Une nouvelle araignée qui ronge la chair découverte au Mexique


Ce n’est vraiment pas le genre d’araignée qu’on aimerait rencontrer. Elle était inconnue des scientifiques, maintenant les présentations faites, on sait qu’elle peut mordre et son venin peut détruire des globules rouges et on ajoute la fièvre, nausée, fatigue et la guérison peut prendre un certain temps.

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Une nouvelle araignée qui ronge la chair découverte au Mexique

Une nouvelle araignée qui ronge la chair découverte au Mexique© Pixabay

Par Chloé Gurdjian –

Une nouvelle espèce d’araignée a été identifiée dans la vallée de Mexico. Une seule de ses morsures provoque d’importants dommages.

Voilà qui ne devrait pas rassurer les phobiques des araignées. Une nouvelle espèce a en effet été découverte dans l’état de Tlaxcala par des chercheurs de la National Autonomous University of Mexico (Unam), au Mexique. Ceux-ci pensaient au départ qu’il s’agissait de l’espèce Loxosceles misteca, mais, après des examens, ils se sont aperçu qu’ils avaient affaire à une nouvelle espèce. L’animal, baptisé Loxosceles tenochtitlan, s’avère très dangereux. Le Mexique est le pays qui compte le plus de Loxosceles puisque 40 des 140 espèces qui existent dans le monde sont originaires de ce pays.

Dotée d’un venin très puissant, une seule des morsures de cette araignée détruit les tissus, provoquant des lésions nécrotiques de la peau jusqu’à 40 cm. Le venin, transporté par la circulation sanguine, pourrait causer la destruction des globules rouges. Très douloureuse, la plaie peut également provoquer de la fièvre, des nausées, une grosse fatigue et des douleurs aux articulations. La blessure peut prendre plusieurs mois à guérir, laissant une cicatrice. Selon les scientifiques, la morsure serait plus dangereuse pour les enfants.

UNAM

Cette araignée venimeuse du Mexique a élu domicile dans les maisons, se cachant dans le mobilier, dans des trous ou dans les murs.

Mais si Loxosceles tenochtitlan fuit généralement l’homme, « elle est attirée par les déchets car elle peut se nourrir des insectes qui se trouvent autour, et les femelles sont deux fois plus toxiques que les mâles, expliquent les scientifiques. Ces araignées peuvent également être plus dangereuses pendant la saison des pluies, car les mâles recherchent des femelles la nuit et en raison de leur comportement erratique, ils peuvent finir par se cacher dans du tissu, des draps ou des chaussures ».

Alors, pour se protéger, les chercheurs n’ont qu’un conseil : garder les maisons propres et bien rangées

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Cet énorme requin blanc s’est fait croquer la tête par un préda­teur encore plus grand


Des scientifiques au large des États-Unis on attraper un requin blanc de 4 m et pesant près de 500 kg. Il avait des morsures sur sa tête. Elle aurait été faite par un plus gros prédateur. Probablement un autre requin blanc qui serait battu pour une femelle. Cet adversaire était encore plus gros que lui, c’est le genre de rencontre qu’on ne veut pas voir de près.
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Cet énorme requin blanc s’est fait croquer la tête par un préda­teur encore plus grand


Crédits : OCEARCH/R. Snow

par  Malaurie Chokoualé Datou

Capturé au large de la côté nord-est des États-Unis, le requin a été baptisé « Vimy » le 4 octobre dernier par une équipe de scien­ti­fiques. Lorsqu’ils ont décou­vert Vimy ce jour-là, ils ont réalisé que cet immense requin blanc portait deux énormes morsures sur le crâne, sans doute le résul­tat d’une rencontre avec un préda­teur encore plus grand, rapporte le quoti­dien améri­cain The Char­lotte Obser­ver.

L’une de ses bles­sures était presque guérie, mais l’autre est plutôt récente

« Les requins blancs vivent dans un monde hostile », écrit OCEARCH, une ONG créée « pour aider les scien­ti­fiques à collec­ter des données aupa­ra­vant inac­ces­sibles dans l’océan ».  « Vous en voulez la preuve ? Regar­dez la tête du requin blanc Vimy. »

Pour l’or­ga­ni­sa­tion, il est possible que Vimy ait perdu son combat contre un autre mâle pour une femelle, ou qu’il ait tenté de s’ac­cou­pler avec une femelle plus grosse que lui, y lais­sant quelques bouts de chair.

Ce spéci­men étant un masto­donte de 4 m de près de 500 kg, on peine à imagi­ner la taille du coupable. Vimy a ensuite été relâ­ché dans la nature, pour être suivi à la trace par OCEARCH. Peut-être décou­vrira-t-on bien­tôt l’au­teur·e de ces terribles morsures.

