Des centaines de Néo-Zélandais contactent la police pour rendre leurs armes


Ce n’est pas aux États-Unis que cela aurait pu être possible. La mentalité est vraiment différente ! De toute façon, à quoi cela sert d’avoir des armes de type militaire ? Ce que j’aime de cette première ministre, est qu’elle a tout de suis réagit suite à cette tuerie faite dans deux mosquées. Elle refuse de nommer le tueur par son nom, pour ne pas lui donner l’importance qu’il s’attendait. Elle a aussi durci le règlement des armes à feu. Bien sûr, il y a sûrement des gens mécontent, mais aussi moins la population semble bien répondre surtout avec le plan de rachat des armes visées, et des conséquences pour ceux qui gardent leurs armes qui sont assez onéreuses.
Nuage
 

 

Des centaines de Néo-Zélandais contactent la police pour rendre leurs armes

 

Un panneau publicitaire pour un magasin d'armes de... (PHOTO WILLIAM WEST, AGENCE FRANCE-PRESSE)

Un panneau publicitaire pour un magasin d’armes de Christchurch qui se dit le plus grand au monde

PHOTO WILLIAM WEST, AGENCE FRANCE-PRESSE

Agence France-Presse
Christchurch

 

Des centaines de Néo-Zélandais ont entamé les démarches pour rendre leurs armes, dans la foulée de l’interdiction de la vente des fusils d’assaut et armes semi-automatiques en réponse à la double tuerie des mosquées de Christchurch, a annoncé vendredi la police.

Celle-ci a également déploré un grand nombre de fausses déclarations de restitution d’armes sur son site internet. 

La première ministre Jacinda Ardern a annoncé jeudi l’interdiction de la vente des fusils d’assaut et armes semi-automatiques.

Cinquante fidèles ont été abattus il y a près d’une semaine par un suprématiste blanc australien dans deux mosquées de Christchurch, la plus grande ville de l’île du Sud, un massacre qu’il a filmé et diffusé en direct sur Facebook.

Immédiatement après le carnage, Mme Ardern avait annoncé un durcissement d’une législation qui avait permis au tueur d’acheter en toute légalité l’arsenal ayant servi à l’attaque, y compris des armes semi-automatiques.

« Pour résumer, chaque type d’arme semi-automatique utilisée dans l’attaque terroriste de vendredi sera interdit dans ce pays », a déclaré Mme Ardern. 

L’interdiction de vendre ces armes est entrée en vigueur jeudi à 15 h (22 h HE, jeudi) et une période a été décrétée pour la restitution des armes.

La chef du gouvernement a annoncé un programme de rachat pour un coût estimé entre 100 millions et 200 millions de dollars néo-zélandais (entre 92 et 183,7 millions de dollars canadiens). 

Il y aura une période d’amnistie mais toute personne qui n’aura pas rendu ses armes dans les délais s’exposera à des amendes allant jusqu’à 4000 dollars néo-zélandais (environ 3680 dollars canadiens) et trois ans de prison. 

Dans les 20 heures qui ont suivi l’entrée en vigueur de l’interdiction, près de 500 personnes ont appelé un numéro spécial mis en place par la police pour que les personnes entament les démarches de restitution, a annoncé la commissaire adjointe Tusha Penny.

Mais si le durcissement de la législation est globalement très soutenu par la classe politique, jusque dans les rangs de l’opposition, certains adversaires de cette interdiction ont voulu manifester leur mécontentement en adressant de fausses déclarations de restitution en ligne.

