Les gagnants du concours Natio­nal Geogra­phic 2019 ont pris des photos sublimes


Le National Géographic a chaque année propose un concours de voyage. Les juges doivent sûrement avoir l’embarras du choix, mais il faut des vainqueurs. Ils ont 3 catégories : villes, gens et nature. Personnellement, c’est la catégorie nature que je préfère et l’aigle est vraiment extraordinaire.
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Les gagnants du concours Natio­nal Geogra­phic 2019 ont pris des photos sublimes

par  Mathilda Caron

En annonçant les résul­tats de son concours annuel de photos de voyage, le maga­zine améri­cain Natio­nal Geogra­phic a dévoilé des clichés excep­tion­nels.

Dans la caté­go­rie « villes », le premier prix a été attri­bué à Weimin Chu, pour la photo du village de pêcheurs d’Uper­na­vik, situé sur une île à l’ouest du Groen­land. 

« La beauté de ce village tranquille dépas­sait mon imagi­na­tion », confie-t-il.

Huai­feng Li est lauréat dans la caté­go­rie « gens » et Tamara Blazquez Haik l’em­porte dans la caté­go­rie « nature ». Les meilleurs photos sont visibles ci-dessous.

Villes

Premier prix : Winter in Green­land, Weimin Chu (Uper­na­vik, Groen­land)

Deuxième prix : In the age of avia­tion, Jassen Todo­rov (San Fran­cis­co’s Inter­na­tio­nal Airport)

Troi­sième prix : Streets of Dhaka, Sandi­pani Chat­to­padhyay (Dhaka, Bangla­desh)

Gens

Premier prix : Show­time, Huai­feng Li (district de Licheng, Chine)

Deuxième prix : Daily Routine, Yoshiki Fuji­wara (Choi Hung House, Hong Kong)

Troi­sième prix : Horses, Jose Anto­nio Zamora (Avila, Espagne)

Prix d’hon­neur : Mood, Navin Vasta (Delhi, India)

Nature

Premier prix : Tender Eyes, Tamara Blazquez Haik (Monfragüe Natio­nal Park, Espagne)

Deuxième prix : Dream­cat­cher, Danny Sepkowski (Oahu, Hawaii)

Troi­sième prix : Dusky, Scott Portelli (Kaikoura, New Zealand)

Prix d’hon­neur : King of the Alps, Jonas Scha­fer (Suisse)

Source : Natio­nal Geogr­pa­phic

https://www.ulyces.co/

Grâce à la science, cet alligator a une nouvelle queue imprimée en 3D


Un alligator a eu la queue coupée par des trafiquants qui l’ont laissé dans cet état dans d’atroces souffrances. Heureusement qu’il a été pris en charge et a pu bénéficier de l’imprimante 3 D
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Grâce à la science, cet alligator a une nouvelle queue imprimée en 3D

 

Mr. Stubbs et sa nouvelle queue
Crédits : National Geographic

par  Ulyces

 

Il y a plusieurs années, des trafiquants d’animaux exotiques ont coupé sa queue à un jeune alligator. Il a été retrouvé in extremis à l’arrière d’un camion en 2013 et baptisé Mr. Stubbs par ses sauveteurs. 

National Geographic racontait le 14 août que grâce à la Phoenix Herpetological Society, dans l’Arizona, Mr. Stubbs a désormais une nouvelle queue – imprimée en 3D.

Crédits : National Geographic

Pour y parvenir, les chercheurs de la Phoenix Herpetological Society se sont associés avec Justin Georgi, professeur adjoint d’anatomie à la Midwestern University (AZCOM), et la start-up STAX3D pour créer un appendice sur-mesure pour l’alligator.

« Ils bénéficiaient d’une telle résolution qu’il était possible de modéliser des éléments de moins d’un millimètre », raconte Georgi. « La voir prendre forme en temps réel était incroyable. »

Mr. Stubbs a très vite intégré la prothèse aux mouvements de son corps, depuis qu’elle lui a été posée il y a environ cinq semaines.

Une réussite totale qui laisse espérer à Justin Georgi que la technologie pourra servir à présent à d’autres animaux victimes d’accidents, de malformations ou de mutilations.