Source : The Char­lotte Obser­ver

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Ils font des selfies avec une pieuvre capable de tuer 26 personnes en une morsure


Un gars chanceux ! En Australie, des vacanciers ont été en contact avec une pieuvre aux anneaux bleus. Et pourquoi pas un égoportrait avec cette créature sur le bras !! Le hic, c’est que cette petite pieuvre a un poison vraiment puissant. Il en a un qui a été chanceux de ne pas avoir eu une morsure.
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Ils font des selfies avec une pieuvre capable de tuer 26 personnes en une morsure

Crédits : Ross Saun­ders / Face­book

par  Nicolas Pujos

Une simple morsure aurait pu tuer sur le coup Ross Saun­ders et John-Paul Lennon. En vacances en Austra­lie, ces deux back­pa­ckers irlan­dais ont risqué leur vie en jouant avec une petite pieuvre aux anneaux bleus toute mignonne dont le venin est assez puis­sant pour tuer 26 hommes adultes, rela­tait l’Irish Post le 16 juillet 2019.

C’est lors d’une partie de pêche que les deux Irlan­dais ont remonté un animal inha­bi­tuel que les habi­tants ne semblaient pas recon­naître, a confié Ross Sanders à la chaîne de télé­vi­sion austra­lienne 7News :

« J’ai demandé à tout le monde si c’était dange­reux, et tout le monde m’a répondu que non, alors j’ai pensé que ce serait sympa de prendre une photo. »

John-Paul Lennon confirme les propos de Saun­ders.

« Ross a essayé de prendre des photos de tous les animaux, notam­ment des koalas. Il voulait une photo avec la pieuvre sur son bras. »

Ce qu’il a fait. Or l’ani­mal en ques­tion a la parti­cu­la­rité de diffu­ser un venin 1000 fois plus fort que le cyanure.

En quelques minutes, les premiers symp­tômes appa­raissent : un engour­dis­se­ment des lèvres et de la langue, puis la respi­ra­tion devient de plus en plus diffi­cile. S’en­suit une para­ly­sie complète des muscles respi­ra­toires. Les victimes semblent alors perdre conscience, certaines ne pouvant pas répondre à l’ap­pel de leur nom.

Ross Saun­ders a résumé leur séjour en Austra­lie sur sa page Face­book :

« Regar­der deux couchers de soleil incroyables, voir des dauphins et attra­per une pieuvre aux anneaux bleus, l’un des animaux les plus dange­reux du monde sans même s’en rendre compte. »

Sources : The Irish Post/7News Bris­bane

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Le Saviez-Vous ► Médecine: de l’horreur à la menace


Il fut un temps que les maladies infectieuses, les épidémies, des maladies n’avaient pas de moyen pour l’enrayer et beaucoup trop de victimes y succombaient, comme diabète avant l’insuline, les gens souffraient le martyre à cause des infections et la putréfaction des plaies, ou encore la diphtérie avant le vaccin qui était transmissible d’un humain à un autre, ne sont que des exemples. Grâce à la recherche, beaucoup de maladies et infections possiblement mortelles sont maintenant évité par des médicaments ou des vaccins. Aujourd’hui, certaines maladies reviennent à cause des campagnes d’anti-vaccins. Malheureusement, ces personnes mettent leur vie et la vie des autres en danger.
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Médecine: de l’horreur à la menace

En réalité, il existera toujours deux facteurs qui feront pencher l'équilibre de la maladie et de la santé dans un sens ou dans l'autre. La beauté de l'histoire est que nous avons le contrôle sur l'un et l'autre de ces facteurs.

En réalité, il existera toujours deux facteurs qui feront pencher l’équilibre de la maladie et de la santé dans un sens ou dans l’autre. La beauté de l’histoire est que nous avons le contrôle sur l’un et l’autre de ces facteurs.

D-KEINE VIA GETTY IMAGES


Nous pouvons tous constater le recul des maladies mortelles et des épidémies qui décimaient des populations entières. Mais la partie n’est pas gagnée pour autant.

  • Jacques Beaulieu Communicateur scientifique

Voici des situations auxquelles les gens étaient trop souvent confrontés et qui n’existent plus de nos jours.

Une odeur de mort dans toute la maison

Le grand-père était couché dans son lit. Tout le monde savait qu’il n’en avait plus pour bien longtemps à vivre. Donc, inutile d’appeler le médecin ou encore de l’amener à l’hôpital. De toute façon, personne dans la famille n’aurait eu les moyens financiers pour payer le docteur et, encore moins, l’hôpital.

Alors on laissait grand-père s’éteindre lentement, trop lentement, de son diabète. Hier, son gros orteil s’était détaché de lui-même, complètement rongé par la gangrène. Sa jambe était bleuâtre et l’odeur infecte de viande pourrie embaumait la maison. En après-midi, monsieur le curé était passé et l’encens qu’il avait apporté réussissait à peine à camoufler cette odeur.

Ce tableau était fréquent avant que l’insuline ne fut découverte.

