Votre smartphone est un repaire de bactéries !


Bon des bactéries, il y en a partout, mais on peut tout même essayer de minimiser leur nombre. Sur nos chers Smartphone ou tablette que l’on traine partout et qu’on touche avec nos doigts, ramassent toutes bactéries qu’il rencontre et partage aisément ces bactéries plusieurs fois
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Votre smartphone est un repaire de bactéries !


 

 

Crédits : Pxhere

par Yohan Demeure

L’utilisation du smartphone peut se faire partout selon les envies, sur son lit, dans la salle de bain, à table ou encore même aux toilettes ! Saviez-vous cependant que les écrans de smartphone sont de véritables nids à bactéries ?

Il existe certaines bactéries capables de rendre malade, occasionnant infections, rhumes et autres intoxications alimentaires. Dans la plupart des cas, celles-ci sont présentes sur nos mains, se transmettent par la nourriture et atterrissent finalement dans notre bouche. Évidemment, les muqueuses (narines, oreilles, etc.) ainsi que les plaies (éraflures et autres coupures) sont des entrées idéales.

Or il s’avère que nos écrans de smartphone (et tablettes) sont des endroits où les bactéries élisent domicile. Ainsi, ces mêmes écrans sont des vecteurs de transmission pour les organismes infectieux, comme le rappelait Time Magazine par le biais d’un récent article dans lequel Philip Tierno, professeur en pathologie à la New York University school of medicine (États-Unis), avait été interrogé.

Le spécialiste mettait en lumière qu’après s’être lavé les mains, le fait de toucher une nouvelle fois son smartphone les contaminait à nouveau. Par ailleurs, un grand nombre de personnes touchant la même surface augmentent les risques de transmission. Un parallèle avec les transports en commun peut être fait :

« Si vous touchez une barre de métro suintante et qu’ensuite vous consultez vos mails sur votre téléphone, ce dernier sera recouvert par les microbes des personnes qui ont touché cette barre de métro », ajoutait Philip Tierno.

Ceci avait été prouvé dans une étude menée en 2014 par des biologistes de l’Université de l’Oregon et publiée dans la revue PeerJ. Ces recherches avaient montré que 82 % des bactéries les plus courantes sur les doigts des utilisateurs se trouvaient également sur l’écran de leur smartphone. Il est donc conseillé de nettoyer ses écrans le plus souvent possible, en ayant bien évidemment éteint son appareil au préalable.

Sources : SlateTribune de Genève

http://sciencepost.fr/

Une application pour aider lors des disparitions d’enfants


L’an dernier 7 025 enfants ont disparus, mais la majorité était des fugues au Québec. Enfant-Retour a mis en ligne une application pour les mobiles qui permet de mettre des photos récentes et informations et description de l’enfant. En cas de besoin, ces informations peuvent être envoyées par texto ou courriel immédiatement à la police.
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Une application pour aider lors des disparitions d’enfants

 

Capture d'écran de l'application offerte sur le site...

Capture d’écran de l’application offerte sur le site d’App Store d’Apple.

 

STÉPHANIE MARIN
La Presse Canadienne

Pour que les parents d’enfants disparus ne perdent aucune seconde avant de pouvoir les signaler à la police, le Réseau Enfants-Retour a lancé vendredi une application qui permet d’emmagasiner à l’avance photos et description physique dans les téléphones intelligents.

SIGN4L est l’application que les parents espèrent ne jamais utiliser, a fait valoir Pina Arcamone, la directrice générale du Réseau enfants-retour, lors d’une conférence de presse vendredi, organisée dans une école primaire de Montréal.

L’application est disponible dès maintenant.

Elle est gratuite et téléchargeable en français et en anglais. Les parents peuvent y conserver des photos récentes de leurs enfants, ainsi qu’une description physique assez détaillée. En cas de disparition, l’information peut être transmise immédiatement par texto ou courriel à la police.

Des parents qui sont en détresse lorsque leur enfant ne rentre pas à la maison à l’heure prévue ou qui disparaît dans un centre commercial bondé peuvent avoir de la difficulté à le décrire adéquatement. Et n’auront pas forcément de photos récentes sous la main pour remettre aux autorités. Puisque tout le monde ou presque trimbale son téléphone cellulaire en tout temps – même en vacances – l’application peut épargner les précieuses secondes qui comptent lors d’un enlèvement.

Et pour des fins de sécurité, les informations ne sont pas conservées dans une banque de données : seuls les parents et les gardiens y ont accès, précise le Réseau Enfants-Retour.

