Donne-moi ton âge, je te dirai quel sport pratiquer


Quand on est jeune, on peut essayer n’importe quel sport pour s’amuser ou s’entraîner. Plus on vieillit, plus est important de bouger. Si nous ne sommes pas nécessairement très porter sur les activités physiques, il faut trouver un moyen pour éviter le déclin physique.
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Donne-moi ton âge, je te dirai quel sport pratiquer

Le tai-chi est un sport à envisager à mesure que l'on avance en âge. | audun munthe via Unsplah

Le tai-chi est un sport à envisager à mesure que l’on avance en âge. | audun munthe via Unsplah

Julie Broderick

    Ralentir le déclin physique suppose de conserver une bonne condition cardio-vasculaire et une force physique suffisante

    L’activité physique a d’importants effets sur la santé: elle peut protéger d’un large éventail d’affections, parmi lesquelles les maladies du cœur, le diabète de type 2 et certains cancers. Mais on ne pratique pas les mêmes sports à 20 ans et à 60, pas plus qu’on ne s’entraîne avec la même intensité.

    Pour vous assurer de faire le bon type d’activité en fonction de votre âge, suivez le guide.

    Enfance et adolescence

    Durant l’enfance, l’activité physique aide à contrôler son poids, à bâtir des os sains, à augmenter sa confiance en soi et à améliorer la qualité et la durée du sommeil. Pour toutes ces raisons, il est recommandé aux enfants de pratiquer une activité physique pendant une heure par jour au minimum.

    À titre d’exemple:

  • il est bon d’encourager les enfants à s’essayer à des sports qui leur permettent de développer leurs capacités, tels que les sports de balle ou la natation;

  • de nombreuses activités non programmées, telles que celles pratiquées sur les terrains de jeux, conviennent également.

    Au cours de l’adolescence, l’habitude de faire de l’exercice a tendance à diminuer graduellement, en particulier chez les filles. Or pratiquer une activité physique permet de préserver une bonne image de son propre corps, ce qui aide à mieux gérer le stress et l’anxiété. Il ne faut donc pas hésiter à:

  • encourager les adolescent·es à continuer à pratiquer au moins un sport d’équipe;

  • expliquer aux ados qui n’aiment pas ce genre de sports que nager ou pratiquer l’athlétisme est aussi un bon moyen de se maintenir en forme.

    Pendant la vingtaine

    C’est aux alentours de 25 ans que notre forme physique est la meilleure, ce qui se traduit par des temps de réaction minimaux et une VO2 max (celle-ci représente le volume maximal d’oxygène consommé par les muscles lors d’un effort physique) à son plus haut niveau. Après cet âge, notre VO2 max décroît (un recul qui peut atteindre jusqu’à 1% par an) et notre temps de réaction ralentit un peu plus chaque année.

    La bonne nouvelle est qu’une activité physique régulière peut freiner ce déclin. En outre, développer sa masse musculaire et sa densité osseuse au cours de la vingtaine aide à les conserver plus tard. Pour cela:

  • variez vos entraînements, et prenez-y du plaisir. Essayez par exemple le rugby, l’aviron ou les entraînements de type boot camp (inspirés par les entraînements militaires);

  • si vous faites régulièrement de l’exercice, prenez conseil auprès d’un préparateur professionnel afin de définir une périodicité. Cela implique de diviser votre entraînement en cycles progressifs destinés à en approfondir différentes facettes (intensité, volume ou type d’activité physique, etc.), afin d’optimiser votre performance. Si vous devez participer à une épreuve sportive planifiée, telle qu’un triathlon, cette approche peut vous permettre d’atteindre un pic de performances avant le jour J.

    Durant la trentaine

    Généralement, au cours de cette période, la carrière et la vie de famille s’intensifient. Afin de ralentir le déclin physique, il est important de conserver une bonne condition cardio-vasculaire et une force physique suffisante .

    Si votre emploi est sédentaire, assurez-vous que votre poste de travail vous permet de vous tenir dans une posture correcte. Interrompez les longues périodes en position assise en vous forçant à pratiquer une activité durant la journée. Il peut s’agir simplement de mettre votre imprimante dans la pièce voisine pour vous forcer à vous lever, ou de monter les escaliers pour aller utiliser les toilettes situées à un autre étage plutôt qu’au vôtre, voire de juste vous lever pour passer vos coups de téléphone.

    L’idéal est de bouger toutes les trente minutes, si possible:

  • faites de l’exercice intelligemment. Testez les entraînements par intervalles à haute intensité (High-Intensity Interval Training, HIIT). Il s’agit d’entrecouper des activités de haute intensité comme le vélo ou le sprint, pouvant amener votre rythme cardiaque jusqu’à 80% de ses capacités, par des exercices de faible intensité. Ce type d’entraînement est intéressant lorsque l’on dispose de peu de temps, car il peut se pratiquer en vingt minutes;

  • pour les femmes, en particulier celles qui ont eu des enfants, les exercices visant à renforcer les muscles du plancher pelvien, parfois appelés exercices de Kegel, sont à pratiquer quotidiennement, pour aider à prévenir l’incontinence urinaire;

  • diversifier vos programmes d’exercices permet de les rendre plus intéressants. Essayez par exemple le boot camp, le yoga ou le vélo d’intérieur (tel que le spin class).

