Une nouvelle espèce de mygale aux pattes bleutées découverte dans la forêt du Sri Lanka


Une nouvelle araignée découverte en 2015 est particulière. Sa couleur, un bleu brillant, qui fait de cette mygale unique. Les biologistes ne savent pas si elle est menacée, mais sachant que plusieurs espèces sont vendues a des collectionneurs ou même comme animal de compagnie, on peut craindre pour sa survie.
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Une nouvelle espèce de mygale aux pattes bleutées découverte dans la forêt du Sri Lanka


Une nouvelle espèce de mygale aux pattes bleutées découverte dans la forêt du Sri LankaLa nouvelle espèce de mygale, Chilobrachys jonitriantisvansicklei, identifiée au Sri Lanka.© Ranil Nanayakkara

Par Emeline Férard

Dans le sud-ouest du Sri Lanka, des chercheurs ont identifié une nouvelle espèce de mygale dont la femelle arbore des pattes d’un bleu brillant. C’est seulement la seconde mygale du genre Chilobrachys découverte dans un pays sud-asiatique.

Comme d’autres pays d’Asie, le Sri Lanka est réputé pour les nombreuses araignées qu’il abrite. Mais certaines continuent visiblement d’échapper à la science. Dans le district de Kalutara, au sud-ouest du pays, des chercheurs ont identifié une espèce de mygale restée jusqu’ici inconnue. Son nom : Chilobrachys jonitriantisvansicklei.

La mygale a été découverte en 2015 dans une parcelle de forêt étendue sur 347 hectares et entourée par des plantations alors que les scientifiques menaient une étude générale sur les araignées.

« Quand nous l’avons repérée, j’étais en admiration, j’en ai perdu mes mots », a confié au National Geographic, Ranil Nanayakkara, biologiste de l’Université de Kelaniya.

Et pour cause, avec ses quelque treize centimètres de long, le spécimen était loin d’être petit. Mais c’est surtout son aspect qui a étonné. Il arborait une couleur bleu-turquoise métallique au niveau de ses pattes ainsi qu’une teinte irisée au niveau de son dos et de son abdomen. Après avoir collecté plusieurs individus, les chercheurs ont mené une vaste étude pour en savoir plus sur l’arachnide.

Une couleur bleu unique

Publiés dans la revue British Tarantula Society Journal, leurs travaux suggèrent que l’espèce n’a encore jamais été décrite et appartient à un genre – Chilobrachys – dont on ne connaissait jusqu’ici qu’une seule espèce au Sri Lanka et en Asie du sud, C. nitelinus, identifiée il y a 126 ans. Les analyses menées indiquent également que la couleur bleu des araignées est relativement unique.

Parmi les 26 espèces de Chilobrachys répertoriées dans le reste de l’Asie, toutes affichent des teintes brunes, noires ou grises. Très loin des pattes vibrantes de C. jonitriantisvansicklei. Néanmoins, les observations ont permis de constater que seules les femelles de l’espèce arborent une telle caractéristique.

« Les mâles sont plus petits et d’une couleur brun mousseux », a confirmé Ranil Nanayakkara.

Un spécimen femelle de Chilobrachys jonitriantisvansicklei et ses pattes bleutées – Amila Prasanna Sumanapala

Des analyses génétiques doivent être menées pour confirmer avec certitude le statut nouveau de l’espèce et déterminer sa position sur l’arbre généalogique des araignées. Par ailleurs, on sait relativement peu de choses sur le mode de vie de cette mygale, simplement qu’elle vit dans des terriers tubulaires dont elle jaillit avec rapidité pour capturer les proies qui ont le malheur de passer à côté.

La conservation des araignées en question

On ignore si la population de C. jonitriantisvansicklei est rare ou même menacée. Toutefois, son aspect insolite pourrait représenter un danger pour sa survie, ont relevé les biologistes. Au Sri Lanka, très peu de recherches ont été menées sur les arachnides endémiques. Ceci a favorisé le trafic de faune sauvage et notamment la capture d’araignées destinées à servir d’animaux de compagnie.

