L:e Saviez-Vous ► Homme vs animal : qui est le plus fort ?


L’être humain aurait parfois besoin d’une leçon d’humilité face aux autres espèces qui font partie de ce monde. Sommes-nous aussi performants en tout, que ce soit la vitesse, notre ADN, notre force etc. ?
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Homme vs animal : qui est le plus fort ?

 

 

L’Homme, cet étrange animal, existe depuis 2,5 millions d’années, depuis les premières tailles de pierre d’Homo habilis. L’humanité a connu depuis des phases très difficiles et, parmi la douzaine d’espèces du genre Homo, une seule subsiste encore aujourd’hui : la nôtre.

Pourtant, les scientifiques estiment qu’elle a frôlé l’extinction il y a plusieurs dizaines de milliers d’années, quand la population se résumait à quelques milliers d’âmes, réparties sur le territoire africain. Homo sapiens a résisté… et même mieux que cela, puisqu’il a depuis colonisé tous les continents, tous les milieux, et s’est adapté à tous les climats. L’humanité compte aujourd’hui plus de 7 milliards de membres et gouverne le monde.

Une domination sans partage due à des capacités supérieures à tous les niveaux ? Même pas, comme le révèle ce diaporama. L’Homme n’est pas le plus grand, ni le plus fort. Il n’a pas le plus gros cerveau. Il n’est pas celui qui vit le plus longtemps. On peut toujours lui opposer un animal qui fait mieux. L’occasion pour nous de faire preuve d’un peu d’humilité…

On vous dit souvent que vous avez une cervelle de moineau ? C’est un très beau compliment ! Pendant longtemps, pour se rassurer, l’espèce humaine a considéré que l’intelligence était fonction du rapport entre la taille du cerveau et la taille du corps… et elle croyait être la championne, selon ce critère.

C’est faux ! Le cerveau humain, représenté ici par Albert Einstein, ne compte que pour 2 à 2,5 % du poids du corps alors que chez le moineau, la proportion s’élève à 7 % !

© Skeeze, Wikipédia, DP et InformiguelCarreño, CC by-sa 4.0

Le guépard peut se moquer en regardant courir Usain Bolt, recordman du monde du 100 m (9 secondes 58 centièmes) et du 200 m (19 secondes 19 centièmes). Certes, le Jamaïcain reste l’Homme le plus rapide de l’histoire. Lorsqu’il a réalisé ces exploits, il a parcouru la ligne droite à la vitesse moyenne de 37,58 km/h départ arrêté, avoisinant les 45 km/h après environ 80 m de course.

Un résultat pourtant bien lent pour un guépard (Acinonyx jubatus) qui franchirait la ligne du 100 mètres en un peu plus de 3 secondes lancé à sa vitesse maximale : 110 km/h. Il mettrait juste un peu plus de temps départ arrêté.

© Aktiv I Oslo.no, CC by-nc 2.0, JonathanC Photography, Shutterstock et Aki Sasaki, CC by-nc 2.0

Se rêvant appartenir à l’espèce la plus complexe, l’Homme a un temps estimé que son génome devait être composé de 100.000 gènes, travaillant de concert pour aboutir à une telle perfection. Quelle désillusion quand la carte du génome humain révéla qu’on ne disposait que de 23.000 gènes environ !

Surtout, quelle surprise lorsque l’on découvrit que la daphnie rouge (Daphnia pulex), une puce d’eau transparente de quelques millimètres, en possédait 31.000, soit 8.000 de plus…

Alors, le plus haut degré de complexité dépend-il vraiment du nombre de gènes ?

© Carl Sagan, DP et Paul Hebert, CC by 2.5

Robert Wadlow est reconnu comme étant l’Homme le plus grand du monde avec une taille de 2,72 mètres. Il souffrait d’une hypertrophie de l’hypophyse, ce qui se traduisait par une production excessive d’hormones de croissance, le transformant en géant. Il grandissait encore à 22 ans, lorsqu’il mourut.

Mais ce n’est rien comparé à ce que lui oppose le monde animal ! Si tout le monde pense à la girafe (plus grand animal terrestre qui dépasse allègrement les 5 m) ou à la baleine bleue (jusqu’à 30 m de long), on oublie souvent le ver lacet (Lineus longissimus) qui, malgré son petit centimètre de diamètre, détient le titre d’animal le plus long du monde. Certains spécimens dépassent les 55 m !