Le boot camp est un moyen de diversifier votre exercice. | vivian1965 via Pixabay

    À la quarantaine, l’embonpoint

    À partir de la quarantaine, la plupart des gens commencent à prendre du poids. Les exercices de résistance sont alors le meilleur moyen de brûler des calories de façon optimisée, pour limiter l’accumulation de graisses et inverser la perte de masse musculaire qui débute à partir de cette période et peut atteindre 3 à 8% par décennie.

    Dix semaines de ce type d’entraînement peuvent augmenter la masse musculaire et le taux métabolique au repos (respectivement jusqu’à 1,4kg et 7%), et diminuer la proportion du poids dû aux graisses (de 1,8kg). Pour parvenir à ces résultats, vous pouvez:

  • pratiquer le renforcement musculaire avec des kettlebells, ou commencer un programme de musculation en salle de sport;

Pour brûler des calories, soulevez ces sortes de haltères. | dubajjo via Pixabay

  • commencer à courir, si vous ne courez pas déjà, et si tel est le cas, commencer un programme d’exercice plus intensif. La course vous apportera un meilleur retour sur investissement que la marche;

  • le pilates peut aussi être utile pour renforcer les muscles du tronc, et ainsi prévenir le mal de dos, qui commence souvent au cours de cette décennie de vie.


    Durant la cinquantaine

    À partir de la cinquantaine, des douleurs peuvent apparaître et des maladies chroniques, comme le diabète de type 2 et les maladies cardio-vasculaires, se manifester. Chez les femmes, à mesure que les œstrogènes diminuent après la ménopause, le risque de maladies cardiaques augmente. À cet âge, vous pouvez:

  • faire de la musculation deux fois par semaine, pour maintenir votre masse musculaire;

  • pratiquer des exercices qui amènent à porter son propre poids, tels que la marche (marchez suffisamment vite pour faire augmenter votre rythme respiratoire et transpirer);

  • essayer de nouvelles activités. Le tai-chi peut par exemple s’avérer excellent pour l’équilibre et la relaxation.

    Durant la soixantaine

    En général, les maladies chroniques s’accumulent à mesure que l’on vieillit, et l’âge est un des principaux risques de survenue de cancers. Le maintien d’un niveau élevé d’activité physique peut aider à prévenir certains d’entre eux, comme le cancer du sein post-ménopausique, le cancer du côlon ou le cancer de l’utérus. L’exercice réduit en outre le risque de développer certaines maladies chroniques comme les maladies cardiaques et le diabète de type 2.

    L’activité physique tend à diminuer avec l’âge, alors conservez une activité et tâchez d’aller contre cette inclination:

  • mettez-vous aux danses de salon, ou à d’autres sortes de danse: la danse est une façon amusante (et sociale) de faire de l’exercice;

  • pratiquez des exercices visant à développer la force et la souplesse deux fois par semaine. L’aquagym peut s’avérer un bon moyen d’acquérir de la force, grâce à la résistance de l’eau;

  • n’abandonnez pas les exercices à visées cardio-vasculaires, notamment la marche rapide.

Les danses de salon sont amusantes et permettent de garder une activité sociale. | pixelia via Pixabay

    À partir de 70 ans

    Passé 70 ans, faire de l’exercice permet de prévenir la fragilité qui accompagne la vieillesse ainsi que les risques de chutes. C’est également important pour les capacités cognitives.

    Si vous passez par une période de maladie, tâchez malgré tout de ne pas devenir sédentaire, dans la mesure du possible. Votre force et votre forme physique pourraient en effet décliner rapidement si vous vous retrouviez forcé de garder le lit ou deveniez complètement inactif. Retrouver ensuite son niveau de forme antérieur peut s’avérer compliqué:

  • marchez, discutez. Plutôt que de recevoir passivement les visites des membres de votre famille ou de vos amis, proposez-leur de sortir vous promener ensemble. Ainsi vous préserverez votre motivation, et renforcerez votre santé plus efficacement qu’en pratiquant des exercices solitaires;

  • incorporez à votre entraînement des exercices visant à préserver votre force, votre équilibre et vos capacités cardio-vasculaires. Prenez cependant conseil auprès d’un masseur-kinésithérapeute ou d’autres professionnels, en particulier si vous souffrez de maladies chroniques.

À terme, s’il ne fallait retenir qu’un seul message, ce serait celui-ci: ne vous arrêtez jamais de bouger. Une activité physique soutenue est essentielle pour rester en bonne santé.

http://www.slate.

