Le Saviez-Vous ► 7 animaux adorables dont le comportement meurtrier


On sait que certains humains tuent simplement par plaisir, par vengeance, par cupidité, par torture, par viol …. Parmi les animaux, il existe aussi le viol, la torture, et même la nécrophilie existe pour certaines espèces. Nous savons par exemple que le chat, cet animal préféré des vidéos peuvent tuer pour jouer avec un oiseau, une souris … Mais nous serions surpris probablement, que les phoques, dauphins, canard et autres peuvent être cruel et ce sont surtout les mâles qui sont agressif.
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7 animaux adorables dont le comportement meurtrier

Nous percevons certains animaux comme des êtres si adorables que nous oublions qu’ils peuvent être impitoyables. Viols, torture, nécrophilie, le monde animal peut être particulièrement cruel. Attention, préparez-vous à ne plus jamais voir ces 7 adorables petites bêtes de la même manière.

LES DAUPHINS

Le dauphin est l’un des animaux favoris de l’Homme. Autant adorable qu’il puisse paraître, il peut se montrer extrêmement cruel envers ses congénères et d’autres espèces. De nombreux cas de viols et d’infanticides ont été observés, plusieurs mâles s’attaquant à une femelle pour la violer. Ils tuent parfois les petits dans le but de s’accoupler avec cette dernière.

Il arrive également que des dauphins s’en prennent à des tortues de mer. Ils torturent l’animal juste pour le plaisir, la tortue ne faisant pas partie de leur régime alimentaire. Leur extrême intelligence leur permet de viser les organes vitaux des tortues, ils leur causent ainsi des dommages irréversibles.

LES CANARDS

Malgré son apparence inoffensive, le canard est un animal violent. Les mâles s’en prennent fréquemment aux femelles, parfois à plusieurs, afin de les forcer à s’accoupler. Une étude publiée par les chercheurs Patricia Brennan et Richard Prum en 2012 assure que 40 % des accouplements chez les canards sauvages sont forcés. Les mâles brutalisent les femelles, leur maintenant parfois la tête sous l’eau alors qu’ils les violent. Des cas de nécrophilie ont également été observés, parfois un mâle s’intéressant au corps sans vie d’un autre mâle.

LES OURS POLAIRES

Ces boules de poils géantes sont adeptes du cannibalisme. De nombreux cas ont été recensés, il s’agit pour la plupart du temps de mâles qui s’attaquent à des petits. Il est toutefois arrivé qu’une femelle affamée dévore ses petits, mais ce n’est pas tout. Deux petits ont également été vus en train de manger leur mère immobilisée. D’après les spécialistes, le cannibalisme chez les ours polaires est en augmentation, ceci est principalement dû au réchauffement climatique : ils n’ont plus assez de nourriture pour survivre

LES HIPPOPOTAMES

Bien qu’ils soient herbivores, les hippopotames peuvent se transformer en des êtres sanguinaires. A l’état sauvage, ils sont difficiles à étudier, principalement car ils attaquent les humains qui s’approchent trop près d’eux. Les personnes attaquées sont principalement des locaux, mais en 2013, une touriste chinoise a été tuée au Kenya alors qu’elle essayait de prendre des photos de l’animal. Les blessures infligées par les hippopotames sont souvent fatales à cause de la puissance de leur mâchoire, leurs canines inférieures pouvant mesurer jusqu’à 70 centimètres.

LES PHOQUES

Les vidéos de phoques mignons pullulent sur la toile, ils sont représentés comme d’adorables animaux, surtout les petits. Ils peuvent pourtant être capables d’une incroyable brutalité. Ils affectionnent particulièrement la chair de pingouin, mais ils ne se contentent pas de les tuer. Plusieurs cas de viols sur des pingouins impériaux ont été recensés. Dans certains cas, le phoque dévore le pingouin après l’avoir agressé.

LES LOUTRES

A l’instar des phoques, les loutres sont réputées pour être des animaux adorables… Détrompez-vous. Au moins 19 cas de loutres de mer s’attaquant à des bébés phoques ont été observés. La loutre entraîne le petit sans défense dans l’eau, puis le viole pendant des minutes, voire des heures, jusqu’à la mort du phoque. Les loutres mâles s’en prennent également aux femelles, l’accouplement est parfois si violent que ces dernières perdent la vie.