© Ollyy, Shutterstock et Helena Samuelsson, CC by 3.0

Dans chaque cellule humaine (à quelques exceptions près), on trouve un noyau d’ADN long de 3,2 milliards de paires de base. Si on le déplie, on obtient un filament d’environ un mètre, preuve qu’il est extrêmement compacté pour tenir dans une sphère de quelques micromètres.

Dans le règne animal, le plus fort de tous est un poisson étrange appelé protoptère éthiopien (Protopterus aethiopicus). Son génome se compose de 132,8 milliards de paires de base. Déplié, le filament d’ADN est long de 45 mètres !

© Luc Viatour et Daderot, DP

La vue est un sens particulièrement important pour l’espèce humaine. Nos ancêtres sautant de branches en branches, nous avons hérité de leur capacité à apprécier les distances et de leur sens du détail. Pourtant, les rapaces nous surpassent largement quand il est question de vision !

Doté de la meilleure vue du règne animal, un aigle peut distinguer un objet de 10 cm depuis 1 km de hauteur. À pareille distance, les yeux humains ne perçoivent que des objets de 26 cm. Cet oiseau voit donc 2,5 fois mieux que nous !

© ChristianGeorg, DP et Macro eye, Shutterstock

L’Homme est recouvert de poils mais, sur la majorité de son corps, ceux-ci sont très courts, ce qui donne l’illusion d’un singe nu, à l’exception de quelques régions, comme le pubis, les aisselles… et le sommet du crâne ! Là-haut, les cheveux se comptent en moyenne au nombre de 150.000, soit une densité de 500 par cm².

Une moyenne ridiculement faible à côté de la loutre de mer (Enhydra lutris) qui, elle, comprend aussi 150.000 poils… mais pour chaque cm² !

© Andrew Reding, CC by-nc 2.0 et Celso Pizzolato, Shutterstock

Chez la femme, la grossesse c’est 9 mois de bons et de moins bons moments : la douleur au moment de l’accouchement est forte et même à la limite de l’intolérable chez certaines. Pourtant, à la naissance, le bébé humain est presque un prématuré tant il n’est pas dégourdi. Une gestation plus longue se traduirait cependant par l’impossibilité physique de laisser passer un être aussi gros par les voies naturelles.

L’éléphante, en revanche, doit donner naissance à un éléphanteau de plus de 100 kg, qui, très vite, apprend à marcher. Il faut donc le laisser plus longtemps dans l’utérus : jusqu’à 22 mois !

© Vasilyev Alexander et Andrzej Kubik, Shutterstock

Les centenaires sont de plus en plus nombreux. Les progrès de la médecine repoussent chaque année de 3 mois notre espérance de vie. L’aînée de l’humanité, Jeanne Calment, est morte à l’âge de 122 ans. Elle est née en 1875, avant même que Graham Bell n’invente le téléphone, et elle a fini par décéder en 1997, alors que les portables commençaient à coloniser le marché.

Si son existence a pu lui paraître longue, qu’en est-il des tortues géantes des Galápagos, qui atteignent assez régulièrement les 150 ans ? Et sans aucun médicament ! Décidément, Jean de la Fontaine avait raison, c’est toujours la tortue qui gagne à la fin…

© Bernard Gagnon, GFDL et Lena1, DP

L’espèce humaine peut se vanter d’avoir franchi les 2 m 45 par l’intermédiaire d’un homme : Javier Sotomayor. C’est déjà énorme, mais bien peu comparé à certains félins comme le puma ou le tigre, qui atteignent au moins 4 m.

Cela en devient ridicule en comparaison de la puce, si l’on ramène la performance à la taille de l’animal. L’insecte, qui mesure quelques millimètres, peut en effet sauter 300 fois sa taille. À l’échelle d’un homme d’1 m 80, cela équivaut à un saut de… 540 m. Le plus dur sera la chute !

© Marie-Lan Nguyen et Katja ZSM, CC by 3.0

L’Iranien Hossein Reza Zadeh a fait très fort à l’épaulé jeté en 2004, aux Jeux olympiques d’Athènes. La performance est immense : 263 kg portés à bout de bras.  Selon la Fédération internationale d’haltérophilie, aucun autre être humain n’a fait mieux. Mais ce gaillard de 190 kg n’a porté finalement que 1,4 fois son propre poids…

C’est déjà pas mal, mais cela amuserait le bousier s’il savait qu’on acclame ce genre de champions. Du haut de ses quelques grammes, l’insecte peut soulever des charges de l’ordre du kilogramme !