Brûlée vive ou dangerosité?

Toute la ville était aux abois. Une nouvelle épidémie faisait rage dans tout le pays et les premiers cas venaient d’apparaître dans la ville. Mais l’horreur atteint son comble quand Violette, la cadette de sept ans, présenta les premiers signes de la maladie.

Deux solutions s’offraient alors. Ou bien on laissait aller la maladie, alors la fillette vivrait quelque temps. Mais cette solution impliquait que durant sa brève existence, elle infecterait plusieurs autres personnes de son entourage. L’autre solution consistait à plonger la jeune enfant dans un bassin d’huile chaude.

Si elle en survivait, elle serait complètement défigurée pour toute sa vie, mais ne pourrait plus contaminer personne. Imaginez-vous, si vous l’osez, être la mère ou le père de Violette. Quelle décision prendrez-vous ?

Ce tableau était fréquent avant l’arrivée du premier vaccin.

Un père meurt après avoir été mordu par son fils de 4 ans

Nous sommes en 1620. La diphtérie est alors une maladie relativement fréquente et… mortelle. Infectées, les muqueuses de la gorge s’épaississent et finissent par obstruer complètement le passage de l’air dans les poumons.

Le patient aura beau vouloir inspirer ou expirer de l’air de toutes ses forces, plus rien ne passe. La mort par suffocation a alors lieu dans les minutes qui suivent l’obstruction complète. Le père voyant son fils souffrir ainsi et étant sur le point d’agoniser, il plongea sa main dans la bouche du petit et tenta d’enlever ce qui bloquait le passage de l’air.

Le fils, par réflexe, referma violemment sa bouche et mordit la main de son père jusqu’au sang. Quelques jours plus tard, le père développa aussi la diphtérie et, comme son fils, en mourut. Louis Mercado, médecin privé du roi d’Espagne Philippe III, en fut témoin et fut le premier à constater la nature transmissible de cette horrible maladie.

Bien sûr, les vaccins n’avaient pas encore été découverts.

Oui, mais

Nous pouvons tous constater le recul des maladies mortelles et des épidémies qui décimaient des populations entières. Et il est tout à fait normal et même louable de s’en féliciter. Mais la partie n’est pas gagnée pour autant.

En réalité, il existera toujours deux facteurs qui feront pencher l’équilibre de la maladie et de la santé dans un sens ou dans l’autre. La beauté de l’histoire est que nous avons le contrôle sur l’un et l’autre de ces facteurs.

Premier facteur: le patient

Le public a un rôle primordial à jouer en santé publique. S’il n’adopte pas un mode de vie sain et ne respecte pas les normes d’hygiène minimales requises, il forcera la balance à pencher du côté de la maladie. Les campagnes anti-vaccination ainsi que les doutes colportés contre les médicaments en général contribuent aussi à faire pencher la balance du côté de la maladie.

Quand une personne refuse de se protéger en se faisant vacciner ou en faisant vacciner ses enfants, elle met non seulement en jeu sa vie et celles de ses proches, mais représente une menace en santé publique. Il n’est pas normal qu’alors que des vaccins existent et sont disponibles certaines personnes refusent de faire vacciner leurs enfants. La résurgence de foyers épidémiques de rougeole, comme on le voit présentement, n’a aucune raison d’être acceptée.

La vaccination a éliminé complètement la variole de la surface de la Terre. Elle aurait pu, si tous les pays l’avaient adoptée, éliminer une autre maladie grave: la poliomyélite. Quant à la tuberculose, elle ne sévit qu’à des endroits où la promiscuité est grande et les mesures d’hygiène déficientes.

Quand le patient deviendra réellement un partenaire de sa santé, non seulement il favorisera sa propre santé, mais aussi il contribuera à l’amélioration de la santé publique.

Deuxième facteur: la recherche

La recherche demeure la seule garantie de pouvoir lutter efficacement contre les maladies présentes et futures. Ainsi, les antibiotiques ont longtemps été, et sont encore très efficaces contre les maladies infectieuses.

Mais les bactéries ne lâchent pas si facilement prise. Avec le temps, certaines bactéries peuvent développer des résistances aux antibiotiques. Qui plus est, on a découvert que ces bactéries résistantes peuvent partager leur «savoir-faire» avec d’autres bactéries augmentant ainsi les foyers de résistance.

Dans un article paru il y a quelques semaines, le Journal de Montréal rapportait que depuis cinq ans, 197 Québécois sont morts après avoir été infectés par l’une des bactéries résistantes surveillées par le ministère de la Santé (MSSS). Ce fléau pourrait devenir plus meurtrier que le cancer d’ici 2050.

Dans cette guerre sans fin entre l’homme et les microbes, notre seule arme efficace est la recherche scientifique. Elle vise deux objectifs: mieux connaître l’univers des microbes pour mieux se prévenir (recherche fondamentale) et développer de nouvelles armes (recherche appliquée et clinique) pour lutter contre les infections et les autres maladies.