Source : National Geographic

http://www.ulyces.co/

De l’inspiration à l’illustration finale, pour le National Geographic


Un artiste chinois s’inspire du National Geographic pour créer ses personnages pour eux. C’est très bien réussit.
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De l’inspiration à l’illustration finale, pour le National Geographic

 

CrazyJN est un artiste freelance basé à Shanghai. Il a créé ces dessins pour le National-Geographic, en partant d’images de référence.

Il présente ici les différentes étapes de son travail vers l’illustration définitive et on peut voir ce qu’il a choisi de garder, ce qu’il modifie pour achever de produire l’ambiance choisie.

On peut voir les images terminées en grande taille sur Behance, et plus de son travail sur ArtStation.

http://www.laboiteverte.fr/

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir


On dit qu’une image vaut mille mots, le National Geographic l’a bien compris. Le plastique est un véritable fléau sur notre planète. On le sait pourtant, mais voir toutes ces images aide j’espère, à prendre conscience de nos choix aux plastiques à usage unique. Il est important de réagir, de trouver des solutions plus durables et qui protègera la faune et la flore qu’elle soit marine ou terrestre.
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20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Le nouveau numéro du National Geographic présentera une campagne sur la pollution plastique.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

National Geographic

Le magazine National Geographic vient de lancer une campagne informative et percutante intitulée « Planet or Plastic? » et tout le monde doit la voir.

Voilà l’un des objectifs de la campagne du magazine emblématique qui vise à changer la façon dont les consommateurs utilisent le plastique. Si les consommateurs et les autres organisations qui partagent les mêmes idées sont capables de travailler ensemble pour faire changer la mentalité des gens, les entreprises pourront, espérons-le, répondre à l’opinion publique et réduire la quantité de plastique utilisée dans leurs produits.

Plusieurs d’entre nous sont conscients qu’il y a beaucoup trop de plastique dans l’environnement.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

John Cancalosi / National Geographic

On se sent tous un peu coupables quand on jette un emballage plastique à la poubelle, sachant que l’on contribue à un immense problème très difficile à comprendre.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Randy Olson / National Geographic

Mais que se passerait-il si on finissait par être confronté aux conséquences horribles de notre dépendance au plastique ?

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Jayed Hasen / National Geographic

Ces images puissantes et déchirantes montrent les dommages que 9 millions de tonnes de pollution plastique causent chaque année à l’environnement et à la faune.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Randy Olson / National Geographic

Elles constituent le début d’une initiative pluriannuelle visant à réduire considérablement ce type de pollution.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Jordi Chias / National Geographic

Parce que chaque changement, aussi futile que cela puisse paraître, aide à un certain niveau.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Shawn Miller

Le magazine lui-même donne l’exemple alors qu’il a commencé à publier ses éditions en papier plutôt qu’en plastique.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Justin Hofman / National Geographic

La campagne a identifié les sacs en plastique, les bouteilles et les pailles comme produits problématiques.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

David Higgins / National Geographic

Et elle exhorte les consommateurs à s’engager à réduire considérablement leur utilisation du plastique en faisant de simples choix conscients.

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Brian Lehmann / National Geographic

Êtes-vous prêt à vous engager ?

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

David Jones / National Geographic

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Ohn Johnson

« Pendant 130 ans, National Geographic a documenté les histoires de notre planète, offrant aux spectateurs du monde entier un aperçu de la beauté à couper le souffle de la Terre, ainsi que des menaces qui pèsent sur cette dernière. »

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Praveen Balasubramanian / National Geographic

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Abdul Hakim / National Geographic

« Chaque jour, nos explorateurs, chercheurs et photographes témoignent directement de l’impact dévastateur du plastique à usage unique sur nos océans, et la situation devient de plus en plus difficile. »

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Randy Olson / National Geographic

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Randy Olson / National Geographic

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Randy Olson / National Geographic

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Randy Olson

« À travers l’initiative Planet or Plastic?, nous partagerons les histoires de cette crise croissante, nous travaillerons pour y remédier grâce aux dernières recherches scientifiques, et nous éduquerons le public du monde entier sur la façon d’éliminer les plastiques à usage unique pour les empêcher de pénétrer dans nos océans. »

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Randy Olson / National Geographic

20 images percutantes sur la pollution plastique qui vont vous faire réfléchir

Randy Olson / National Geographic

https://www.ipnoze.com/

Plus de 10 enfants qui ont étonné le monde et remporté le concours de photographie pour enfants organisé par le National Geographic.