Le Britannique Robert Knell s’est livré à une expérience assez inédite pour regarder quelle charge relative le bousier pouvait supporter. Le scarabée portait sur son dos un récipient qui se remplissait d’eau au fur et à mesure. L’animal a finalement arrêté de marcher lorsqu’il portait sur ses épaules l’équivalent de 1.141 fois son propre poids… Il faudra encore beaucoup d’entraînement à Hossein Reza Zadeh avant de soulever 217 tonnes !

© Peter van der Sluijs, GFDL et Pixabay CCO

Le Brésilien César Cielo est le nageur le plus rapide de l’histoire, détenteur des records du monde du 50 m (20 secondes 91 centièmes) et du 100 m nage libre (46 secondes 91 centièmes). Sur cette seconde distance, il a nagé à 7,7 km/h : il est donc allé plus vite qu’un humain marchant.

Bel exploit, sachant malgré tout qu’il a bénéficié d’un plongeon et d’une coulée lui permettant d’améliorer un peu sa moyenne. À titre de comparaison, certains marlins, comme le voilier de l’Indo-Pacifique (Istiophorus platypterus) ici en photo, peuvent atteindre les… 110 km/h !

© Stockphoto mania, Refat, Shutterstock

Dans l’eau, soit on descend en profondeur, soit on tient longtemps, mais il est difficile pour l’Homme de faire les deux ! Ainsi, l’Autrichien Herbert Nitsch est descendu en apnée « no limit » jusqu’à 214 m de profondeur, record du monde homologué, au terme d’une plongée de 4 min 24. De son côté, le Français Stéphane Mifsud tient 11 mn 35 s la tête sous l’eau au niveau de la surface, sans bouger. Des performances surnaturelles !

Pourtant, il y a beaucoup mieux parmi les mammifères. Le cachalot va ainsi se nourrir jusqu’à 2.000 m de profondeur, après plus d’une heure sans être remonté respirer !

© Gabriel Barathieu, CC by-sa 2.0 et Dudarev Mikhailn, Shutterstock

Le 29 mai 1953, l’alpiniste néo-zélandais Edmund Hillary et le Sherpa Tensing Norgay devinrent les premiers êtres humains à atteindre le toit du monde, le mont Everest, qui culmine à 8.848 m. Des températures glaciales, des niveaux d’oxygène très bas… si haut, le terrain est très hostile.

Cela n’empêche pourtant pas les oies à tête barrée (Anser indicus) de voler en formation à des altitudes de 9.000 m !

© Travel Stock, Raju Soni, Shutterstock

L’Homme a toujours rêvé de prendre de la hauteur et s’amuse à grimper sur ce qu’il trouve en milieu naturel (falaises, roches, etc.). Certains s’attaquent même aux constructions humaines. C’est le cas par exemple d’Alain Robert, surnommé le Spiderman français, du fait des nombreux gratte-ciel qu’il a escaladés à mains nues et sans être assuré.

Pour le gecko, cette performance qui nous paraît inouïe relève de la normalité. Il possède des pattes extrêmement adhésives, montées de fines lamelles qui profitent des anfractuosités les plus fines du décor. Les chercheurs veulent s’en inspirer pour développer des robots tout-terrain.

© Photobac et Kittipong053, Shutterstock

Il est des animaux assez extraordinaires. Le genre Gerris regroupe différentes espèces d’insectes dotées d’une capacité spéciale : ils peuvent marcher sur l’eau. Ils profitent de leur légèreté et de terminaisons hydrophobes au bout de leurs pattes pour flotter, un peu comme s’il y avait de l’huile sur de l’eau.

Naturellement, il est impossible pour l’Homme de réaliser une telle performance. Alors, pour se donner l’illusion de dompter la nature, il s’est créé une planche de surf et la laisse courir devant les vagues.

© MarkMirror et Trubavin, Shutterstock

https://www.futura-sciences.com/

À seulement un an, ce bébé est déjà très à l’aise dans la piscine


La petite Kassia est déjà capable de nager seule et elle n’a qu’un an. Sa mère voulait prévenir la noyade en montrant à ses enfants à nager le plus tôt possible, soit à environ 6 mois. Kassia et sa grande soeur de 3 ans ont commencé à 9 mois
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À seulement un an, ce bébé est déjà très à l’aise dans la piscine

 

Pourquoi les parents d’enfants autistes doivent le plus tôt possible leur apprendre à nager


Pour diminuer les risques de morts accidentels de toutes sortes, parmi ces risques, il est suggéré que les enfants autismes puissent suivre des cours de natation.
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Pourquoi les parents d’enfants autistes doivent le plus tôt possible leur apprendre à nager

 

La mortalité parmi les personnes autistes a augmenté de 700% aux États-Unis au cours des seize dernières années, selon une étude de la faculté de santé publique de l’Université Columbia publiée mardi dans l’American Journal of Public Health.