Comme l’explique le site Mongabay, plusieurs espèces de mygales sri-lankaises sont aujourd’hui vendues à des collectionneurs à des prix compris entre 50 et 400 dollars (entre 45 et 360 euros). Une pratique connue des autorités et décrite comme un « problème persistant« . Le Sri Lanka dispose pourtant d’une législation suffisante pour y mettre fin mais la répression fait défaut pour décourager les trafiquants.

Avec la destruction de leur habitat, ce trafic constitue l’une des principales menaces qui pèsent sur les araignées sri-lankaises. Alors que se tient actuellement à Genève le sommet de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), cette découverte tombe ainsi à pic pour remettre la conservation des arachnides sur le devant de la scène.

« Les mygales comme l’espèce nouvellement identifiée ont besoin de davantage d’efforts de conservation », a jugé Amila Prasanna Sumanapala, chercheur à l’Université de Colombo et co-auteur de la récente étude.

 Sur les 593 espèces d’araignées décrites au Sri Lanka, 108 ont été découvertes au cours des deux dernières décennies.

https://www.geo.fr/

Le Saviez-Vous ► Araignées : 10 idées reçues à oublier absolument !


Les araignées génèrent chez plusieurs personnes, une peur, un dégoût, pourtant, la grande majorité ne sont pas dangereuses et sont très utiles. Cependant, il y a beaucoup d’idées préconçues envers ces bestioles. Ceux qui n’aiment vraiment pas les araignées, n’aimeront  pas du tout savoir à propos des araignées dans la maison.
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Araignées : 10 idées reçues à oublier absolument !

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

La peur des araignées est l’une des phobies les plus répandues chez les êtres humains. En effet, leur corps velu, leurs nombreux yeux, leurs huit pattes et leur façon si particulière de se déplacer en effraient, voire en dégoûtent plus d’un. Et pourtant, la plupart des araignées sont complètement inoffensives et cherchent par tous les moyens à fuir les humains. À croire qu’elles sont aussi rebutées par nous que nous le sommes par elles !

Afin de vous montrer que ces petites bêtes sont presque aussi mignonnes que nos chiens et nos chats et qu’il n’y a absolument pas lieu d’en avoir peur, voici 10 mythes sur les araignées que vous pouvez dès à présent oublier !

1. En hiver, les araignées se réfugient à l’intérieur

On pense souvent que, lorsque l’hiver arrive, les araignées s’empressent de venir se réfugier dans nos maisons pour échapper au froid. En effet, il n’est pas rare d’en voir plus souvent à l’intérieur en automne qu’en été.

Mais en réalité, la plupart des araignées que l’on rencontre dans nos foyers y vivent depuis toujours. Ces araignées pondent leurs œufs dans les meubles et vivent, de génération en génération, à l’intérieur. Elles se sont même adaptées au climat tempéré des maisons et au manque d’eau et de nourriture.

2. Les araignées sont agressives

Lorsque l’on se réveille et que l’on remarque un bouton sur notre corps alors que nous sommes en plein hiver et qu’il n’y a pas de moustiques dans la zone, on pense immédiatement à une piqûre d’araignée. Or, non seulement les araignées ne piquent pas, mais en plus elles sont de nature peureuse. Ainsi, elles ont plutôt tendance à fuir lorsqu’elles aperçoivent un humain ! De plus, elles ne se nourrissent pas de chair humaine.

Les seuls moments où une araignée peut vous mordre (encore faut-il qu’elle soit suffisamment grosse), c’est lorsqu’elle se sent menacée, lorsque vous vous asseyez dessus par inadvertance, par exemple.

3. Le venin des mygales est mortel

Les mygales sont victimes d’une réputation particulièrement négative. En effet, leur grande taille et leur corps velu ont de quoi effrayer. Mais, en réalité, malgré un venin puissant, leur morsure, qui s’avère tout de même douloureuse, n’est généralementpas dangereuse pour l’Homme.

De rares espèces de mygales peuvent causer des comas et une seule (Atrax robustus) peut provoquer la mort. Toutefois, il existe un anti venin.