LES COCCINELLES

Avec ses petits points noirs, la coccinelle est considérée comme un petit être mignon et inoffensif, une réputation totalement fausse. Meurtrière, cannibale et porteuse de MST, la coccinelle cache bien son jeu. Lorsqu’elle est au stade de larve, elle dévore ses congénères plus jeunes. Quant à son instinct de reproduction exacerbé, il peut lui coûter la vie. En s’accouplant, ces insectes sont susceptibles de se transmettre un parasite mortel appelé Coccipolipus hippodamiae.

BONUS : LES HUMAINS

Impossible d’effectuer un tel classement sans parler de l’être humain, la palme d’or de la cruauté lui revient. En plus de s’entretuer, les hommes sont responsables de l’extinction d’un nombre incalculable d’espèces animales. Elles disparaissent entre 1000 et 10 000 fois plus rapidement qu’avant la présence de l’Homme sur Terre. Le besoin de se nourrir, mais surtout l’argent entraînent un tel acharnement sur les animaux. Des scientifiques ont d’ailleurs annoncé que la sixième extinction de masse était enclenchée, et elle est principalement due à l’Homme.

La brutalité de ces animaux est choquante. A la rédaction, nous n’imaginions pas que les phoques ou les dauphins pouvaient se montrer aussi cruels. Ces petites bêtes ont bien caché leur jeu ! 

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Le Saviez-Vous ► Tueurs en série: la troublante relation entre leur emploi et les meurtres commis


Étudier les tueurs en séries ne doit pas être une mince affaire et doit donner des sueurs froides. Il semble qu’il y ait des éléments communs qui les relient. Leur profession ! Certains s’en servent pour mieux cibler leurs victimes alors que d’autres intègrent leurs crimes à leur travail.
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Tueurs en série: la troublante relation entre leur emploi et les meurtres commis

 

Joseph James DeAngelo, 72 ans, soupçonné d'être le «Golden State Killer», responsable d'au moins une douzaine de meurtres et de 50 viols dans les années 1970 et 1980, est traduit en justice à la Cour supérieure du comté de Sacramento, en Californie. Les professions exercées par DeAngelo correspondent au profil des tueurs en série et des psychopathes. 

ASSOCIATED PRESS

Joseph James DeAngelo, 72 ans, soupçonné d’être le «Golden State Killer», responsable d’au moins une douzaine de meurtres et de 50 viols dans les années 1970 et 1980, est traduit en justice à la Cour supérieure du comté de Sacramento, en Californie. Les professions exercées par DeAngelo correspondent au profil des tueurs en série et des psychopathes.

Michael Arntfield

Professeur associé de criminologie et de littérature anglaise à l’Université Western

L’occupation professionnelle et les meurtres effectués en série sont souvent reliés et certains emplois, tant à temps plein qu’à temps partiel, sont étrangement surreprésentés chez ce type de tueurs.

L’arrestation l’an dernier de l’insaisissable Golden State Killer, dans ce qui a été sans doute la plus difficile et troublante constellation d’affaires non résolues interconnectées de l’histoire américaine, a soulevé plus de questions que de réponses.

L’une de ces questions est de savoir comment un cambrioleur, violeur et meurtrier en série a pu agir dans de si nombreux endroits simultanément et, tout comme dans le cas de Paul Bernardo au Canada, sans que les autorités policières ne puissent faire de connexions entre ces crimes commis dans plusieurs villes différentes.

Une autre question, évidemment, est de savoir comment un policier comme Joseph DeAngelo, la personne accusée d’être le tueur du Golden State, finalement trahi par son ADN, a pu faire preuve d’une telle brutalité sadique au cours de sa carrière brève et troublée au sein des forces policières.

Des questions semblables ont été soulevées par le passé à propos d’autres criminels, tueurs en série, dont les emplois inoffensifs, voire vertueux, ont semblé dissimuler les horreurs qu’ils commettaient en se camouflant sous un vernis de respectabilité. On pense à ce Canadien tristement célèbre, le colonel Russell Williams (qui a déjà piloté un avion de dignitaires, entre autres la reine Élisabeth), et au propriétaire moins connu d’une boutique d’électronique, un homme d’affaires bien en vue de Nashville, Tom Steeples, qui a tué trois personnes pour le simple plaisir avant de se suicider alors qu’il était en garde à vue.