Les autistes meurent trois fois plus de blessures accidentelles ou volontaires que le reste de la population, selon cette étude basée sur une analyse des certificats de décès de 32 millions de personnes dans le registre national entre 1999 et 2014.

Les chercheurs ont identifié 1367 personnes (1043 hommes et 324 femmes) qui avaient été diagnostiquées du trouble du spectre autistique.

L’âge moyen au moment du décès était de 36 ans, soit bien plus jeune que le reste de la population générale, précisent les auteurs.

Parmi les personnes souffrant d’autisme, 28% sont décédées de blessure, le plus souvent par suffocation ou noyade.

« Alors que des études précédentes montraient déjà un taux de mortalité nettement plus élevé parmi l’ensemble des personnes autistes, cette étude met en évidence le taux élevé des morts accidentelles qui avaient été sous-estimées dans ce groupe de la population », relève le Dr Guohua Li, professeur d’épidémiologie à l’Université Columbia, principal auteur de ces travaux.

« Malgré cette nette augmentation du nombre annuel de décès parmi les autistes mise en évidence dans ce dernier rapport, la mortalité chez ces personnes pourrait encore être très fortement ignorée dans les statistiques, surtout quand elle résulte d’homicide, de suicide ou d’agression », estime-t-il.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Natation: encore des records en vue pour une Japonaise de 101 ans


Vieillir n’est pas une raison pour rester sédentaire, cette dame l’a très bien compris. Elle centenaire et participe encore à des compétitions de natation
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Natation: encore des records en vue pour une Japonaise de 101 ans

 

 

Tandis que les grands de la natation se préparent aux jeux Olympiques de Rio, une pétillante centenaire japonaise affirme qu’elle continuera encore à battre des records d’ici ceux de Tokyo en 2020.

Mieko Nagaoka va vers ses 102 ans et a déjà conquis dans l’eau une série de premières places mondiales pour sa classe d’âge. Mais elle n’a pas l’intention de s’arrêter là.

« Je suis en pleine forme », a-t-elle dit au cours d’un entretien accordé à l’AFP après avoir réalisé un 400 mètres nage libre en 26 minutes et 16 secondes 81 pour une compétition de l’Association japonaise de natation à Chiba, en banlieue de Tokyo.

« Le secret c’est de bien manger et d’être actif. Ce n’est pas bon de rester assis à mon âge. Je veux continuer à nager jusqu’à 105 ans, et au-delà », a ajouté cette native de Yamaguchi, dans le sud-ouest de l’archipel, qui a vécu 22 jeux Olympiques d’été jusqu’à présent.

Mme Nagaoka a nagé ce jour-là un dos crawlé en bonnet blanc et fringant maillot de bain noir et orange. Elle a terminé 17 bonnes minutes derrière le gagnant, le « jeune » Etsuko Azumi, 80 ans.

Dure d’oreille, elle n’a pas entendu les cris de la foule en terminant la huitième et dernière longueur de la course et repartait gaillardement pour une neuvième lorsque les juges l’ont sortie de l’eau sous l’oeil inquiet du personnel médical.

– ‘Juste une compétition de plus’ –

La Japonaise Mieko Nagaoka lors d'une compétition, le 14 juin 2016 à Tokyo © TORU YAMANAKA AFP

La Japonaise Mieko Nagaoka lors d’une compétition, le 14 juin 2016 à Tokyo © TORU YAMANAKA AFP

« C’est juste une compétition de plus », a souri Mme Nagaoka, après s’être coquettement habillée d’une veste rose clair et coiffée d’un chapeau assorti, qui lui illuminait le teint.

« Nager me rend heureuse, c’est pour cela que ça me plaît. Quand je nage, je suis dans mon petit monde à moi ».

Avec le sprinter de 105 ans Hidekichi Miyazaki, entré dans le livre Guinness des records, Mme Nagaoka montre l’exemple aux retraités pleins d’entrain du Japon, où l’espérance de vie est une des plus élevées au monde.

Mais son temps chronométré était ce jour-là bien loin de son record du monde de 16 minutes, 36 secondes et 80 centièmes accompli il y a deux ans.