Le Saviez-Vous ► À bannir au gym: 7 exercices de musculation mauvais pour vous


Faire des exercices physiques est le meilleur moyen pour se mettre en forme et faire travailler notre corps. Sauf qu’il y a des exercices qui ne sont pas nécessairement bons. Comme par exemple, les redressements assis, un exercice qu’on connait bien, mais qu’en bout de ligne, nous donne une mauvaise posture.
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À bannir au gym: 7 exercices de musculation mauvais pour vous

PAR JESSICA CASSITY

Découvrez pourquoi il faut bannir certains exercices de musculation comme la planche avec haltères ou certains squats. Sachez également identifier les mauvais exercices pour votre santé et par quels exercices les remplacer.

Cet exercice est mauvais pour votre colonne vertébrale. ISTOCK/RICH LEGG

Les exercices squats sur une demi-balle BOSU

La demi-balle BOSU – moitié balle d’exercice, moitié plateforme – peut vous aider à travailler votre sens de l’équilibre durant l’entraînement. Mais faire des squats ou d’autres mouvements alors que vous prenez appui sur l’arrondi de la balle fait aussi de vous un bon candidat aux blessures.

«À moins d’être un athlète de haut niveau, vous risquez plutôt de vous faire mal», affirme Lindsey Wismer, entraîneuse personnelle et infirmière au Merritt Health and Wellness de Portland, en Oregon.

Vos genoux et vos chevilles risquent de se tordre vers l’intérieur ou l’extérieur, désalignant ainsi complètement votre corps. Tenez-vous-en aux squats traditionnels ou contre un mur en gardant vos genoux bien à la verticale de vos chevilles.

02-mauvais-exercices-abdosSTOCK/ANTONIO_DIAZ

Redressements assis

Vous savez, cette position que vous prenez lorsque vous consultez votre téléphone ou que vous êtes assis devant votre ordinateur: tête penchée en avant, épaules arrondies ! Eh bien c’est la même que celle que vous adoptez lorsque vous faites un redressement assis, dit Lindsey Wismer.

«Comme la majorité des personnes font des redressements en tirant la tête vers le haut plutôt qu’en forçant sur les abdominaux, tout ce qu’ils font, c’est renforcer une mauvaise posture.» 

Pour un mouvement plus efficace, utilisez plutôt vos jambes : couché sur le dos, levez vos jambes vers le haut et abaissez-les à mi-parcours (entre leur position verticale et le sol) – jusqu’à ce que vous sentiez le bas du corps se contacter -, puis relevez-les.

03-mauvais-exercices-brasISTOCK/MIKOLETTE

Coup de poing avec haltères

Ce mouvement n’est rien de farfelu: il fait exactement ce qu’il dit. Vous tenez l’haltère et vous donnez un coup de poing vers l’avant. Ce qui est farfelu, par contre, c’est la raison pour laquelle on fait un truc pareil, s’étonne Alain Aguilar, conférencier en sciences du sport et de l’exercice et entraîneur de soccer à l’université de la Caroline-du-Nord de Chapel Hill.

«Si vous disposez de peu de temps ou d’énergie, vous obtiendrez peu pour l’effort fourni», ajoute Aguilar.

Ce mouvement ne fait vraiment travailler ni les bras ni les épaules, bien que ce soit un bon exercice si on le fait assez vite et longtemps. Pour tonifier vos bras, tenez-vous-en aux flexions de biceps et aux extensions de triceps.

04-mauvais-exercices-halteresISTOCK/DGLIMAGES

Développement des épaules avec poids

Pour renforcer les épaules, dit Lindsey Wismer, seuls les culturistes devraient adopter cet exercice. Les autres devraient s’en tenir aux mouvements de bras et de dos. Les développements d’épaules ne font travailler que les muscles du trapèze, dans la partie supérieure du dos et le côté du cou, ce qui ne fait que renforcer les problèmes posturaux et mettre de la tension dans les épaules. Pour muscler vos bras, faites plutôt travailler les deltoïdes – en levant les bras à l’horizontale sur le côté, par exemple.

05-mauvais-exercices-pompesISTOCK/PEOPLEIMAGES

Planche avec haltères

Si vous voulez avant tout renforcer le bas du corps et les abdos, cet exercice fait des merveilles. Mais pour renforcer le dos et les bras, les tractions traditionnelles sont plus efficaces.

«La planche avec haltères renforce la stabilité, explique Alain Aguilar. Mais la position réduit la capacité de forcer des muscles de traction.»

Dit plus simplement : le déséquilibre créé lorsque vous faites la planche en vous tenant sur un bras limite votre capacité de soulever un poids correctement et avec toute la force que cela requiert.

06-mauvais-exercices-machine-cuissesISTOCK/CATALIN205

Appareil jambes et cuisses

C’est non seulement la machine la moins flatteuse de la salle de gym, mais c’est aussi une des plus inutiles.

«Quand vous vous en servez, vous vous assoyez presque à tout coup dans une mauvaise position et ne travaillez pas vos abdos, constate Lindsey Wismer. Vous pouvez renforcer les mêmes muscles en faisant des squats, des poids ou des fentes. En plus, vous ferez travailler bien d’autres muscles, ce qui améliorera votre force globale et vous fera perdre du poids

https://www.selection.ca/

Le Saviez-Vous ► Faire le ménage, est-ce du sport ?