En fait, l’occupation et les meurtres en série sont souvent reliés et certains emplois, tant à temps plein qu’à temps partiel, sont étrangement surreprésentés chez les tueurs en série. Si bien qu’au cours des 50 dernières années, certaines tendances dominantes sont apparues.

Comme exposé dans mon livre récent, Murder in Plain English,ces occupations sont réparties en quatre catégories selon les qualifications, la formation et le roulement. Certaines pourraient vous surprendre, d’autres pas.

Répartition des emplois des tueurs en série

— Trois premiers métiers spécialisés des tueurs en série: 1. Machiniste/assembleur d’aéronef; 2. Cordonnier; 3. Rembourreur automobile.

— Trois premiers métiers semi-spécialisés des tueurs en série: 1. Travailleur forestier/arboriste; 2. Camionneur; 3. Gérant d’entrepôt.

— Trois premiers métiers non spécialisés des tueurs en série: 1. Manœuvre (déménageur, paysagiste, etc.); 2. Bagagiste d’hôtel; 3. Pompiste.

— Trois premières professions/fonction publique: 1. Agent de police/sécurité; 2. Personnel militaire; 3. Autorité religieuse.

Évidemment, toutes les personnes qui occupent ces emplois ne sont pas des tueurs en série ni sont susceptibles de le devenir!

Mais il y a quelque chose concernant ces emplois qui attire viscéralement les délinquants ou qui nourrit les impulsions des tueurs en série en devenir, ce qui fait qu’ils sont curieusement surreprésentés dans cette classe rare de meurtriers.

DeAngelo, le tueur présumé du Golden State, par exemple, a effectivement occupé trois de ces emplois au cours de sa vie: agent de police, militaire (il avait précédemment fait partie de la marine) et, de façon marginale, camionneur, bien que sa carrière après son emploi de policier (il a été congédié en 1979 pour vol à l’étalage) se soit passée en grande partie comme mécanicien pour une flotte de camions frigorifiés d’une épicerie.

Époque révolue

Après un examen plus attentif de ces occupations, on découvre une époque révolue en termes d’emplois disponibles — des occupations qui, tout en étant répandues et accessibles aux tueurs des années 60, 70 et 80 — sont maintenant largement désuètes. Le marché de l’emploi change et, par conséquent, la relation troublante, mais légitime entre le meurtre et le travail.

Le passage vers une économie typiquement contractuelle, basée sur les services et propulsée par la technologie, ce qu’on appelle souvent le travail précaire, parallèlement avec la disparition des cheminements de carrière plus traditionnels, auront évidemment des effets marqués non seulement sur les emplois occupés par les délinquants, mais aussi sur la façon dont ils s’emparent de leurs victimes.

Tel qu’abordé dans mon livre à venir, Monster City, il y a eu une hausse abrupte de meurtres en série à Nashville avec l’éclosion de la «nouvelle» musique country dans les années 80 et 90, offrant aux tueurs en devenir un accès à de nouvelles victimes.

Les tueurs en série se servaient jadis du couvert de leur emploi pour traquer et attraper une victime spécifique ou des types de victimes (Dennis Rader, Roger Kibbe et Bruce Mendenhall nous viennent tous immédiatement à l’esprit). Mais une nouvelle recherche indique que les activités de loisir comme la musique, incluant les interactions en ligne, pourraient être la nouvelle voie qu’utilisent les tueurs en série pour se tenir à l’affût de leurs victimes.

C’est aussi là où, mentalement, ils mettent en scène leurs crimes: à mi-chemin entre un espace public hors ligne et un univers professionnel en régression.

Dans ce croquis, le tueur en série Bruce McArthur comparaît par vidéo devant un tribunal de Toronto en...

CP/ALEXANDRA NEWBOULD Dans ce croquis, le tueur en série Bruce McArthur comparaît par vidéo devant un tribunal de Toronto en avril 2018.