Ses concurrents, secs depuis longtemps, bavardaient au bord de la piscine lorsqu’elle a finalement atteint le but sous un tonnerre d’applaudissements. Toujours battante, elle s’est tournée vers l’avenir.

– Neuf records du monde –

« Je veux continuer à nager aussi vite que je peux », a dit cette détentrice du record mondial des femmes de 100 à 104 ans dans neuf courses, dont le 1.500 m nage libre, une distance que la plupart des gens de son âge auraient du mal à parcourir à pied.

« Tant que je serai en vie, je continuerai », dit-elle.

Elle est née en 1914, quelques jours après le début de la première guerre mondiale, et continue d’étonner ses entraîneurs et sa famille.

La Japonaise Mieko Nagaoka avec son entraîneur  lors d'une compétition, le 14 juin 2016 à Tokyo © TORU YAMANAKA AFP

La Japonaise Mieko Nagaoka avec son entraîneur lors d’une compétition, le 14 juin 2016 à Tokyo © TORU YAMANAKA AFP

« Son attitude envers la vie est simplement scandaleuse », plaisante son fils Hiroyuki, âgé de 76 ans. « Elle refuse de respecter les règles. Elle n’accepte que les aliments les plus raffinés et boude tout ce qui ne lui plaît pas. On est censé lever le pied avec l’âge mais elle, elle a accéléré à partir de 90 ans et battu record après record. Cette joie de vivre et le sens qu’elle donne à la vie sont le secret de sa longévité ».

Mme Nagaoka continue de s’entraîner trois fois par semaine à Yamaguchi, sous la direction de son coach de longue date, Shintaro Sawada.

« Au début, je pensais qu’elle plaisantait quand elle disait vouloir nager après 100 ans, mais elle y croyait dur comme fer », dit cet homme de 41 ans. « Je n’ai jamais rien vu de tel. Elle mange quand elle veut, elle dort quand elle veut. Elle est têtue comme une mule et d’une détermination redoutable ».

A ses côtés son fils rayonne alors de fierté.

« Elle est incroyable. Mentalement elle est encore très alerte. C’est la maman la plus formidable du monde ! ».

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Une centenaire japonaise boucle un 1500 m nage libre


Une centenaire qui est un exemple qu’on peut tout réussir même si l’âge avance. Elle a commencé à nager a 80 ans .. De quoi à nous donner une bonne leçon à notre paresse
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Une centenaire japonaise boucle un 1500 m nage libre

 

Mieko Nagaoka, une Japonaise de tout juste 100 ans, a réussi à boucler une course de 1.500 m lors d’une compétition de nage libre en petit bassin, un exploit qu’aucun autre centenaire dans le monde n’avait réussi avant elle.

Seule à concourir dans la catégorie 100 à 104 ans, elle a accompli ce défi en 1 heure 15 min 54 sec samedi dans la préfecture de Ehime (ouest), en optant pour le dos crawlé, sous les applaudissements d’un public enthousiaste.

Certes, Mme Nagaoka est loin de la performance réalisée par l’Américaine Katie Ledecky, de 82 ans sa cadette, qui détient le record de la discipline sur cette distance avec un chrono de 15 min 28 sec 36/100.

Mais la vieille dame n’en a cure. Elle espère désormais voir sa course homologuée par le Guinness World Records, et ne compte pas s’arrêter là:

« Je veux nager jusqu’à l’âge de 105 ans si je parviens à vivre aussi longtemps », a-t-elle dit à l’agence de presse Kyodo.

Mme Nagaoka n’a commencé à nager qu’à l’âge de 80 ans dans le cadre d’un programme de rééducation d’un genou malade, selon la même source.

Débutante à l’époque, elle s’est prise au jeu et enchaîne depuis les records. Elle avait déjà parcouru 1.500 mètres dans un bassin olympique à l’âge de 99 ans et a publié l’an passé un livre relatant ses prouesses sportives.

Il y avait près de 59.000 centenaires répertoriés au Japon en septembre dernier, dont 87% de femmes, selon les statistiques officielles du ministère de la Santé.

Parmi eux, plusieurs demeurent très alertes et n’ont rien à envier aux jeunots. Ainsi, Hidekichi Miyazaki, vieillard de 104 ans, peut se prévaloir du record du monde du 100 mètres des 100 ans et plus avec 29,83 secondes, ce qui lui a valu le surnom de « Golden Bolt » – en référence à la star de l’athlétisme Usain Bolt.