Pour ceux qui déteste le ménage comme moi, sachez qu’il y a des points très positifs pour la santé. La dernière fois que je suis aller faire l’épicerie, j’ai dû arrêter a 3 endroit, bon en automobile, mais les déplacements a pied, ainsi que serrer l’épicerie, j’avais atteint plus de 6 milles. Puis je suis allé à la pharmacie et 2 autres magasins sur le chemin, et au retour j’avais atteint plus de 10 milles pas.
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Faire le ménage, est-ce du sport ?

 

Les taches du quotidien peuvent vous faire perdre des calories. Voici quelques conseils et astuces pour rendre le ménage plus agréable et profitable.

Le ménage est-il un sport ? Presque… Profitez de vos tâches les plus humbles pour vous muscler les jambes, le dos, les bras, les abdominaux… et les fesses. Pour chaque heure de corvées abattues, vous brûlerez entre 25 et 100 calories !

Entretenir son corps en faisant ses courses

Commencez par sortir faire vos emplettes pour remplir le réfrigérateur familial. Vous musclerez vos bras et vos jambes en portant un panier débordant de fruits et légumes frais — pour la ligne — et de produits ménagers — pour la suite des exercices. Il va de soi naturellement que si vous prenez la voiture ou si votre voisin vous aide à décharger le coffre, le bénéfice sera moindre… C’est donc encore mieux d’y aller à pied.

Muscler les jambes en passant l’aspirateur

Chantez tout en passant l’aspirateur, avec énergie et de grands mouvements amples. Si vous fléchissez bien les jambes, mollets et quadriceps seront davantage sollicités et votre dos mieux préservé. Petit plus : le boucan d’enfer de l’aspirateur vous laissera tout loisir de vous époumoner sur votre chanson préférée. Les cordes vocales – et la cage thoracique – aussi ont besoin de se muscler !

Laver les vitres : un très bon exercice pour se muscler les bras. © ronstik, fotolia

Laver les vitres : un très bon exercice pour se muscler les bras. © ronstik, fotolia

Faites de la musculation en lavant les vitres

Laver les vitres, c’est idéal pour se muscler les bras. Dressez-vous sur la pointe des pieds, bras tendus vers le ciel — avec un chiffon dans les mains — puis montez et descendez en étirant au maximum. Pour renforcer encore l’exercice, vous pouvez contracter les abdos et les fessiers.

Des abdos-fessiers en repassant !

Activité honnie par excellence, le repassage peut néanmoins être à la fois productif, sportif et… récréatif. Assis bien droit sur une chaise, les pieds à plat, les omoplates écartées et les épaules relâchées, vous alternerez les séquences d’abdos-fessiers en respirant profondément. Tout cela en repassant chemises et maillots de corps !

http://www.futura-sciences.com

Le Saviez-Vous ► Les ancêtres des appareils de musculation et des salles de sport


Les gymnases, on bien changer depuis. Voici les ancêtres des premiers appareils pour la musculation. A noter que les gens n’avaient pas de vêtement adapté pour faire des exercices
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Les ancêtres des appareils de musculation et des salles de sport

Le docteur Gustaf Zander enseignait le sport en 1857 à Stockholm quand il s’est aperçu qu’il n’avait pas assez de temps pour s’occuper de chacun de ses élèves individuellement.

Sa solution a été de créer des machines avec du bois, des poulies et des poids qui leur faisaient reproduire les bons mouvements tout en offrant une résistance.

D’abord assez rudimentaires, les machines seront améliorées petit à petit avec l’ajout de pistons à vapeur en 1868 puis avec des moteurs électriques.

En 1865 il ouvre à Stockholm la première salle de sport, l’Institut Zander, qui offrait à la fois des services de musculation et de rééducation aux hommes et aux femmes.
Le concept rencontra un gros succès, en 1911 il y avait plus de 300 salles de sport du docteur Zander à travers le monde et on trouvait même ses appareils sur le Titanic.

Ces photos ont été prises en 1892.

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http://www.laboiteverte.fr/

L’activité physique, une «solution miracle»


Ceux qui ne sont pas très actifs physiquement ont toutes les raisons du monde pour ne pas en faire. Pourtant, juste marcher rapidement a tous les jours seraient suffisant pour éviter certains troubles de santé en ajoutant quelques exercices de musculation surtout pour les personnes ayant un certain âge
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L’activité physique, une «solution miracle»

 

L'activité physique, une «solution miracle»

L’exercice physique devient aussi de plus en plus important avec l’âge.Photo Darren Staples / Reuters

C’est un commentaire qui a le mérite de la clarté. Une équipe de chercheurs américains a déclaré que l’activité physique était la manière la plus efficace pour lutter contre la recrudescence de maladies cardiovasculaires, la comparant même à une «solution miracle».

Des professeurs du Charles E. Schmidt College of Medicine de l’université Florida Atlantic ont donné leurs conclusions après avoir évalué les bienfaits de l’activité physique sur de nombreux sujets. Ils les ont publiées dans un éditorial de la dernière édition du magazine Cardiology.