« Ces individus n’ont peut-être rien à faire, mais ce n’est pas le cas de la police », a-t-elle dit. « Dans les conditions actuelles, c’est inacceptable. »

La police estime à 1,2 million le nombre d’armes à feu en circulation en Nouvelle-Zélande, un pays de 4,5 millions d’habitants. Elle n’a fourni aucune estimation du nombre d’armes de type militaire détenues par la population.

https://www.lapresse.ca/

La Maison-Blanche cite la fusillade à Québec pour justifier ses politiques


Euh, mauvais exemple ! La fusillade dans la ville de Québec, était un Québécois d’origine qui a tiré sur des musulmans, alors je ne vois pas le rapport avec le décret de Donald Trump qui lui veut interdire l’entrée des ressortissants de certains pays majoritairement musulmans. Où est sa logique ?
Nuage

La Maison-Blanche cite la fusillade à Québec pour justifier ses politiques

 

Le porte-parole Sean Spicer a commencé la séance... (PHOTO AP)

 

Le porte-parole Sean Spicer a commencé la séance d’information quotidienne de la Maison-Blanche en disant que Donald Trump avait appelé Justin Trudeau.

PHOTO AP

La Presse Canadienne
Washington

 

La Maison-Blanche a invoqué la fusillade dans une mosquée de Québec pour défendre la nouvelle politique controversée de sécurité nationale du président Donald Trump.

Bien que les victimes de dimanche soir soient exclusivement musulmanes, un porte-parole du président américain a utilisé l’événement pour plaider en faveur du décret qui limite les déplacements des ressortissants de sept pays à majorité musulmane aux États-Unis.

Le porte-parole Sean Spicer a commencé la séance d’information quotidienne de la Maison-Blanche, lundi, en disant que Donald Trump avait appelé le premier ministre Justin Trudeau. Le président américain a offert au Canada ses prières, ses condoléances et toute aide dont le pays pourrait avoir besoin, a dit M. Spicer.

Le porte-parole a ensuite fait cette déclaration:

«C’est un rappel terrible de pourquoi nous devons rester vigilants. Et pourquoi le président prend des mesures pour être proactif, pas réactif.»

M. Spicer a clairement indiqué, plus tard au cours de la conférence de presse, qu’il parlait du décret sur l’immigration.

Il a ensuite été interrogé quant à cette interdiction d’entrée et a repris sa remarque précédente en disant:

«Comme je l’ai dit dans ma déclaration, le président sera très proactif dans la protection de ce pays.»

http://www.lapresse.ca/

Attentat dans une mosquée de Québec: le fil des événements


Aucun acte terroriste ne doit être accepté. Ce Québécois avait des convictions (mauvaises pour ma part) et a tué pour de mauvaises causes. Il a été arrêter avec un autre homme, ce dernier a été relaché car il était un témoin qui aidait une victime mais eu peur en voyant des hommes avec des armes
Nuage

 

Attentat dans une mosquée de Québec: le fil des événements

 

Des policiers sur les lieux de l’attentat à Ste-Foy Photo : La Presse canadienne/Francis Vachon

L’attaque d’une mosquée de Québec a fait dimanche six morts et cinq blessés graves, dont trois entre la vie et la mort. Voici le déroulement des événements.

DIMANCHE

19 h 45 : Au moins un homme cagoulé fait irruption dans le Centre culturel islamique de Québec, situé au 2877, chemin Sainte-Foy. Il ouvre le feu sur des fidèles réunis pour prier au rez-de-chaussée. Six personnes périssent sous les balles et cinq sont gravement blessés. Une soixantaine de personnes étaient dans la mosquée au moment de l’attaque. Les hommes priaient au rez-de-chaussée, tandis que les femmes et les enfants se trouvaient à l’étage.

19 h 55 : La police de Québec arrive sur les lieux de la fusillade après avoir reçu plusieurs appels provenant du 2877, chemin Sainte-Foy. Elle constate l’ampleur du drame et découvre plusieurs victimes. Peu après, un homme est arrêté à proximité de la mosquée. La police ne peut pas confirmer si celui-ci est impliqué dans la fusillade.

VERS 20 h 10 : La police reçoit l’appel d’un autre homme qui souhaite « parler de son geste ». Il affirme qu’il est impliqué dans l’affaire et précise l’endroit où il a garé sa voiture, à une vingtaine de kilomètres de la mosquée, tout près du pont de l’île d’Orléans.

20 h 40 : L’ambulance quitte les lieux de la fusillade.