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Des grands singes nageant décrits pour la première fois


Les singes savent-ils nager instinctivement ? Ou bien comme l’être humain, ils doivent apprivoiser l’eau ? C’est une question qui n’avait semble-t-il pas vraiment étudier et aujourd’hui, on s’y intéresse
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Des grands singes nageant décrits pour la première fois

 

Deux chercheurs ont réalisé des films d'un chimpanzé et d'un orang-outan en... (Photo Renato Bender, Nicole Bender, American Journal of Physical Anthropology)

PHOTO RENATO BENDER, NICOLE BENDER, AMERICAN JOURNAL OF PHYSICAL ANTHROPOLOGY

Agence France-Presse

Deux chercheurs ont réalisé des films d’un chimpanzé et d’un orang-outan en train de nager, offrant la première description scientifique de ce comportement chez les grands singes, supposés avoir peur de l’eau, rapporte mercredi l’université Wits de Johannesburg.

Renato et Nicole Bender ont filmé aux États-Unis des singes élevés par l’homme:

«Nous avons été extrêmement surpris lorsque le chimpanzé Cooper a plongé à plusieurs reprises dans une piscine, où il avait l’air très à l’aise», affirme Renato Bender, dans un communiqué diffusé mercredi par Wits.

«Le comportement des grands singes dans l’eau a été largement négligé en anthropologie», ajoute sa compagne Nicole Bender, coauteure de l’étude et spécialiste de l’évolution à l’université de Berne (Suisse).

«C’est l’une des raisons pour lesquelles la nage chez les grands singes n’a jamais été décrite scientifiquement auparavant, bien que ces animaux aient fait l’objet d’études très approfondies», assure Mme Bender dans le communiqué.

Les grands singes, gorilles, chimpanzés, bonobos et orang-outan, sont tout comme l’homme incapables de nager instinctivement, contrairement à la plupart des autres mammifères.

Une vidéo montre le chimpanzé plongeant volontairement dans la piscine, s’accrochant à une corde tout en battant des jambes.

Suryia, une guenon orang-outan également étudiée par les chercheurs, est capable de nager sur une longueur de 12 mètres. Comme le chimpanzé, «elle utilise un mouvement de jambes similaire au mouvement de la brasse chez les humains», selon Wits.

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Nager en armure de samouraï: entre tradition et souffrance


Une tradition qui doit demander énormément d’effort physique … et pourquoi pas si tout est fait sécuritaire ment .. mais ce qui me turlupine c’est qu’en cas d’échec .. comment ils réagissent
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Nager en armure de samouraï: entre tradition et souffrance

 

 

« C’est une façon amusante de se maintenir en forme et en plus de se plonger dans la culture et l’histoire du Japon. Dommage que ça n’attire pas plus d’étrangers », jubile Antony Cundy, un cadre britannique d’une boîte de publicité de Tokyo.

Marcher ou courir en grande tenue de samouraï, casque et bottes en prime, n’est pas la chose la plus facile au monde. Alors nager… Et pourtant des Japonais le font, rien que pour s’amuser.

« C’est lourd, ça tient chaud, c’est trop dur ».

Au bord d’une piscine de Yokohama, Mutsuo Koga, un médecin de 27 ans, en sueur sous un casque de métal, se prépare à cette éprouvante nage traditionnelle, sanglé dans une armure noire en aluminium par-dessus ses vêtements.

« Ce qui m’inquiète, c’est de savoir si j’arriverai à sortir de l’eau. Ca fait trois ans que je ne l’ai plus fait », dit-il juste avant de plonger.

Cette nage pour le moins curieuse remonte aux 15ème et 16ème siècles. C’était le temps du Japon féodal, le temps où les samouraïs écumaient le pays pour faire respecter la volonté de leurs maîtres.

Cinq cents ans plus tard, quelques originaux la pratiquent encore, en partie pour perpétuer cette technique fort utile à l’époque, et aussi comme une performance esthétique. On ne pousse toutefois pas la reconstitution jusqu’à les encombrer d’une arme.

Comme tous les arts martiaux, puisque c’est aujourd’hui considéré comme tel, ceux qui pratiquent cette nage affirment que cela leur sert dans la vie de tous les jours.

« Le but premier de cette discipline est d’acquérir des compétences pour nager dans un environnement naturel », explique Tadao Koga, le père de Mutsuo et « grand maître » de l’école Kobori, l’une des douze reconnue par la Fédération de natation japonaise (JSF).

