupe de deux], et qu’ils influencent mutuellement leur adaptation au stress. Dre Iris Schoberl

Cela confirme, selon la chercheuse, que les partenaires canins sont sensibles aux états émotionnels de leurs propriétaires et qu’ils peuvent refléter leurs émotions. Ils peuvent donc recueillir des informations émotionnelles des gens et ajuster leur comportement en conséquence.

Le détail de cette recherche est publié dans la revue PLOS ONE.

Les chiens vivent aux côtés des humains depuis plus de 33 000 ans. En 2013, des chercheurs russes ont découvert une dent dans les montagnes Altaï en Sibérie qui serait celle d’un ancêtre du chien moderne. Selon l’analyse ADN, le fossile serait génétiquement plus près du chien que du loup.

http://ici.radio-canada.ca

La négativité


Les pensées négatives qui circulent dans notre tête ne devraient pas s’installer. Certains trouvent cela difficile, mais c’est possible.
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La négativité

 

« Chaque fois que vous remarquerez que la négativité se manifeste en vous, sous une forme ou une autre, ne la voyez pas comme un échec dans votre démarche mais plutôt comme un précieux signal qui vous dit :
« Réveille-toi ! Sors de ta tête ! Sois présent ! »
« 

Eckhart Tolle

Les gens qui se plaignent tout le temps endommagent votre cerveau


Il n’y a pas trop de référence sur cette étude, mais je pense qu’on peut en effet le constater que certaines personnes ne sont pas assez outillées pour aider des personnes qui sont trop négatives. Je pense qu’il est important de reconnaitre nos limites et de savoir se protéger contre ces personnes pessimistes
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Les gens qui se plaignent tout le temps endommagent votre cerveau

 

Une étude qui utilise la recherche en neurosciences montre que l’écoute de gens qui se plaignent beaucoup peut être nuisible pour le cerveau.

Trop de négativité a un impact certain sur le cerveau. Malgré le fait que chaque méthode a ses points faibles, Trevor Blake affirme pouvoir expliquer comment et pourquoi la négativité constante affecte notre cerveau.

Trevor Blake est l’auteur de « Trois étapes simples : une carte de la réussite dans les affaires et la vie». Le livre explique comment n’importe quelle personne peut remodeler son esprit pour augmenter sa créativité, réalisation et sérénité. Il explique que le cerveau humain agit comme un muscle plus qu’on ne peut l’imaginer. Par exemple :

« Si vous êtes coincé longtemps, quelque part, en écoutant une personne négative, vous êtes plus susceptible de vous comporter de la même manière qu’elle. »

Être constamment entouré par la négativité et par des gens qui se plaignent beaucoup peut être mauvais, de multiples façons, pour le cerveau. Écouter passivement et constamment une personne se plaindre, peut avoir des effets indésirables graves et peut même altérer les fonctions cérébrales.

La qualité des pensées et des émotions que nous entretenons a un impact direct sur la qualité de notre vie et de notre performance, mais aussi sur notre santé physique et psychologique et celles de notre entourage.

http://www.santeplusmag.com/