S’asseoir sur ses lauriers et se contenter de bénéficier des avancées existantes n’est pas une option. Pour contrer les menaces, il faut encourager de toutes les façons possibles la recherche fondamentale et la recherche clinique en soutenant le mieux possible les médicaments novateurs.

En résumé, les deux clefs du succès: motiver le patient à devenir réellement partenaire de sa santé et favoriser la recherche et l’émergence de nouveaux médicaments.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Ce perroquet a survécu à une fusillade, une morsure de serpent et un kidnap­ping


Pauvre perroquet, il a reçu une balle au niveau du bec qui l’a rendu aveugle a été placé dans un zoo au Brésil, mais il a aussi été mordu sévèrement par un serpent non-venimeux pour ensuite être enlevé et abandonné. Il est retourné au zoo en espérant qu’il pourrait enfin vivre en paix.
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Ce perroquet a survécu à une fusillade, une morsure de serpent et un kidnap­ping

 

Crédits : The Guar­dian

par  Laura Boudoux

L’Ama­zone à front bleu a retrouvé le calme et la séré­nité de son foyer, au Brésil. Freddy Krue­ger le perroquet – du nom du person­nage de film d’hor­reur – est ainsi retourné dans son zoo, après de nombreuses aven­tures.

En quatre ans, l’oi­seau a ainsi reçu une balle en plein visage, a été mordu par un serpent, et volé par une bande de malfrats, le 16 avril 2019, rapporte le Guar­dian. Les mésa­ven­tures de Freddy ont débuté en 2015, lorsqu’il a été griè­ve­ment blessé lors d’une fusillade oppo­sant la police à son proprié­taire, membre d’un gang. Touché au niveau du bec, le perroquet aveugle et défi­guré avait alors été placé dans le zoo de la ville de Casca­vel.

Soigné et choyé par le person­nel de l’éta­blis­se­ment, Freddy le perroquet n’en avait pas fini de ses péri­pé­ties. Début avril 2019, il a ainsi été mordu au niveau de la patte par un serpent, heureu­se­ment non-veni­meux. L’oi­seau a beau­coup saigné mais s’en est fina­le­ment sorti… pour être dérobé par une bande de voleurs quelques jours plus tard.

Trois hommes armés ont en effet fait irrup­tion dans le zoo de Casca­vel, avant de repar­tir avec deux perroquets et une bouteille de gaz. Deux jours plus tard, Freddy pouvait retrou­ver sa maison, les employés du zoo l’ayant décou­vert au pied d’un pin, à côté de sa cage. D’après eux, le perroquet a certai­ne­ment mordu ses assaillants, qui l’ont sans doute aban­donné à cause de ses défor­ma­tions physiques. 

« Je n’ar­rive pas à savoir si Freddy a la poisse ou s’il a beau­coup de chance », se demande avec humour Ilair Dettoni, le vété­ri­naire du zoo.

L’autre perroquet et la bouteille de gaz sont toujours portés dispa­rus.

Sources : The Guar­dian

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Le Saviez-Vous ► Votre chien ou votre chat vous mangerait-il si vous mouriez ?


C’est glauque comme question !! Mourir sans que personne le sache alors qu’un ou des chiens ou chats sont encore présents. Qui va les nourrir ? Servirons-nous de repas si des animaux domestiques ne peuvent pas sortir d’eux-mêmes ?
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Votre chien ou votre chat vous mangerait-il si vous mouriez ?

 

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

 

C’est une question terrible que se posent (ou pas) de nombreux propriétaires d’animaux : si vous veniez à mourir subitement, seul dans votre appartement, votre chien ou votre chat vous mangerait-il pour survivre ?

Le chien, meilleur ami de l’Homme… vraiment ?

On dit souvent que le chien est le meilleur ami de l’Homme. Mais aussi que c’est l’être le plus fidèle qui soit. Entièrement dévoué à son maître, il vit pour le satisfaire. Si l’on se fie à cette description plutôt élogieuse, il apparaît peu probable qu’un chien puisse dévorer son humain adoré. Il devrait normalement préférer mourir de faim, la vie n’ayant de toute façon plus aucun sens sans son maître.

En réalité, ça ne se passe pas vraiment comme ça… Même s’il existe de nombreuses histoires de chiens qui se sont laissés mourir de chagrin après le décès de leur humain, sur le moment c’est tout de même l’instinct de survie qui prime. En effet, les chiens descendent des loups et, malgré leur domestication, ils ont gardé certains instincts de leurs ancêtres sauvages.

Ainsi, si votre chien se retrouve enfermé dans votre maison avec pour seule source de nourriture votre cadavre, il semble évident qu’il n’hésitera pas un seul instant. Mais seulement au bout de plusieurs jours, quand la faim le tiraillera vraiment…

Plusieurs jours… ou pas !