« Bien sûr, vous nagez plus vite à l’occidentale, mais ce n’est pas pour autant que vous pourrez survivre dans un environnement naturel », explique Koga, un alerte presque septuagénaire.

Ainsi les nageurs en armures doivent-ils maîtriser parfaitement leur attitude dans l’eau pour pouvoir par exemple résister à de puissantes vagues qui déferlent sur la côte.

« Se plonger dans l’histoire du Japon »

Ils doivent également apprendre le « hayanuki », une pratique indispensable pour remonter une rivière à contre-courant, et qui consiste à tenir le buste le plus haut possible hors de l’eau tout en écrasant régulièrement les bras à la surface.

Il arrive à ces nageurs de s’entraîner dans la nature, mais sans armure.

Mais même en bassin, avec un attirail de 10 kilos sur le dos, bien plus lourd une fois gorgé d’eau, il faut quoi qu’il arrive maintenir la tête bien hors de l’eau et garder ses esprits: l’obstacle en face de vous peut être un rocher à éviter… ou l’épée d’un ennemi, disent les puristes gardiens de la tradition.

« Les nageurs se mesurent surtout sur la beauté du mouvement et non sur la rapidité », dit Yoko Suzuki, la championne féminine de la discipline.

Mais la tradition se perd petit à petit. Selon Masahiko Yaginuma, le président de la section « nage traditionnelle » au sein de la JSF, on ne la pratique plus que dans quelques endroits du pays, alors qu’elle était encore largement enseignée au début du XXème siècle.

« De nos jours, dit-il, les femmes de 60 ans et plus forment le plus gros des élèves » car elles considèrent que cette nage fait partie des choses qu’une Japonaise cultivée doit apprendre, comme l’ikebana (art des compositions florales) ou la cérémonie du thé.

Il n’y a jamais eu de femmes samouraïs, mais certaines Japonaises ont trouvé ce biais pour renouer avec la tradition.

« C’est une façon amusante de se maintenir en forme et en plus de se plonger dans la culture et l’histoire du Japon. Dommage que ça n’attire pas plus d’étrangers », jubile Antony Cundy, un cadre britannique d’une boîte de publicité de Tokyo.

Une minute à peine après avoir lourdement splashé dans l’eau, éclaboussures garanties, Mutsuo Koga se hisse péniblement sur le bord du bassin, sous les applaudissements du public.

Il n’a parcouru que 20 mètres. Et visiblement, papa n’est pas satisfait.

« Ta poitrine! Ta poitrine doit toujours rester hors de l’eau », lance-t-il à son fils complètement essoufflé, dégoulinant dans son armure.

« J’ai pas été très bon, mon corps ne flottait pas du tout », murmure le fils ruisselant sous son casque.

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Une adolescente traverse le lac Ontario à la nage


On voit de temps autres des gens accomplir des exploits en natation mais cette fois-ci c’est une jeune adolescente qui a réussit un défit de taille pour une bonne cause .. Elle a des qualités indéniable de persévérance pour son âge
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Une adolescente traverse le lac Ontario à la nage

 

Annaleise Carr a été couverte par ses parents... (Photo: PC)

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Annaleise Carr a été couverte par ses parents après sa nage.

PHOTO: PC

La Presse Canadienne
Toronto

Une adolescente ontarienne a réussi dimanche à traverser le lac Ontario à la nage.

Annaleise Carr a été accueillie par les cris de joie de sa famille et d’autres spectateurs à son arrivée à Toronto après la tombée de la nuit.

Elle a affirmé que, à 14 ans, elle était la plus jeune personne à avoir accompli cet exploit.

La jeune fille était partie de Niagara samedi soir et a dû affronter des vagues s’élevant jusqu’à 1,5 m de haut à certains moments.

Originaire de la petite ville de Walsh dans le sud de l’Ontario, Annaleise Carr a passé près de 27 heures dans l’eau.

L’adolescente a réalisé sa traversée en partie pour recueillir de l’argent pour le Camp Trillium, un centre d’entraide pour les enfants atteints du cancer.

Le lac Ontario reçoit les eaux du lac Érié par la rivière Niagara et les chutes du Niagara, et se jette dans le fleuve Saint-Laurent.

Il est situé à la frontière entre les États-Unis (État de New York) et le Canada (province de l’Ontario) dont la région dite du fer à cheval doré avec la métropole de Toronto à laquelle il sert de pompe à chaleur notamment l’été pour assurer la climatisation de ses immeubles de bureau et celle des habitants.