4. Les araignées sont des insectes

Même si les araignées présentent quelques caractéristiques communes avec les insectes, elles ne peuvent pas être considérées comme telles ! En effet, les araignées sont des arachnides, tout comme les acariens et les tiques. Cela signifie qu’elles ont huit pattes, contrairement aux insectes qui en ont généralement six, et qu’elles n’ont pas d’antennes.

5. Les araignées sont mieux dehors

Pour les plus empathiques d’entre nous, lorsqu’il nous arrive de trouver une araignée à l’intérieur de la maison, notre premier réflexe n’est pas de l’écraser mais de la mettre dehors. En effet, on imagine qu’elle sera certainement plus heureuse à l’extérieur.

Et pourtant, comme on a pu le voir tout à l’heure, les araignées que l’on rencontre à l’intérieur des maisons y vivent bien souvent depuis toujours. Ainsi, les relâcher dans la nature revient à signer leur arrêt de mort. Et pour cause, elles ne sont pas habituées à la vie en plein air, aux températures changeantes et aux prédateurs !

araignée maison

Crédits : iStock

6. On avale 8 araignées par an en dormant

C’est totalement faux ! Comme nous l’avons vu, les araignées ont plutôt tendance à fuir les humains. Ainsi, si une araignée se retrouvait par hasard sur votre visage, il faudrait déjà que cela ne vous réveille pas, mais qu’en plus vous dormiez la bouche ouverte et que vous ne respiriez pas.

En effet, les araignées détestent la chaleur. Or, lorsque vous respirez, vous exhalez un souffle chaud. Et ne parlons pas des vibrations produites par vos ronflements qui auraient vite fait de faire détaler toute éventuelle araignée !

7. Les araignées sont partout

On dit souvent que les araignées sont tellement nombreuses qu’elles sont partout autour de nous, invisibles, et qu’elles observent le moindre de nos mouvements. De quoi rendre ces petites bêtes particulièrement angoissantes ! Mais en réalité, tout dépend de l’endroit où vous vous trouvez.

En effet, si vous décidez de pique-niquer dans un parc, il y a fort à parier que vous serez entouré d’araignées minuscules. En revanche, si vous vous trouvez sur un terrain de golf ou tout autre gazon hyper entretenu, il y a peu de chances d’en rencontrer. De même si vous êtes dans un avion ou au sommet d’un gratte-ciel. Enfin, sachez que l’hiver, la plupart des araignées restent bien au chaud dans leurs terriers.

8. Toutes les araignées tissent des toiles

Lorsque l’on pense aux araignées, on pense immédiatement à la toile si particulière qu’elles passent des jours à tisser. Cette toile en soie, qui est généralement plutôt collante, leur sert à capturer leurs proies et donc à se nourrir.

Cependant, toutes les araignées ne tissent pas des toiles. En effet, certaines s’enfoncent dans la terre pour se camoufler, d’autres se tiennent en embuscade et d’autres encore vont directement au contact.

9. Les araignées pondent sous la peau

On a tous entendu quelqu’un dire qu’il connaissait quelqu’un à qui c’était arrivé : voir sortir d’une partie de son corps des centaines de petites araignées. La raison ? Une araignée qui aurait pondu sous la peau…

En réalité, il est impossible que cela arrive pour la simple et bonne raison que les araignées ne disposent pas d’organe perforateur. Elles peuvent tout au plus vous mordre, et seulement si elles sont suffisamment grosses. En revanche, les acariens, qui peuvent être confondus avec les araignées, ont cette capacité… À bon entendeur !

10. Les araignées tissent des toiles en spirales

La première image qui nous vient à l’esprit lorsque l’on imagine une toile d’araignée, c’est sa forme circulaire constituée d’une série de spirales. Pourtant, les araignées sont capables de créer des toiles aux designs différents.

Par exemple, certaines araignées créent des toiles à entonnoir qui ne collent pas et dans lesquelles elles se cachent jusqu’à ce qu’une proie passe à proximité. Elles sortent alors de leur cachette pour attaquer.