… Enfin, c’est ce qu’on aimerait croire. En réalité, dans 24% des cas il s’est écoulé moins d’une journée avant que les chiens ne commencent à manger leur propriétaire. Parfois même ils avaient accès à leur nourriture habituelleMais comment l’expliquer ?

Il s’agit en fait probablement d’une façon pour eux d’extérioriser leur stress provoqué par ce décès soudain de leur propriétaire. La panique qui les gagne les pousse à tenter de faire réagir leur maître en le poussant, en le léchant puis en le mordant. Or, la morsure peut stimuler la faim.

Pour preuve, 73% des cas impliquaient des morsures au visage contre 15% à l’abdomen. Pourtant, c’est la poitrine et l’abdomen que les loups ont tendance à manger en premier. En effet, c’est là que se trouvent les organes les plus riches en nutriments.

Quels sont les chiens concernés ?

La plupart des cas documentés de chiens qui ont dévoré une partie du corps de leur propriétaire sont des chiens de chasse ou de travail. Il s’agit généralement de chiens de moyenne ou de grande taille. En effet, le plus petit chien à avoir adopté ce comportement était un Beagle.

Par ailleurs, dans trois cas où les propriétaires ont été mangés par leurs chiens jusqu’à être décapités, il s’agissait de Bergers Allemands.

À noter que les chiens craintifs, sujets à l’anxiété de séparation, peuvent être plus enclins à adopter ce type de comportement.

Et le chat ? 

Si vous mourez inopinément dans votre maison et que votre chat a la possibilité de sortir, il y a de fortes chances pour qu’il retourne à l’état sauvage. Ou tout du moins qu’il tente de chasser des proies pour se nourrir (rongeurs, oiseaux…). Et il n’attendra pas d’être affamé pour ça ! Au contraire, nos amis félins comprennent vite ce qu’il se passe. Ils savent immédiatement que, vous mort, leur seule issue est de s’en aller.

Et qu’en est-il si votre chat est coincé dans l’appartement avec votre dépouille ? Eh bien, tout comme le ferait un chien, il y a de grandes chances pour qu’il finisse par vous manger. Dans ce cas, les félins ont tendance à commencer par dévorer les parties molles, notamment le nez et les lèvres.

Source

https://animalaxy.fr/

Un adolescent atteint de schizophrénie après avoir été griffé par son chat


Bartonella henselae est une bactérie responsable d’une infection dont l’hôte est le chat. Généralement, elle provoque des infections cutanées. Mais un cas rare s’est produit aux États-Unis, après qu’un jeune garçon s’est fait mordre et griffer par ses chatons. Il a changé de comportement du jour au lendemain. Il a été diagnostiqué schizophrène, sauf qu’aucun traitement ne semblait l’aider jusqu’au jour ou les médecins ont fait une liaison avec les chats. Il s’agissait d’une schizophrénie infectiueuse qui heureusement se guérit. Même si ce type d’affection est rare, il ne faut pas prendre à la légère les griffures et morsures.
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Un adolescent atteint de schizophrénie après avoir été griffé par son chat

Chat menaçant

Des scientifiques américains ont fait état d’un nouveau cas de schizophrénie après avoir examiné un adolescent de 14 ans. Le jeune garçon avait été griffé par son chat… 

 Aux Etats-Unis, les chercheurs américains ont fait face à un nouveau cas clinique, détaillé dans la revue Journal of Central Nervous System Disease. Le comportement d’un adolescent de 14 ans, a changé du jour au lendemain. Tout cela à cause d’une bactérie nommée  Bartonella, la bactérie des chatons. Les docteurs l’ont diagnostiqué 18 mois après les premiers symptômes.

Le jeune garçon a commencé à avoir des pulsions suicidaires, il pensait être « le fils du diable ». Il devenait complètement confus et tomba dans la dépression. À l’hôpital, les docteurs lui ont vite diagnostiqué une schizophrénie. Après la prescription d’antipsychotiques, il n’avait plus ces pulsions. En revanche, il souffrait toujours de psychoses.

18 mois d’incompréhension 

L’adolescent rentre à la maison, mais son cas s’aggrave. Cette fois-ci, il pense qu’un de ses chats tente de le tuer. De nouveaux symptômes font leur apparition: hallucinations visuelles, auditives et tactiles, fatigue extrême, migraines, crises de panique. Durant 18 mois, les chercheurs vont tenter d’améliorer son état, en vain. Plusieurs traitements lui ont été préscrits, sans succès.

Ce n’est qu’en janvier 2017, que les médecins découvrent qu’il souffre d’une , due à la bactérie Bartonella henselae. Cette bactérie est aussi appelée la bactérie du chaton et le jeune garçon avait plusieurs félins.

Selon l’étude, il « avait subi des morsures et des égratignures de chat peu avant l’apparition de la maladie ».