Dans ce contexte, nous verrons probablement arriver — en revenant une fois de plus sur le tueur en série de Toronto, Bruce McArthur, qui a plaidé coupable en février et écopé de 25 ans de prison ferme —des catégories professionnelles-récréatives floues pour classifier ces tueurs. Elles impliquent des dimensions de vie à la fois en ligne et hors ligne et ce nouveau paradigme nous forcera à ajuster la liste des emplois les plus communs parmi les tueurs en série.

Le risque, évidemment, c’est que l’«occupation» en question est toujours en train de changer. Une «occupation» désigne-t-elle par exemple un poste principal, un engagement à temps partiel, ou même juste un passe-temps rémunéré?

Les passe-temps ainsi que les professions à considérer?

Peut-elle aussi comprendre un passe-temps non rémunéré par lequel une personne se définit? Une consultation rapide des principaux «influenceurs» et «réseauteurs ouverts» de LinkedIn, par exemple, révèle que plusieurs personnes inscrivent en fait leurs passions et passe-temps, et non leur emploi rémunéré, comme occupation première.

Dans le cas McArthur, nos constatons que même s’il correspond à la catégorie «manœuvre», en tant que paysagiste et non juste comme tondeur de gazon, de même que propriétaire de sa propre entreprise, il ne répond à aucune définition professionnelle claire.

Et pourtant, comme nous l’avons déjà appris par la découverte morbide du charnier sur la propriété d’un client sur Mallory Crescent à Toronto, l’occupation de l’accusé était primordiale dans la commission des crimes et dans la façon dont il a disposé des victimes — elle faisait partie intégrante de son modus operandi.

Alors que plusieurs tueurs se servent de leur emploi comme prétexte pour attraper des victimes vulnérables, obtenir de l’information ou assouvir des fantasmes de violence pour des raisons que ne nous ne comprenons pas encore entièrement, dans le cas de McArthur, l’occupation a facilité l’aboutissement de de ses crimes, et non leur inspiration, comme dans le cas du «cannibale de Milwaukee», Jeffrey Dahmer. Ce dernier a déjà admis que son travail comme opérateur dans une fabrique de chocolat avait éveillé en lui des pulsions d’homicides et de nécrophiles qu’il aurait autrement écartées.

Qu’en est-il des psychopathes?

Alors que nous commençons à redessiner la carte associant les cheminements des carrières et les meurtres en série, il peut aussi être utile d’observer une autre liste plus connue des occupations surreprésentées chez les psychopathes.

Même si les psychopathes ne sont pas tous des tueurs en série, la psychopathie — ou à tout le moins, la possession de traits psychopathes — est un dénominateur commun chez les tueurs en série, les agresseurs sexuels et la plupart des criminels violents.

Voici leurs 10 premières occupations selon un psychologue de l’Université d’Oxford:

  1. PDG ou cadre d’entreprise
  2. Avocat
  3. Personnalité des médias
  4. Vendeur
  5. Chirurgien
  6. Journaliste ou chef d’antenne
  7. Policier
  8. Autorité religieuse
  9. Chef cuisinier
  10. Divers postes de fonctionnaires (militaire, conseil municipal, service correctionnel, etc.)

En recoupant les deux listes, nous pouvons voir que même au sein d’une économie en perpétuel changement, certains emplois semblent toujours plus attirants pour des personnes au sujet desquelles nous serons stupéfaits d’apprendre plus tard qu’elles avaient réussi à s’acquitter de ce type de travail tout en étant des monstres parmi nous. Tueurs en série: la troublante relation entre leur emploi et les meurtres

La version originale de cet article a été publiée sur La Conversation.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Voilà pourquoi les corbeaux ont des rapports sexuels avec leurs morts


La nécrophilie est d’avoir un rapport sexuel avec un mort. Il semble qu’environ 4 % des corbeaux aient ce comportement. La thanatologue que ces oiseaux n’ont plus de repère d’ou cette déviation sexuelle
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Voilà pourquoi les corbeaux ont des rapports sexuels avec leurs morts

 

Crédits : Kaeli Swift

par  Malaurie Chokoualé

 

Kaeli Swift est depuis toujours intéressée par le comportement des animaux. Cette doctorante a tout d’abord eu une passion pour les loups, avant de se tourner avec ardeur vers les corvidés.