Malgré les multiples études publiées sur les bienfaits de l’exercice physique ces dernières années, notamment pour faire reculer les risques d’AVC, d’infarctus, de diabète de type 2, d’ostéoarthrite et certains cancers, mais aussi pour doper l’humeur, l’énergie, le sommeil et la sexualité, on note que seulement 20 % des Américains suivent les recommandations concernant l’exercice et que 64 % n’ont pas la moindre activité physique.

Les Européens ne font guère mieux. Seuls 33 % font régulièrement du sport et 42 % sont complètement inactifs.

L’exercice physique devient aussi de plus en plus important avec l’âge, puisqu’on a tendance à emmagasiner les kilos superflus les années passant. De nombreuses personnes commencent par prendre entre 500 g et 1 kg par an à la trentaine, ce qui résulte pour certains à une prise de kilos superflus de 13 à 20kg lorsqu’ils atteignent l’âge de 55 ans.

Les auteurs ont tenu à préciser que l’obésité était devenue un important facteur de maladies cardiovasculaires, la première cause de décès à travers le monde. C’est pourquoi il est nécessaire de se donner des moyens éducatifs pour encourager l’exercice physique, ce dernier pouvant être le moyen plus efficace pour garder un poids stable, plus que les régimes.

«Il existe de nombreuses erreurs de perception sur le rôle de l’activité physique régulière, les apports caloriques et le nombre de calories dépensées pendant l’exercice», a commenté Steven Lewis, l’un des co-auteurs de cet éditorial. «Par conséquent, la restriction calorique est recommandée parce que plus pratique pour contrôler le poids que l’activité physique, et c’est un gros problème.»

20 MINUTES DE MARCHE RAPIDE PAR JOUR

«La plupart des personnes ont de grandes difficultés à perdre du poids et à maintenir cette perte seulement en réduisant leur apport calorique», a ajouté l’autre co-auteur Charles H. Hennekens.

Les chercheurs ont aussi souligné que de la marche rapide pendant à peine 20 minutes par jour pouvait permettre de dépenser environ 700 calories par semaine, et ainsi réduire le risque de maladies cardiaques de 30 à 40 %.

Certains types d’activités physiques comme la marche sont à la portée de tous, même les personnes âgées. Les auteurs conseillent cependant d’ajouter des exercices de résistance comme la musculation pour des bienfaits encore accrus sur la santé.

Mais malgré leurs recommandations, les auteurs pensent que les recommandations d’exercice physique régulier sont encore trop difficiles à atteindre pour de nombreuses personnes. Par exemple, 42 % des Européens interrogés ont noté que le manque de temps était la principale raison de leur sédentarité.

«Si l’activité physique régulière était un médicament, alors peut être qu’un plus grand nombre de personnes le prendrait», commente ironiquement le professeur Hennekens.

http://fr.canoe.ca/

Les seniors ne devraient pas oublier la musculation


Quand on vieillit, nous sommes peut-être moins enclins aux exercices physiques. Bien sûr, la marche est un bon exercice, mais la musculation est aussi importante et sans être exigeant, avec des séances de 2 fois par semaine …
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Les seniors ne devraient pas oublier la musculation

 

Les seniors ne devraient pas oublier la musculation

Jamais une étude n’avait observé un lien entre musculation et espérance de vie.Photo Fotolia

Une nouvelle étude de grande ampleur menée aux États-Unis montre que pratiquer la musculation seulement deux fois par semaine permettrait aux seniors de vivre plus longtemps.

Si de précédentes études avaient démontré les bénéfices de l’activité physique en général chez les seniors, elles n’avaient pas permis de récolter beaucoup d’informations sur les bénéfices de la musculation. En revanche, certaines recherches avaient permis de vérifier que la musculation était utile à ceux qui souffraient de maladies chroniques comme le diabète, l’ostéoporose, la sciatique et l’obésité. Une plus grande force musculaire est associée à un abaissement du risque de mortalité.

Cette étude est cependant la première à mettre en évidence un lien entre une force musculaire accrue et un risque abaissé de mortalité sur un échantillon si important, si représentatif et sur une période aussi longue.

Menée par des équipes des Penn State College of Medicine, Penn State Health Milton S. Hershey Medical Center et Columbia University, aux États-Unis, l’étude se penche sur des données recueillies entre 1997 à 2001 par la National Health Interview Survey. Elles concernent 30 000 adultes âgés de 65 ans et plus dans chaque état des États-Unis.

L’équipe a observé qu’un peu plus de 9 % des seniors rapportaient faire de la musculation au moins deux fois par semaine. Cela représente une petite partie de la population, mais le chiffre s’avère supérieur à celui auquel s’attendaient les chercheurs. Ceux-ci ont suivi ce groupe pendant 15 ans et se sont appuyés sur des certificats de décès pour savoir qui était décédé en 2011.

Par rapport à ceux qui ne pratiquaient par la musculation, ceux qui le faisaient au moins deux fois par semaine étaient moins exposés aux arrêts cardiaques mortels (-41 %), de cancers fatals (-19 %) et plus largement aux maladies mortelles (-46 %).