Lac Ontario
Superficie 18 760 (km²)
Profondeur maximal 244 m
Prondeur moyenne 86 m

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Bébé nage tout seul → La survie dans l’eau devrait être enseignée bien avant huit ans, croit un professeur de natation


A chaque saison estivale il y a des enfants qui meurent noyé mais cette été, il y a plus de 40 noyades au Québec et la plupart sont des enfants mort dans des piscines .. Les cours de natations pris très jeunes seraient je pense un des meilleurs moyens de préventions .. mais aussi on devrait obliger toutes personnes qui ont des piscines, peut importe s’ils ont des enfants ou non,  de mettre une haute clôture qu’un enfant seraient incapable d’ouvrir
Nuage

 

Bébé nage tout seul → La survie dans l’eau devrait être enseignée bien avant huit ans, croit un professeur de natation

 

Marc-Antoine, un an, apprend à sortir de la piscine lors d’un cours donné par Régent LaCoursière. D’ici quelques mois, il sera à même de survivre seul s’il tombe à l’eau accidentellement.

SARAH BÉLISLE

JOURNAL DE MONTRÉAL

Les LaCoursières enseignent la survie dans l’eau aux bébés depuis 55 ans. Initier les enfants à l’âge de huit ans comme le veut Québec, c’est trop peu trop tard selon eux.

Les noyades, notamment celles de bambins, se multiplient au Québec cet été.

Afin d’en réduire le nombre, le gouvernement rendra obligatoire le cours Nager pour survivre en troisième année du primaire.

Un effort louable qu’applaudissent Régent et Mary LaCoursière de l’École de natation Régent LaCoursière. Chez eux, les bébés s’y initient toutefois dès les premiers mois de leur vie.

« C’est une bonne chose de rendre les cours obligatoires, mais on pourrait commencer en pré-maternelle », propose l’ancien champion de natation.

« C’est mieux que rien, mais même à cinq ans, c’est déjà trop tard », ajoute son épouse et associée.

Elle souligne du même souffle que les morts des dernières semaines sont non seulement « horribles », mais aussi évitables.

Il nage à deux ans

C’est évidemment prenant pour les parents.

« On dit qu’on n’a pas le temps. Mais il faut le trouver, il faut le prendre. C’est tellement important, » lance M. LaCoursière.

La méthode fait ses preuves à l’école de natation LaCoursière, assure fièrement son propriétaire.

Les bébés peuvent participer aux cours dès six semaines d’âge. À l’aide de différents outils de flottaison, M. LaCoursière les initie à la piscine de façon progressive.

Après quelques mois, les enfants peuvent littéralement être lancés dans l’eau par le moniteur.

Ils ont alors appris à ne pas paniquer. Ils remontent à la surface. Ils se placent sur le dos. Puis, ils regagnent le bord du plan d’eau à la nage. Dès l’âge de deux ans, ils sont capables de faire une longueur de piscine ainsi.

« Primordial »

C’est le cas de Marc-Aurèle qui vient tout juste d’avoir trois ans. Pour son papa, Yves Sauriol, apprendre à se débrouiller ainsi, « c’est primordial ».

Le plus tôt est le mieux, croit-il.

Il ne s’agit pas que de surveiller les enfants quand ils sont dans l’eau, il faut aussi leur montrer à nager, plaide le père de famille.

À un an, le petit frère de Marc-Aurèle, Marc-Antoine, a besoin de flotteurs pour réussir l’exercice. Mais ses parents voient l’amélioration de semaine en semaine.

« On les a inscrits pour qu’ils puissent mieux profiter du plaisir de l’eau. C’est sûr que je ne veux pas qu’ils se noient », explique Ève, leur maman.

L’organisme SécuriJeunes Canada indique que les jeunes de moins de cinq ans sont tout spécialement à risque de se noyer.

Souvent incapables de nager, leurs poumons sont plus petits que ceux d’un adulte. Ils peuvent se noyer dans aussi peu d’eau que 2,5 centimètres d’eau.

Pas réaliste

« Si on était capable d’offrir le cours à partir de la prématernelle, ce serait effectivement une bonne chose », convient Raynald Hawkins, directeur général de la Société de sauvetage.

Mais attention, prévient-il. C’est impossible dans l’état actuel du système scolaire québécois.

Entre autres, le ratio accompagnateur – enfants devrait être beaucoup plus élevé, explique-t-il.

La meilleure des préventions reste de rendre les piscines inaccessibles sauf lorsqu’il y a une surveillance de tous les instants, conclut-il.

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