Comme elle l’annonce d’emblée sur son site :

« Mon domaine de recherche est la thanatologie des corbeaux. »

En avril 2015, elle a posé le cadavre d’un corbeau au pied d’un cerisier, et elle a attendu patiemment. La suite l’a surprise au plus haut point : un corbeau – bien vivant celui-là – s’est alors posé non loin du corps, avant de s’accoupler violemment avec lui, expliquait-elle sur son blog le 16 juillet dernier dans un nouvel article.

Une fois le choc passé, cette candidate au doctorat à l’École des sciences environnementales et forestières de l’université de Washington, aidée de son superviseur John Marzluff, a commencé à planifier des expériences pour découvrir la place qu’occupe la nécrophilie dans la vie des corbeaux. Kaeli Swift a toujours voulu comprendre pourquoi un grand nombre de corbeaux se réunissaient autour d’un individu décédé et lançaient des signaux d’alarme pour prévenir leurs congénères du danger. Elle suppose que ces funérailles sont utilisées pour permettre aux corbeaux d’en apprendre davantage sur de potentielles menaces. Mais s’ils traitent les individus morts comme des signes de danger, pourquoi s’en approchent-ils et pourquoi ont-ils des rapports sexuels avec eux ?

Swift s’est donc procurée des corbeaux morts – chez des particuliers, des musées, etc. – et les a placés à des endroits stratégiques dans Seattle et ses environs. Pendant trois ans, elle a testé les réactions de 309 corbeaux sur leurs pairs décédés. Le plus souvent, les oiseaux lançaient un signal d’alarme et attaquaient le corps, ce qui correspondait à l’hypothèse selon laquelle les corbeaux traitent les morts comme des signes de danger. Mais dans 24 % des cas, les oiseaux touchaient, tiraient ou mangeaient les corps ; et dans 4 % des cas, ils ont eu des rapports nécrophiles violents avec eux. Selon Swift, c’est parce qu’ils mélangent tout et n’ont plus de repères : un corbeau mort possède des caractéristiques à la fois de nourriture, d’ennemi ou de compagnon. C’est pourquoi, d’après elle, il leur arrive de mélanger agressivité et accouplement.

Il s’agit de la première étude pour mesurer la prévalence de la nécrophilie chez un animal sauvage.

Ce type de comportements ont été longtemps ignorés car « pendant longtemps, la possibilité que les animaux pourraient être en deuil ou partager un semblant de l’expérience humaine était risible », explique Swift.

Source : Corvid Research

http://www.ulyces.co/

Soupçonné du meurtre horrible de son ex-amant Le «dépeceur» aurait quitté le Canada


Un gars qui n’a aucun passé criminel fait une vidéo en démembrant une personne et a fait envoyer son film a quelqu’un dans l’Ouest mais ayant  en entendant parler d’une partie du corps envoyer dans le bureau centrale du Parti Conservateur a Ottawa a fait le lien que la vidéo n’était nullement fictive mais bien réelle .. d’ou il a alerter la police, C’est pour cette raison qu’il a été vite identifié comme le premier suspect a cette affaire … et il est très rechercher a travers le monde
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Soupçonné du meurtre horrible de son ex-amant

Le «dépeceur» aurait quitté le Canada

 


(Crédit photo: gracieuseté SPVM)

Par Daniel Renaud | Journal de Montréal

La police craint avoir beaucoup de difficultés à retrouver Luka Rocco Magnotta. L’individu, soupçonné d’avoir repoussé les limites de l’horreur après avoir tué et démembré un homme, filmé la scène et mis une vidéo sur Internet, aurait déjà changé d’identité et quitté le pays.

Magnotta, 29 ans, se serait envolé vers l’Europe, samedi, nous ont confié des sources. Il est maitenant rechercé par Interpol.

Dans le petit un et demi d’un immeuble du boulevard Décarie, à Montréal, où l’horrible crime aurait été commis, il y a environ une semaine, les policiers auraient découvert des documents leur laissant croire que Magnotta, alias Newman, alias Romanov, aurait changé d’identité une autre fois.

C’est sur le lit de l’appartement 208 que Magnotta, un acteur bisexuel de films pornos, aurait tué, démembré et outragé un homme d’origine asiatique d’une trentaine d’années, qu’il serait allé chercher à son travail, dans le sud-ouest de Montréal, et qui serait porté disparu depuis une dizaine de jours.