Cette bactérie, transmise de cette manière, peut provoquer des infections.

Le Dr Guillaume Fond, psychiatre aux Hôpitaux de Marseille et responsable au Centre expert schizophrénie et dépression résistante a qualifié la maladie de l’adolescent de « cas clinique édifiant », au site Pourquoi docteur ?. 

« Il montre que les médecins doivent systématiquement penser à cette piste en cas de nouveau cas de schizophrénie, ce qui est encore trop peu exploré à ce jour ». 

En 2017, deux ans après le début des symptômes, les psychoses du jeune garçon ont disparu.

Qu’est ce que vous risquez avec la Bartonellose ?

La Bartonellose est une bactérie responsable d’une infection connu des propriétaires de chat, la maladie des griffes du chat. Présent dans sa salive, elle est également sur sa peau et ses griffes. Généralement, la maladie se déclare suite à des effractions cutanées, et provoque une infection locale qui se traite aux antibiotiques.

Ce que ce journal scientifique révèle en publiant ce cas, c’est une forme rare de la maladie, qui entraîne des conséquences secondaires neuro-psychique importantes. Il semblerait que le traitement ait suffit à faire disparaître les symptômes, mais cela montre comment la biologie et la psychologie peuvent être liées dans des conditions que l’on pensait impossible. Cela reste des cas difficile à étudier, car rares et complexes.

Ainsi, gardez à l’esprit que vous ne risquez pas tant les effets psychologiques, que les effets dus à l’infection, en premier danger ! Nettoyez et désinfectez la moindre griffure de chat, et pensez à consulter une clinique de la main en cas de morsure.

Dr Stéphane Tardif

Docteur vétérinaire et rédacteur pour Wamiz

https://wamiz.com/

Une morsure de tique est capable de vous rendre végétarien


La tique étoilée était surtout localisée dans le Sud-est américain, mais elle se propage partout dans le monde et semble vouloir venir aussi au Québec. Cette tique peut rendre une personne allergique à la viande rouge, mais elle peut aussi entraîner la mort …
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Une morsure de tique est capable de vous rendre végétarien

 

Rosalie Dion
Rédactrice à MétéoMédia

Les morsures de tiques, plus précisément celles des tiques étoilées, pourraient faire apparaître une allergie soudaine à la… viande rouge ! C’est l’une des conclusions d’une étude publiée dans le Journal de l’association médicale américaine.

Le coupable serait l’alpha-gal, un sucre présent dans le sang de la plupart des mammifères, mais pas dans celui de l’humain. La découverte : ce sucre se trouve dans la salive de l’arachnide, indépendamment de s’il a récemment mordu un animal, remettant ainsi en question les théories antérieures.

L’allergie à la viande rouge se propage à une vitesse folle : alors qu’elle ne touchait que 3 % des adultes il y a peu de temps, celle-ci est maintenant présente partout dans le monde, principalement dans le sud-est des États-Unis, sur la côte est australienne ainsi qu’en Europe. Tranquillement, elle se dirige vers le Québec.

Difficile à diagnostiquer

Au départ, il était difficile pour les professionnels de la santé de diagnostiquer cette allergie. Certains patients n’étaient pas pris au sérieux. Les premiers cas ont été des jardiniers, des randonneurs, des chasseurs… Tous recouverts de piqûres.

Depuis cette découverte, des milliers de cas ont été répertoriés dans le monde. La sévérité des symptômes varie également d’une personne à l’autre, passant de l’urticaire jusqu’à la mort.

Reconnaître une piqûre

Il est recommandé de retirer soigneusement la tique de la peau, en faisant bien attention de la garder en un morceau. Il faut ensuite désinfecter la plaie et surveiller votre peau. Les symptômes inquiétants : une peau rouge, qui démange ainsi qu’un état de fatigue.

Il est conseillé de porter des chaussures hautes et fermées ainsi que des vêtements couvrants pour éviter les morsures lorsque vous allez vous balader en forêt.

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Le Saviez-Vous ► Araignées : 10 idées reçues à oublier absolument !


Les araignées génèrent chez plusieurs personnes, une peur, un dégoût, pourtant, la grande majorité ne sont pas dangereuses et sont très utiles. Cependant, il y a beaucoup d’idées préconçues envers ces bestioles. Ceux qui n’aiment vraiment pas les araignées, n’aimeront  pas du tout savoir à propos des araignées dans la maison.
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Araignées : 10 idées reçues à oublier absolument !

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

La peur des araignées est l’une des phobies les plus répandues chez les êtres humains. En effet, leur corps velu, leurs nombreux yeux, leurs huit pattes et leur façon si particulière de se déplacer en effraient, voire en dégoûtent plus d’un. Et pourtant, la plupart des araignées sont complètement inoffensives et cherchent par tous les moyens à fuir les humains. À croire qu’elles sont aussi rebutées par nous que nous le sommes par elles !