Source

https://animalaxy.fr/

À 43 ans, l’araignée la plus vieille du monde nous a quittés


43 ans pour une mygale, étonnant qu’une araignée peut vivre si longtemps
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À 43 ans, l’araignée la plus vieille du monde nous a quittés

 

Crédits : Curtin University

par  Nicolas Prouillac

Elle s’appelait Numéro 16. Née en 1974 dans l’outback australien, en pleine guerre du Viêt Nam, cette vénérable  mygale brune (ou Gaius villosus) était à 43 ans le spécimen d’araignée le plus vieux jamais observé par les scientifiques.

Les chercheurs de l’université Curtin, à l’origine de sa découverte, ont annoncé sa mort le 27 avril sur le site de l’université.

« À notre connaissance, il s’agit de la plus vieille araignée jamais enregistrée, et sa vie significative nous a permis d’en apprendre davantage sur le comportement et les dynamiques de population des Gaius villosus [espèce endémique de l’Australie] », a confié la chercheuse Leanda Mason, qui menait aujourd’hui les recherches à son sujet.

Elles avaient été débutées 43 ans plus tôt, en 1974, par la scientifique Barbara York, aujourd’hui âgée de 88 ans. Adieu, Numéro 16, et merci d’avoir fait avancer la science.

http://www.ulyces.co/

Découverte d’une nouvelle espèce de mygale en Colombie


Une nouvelle araignée ! Une mygale avec des poils urticante, mais pas tout à fait comme les autres.
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Découverte d’une nouvelle espèce de mygale en Colombie

 

Par Johanne-Eva Desvages

En Colombie, une nouvelle espèce de mygale urticante a été découverte. Et cette araignée possède une technique de défense tout a fait inédite…

DÉFENSE. C’est une mygale qui sait se défendre. Plutôt que de projeter à distance les poils urticants de son abdomen, comme font habituellement les mygales qui en sont dotées, la Kankuamo marquezi, tout juste découverte, attend que son adversaire soit au plus près pour planter directement ses poils dans sa chair.

« Ces poils sont différents de ceux recouvrant le corps des autres mygales parce qu’ils ont un bout pointu, qui leur permet de pénétrer directement dans la peau ou les muqueuses de leurs adversaires », explique auNew York Times le biologiste uruguayen Carlos Carlos Perafán, co-auteur de l’étude.

Les scientifiques qui avaient identifié six types de poils urticants chez les mygales, en ont répertorié un septième sur cette espèce d’un nouveau genre. Découverte dans une chaîne de montagnes au nord de la Colombie (Sierra Nevada de Santa Marta), la Kankuamo marquezi pourrait peut-être permettre aux biologistes de trouver une réponse aux pressions évolutives qui ont permis chez les araignées le développement de ces poils à l’extrémité pointue.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Mauvaise nouvelle pour les arachnophobes, on a découvert une nouvelle espèce de mygale


C’est en Colombie qu’une nouvelle araignée, une mygale a été retrouvée. Cette araignée est très différente par ses défenses et la façon qu’elles se reproduisent
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Mauvaise nouvelle pour les arachnophobes, on a découvert une nouvelle espèce de mygale

 

  Par Aurélien Deligne

ANIMAUX – Arachnophobes, votre peur des araignées ne va pas s’arranger en lisant cet article. Une nouvelle espèce d’araignée, de mygale plus précisément, a été découverte par une équipe de scientifiques dans le nord de la Colombie. Comme ils l’expliquent sur Zookeys le 29 juin, la « Kankuamo marquezi » a la particularité de rentrer en contact avec ses ennemis, pour leur enfoncer ses poils urticants.

« Ces poils servent de défense », explique le biologiste Carlos Perafán au New York Times. « Mais ceux-là sont différents de ce qu’on trouve habituellement sur le corps des mygales. Ils ont une pointe qui permet de pénétrer la peau et de causer des irritations », explique-t-il. C’est donc au contact de ses ennemis qu’elle se libère de son arme, alors que d’autres espèces les projettent directement sur leurs cibles.