Selon certaines informations, les deux hommes se connaissaient et ont déjà été amants. L’une des hypothèses étudiées par la police veut que Magnotta l’ait attiré dans le logement sous prétexte de vouloir tourner un film porno avec lui. La suite s’est plutôt transformée en scénario digne du film Le silence des agneaux.

L’horreur

 

«On n’a jamais vu un crime comme ça au Canada», nous a dit un policier d’expérience, dégoûté.

Magnotta pourrait en effet avoir poussé l’horreur jusqu’à filmer le crime et en faire une vidéo de près de 11 minutes, qui a été déposée sur au moins deux sites Web.

Sur cette dernière, on voit la victime couchée sur un lit avec des pièces de tissus sur la tête, les pieds et les jambes attachés. Elle bouge un peu jusqu’à ce qu’elle soit frappée à plusieurs reprises à l’abdomen avec un pic à glace.

Le tueur découpe ensuite les membres de sa victime un après l’autre. Il pose également des gestes de cannibalisme, de bestialité et de nécrophilie avec les restes de l’homme. À un moment, on le voit même tenter de découper une partie du cadavre avec un couteau et une fourchette.

Tout au long de la vidéo, on entend la chanson True Faith de New Order, qui est aussi celle de la scène d’ouverture du film American psycho.

En fin de journée hier, la vidéo a été retirée du site, pas avant cependant que 600 abonnés Facebook eurent cliqué sur la mention «J’aime».

D’autres restes

 

Ce sont des indices laissés dans l’amas d’ordures dans lequel la valise contenant le tronc de la victime a été trouvée, mardi, qui ont mené les policiers à l’appartement 208 que Magnotta aurait loué, il y a quatre mois.

Parmi les ordures, les enquêteurs ont également trouvé d’autres restes humains appartenant vraisemblablement au même homme.

C’est le suspect lui-même qui aurait posté les deux colis contenant un pied et une main et qui ont été retrouvés à Ottawa.

 

Portrait du présumé démembreur

Qui est Luka Rocco Magnotta?

 

Qui est Luka Rocco Magnotta?

Crédit photo : Courtoisie site web luka-magnotta.com

Luka Rocco Magnotta est suspecté d’avoir tué, puis démembré un homme.

Par Sarah Bélisle | Journal de Montréal

  • Il a 29 ans, mesure 1,78 m et pèse 61 kg
  • Il a les yeux bleus et les cheveux noirs

Crédit: Courtoisie site web luka-magnotta.com

  • Pseudonymes : Eric Clinton Newman, Vladimir Romanov
  • Il a fait carrière comme mannequin et acteur porno, notamment en Californie et à Toronto.
  • «Je me sens comme si ma vie était devenue hors de contrôle», a-t-il dit au quotidien Toronto Sun, en 2007, en niant des informations voulant qu’il fréquentait l’Ontarienne Karla Homolka, complice du tueur Paul Bernardo et libérée en 2005 après 12 ans de pénitencier.
  • «Le droit criminel est vraiment fascinant», disait-il en entrevue, en 2010.

Crédit: Courtoisie site web luka-magnotta.com

  • En décembre 2010, des internautes l’identifient comme étant l’auteur d’une vidéo choquante sur YouTube. On y montrait un homme en train de filmer deux chatons placés dans un sac, d’où il a ensuite aspiré l’oxygène avec un aspirateur, causant leur mort par asphyxie.
  • Sur sa page MySpace, il s’est défendu de ces «fausses rumeurs» en parlant d’une «virulente fiction».

Crédit: Courtoisie site web luka-magnotta.com

  • Sur sa page Facebook, Magnotta écrivait récemment que «la personne la plus douce et attentionnée est entrée dans (sa) vie». «Si j’avais un million de raisons de te quitter, j’en chercherais une bonne pour rester. Je n’ai pas besoin de te faire du mal», ajoutait-il au sujet de son compagnon.

Crédit: Courtoisie site web luka-magnotta.com

  • «L’enfer n’est pas un endroit qui brûle pour l’éternité. En réalité, l’enfer est ton propre esprit. C’est le résultat de toutes les choses horribles que tu as fait aux autres. Tu ne peux jamais y échapper», a aussi écrit Magnotta sur sa page Facebook

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