Afin de vous montrer que ces petites bêtes sont presque aussi mignonnes que nos chiens et nos chats et qu’il n’y a absolument pas lieu d’en avoir peur, voici 10 mythes sur les araignées que vous pouvez dès à présent oublier !

1. En hiver, les araignées se réfugient à l’intérieur

On pense souvent que, lorsque l’hiver arrive, les araignées s’empressent de venir se réfugier dans nos maisons pour échapper au froid. En effet, il n’est pas rare d’en voir plus souvent à l’intérieur en automne qu’en été.

Mais en réalité, la plupart des araignées que l’on rencontre dans nos foyers y vivent depuis toujours. Ces araignées pondent leurs œufs dans les meubles et vivent, de génération en génération, à l’intérieur. Elles se sont même adaptées au climat tempéré des maisons et au manque d’eau et de nourriture.

2. Les araignées sont agressives

Lorsque l’on se réveille et que l’on remarque un bouton sur notre corps alors que nous sommes en plein hiver et qu’il n’y a pas de moustiques dans la zone, on pense immédiatement à une piqûre d’araignée. Or, non seulement les araignées ne piquent pas, mais en plus elles sont de nature peureuse. Ainsi, elles ont plutôt tendance à fuir lorsqu’elles aperçoivent un humain ! De plus, elles ne se nourrissent pas de chair humaine.

Les seuls moments où une araignée peut vous mordre (encore faut-il qu’elle soit suffisamment grosse), c’est lorsqu’elle se sent menacée, lorsque vous vous asseyez dessus par inadvertance, par exemple.

3. Le venin des mygales est mortel

Les mygales sont victimes d’une réputation particulièrement négative. En effet, leur grande taille et leur corps velu ont de quoi effrayer. Mais, en réalité, malgré un venin puissant, leur morsure, qui s’avère tout de même douloureuse, n’est généralementpas dangereuse pour l’Homme.

De rares espèces de mygales peuvent causer des comas et une seule (Atrax robustus) peut provoquer la mort. Toutefois, il existe un anti venin.

4. Les araignées sont des insectes

Même si les araignées présentent quelques caractéristiques communes avec les insectes, elles ne peuvent pas être considérées comme telles ! En effet, les araignées sont des arachnides, tout comme les acariens et les tiques. Cela signifie qu’elles ont huit pattes, contrairement aux insectes qui en ont généralement six, et qu’elles n’ont pas d’antennes.

5. Les araignées sont mieux dehors

Pour les plus empathiques d’entre nous, lorsqu’il nous arrive de trouver une araignée à l’intérieur de la maison, notre premier réflexe n’est pas de l’écraser mais de la mettre dehors. En effet, on imagine qu’elle sera certainement plus heureuse à l’extérieur.

Et pourtant, comme on a pu le voir tout à l’heure, les araignées que l’on rencontre à l’intérieur des maisons y vivent bien souvent depuis toujours. Ainsi, les relâcher dans la nature revient à signer leur arrêt de mort. Et pour cause, elles ne sont pas habituées à la vie en plein air, aux températures changeantes et aux prédateurs !

araignée maison

Crédits : iStock

6. On avale 8 araignées par an en dormant

C’est totalement faux ! Comme nous l’avons vu, les araignées ont plutôt tendance à fuir les humains. Ainsi, si une araignée se retrouvait par hasard sur votre visage, il faudrait déjà que cela ne vous réveille pas, mais qu’en plus vous dormiez la bouche ouverte et que vous ne respiriez pas.

En effet, les araignées détestent la chaleur. Or, lorsque vous respirez, vous exhalez un souffle chaud. Et ne parlons pas des vibrations produites par vos ronflements qui auraient vite fait de faire détaler toute éventuelle araignée !

7. Les araignées sont partout

On dit souvent que les araignées sont tellement nombreuses qu’elles sont partout autour de nous, invisibles, et qu’elles observent le moindre de nos mouvements. De quoi rendre ces petites bêtes particulièrement angoissantes ! Mais en réalité, tout dépend de l’endroit où vous vous trouvez.

En effet, si vous décidez de pique-niquer dans un parc, il y a fort à parier que vous serez entouré d’araignées minuscules. En revanche, si vous vous trouvez sur un terrain de golf ou tout autre gazon hyper entretenu, il y a peu de chances d’en rencontrer. De même si vous êtes dans un avion ou au sommet d’un gratte-ciel. Enfin, sachez que l’hiver, la plupart des araignées restent bien au chaud dans leurs terriers.

8. Toutes les araignées tissent des toiles

Lorsque l’on pense aux araignées, on pense immédiatement à la toile si particulière qu’elles passent des jours à tisser. Cette toile en soie, qui est généralement plutôt collante, leur sert à capturer leurs proies et donc à se nourrir.