 

Des enfants de 7 à 14 ans ont gagné des prix dans un concours de photographies organisé par le National Geographic. Ce sont des futurs photographes pleins de potentiels. Ces photos sont magnifiques
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Plus de 10 enfants qui ont étonné le monde et remporté le concours de photographie pour enfants organisé par le National Geographic.

N° 1 —Gagnant du premier prix/Premier prix dans la catégorie « Oser explorer » : Dewi Baggerman, 11 ans, Pays-Bas.

Dewi Baggerman

N° 2 —Mention honorable dans la catégorie « Animaux incroyables » : Jennifer Jayne Evans Koumbatis, 10 ans, Pays-Bas.

Jennifer Jayne Evans Koumbatis

N° 3 —Des dromadaires sur la plage de Diani, Second prix dans la catégorie « Vacances sauvages » : Pirs Nicklin, 12 ans, États-Unis.

Piers Nicklin

N° 4 —Mention honorable dans la catégorie « Étrange, mais vrai » : Devananda Hardi, 7 ans, Indonésie.

Devananda Hardi

N° 5 —Baiser de prairie, Second prix dans la catégorie « Animaux incroyables » : Frey Youssef, 12 ans, États-Unis.

Kate Anderson

N° 6 —Finaliste, Premier prix dans la catégorie « Étrange, mais vrai » : Pan Yinzhi, 13 ans, Chine.

Frey Youssef

N° 7 —Une arcade sur Cesky Krumlov, Second prix dans la catégorie « Oser explorer » : Alexia Saigh, 14 ans, États-Unis.

Pan Yinzhi

N° 8 —Ailes, Premier prix dans la catégorie « Animaux incroyables » : David Hopkins, 13 ans, États-Unis.

Alexia Saigh

N° 9 —Sur scène, Gagnant du premier prix/Premier prix dans la catégorie « Étrange, mais vrai » : Kate Anderson, 12 ans, États-Unis.

David Hopkins

N° 10 —Finaliste, Premier prix dans la catégorie « Animaux incroyables » : Maj Kastelic, 13 ans, Slovénie.

Maj Kastelic

N° 11 —Portes mystiques, Premier prix dans la catégorie « Oser explorer » : Riley Harlan, 12 ans, États-Unis.

Riley Harlan

N° 12 —Finaliste, Premier prix dans la catégorie « Vacances sauvages » : Sanya Jain, 12 ans, Inde.

http://bridoz.com/

Les plus belles photos publiées par "National Geographic" en 2015


Ce que j’aimerais faire de si belles photos ! Elles sont magnifiques !
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Les plus belles photos publiées par « National Geographic » en 2015

 

RÉTROSPECTIVE – Comme à chaque fin d’année, le magazine National Geographic publie une sélection des plus beaux clichés de ses photographes, mais aussi de photographes amateurs.

Couchers de soleil, aurores boréales, banc de méduses… Découvrez ci-dessous une sélection de ces magnifiques photos prises au quatre coins du monde:

  • Clinton Berry / National Geographic

    Localisation: Antarctique, à une dizaine de kilomètres de la Station Casey.

  • Ciemon Frank Caballes / National Geographic

    Localaisation: Lac aux Méduses, Îles Chelbacheb, Palaos.

  • Pooyon Shadpoor / National Geographic

    Localisation: Île de Larak, Iran.

  • Ernie Vater / National Geographic

    Localisation: Lac Supérieur (près de Bayfield, au Wisconsin), États-Unis.

  • Andrew George / National Geographic

    Localisation: Islande.

  • Jeff Hester / National Geographic

    Localisation: Parc marin Cabo Pulmo, baie de Baja California, Mexique.