Ceux qui pratiquent la musculation bénéficient d’un accroissement de l’espérance de vie plus important que ceux qui font de l’exercice autrement.

Selon l’équipe, ces résultats suggèrent que les bienfaits de la musculation vont bien au-delà du simple accroissement ou renforcement de la masse musculaire. Jennifer L. Kraschnewski du Penn State College of Medicine commente:

«Il est nécessaire d’identifier des façons supplémentaires d’inciter les gens à se muscler, de faire augmenter le nombre de seniors prenant part à ces activités au-delà de 10 %».

Les résultats ont été publiés dans la revue Preventive Medicine.

http://fr.canoe.ca/

Lien entre suppléments et cancer des testicules


Les hommes aussi sont victimes de l’apparence. Plusieurs optent des suppléments pour augmenter le volume de leurs muscles. Cependant prendre des suppléments n’a rien de naturel et il semblerait que cela aurait une incidence sur le cancer des testicules.
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Lien entre suppléments et cancer des testicules

 

L'auteur principal de l'étude, Tongzhang Zheng, a précisé... (Photo Digital/Thinkstock)

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L’auteur principal de l’étude, Tongzhang Zheng, a précisé que le risque de cancer testiculaire est particulièrement élevé chez les hommes qui ont commencé à consommer des suppléments avant l’âge de 25 ans.

PHOTO DIGITAL/THINKSTOCK

La Presse Canadienne
MONTRÉAL

Les hommes qui consomment des suppléments afin de développer leur musculature multiplient leur risque de souffrir d’un cancer des testicules, prévient une étude publiée dans le British Journal of Cancer.

Les suppléments mis en cause sont notamment des comprimés ou des poudres de créatine ou d’androstènedione.

L’auteur principal de l’étude, Tongzhang Zheng, a précisé que le risque de cancer testiculaire est particulièrement élevé chez les hommes qui ont commencé à consommer des suppléments avant l’âge de 25 ans, chez ceux qui en consommaient plus d’une sorte ou chez ceux qui en consommaient depuis plusieurs années.

M. Zheng et ses collègues ont interrogé près de 900 hommes, dont 356 qui souffraient d’un cancer des testicules. Ils les ont notamment questionnés concernant des facteurs comme le tabagisme, la consommation d’alcool, la sédentarité, l’histoire familiale de cancer testiculaire et des blessures à cette partie du corps.

Même en tenant compte de tous ces facteurs, les hommes qui avaient utilisé des suppléments gonflaient de 65% leur risque de souffrir d’un cancer des testicules, comparativement aux hommes qui n’en avaient jamais consommé.

Le risque augmentait de 121% chez les hommes qui ont commencé à prendre des suppléments avant l’âge de 25 ans, de 156% chez ceux qui en consommaient depuis trois ans et plus, et de 177% chez ceux qui en consommaient plus d’une sorte.

L’incidence de cancer des testicules est passée de 3,7 cas par 100 000 hommes en 1975 à 5,9 cas par 100 000 hommes en 2011, sans que les scientifiques ne comprennent pourquoi.

M. Zheng admet que le cancer testiculaire demeure très mystérieux, mais estime que l’association notée par son étude démontre que les suppléments utilisés pour développer la musculature sont possiblement un facteur de risque important et modifiable.

http://www.lapresse.ca/

10 affirmations sur l’entraînement


Il y a des affirmations qui ne sont pas toujours vrais en matière de santé physique mais qui pourtant persiste malgré tout … On a juste a penser que certains pensent que si on sue .. alors on perds des calories .. si ca serait si simple
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10 affirmations sur l’entraînement

 

Selon les nouvelles directives canadiennes en matière d'activité... (Photo: Photos.com)

Selon les nouvelles directives canadiennes en matière d’activité physique, «pour favoriser la santé, les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient faire chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique aérobie d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes».

PHOTO: PHOTOS.COM

SOPHIE ALLARD
La Presse

Les vacances d’été sont bel et bien terminées. La routine de la rentrée est installée. Ça y est. Il est temps, dites-vous, de vous remettre en forme. Comment s’entraîner, quels en sont les bienfaits santé et les trucs pour ne pas lâcher? Pas si simple! La Presse vous lance sur quelques pistes et vous présente 10 affirmations – vraies ou fausses – sur l’entraînement.

1. On élimine les toxines par la sueur.

FAUX

Lors d’une activité physique intense, on transpire un bon coup, c’est vrai. Durant un effort extrême, des personnes sécrètent jusqu’à 3 litres de sueur par heure! «Ça fait sortir le méchant», entend-on. Cela dit, la sueur n’est rien d’autre que de l’eau et des minéraux (électrolytes). Pas de toxines! Une étude menée en 1962 le confirmait déjà.

«Qu’est-ce qu’une toxine? C’est tout simplement ce qui est toxique pour notre corps, comme les métaux lourds tels que le mercure et le plomb», indique Pierre-Mary Toussaint, kinésiologue et coauteur du livre Mythes et réalités sur l’entraînement physique.