Cependant, toutes les araignées ne tissent pas des toiles. En effet, certaines s’enfoncent dans la terre pour se camoufler, d’autres se tiennent en embuscade et d’autres encore vont directement au contact.

9. Les araignées pondent sous la peau

On a tous entendu quelqu’un dire qu’il connaissait quelqu’un à qui c’était arrivé : voir sortir d’une partie de son corps des centaines de petites araignées. La raison ? Une araignée qui aurait pondu sous la peau…

En réalité, il est impossible que cela arrive pour la simple et bonne raison que les araignées ne disposent pas d’organe perforateur. Elles peuvent tout au plus vous mordre, et seulement si elles sont suffisamment grosses. En revanche, les acariens, qui peuvent être confondus avec les araignées, ont cette capacité… À bon entendeur !

10. Les araignées tissent des toiles en spirales

La première image qui nous vient à l’esprit lorsque l’on imagine une toile d’araignée, c’est sa forme circulaire constituée d’une série de spirales. Pourtant, les araignées sont capables de créer des toiles aux designs différents.

Par exemple, certaines araignées créent des toiles à entonnoir qui ne collent pas et dans lesquelles elles se cachent jusqu’à ce qu’une proie passe à proximité. Elles sortent alors de leur cachette pour attaquer.

Source

https://animalaxy.fr/

Comment réagir en cas de morsure animale?


Qu’importe l’animal domestique ou sauvage, une morsure doit être prise au sérieux, pour éviter les infections. Bien que dans mon coin de pays, un animal projetant un venin est plutôt rare, il est quand même important de savoir la marche à suivre surtout en voyage.
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Comment réagir en cas de morsure animale?

 

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Chien, chat, cheval, singe, chauve-souris,… les premiers soins sont les mêmes.

Lors d’une morsure par un animal, il y a un risque d’infection bactérienne. En effet, la gueule de l’animal contient une série de bactéries qui peut contaminer la plaie et infecter le sang de la personne qui a été mordue. La prise en charge des morsures d’animaux n’est donc pas une chose à prendre à la légère. Elle nécessitera systématiquement l’avis d’un médecin.

Risques

Les principaux risques graves des morsures sont les infections par la bactérie Clostridium tetani (qui engendre le tétanos) et par le virus de la rage. On dénombre environ 20 cas de tétanos par an en Belgique. Ces cas sont le plus souvent des personnes âgées dont la vaccination n’est pas à jour. La rage, bien que presque totalement éradiquée en Europe, fait encore de nombreuses victimes dans le monde: attention si vous voyagez dans les pays endémiques.

Les bons réflexes

Si vous vous faites mordre par un chien par exemple, le meilleur réflexe à avoir est de prendre les coordonnées du propriétaire. Le maître pourra ainsi être contacté afin de s’assurer du statut vaccinal de son animal. Il est aussi très important de prendre note de l’heure de la morsure afin de la communiquer au médecin. Si vous voyagez et que vous vous faites mordre par un singe par exemple, contactez l’Institut de médecine tropicale d’Anvers (https://www.itg.be/ ou 03/247 66 66) qui vous renseignera sur la marche à suivre.

Les soins

La première chose à faire lors d’une morsure est de laver la plaie pendant 15 min à l’eau et au savon. Il faudra aussi rincer abondamment. La désinfection de la plaie ne sera conseillée qu’après ce lavage intensif. Comme toutes les morsures présentent un haut risque d’infection, une consultation médicale est nécessaire. Selon l’animal en cause, le type ou la localisation de la plaie, un traitement antibiotique pourra être prescrit. Si vous n’êtes pas à jour pour le tétanos, un rappel ou une revaccination sera nécessaire. Une surveillance de la plaie ainsi que de la température est à effectuer les quelques jours suivants la morsure. Au moindre signe d’infection (pus, plaie odorante, douleur intense, fièvre,…), il faudra reconsulter.

Cas particulier : les serpents et vipères 

Pas besoin d’aller bien loin pour rencontrer des vipères. On en trouve dans le sud de la France ou dans certains coins de Belgique. Lors d’une morsure, il faut garder son calme. La plupart n’entraînent que des réactions locales et, si la vipère est venimeuse, l’accélération du rythme cardiaque ne fera que diffuser le venin plus rapidement. Il faudra appeler le 112 et bien observer l’animal pour le décrire à l’hôpital. Mieux, on peut le photographier. En attendant les secours, on lave la plaie à l’eau et au savon et on enlève toutes compressions (chaussures, bagues, montre). On ne pratique ni garrot ni succion qui aggravent les lésions. La marche à suivre est la même si vous vous faites mordre par un serpent à l’étranger. Il faudra bien observer la bête afin de la décrire, contacter l’hôpital le plus proche, laver la plaie à l’eau et au savon, enlever les compressions et enfin garder son calme.

https://www.7sur7.be/