Localisation: Lac Baïkal, Sibérie, Russie.

http://www.huffingtonpost.fr/

L’effrayante disparition de la calotte glaciaire sur les cartes du National Geographic


Il faudrait un revirement complet pour lutter contre les changements climatiques, du moins pour ralentir un peu les effets. En attendant la calotte glaciaire continue à fondre ce qui aura de grandes répercussions
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L’effrayante disparition de la calotte glaciaire sur les cartes du National Geographic

 

Image issue du National Geographic Atlas of The World 2014.

Image issue du National Geographic Atlas of The World 2014.

Repéré par Vincent Manilève

Le magazine américain a voulu lancer un message à Barack Obama.

Lors de sa conférence sur les mesures qu’il compte prendre pour lutter contre le réchauffement climatique, le président américain Barack Obama a eu une petite phrase qui n’est pas passée inaperçue:

«La fonte de la calotte glaciaire a forcé le National Geographic à réaliser le plus gros changement dans son atlas depuis la chute de l’Union soviétique.»

La phrase pourrait ressembler à un enième élément de langage dont les politiques sont friands, et pourtant, c’est la triste vérité. Le magazine explique sur son site que la dixième édition du National Geographic Atlas of The World, paru en septembre 2014, montre un changement drastique de la surface occupée par la calotte glaciaire,

«l’un des changements les plus frappants dans l’histoire de la publication».

Le constat est encore plus terrifiant quand on se penche sur la petite animation réalisée par National Geographic, qui montre l’évolution de la zone au fil de ses atlas.

«La fin de l’été arctique est dans quelques semaines, et il est trop tôt pour dire si un nouveau record sera battu, explique Juan José Valdés, de National Geographic. Mais il suffit de regarder les cartes issues d’images satellites pour voir l’impact du réchauffement climatique.»

La visualisation des cartes a été contestée par certains, qui estiment que des détails sont oubliés, comme les glaces formées récemment, mais les chiffres sont bien là. Selon la Nasa, la glace s’est réduite de 12% par an depuis les années 1970, et cela n’a fait qu’empirer après 2007. Un résultat qui s’explique assez facilement: la glace fine reflète moins le soleil, ce qui va permettre à l’océan de se réchauffer et donc d’affaiblir encore un peu plus la glace.

Pour lutter contre ce cercle vicieux, et plus globalement contre le réchauffement climatique, le président américain a donc lancé son plan Clean Power, en misant notamment sur un recul de l’industrie du charbon dans la production d’électricité et un soutien aux énergies renouvelables. Mais comme nous l’expliquait Vox.com il y a quelques jours, l’audace que l’on prête à Obama pourrait n’être qu’un coup d’épée dans l’eau de la part de la première industrie la plus pollueuse du monde: si l’on en croit les calculs du site, la loi voulue par Obama ne permettrait qu’une baisse des émissions de 6% d’ici quinze ans, très loin des 80% de réduction exigés par les spécialistes du climat.
Il y a donc fort à parier que la prochaine édition du National Geographic Atlas of The World sera encore plus inquiétante que la dernière.

 

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ► 5 Photos qui ont marqué l’Histoire


Depuis que la photo existe, l’Histoire peut rester graver dans la mémoire collective. 5 moments qui ont marqué, un peuple ou le monde, c’est l’histoire de l’homme à travers ce passé pas si lointain et qui se projette vers l’avenir
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5 Photos qui ont marqué l’Histoire

 

 


Photo: Pluton, photo capturée par la sonde New Horizons (NASA)

Les premières images de Pluton, envoyées récemment par la sonde New Horizons, ont certainement marqué l’Histoire de l’astronomie et de l’exploration spatiale. Jamais avons-nous vu d’images aussi claires de cette planète naine, qui permettront de l’étudier et de la comprendre davantage. Profitons de l’occasion pour nous intéresser à cinq photos qui ont elles aussi marqué l’Histoire.

1- Les soldats morts lors de la bataille de Gettysburg


Photo: Les soldats qui ont perdu la vie lors du premier jour de la bataille de Gettysburg, Pennsylvanie par Matthew Brady, 1863

Prise en 1863, il s’agit d’une des plus anciennes photos de guerre de l’Histoire. Elle illustre l’état du champ de bataille après la première journée de combats à Gettysburg, dans le cadre de la guerre de Sécession américaine. La bataille de Gettysburg a duré du 1er au 3 juillet et a marqué l’imaginaire par ses lourdes pertes humaines, mais aussi parce qu’elle a amorcé un tournant dans cette guerre qui a déchiré les États-Unis.