«Le foie et les reins sont les grands filtres de l’organisme, pas la sueur par l’activité physique.»

La fonction de la sueur: la thermorégulation, pas la détoxication.

2. Pour une bonne santé, on doit bouger 150 minutes par semaine.

VRAI et FAUX

Selon les nouvelles directives canadiennes en matière d’activité physique, «pour favoriser la santé, les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient faire chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique aérobie d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes».

Il faut pour cela transpirer un peu et respirer plus fort (modéré) ou transpirer et être essoufflé (élevé).

«On laisse croire qu’il y a un seuil sous lequel bouger ne vaut rien et au-dessus duquel c’est la félicité. C’est plus complexe», nuance Guy Thibault. Docteur en physiologie de l’exercice, il est chercheur à la Direction du sport et de l’activité physique, du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport.

«Pour une personne sédentaire qui augmente un peu son niveau d’activité physique, sans atteindre les normes, les bienfaits sont déjà énormes.»

À l’inverse, la personne qui bouge déjà ne bouge pas forcément assez, avance-t-il.

«On mise beaucoup sur l’aptitude cardiovasculaire, mais plusieurs déterminants de la condition physique sont tout aussi importants, comme la force et l’endurance musculaire, la flexibilité, la santé osseuse. La natation et le cyclisme, c’est génial pour votre santé cardiovasculaire, mais c’est bon à rien pour votre santé osseuse, parce que le corps est soutenu.»

La clé? Varier les activités pour une condition physique optimale.

3. Les courbatures sont nécessaires à l’entraînement.

FAUX

Les courbatures sont des douleurs musculaires, généralement sans gravité, qui surviennent environ 48 heures après un exercice intense et inhabituel, par exemple une longue randonnée en descente. Elles sont fréquentes après une période d’inactivité. Nécessaires pour autant, les courbatures? Au contraire. Elles nuiraient même à la performance, parce que le corps met alors plus de temps à récupérer et donc plus de temps à s’améliorer. Elles augmentent aussi le risque de blessures si on exige trop de ses muscles déjà affligés.

Comment prévenir?

«Le moyen le plus efficace pour prévenir les courbatures est de ne jamais faire un exercice d’une longue durée ou d’une grande intensité sans s’y être préparé par une progression lente et bien dosée», écrit Guy Thibault dans son livre Entraînement cardio sports d’endurance et performance.

On devrait incorporer les nouveaux exercices sur une période d’une à deux semaines.

Le mal est fait? On réduit le volume et l’intensité de l’entraînement et on mise sur des sports complémentaires. On nage un peu après un marathon, par exemple. Si les massages ont parfois un effet positif,

«la cryothérapie, les étirements, l’homéopathie, les ultrasons et les courants électriques n’atténuent pas les courbatures ni les autres symptômes qui y sont associés», indiquent François Gazzano et Guy Thibault sur Savoir-Sport.org.

4. Grâce à la musculation, on maigrit à des endroits précis du corps.

FAUX

Des redressements assis pour un ventre plat? Cette fausse croyance perdure, semble-t-il. Chez Kino-Québec, les experts expliquent:

«Il n’est pas possible de faire fondre la graisse d’une région donnée du corps en effectuant des exercices sollicitant les muscles de cette région. Pour que l’exercice puisse faire maigrir localement, il faudrait que les muscles utilisent comme carburant le gras provenant des réserves voisines de graisse. Or, il n’y a pas d’échanges directs.»

Les muscles abdominaux n’utilisent pas le gras sous-cutané d’un ventre bedonnant. Même chose pour les muscles fessiers et la culotte de cheval.

«Pour maigrir, il n’y a pas de recette miracle: il faut une balance énergétique négative, soit dépenser plus d’énergie que l’on en consomme», souligne Pierre-Mary Toussaint.

5. On ne boit jamais trop d’eau.

FAUX

Dans des cas extrêmes – et rarissimes -, il arrive que trop boire d’eau puisse être dangereux, voire mortel. On parle alors d’hyponatrémie. Le phénomène se produit pendant des épreuves d’endurance de longue distance (sur plusieurs heures) et survient le plus souvent chez les sportifs mal préparés ou mal informés. Rarement l’élite. Quand le corps contient trop d’eau, la concentration de sodium, en étant diluée, devient trop faible, ce qui cause un déséquilibre sanguin.

Une étude publiée en 2005 dans le New England Journal of Medicine a révélé que, parmi 488 coureurs ayant participé au marathon de Boston en 2002, 13% souffraient d’hyponatrémie en fin de course. Au marathon de Londres en 2003, une autre étude a montré que 11 coureurs ont souffert d’hyponatrémie.