Au moins des centaines d’espèces pas encore découvertes

Mais les chercheurs n’ont pas seulement découvert une nouvelle espèce, ils ont mis la main sur un nouveau genre. Comme l’explique National Geographic, le mâle n’a pas vraiment de pénis à proprement parler mais plutôt des sortes d’ampoules au bout des pattes avant qui lui permet le transfert des semences vers la femelle.

Son nom de « Kankuamo marquezi » a été choisi en référence aux indigènes vivant dans la montagne de Santa Marta, ou l’animal a été trouvé.

Mais selon Gustavo Hormiga, biologiste spécialisé dans les araignées à l’Université George Washington aux États-Unis, « il y a actuellement des centaines d’espèces de tarentules connues, mais il y en a au moins autant que nous n’avons encore jamais découvertes ».

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Des araignées sèment la panique dans un avion d’Air Transat


Cela m’a fait penser au film « Serpent à bord » qui avaient été embarquée pour tuer le témoin d’un meurtre. Si on a peur des araignées … Ce fut une mauvaise rencontre dans les airs
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Des araignées sèment la panique dans un avion d’Air Transat

 

La Phormictopus cancerides fait partie des grandes araignées que l'on retrouve en République dominicaine.

La Phormictopus cancerides fait partie des grandes araignées que l’on retrouve en République dominicaine.   PHOTO : REPTILESALIVE.COM

Des cris, des passagers debout sur leur siège et des agents de bord qui demandent aux gens de se couvrir les jambes, tout en prenant en charge une personne sous le choc. Le vol Punta Cana-Montréal n’a pas été de tout repos, le 18 avril dernier. Deux mygales, des araignées d’une taille de 10 à 20 centimètres, se promenaient dans la cabine.

Un texte de Thomas Gerbet

« L’araignée est montée sur ma jambe, j’étais en jupe », raconte Catherine Moreau, résidente de Repentigny. « C’était au moment du repas, mon mari a réussi à l’attraper avec un contenant de plastique, mais elle sortait ses pattes. Ma fille criait, elle était en état de choc ».

La passagère affirme que les agents de bord ne savaient pas trop comment agir et certains avaient peur de s’approcher.

« L’équipage était en arrière de l’appareil quand il a vu que ça s’agitait en avant », raconte la vice-présidente de la composante syndicale d’Air Transat, Julie Roberts, qui représente les agents de bord. « [Les membres de l’équipage] ont fait le nécessaire pour calmer les gens », poursuit-elle. 

Les araignées ont été découvertes vers la fin du vol. Une des mygales a été capturée par un passager, l’autre a poursuivi sa promenade avant d’être récupérée par un agent fédéral une fois l’avion posé à l’aéroport Montréal-Trudeau.

http://ici.radio-canada.ca/

25 araignées sont les plus terrifiantes au monde


Mieux vaut ne pas souffrir arachnophobie. Sinon, ne sont-elles pas jolies avec leurs multiples yeux et que dire de leurs pattes, certaines minces, d’autres poilus. Il y en a pour tous les goûts
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25 araignées sont les plus terrifiantes au monde

 

1. L’araignée souris

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2. L’araignée géante, Huntsman

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3. La mygale bouse crabe

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4. L’araignée d’eau

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5. L’araignée des sables à six-yeux

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6. L’araignée zèbre

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7. L’araignée Argyrodes Colubrinus

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8. L’araignée assassin

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9. L’araignée loup de Kauai Cave

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10. La veuve noire

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11. La tarentule loup

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12. L’araignée à dos rouge

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13. L’araignée souriante

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14. L’araignée chameau

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15. L’araignée dorée

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16. L’araignée paon

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17. L’araignée Bagheera Kiplingi

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18. L’araignée Goliath

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19. L’araignée errante du Brésil (aussi appelée araignée banane)

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20. L’araignée «Sydney funnel-web»

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21. L’araignée Steotada Triangulosa

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22. L’araignée «Spruce-fir Moss»

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23. L’araignée Ctenizidae

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24. L’araignée Gradungulidae

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25. L’araignée Segestria

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http://www.demotivateur.fr/