21 h : Un large périmètre de sécurité est établi à l’entrée du pont de l’Île d’Orléans, où le deuxième homme est arrêté à bord d’un véhicule Mitsubishi gris par le Groupe tactique d’intervention.

VERS 21 h 30 : Premières réactions du premier ministre du Québec, Philippe Couillard, sur Twitter.

Fusillade au Centre culturel islamique: le gouvernement est mobilisé pour assurer la sécurité de la population de #Québec. #polqc

— Philippe Couillard (@phcouillard) 30 janvier 2017

22 h : La Structure de gestion policière intégrée contre le terrorisme, regroupant la Sûreté du Québec, la GRC et le Service de police de la Ville de Montréal, est mise sur pied et travaille ici en collaboration avec la police de Québec.

Des policiers de Québec patrouillent dans les rues près de la mosquée visée par un attentat.

Des policiers de Québec patrouillent dans les rues près de la mosquée visée par un attentat. Photo : Reuters/Mathieu Bélanger

VERS 22 h 30 : Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, réagit à l’attentat sur Twitter.

Ce soir, les Cdns pleurent les victimes de l’attaque lâche dans une mosquée de Québec. Mes pensées sont avec les victimes et leurs familles.

— Justin Trudeau (@JustinTrudeau) 30 janvier 2017

VERS 23 h : Le maire de Québec, Régis Labeaume, invite la population de Québec à s’unir et à être solidaire.

 « Mes premières pensées vont vers les victimes et leurs familles touchées alors qu’ils étaient réunis pour la prière. Québec est une ville ouverte et où tous doivent pouvoir vivre ensemble en sécurité et dans le respect », peut-on lire dans le communiqué publié dimanche soir.

VERS 0 h : Le premier ministre Couillard parle désormais d’un acte terroriste.

À la suite de cet acte terroriste, j’ai demandé à l’#assnat de mettre en berne notre drapeau du #Québec. #tousunis

— Philippe Couillard (@phcouillard) 30 janvier 2017


LUNDI

VERS 0 h 45 : Des personnes se rassemblent devant la mosquée.

Rassemblement spontané près de la Grande mosquée de Québec; des citoyens plaident pour le vivre ensemble #mosqueedequebec#rcqc #fusillade pic.twitter.com/T4piJQ8owB

— Alexandre Duval (@alexduval88) 30 janvier 2017

0 h 50 : La GRC et la Sûreté du Québec dressent un premier bilan des victimes faisant état de six morts et de huit blessés. Quelque 200 agents de la police de Québec et de Montréal, de la Sûreté du Québec et de la Gendarmerie royale du Canada poursuivent l’enquête.

1 h 40 : Le premier ministre Philippe Couillard, le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, et le maire de Québec, Régis Labeaume, tiennent un point de presse. Le gouvernement confirme que la sécurité sera accrue dans l’ensemble des mosquées de la province.

« Québec est en deuil », déclare le maire Labeaume, très ému.

Aucun être humain ne devrait payer de sa vie par le fait de sa race, de sa couleur, de son orientation sexuelle, de sa croyance religieuse.

Régis Labeaume, maire de Québec

Dans cette même conférence de presse, le premier ministre Couillard déclare que le Québec est « frappé par le terrorisme ». Il ajoute que les Québécois vont y faire face « ensemble avec courage et avec solidarité ». Et aux membres de la communauté musulmane, il dit : « Nous sommes avec vous, vous êtes chez vous, vous êtes la bienvenue. »

8 h 50 : Le pape François condamne l’attaque de la mosquée et appelle au respect mutuel entre les fidèles de différentes religions.


10 h : Le maire Régis Labeaume rencontre des membres de la communauté musulmane de Québec à l’hôtel de ville pour « savoir quels gestes on peut poser ».

Témoignage du président du Centre culturel islamique de Québec, Mohamed Labidi

Témoignage du président du Centre culturel islamique de Québec, Mohamed Labidi Photo : Radio-Canada/Maxime Corneau

11 h 45 : Le président des États-Unis, Donald Trump, téléphone au premier ministre Trudeau pour lui offrir ses condoléances ainsi qu’au peuple canadien. Il propose aussi son aide.