2- La bombe atomique sur Nagasaki


Photo:
Nuage en champignon s’élevant au-dessus de Nagasaki à la suite de l’explosion de la bombe nucléaire, 1945 (Time Life/Getty Images)

Prise d’un avion américain après que la bombe ait été lancée sur la ville japonaise de Nagasaki, cette photo a marqué l’Histoire en témoignant de l’incroyable potentiel de destruction de la bombe atomique. 80 000 personnes sont décédées au moment même de l’explosion de cette bombe le 9 août 1945.

3- L’entrée à l’école d’Elizabeth Eckford


Photo: Elizabetch Eckford, au centre, tente d’entrer à l’école, par Will Counts, 4 septembre 1957

Alors que la ségrégation raciale était encore très importante dans plusieurs états du sud des États-Unis, certaines écoles commencèrent à accepter des étudiants noirs. Cette photo d’une jeune étudiante noire de l’Arkansas, Elizabeth Eckford, a marqué le monde entier. On la voit faire son entrée scolaire à l’école de Little Rock, alors qu’une autre étudiante, Hazel Massery, lui crie sa désapprobation. Cette photo publiée en 1957 est devenue un symbole de la lutte des Noirs américains pour l’égalité sociale.

4- René Lévesque lors de la défaite après le référendum de 1980


Photo: René Lévesque disant aux Québécois: «À la prochaine fois» par Jacques Nadeau, 20 mai 1980

Dans l’histoire du Québec, la réaction de René Lévesque à la suite du résultat du référendum du 20 mai 1980, a marqué l’imaginaire collectif. Malgré le résultat défavorable, l’humilité de l’ancien premier ministre a touché les gens et contribué à rendre mémorable les photos prises lors de cette soirée historique, souvent accompagnées de son désormais célèbre

« Si je vous ai bien compris, vous êtes en train de dire, à la prochaine fois ».

5- La jeune fille afghane 


Photo: La jeune fille afghane (Sharbat Gula), par Steve McCurry, décembre 1984

Prise en décembre 1984 dans un camp de réfugiés au Pakistan par le photojournaliste Steve McCurry et publiée dans le National Geographic en 1985, ce portrait saisissant d’une jeune fille afghane a émerveillé le monde entier par la beauté, mais aussi la férocité et la douleur dans son regard. Un portrait différent des autres photos de camps de réfugiés. Le photojournaliste a finalement pu la retracer 17 ans plus tard, permettant ainsi de révéler son nom, Sharbat Gula.


Photo: Sharbat Gula, 17 ans plus tard, par Steve McCurry

Evelyne Ferron  Spécialisée en histoire ancienne

http://www.historiatv

Les plus vieux «bongs» du monde découverts en Russie


Un bong, qu’on peut dire aussi bang est simplement une pipe à eau. L’utilisation de la drogue ne date pas d’hier et le National Geographic a trouvé un site ayant beaucoup d’or, en bijoux et vaisselles et l’utilisation de bong
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Les plus vieux «bongs» du monde découverts en Russie

 

Repéré par Jean-Marie Pottier

Des objets précieux vieux de 2.400 ans et pouvant donner lieu à une utilisation proche de celle des bongs ont été découverts à l’été 2013 dans les montagnes du Caucase, au sud de la Russie. Cette découverte, gardée secrète jusqu’à présent pour protéger le site des pillards, se compose, selon le National Geographic, de plus de trois kilos d’or, à raison de deux récipients, trois coupes et des bijoux.

«C’est le genre de découverte qu’on fait une fois par siècle», a expliqué au National Geographic Anton Gass, de la Prussian Cultural Heritage Foundation à Berlin.

Une analyse de résidus noirs laissés dans les récipients a permis de prouver la présence de traces d’opium et de cannabis, montrant que les récipients étaient a priori utilisés pour boire une concoction d’opium pendant que du cannabis brûlait à proximité.