Comment la prévenir? La quantité d’eau consommée ne devrait pas excéder celle de l’eau dépensée (en sueur et urine). Aussi, les sportifs sont désormais invités à boire selon leurs signaux de soif, ce qui ne fait pas l’unanimité. Boire des boissons énergétiques, qui contiennent des électrolytes, peut aider à prévenir le manque de sodium. Si on est plus lourd après une séance d’entraînement qu’avant, c’est peut-être qu’on a trop bu…

6. La musculation augmente le métabolisme de base.

FAUX

«On a longtemps cru que la musculation augmentait le métabolisme de base, mais l’effet est si minime qu’il est imperceptible, indique Pierre-Mary Toussaint. Pour un kilo de muscles gagné à l’entraînement, on brûle à peine 15 calories de plus par jour.» Trois fois rien.

7. L’acide lactique (lactate) fait mal.

FAUX

Le lactate, sel de l’acide lactique, est accusé à tort de plusieurs maux chez les sportifs: douleur musculaire pendant l’effort, crampes, courbatures.

«Il existe plusieurs types de fatigue musculaire, c’est un phénomène complexe qu’on comprend encore mal. Mais le lactate n’est pas en cause», indique le kinésiologue Pierre-Mary Toussaint.

Des études ont d’ailleurs montré qu’il peut y avoir présence de lactate sans douleur. L’inverse est tout aussi vrai.

8. Bouger à moins de 50% de son VO2 max: ce n’est pas assez!

VRAI

Pour voir une amélioration de sa capacité cardiorespiratoire et musculaire, on doit s’entraîner à au moins 50% de son plein potentiel.

«Si on pédale lentement en lisant ou qu’on marche sur un tapis roulant tout en jasant allègrement, c’est qu’on s’entraîne à moins de 50% de sa capacité cardiovasculaire maximale. Mieux vaut réduire le temps passé au centre de conditionnement et y mettre un peu plus d’intensité», recommande Guy Thibault.

9. S’entraîner empire un rhume.

FAUX

«L’entraînement cardio à intensité moyenne n’empire pas les symptômes du rhume», écrit Guy Thibault dans Entraînement cardio – sports d’endurance et performance au terme d’une étude menée auprès de 34 jeunes adultes d’aptitude aérobie moyenne qui se sont entraînés 1 jour sur 2 pendant 10 jours (40 minutes, 70% du VO2 max), 16 autres se sont abstenus.

«Tous avaient été exposés au rhinovirus et avaient contracté une infection des voies respiratoires supérieures. Il n’y avait aucune différence significative dans l’intensité des symptômes entre les deux groupes.»

On continue donc de s’entraîner si les symptômes sont légers (écoulement nasal, léger mal de gorge). Par contre, si la toux est grasse, si la respiration est difficile et s’il y a courbatures, on prend une pause de quelques jours.

10. Pour s’améliorer, mieux vaut favoriser l’entraînement intermittent.

VRAI

L’entraînement intermittent consiste en une alternance de courtes périodes de repos et d’effort intensif.

«C’est la clé de la préparation physique, la formule la plus efficace pour améliorer les déterminants de la performance sportive», souligne Guy Thibault.

On s’améliore davantage et plus rapidement qu’au cours d’un entraînement en continu, selon les études. Pourquoi? Les moments de repos permettent un renouvellement de l’énergie en vue de l’effort suivant.

«En retardant la fatigue, on parvient à passer plus de temps à une intensité élevée, dit-il. Même les plus grands athlètes font de l’entraînement intermittent.»

Mieux encore: on brûle davantage de calories pour le même temps passé à bouger. Des intervalles courts, 30 secondes par exemple, seraient particulièrement efficaces.

(…)

http://www.lapresse.ca

Cultiver son jardin: bon pour la santé


S’occuper de fleur ou l’entretien de son potager est un exercice idéal pour le corps et l’esprit .. d’ailleurs plusieurs sont de cet avis qu’on s’abandonne totalement a manipuler le terre et c’est aussi je trouve une belle occasion de passer du temps avec de jeunes enfants qui leur apprend a mon avis la patience pour un résultat agréable a regarder et a manger
Nuage

 

Cultiver son jardin: bon pour la santé

 

Les études scientifiques le démontrent: Les différentes tâches au jardin ont un effet positif sur la santé.

C’est bon parce qu’elles incorporent l’endurance (tondre, râteler, sarcler, etc), la flexibilité (planter, tailler, etc) et la musculation(bêcher, nettoyer, etc).

Comme pour tout exercice physique, il faut cependant être actif pendant au moins 30 minutes pour en tirer des bénéfices.

Mais il parait que le jardinage a également des effets bénéfiques sur le bien-être général des jardiniers. Les adeptes moins jeunes du jardinage ont attribué de plus hautes notes – donc plus positives – sur une échelle d’évaluation de la satisfaction de vie que les non-jardiniers. Ils ont affirmé trouver la vie «moins monotone et ennuyante» et se sentir «moins vieux et fatigués».

Je vous invite donc à vous occuper de votre jardin, et surtout à cultiver votre potager pour unir l’utile à l’agréable et profiter des légumes frais. Si vous ne disposez pas de terrain, aménagez votre terrasse ou participez à un jardin communautaire près de chez vous.

http://www.soscuisine.com