12 h : La SQ confirme qu’un seul des hommes arrêtés dimanche soir est considéré comme suspect. L’autre homme est maintenant considéré comme témoin.

13 h 40 : Au Parlement à Ottawa, les députés canadiens observent une minute de silence.

http://ici.radio-canada.ca/

Mohamed Belkhadir: «Pour eux, quelqu’un qui fuit, c’est un suspect»

 

Des policiers à l'extérieur du Centre culturel islamique de... (PHOTO PASCAL RATTHÉ, LE SOLEIL)

Des policiers à l’extérieur du Centre culturel islamique de Québec, dimanche soir.

PHOTO PASCAL RATTHÉ, LE SOLEIL

 

VINCENT LAROUCHE
La Presse

Mohamed Belkhadir, l’étudiant en génie arrêté par erreur dans la foulée de l’attentat terroriste à la mosquée de Sainte-Foy, était en train de porter secours aux victimes lorsqu’il a été confondu à tort avec un suspect.

Fraîchement revenu chez lui, le jeune homme de 29 ans a accordé une entrevue à La Presse pour indiquer qu’il n’en veut pas du tout aux policiers de Québec, qui ont été « très gentils » avec lui.

« J’étais entré pour essayer de faire les premiers soins à mon ami, par terre, et j’ai vu quelqu’un avec une arme. Je ne savais pas que c’était un policier, je croyais que c’était quelqu’un qui revenait pour tirer. Alors j’ai fui à l’extérieur, du côté du stationnement », dit-il.

« Je comprends, je respecte qu’ils m’ont attrapé. Ils m’ont vu fuir, ils ont pensé que j’étais suspect, c’est normal. Pour eux, quelqu’un qui fuit, c’est un suspect », insiste-t-il.

L’étudiant d’origine marocaine avait assisté à la prière dimanche soir, puis était sorti déneiger les escaliers de la mosquée. Peu après, il a entendu plusieurs coups de feu, pendant 15 à 20 secondes, dit-il.

Il est entré, a appelé le 9-1-1, a donné l’adresse aux services d’urgence, puis a utilisé son manteau pour réchauffer un blessé sur le sol. C’est alors qu’il a paniqué lorsqu’un policier est entré arme au poing.

http://www.lapresse.ca/

Un jeune américain donne toutes ses économies à une mosquée est vandalisé


Voilà un geste de donner au suivant prend une belle finalité pour ce petit garçon. Il économisait son argent pour s’acheter un IPad, mais il a préféré donner ce qu’il avait pour une mosquée
Nuage

 

Un jeune américain donne toutes ses économies à une mosquée est vandalisé

Après que la mosquée de sa ville eut été vandalisée, un garçon du Texas a décidé de réunir tout son argent pour venir en aide à la communauté.

Les policiers de l’État enquêtent sur ce cas de vandalisme particulièrement répugnant: la façade et la porte de l’édifice ont été recouvertes de déjections. Au travers du gâchis, on retrouvait des pages déchirées du Coran.

«Quelqu’un devait vraiment être en colère pour faire ça et venir mettre des pages du Coran dedans. C’est juste vraiment irrespectueux», explique Owais Islam qui fréquente la mosquée

Le jeune Jack Swanson, 7 ans, a économisé 20$ dans son petit cochon et il n’a pas hésité une seconde à retirer tout son argent quand il a su que le centre islamique avait été saccagé.

C’est alors qu’un avocat Musulman du nom de Arsalan Iftikhar a été incroyablement touché par le geste du garçon de 7 ans. Il a appris que ce dernier économisait afin de s’acheter un iPad mais qu’il a préféré donner ses économies pour aider son prochain.

Les larmes aux yeux, l’avocat a acheté un iPad qu’il a expédié au petit garçon afin de le récompenser pour son incroyable geste.

 

http://www.tvanouvelles.ca/

http://www.insoliteqc.com/