«Le fait que les deux drogues aient été utilisées simultanément ne fait aucun doute», explique Anton Gass.

Le site Ancient Origins, dans une histoire du cannabis, soulignait récemment son usage par les Scythes, un peuple nomade présent dans la région:

«La marijuana a été introduite au Moyen-Orient entre 2.000 avant J.C. et 1.400 avant J.C., où elle était probablement utilisée par les Scythes, un groupe nomade indo-européen. […] Les Scythes ont introduit le cannabis en Europe par les monts de l’Altaï jusqu’en Allemagne il y a environ 2.800 ans.»

On trouve des traces de leurs rites chez Hérodote :

«Les Scythes plaçaient alors les graines sur des pierres rougeoyantes; cela produisait une fumée telle qu’aucun bain grec ne pouvait la surpasser. Les Scythes, transportés par cette vapeur, criaient.»

Il y a déjà vingt ans, le site Cannabis Culture consacrait un long article à l’usage du cannabis chez les Scythes, qui soulignait notamment que l’épisode rapporté chez Hérodote avait été prouvé par la découverte, en 1929, d’une tombe scythe à Pazyryk, dans les monts de l’Altaï, par l’archéologue S. I. Rudenko. Cette découverte avait été suivie de l’excavation d’autres tombes en 1949, donnant lieu notamment à la popularisation du terme kurgan pour désigner ces sépultures.

http://www.slate.fr/

En cherchant la «Cité blanche», des archéologues ont peut-être trouvé une civilisation entière


Une cité qui paraissait légendaire, semble avoir été trouver par le National Geographic, c’est pourtant une civilisation précolombienne qui n’a pas de nom du moins à la connaissance des scientifiques.
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En cherchant la «Cité blanche», des archéologues ont peut-être trouvé une civilisation entière

 

lost city

En cherchant la légendaire « Cité blanche », aussi appelée « Cité du Dieu-singe », des archéologues ont fait une découverte aussi inattendue que grandiose. En effet, en pleine jungle du Honduras, ils sont tombés sur bien plus qu’une ville longtemps disparue : ils ont trouvé une civilisation entière et non identifiée.

Cette histoire débute en 2012. Des images aériennes d’une vallée reculée de la région de La Mosquitia ont révélé la présence de ruines précolombiennes. Des experts ont spéculé que ces ruines pourraient faire partie de la légendaire Cité blanche.

Comme le rapporte le National Geographic :

Pendant des siècles, des explorateurs ont raconté l’histoire des remparts blancs d’une ville perdue aperçus par dessus le feuillage de la jungle. Les histoires d’indigènes parlent d’une « maison blanche » ou d’une « place à cacao » où les ils ont trouvé refuge face aux conquistadors espagnols. En fait, ce serait un paradis duquel personne ne revenait.

Avec l’aide du gouvernement du Honduras, une équipe est récemment partie en expédition vers l’endroit en question pour voir si, réellement, la Cité blanche avait été retrouvée. Ce qu’ils ont constaté les a épatés.

National Geographic, qui avait envoyé un reporter et un photographe pour le voyage, rapporte que l’équipe a en effet trouvé les ruines intactes d’une ville — et plus encore. Christopher Fisher, un des archéologues, a dit au magazine que l’état du site « incroyablement rare ».

Le site découvert daterait de 1 000 à 1 400 avant Jésus-Christ.

lost city

La civilisation aurait fondé plusieurs villes dans les environs. Elle aurait existé jusqu’à il y a un millénaire avant de disparaitre. Elle est presque inconnue et n’a même pas encore de nom.

Selon Fisher, cette découverte pourrait avoir une forte incidence sur la version acceptée de l’histoire de cette région.

« La documentation offerte par le site est importante pour notre compréhension du Honduras et des sociétés précolombiennes en Amérique latine. »

Fisher a aussi offert une cause possible de la disparition de cette communauté : l’arrivée des Européens et de maladies qu’ils emmenaient du Vieux continent. Ce n’est toutefois qu’une des hypothèses crédibles.

Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis est une traduction de l’anglais.

http://quebec.huffingtonpost.ca/