En 2017, au Québec seulement, 7025 enfants ont été signalés comme disparus, dont la majorité était des fugues.

http://www.lapresse.ca/

Recyc-Québec lance une application mobile pour recycler


J’ai testé l’application sur mon téléphone et c’est assez intéressant, en se basant sur ma ville, il indique ce qui peut-être recycler, ou compostage ou poubelle, s’il y a lieu d’aller dans des écocentres avec les endroits sur une carte où on peut aller, et même les endroits indiqués pour déposer des appareils électroniques, des piles etc …Il y a un moteur de recherche qui fonctionne bien. Il y a beaucoup de choses que je ne croyais pas qu’on recyclait ou le contraire
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Recyc-Québec lance une application mobile pour recycler

 

Plus de 800 produits de consommation y sont... (PHOTO DAVID BOILY, archives LA PRESSE)

Plus de 800 produits de consommation y sont recensés, et l’application indique quoi faire avec chacune des matières, des pots de sauce en verre aux bouteilles de plastique en passant par les piles, les pneus et les tissus.

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

 

STÉPHANIE MARIN
La Presse Canadienne

Confus devant votre bac de recyclage? Recyc-Québec lance une application mobile appelée «Ça va où?» pour aider les citoyens partout au Québec à bien trier et récupérer.

Cette application peut être téléchargée gratuitement sur les téléphones intelligents. Une version est aussi disponible sur l’internet.

Plus de 800 produits de consommation y sont recensés, et l’application indique quoi faire avec chacune des matières, des pots de sauce en verre aux bouteilles de plastique en passant par les piles, les pneus et les tissus.

Elle permet ensuite d’identifier les endroits où ces matières peuvent être apportées si leur destination n’est pas le bac de recyclage à la maison. Un outil de géolocalisation permet de repérer facilement les dépôts plus spécialisés et les écocentres, avec les heures d’ouverture.

Les informations sont disponibles pour 1300 municipalités et territoires du Québec.

Quelques constatations sont à la base de cette initiative: plus d’un Québécois sur deux choisit de mettre un produit dans le bac même s’il ne sait pas si le produit est recyclable et près de la moitié des citoyens pensent qu’ils récupéreraient plus s’ils connaissaient mieux les façons de recycler.

Selon cette même étude réalisée par la société d’État Recyc-Québec, les habitudes de recyclage sont moins bien ancrées chez les 18-34 ans, qui sont par contre de grands utilisateurs des téléphones intelligents: l’application mobile les vise ainsi doublement.

«Les Québécois veulent bien faire quand ils gèrent leurs matières résiduelles. Toutefois, nous le savons maintenant, ils manquent d’information pour mieux faire», a souligné la ministre de l’Environnement Isabelle Melançon, présente lors du lancement de l’application, lundi à Montréal. Le geste à la source du processus est très important, a-t-elle martelé.

Car si des matières recyclables comportent des contaminants, ils peuvent en contaminer d’autres lors du triage au centre de tri et «là, on vient de faire des pertes», précise-t-elle.

Mais où vont les matières après le tri?

Même si les bouteilles de shampooing et les journaux sont dûment recyclés par le citoyen, il n’y a pas forcément de débouchés et de possibilités de transformation pour toutes les matières récupérées.

La Chine a récemment fermé ses portes à certaines matières recyclables en provenance de l’étranger, dont des papiers et plastiques, ce qui cause des maux de tête aux centres de tri et de récupération, notamment au Québec, qui ne savent plus quoi faire avec certaines matières qui s’accumulent.

Par exemple, le Centre de récupération et de tri de Montréal est actuellement aux prises avec quelque 6000 ballots de papier, entreposés dans une cour, pour lesquels il ne trouve pas encore de débouchés, a récemment rapporté Radio-Canada. Les matières se trouvent à l’extérieur depuis plusieurs mois, au gré des intempéries.

Pour la ministre Melançon, envoyer ces ballots au dépotoir n’est pas une solution, a-t-elle déclaré lundi, après la conférence de presse.

«Il en va de la crédibilité de la démarche et de la confiance du public».

Mais encore aucune solution n’a été trouvée pour ce problème, a indiqué la présidente-directrice générale de Recyc-Québec, Sonia Gagné, qui dit être en discussions intenses avec la ville de Montréal, le centre de tri et son gestionnaire Rebuts Solides Canadiens Inc., une filiale du groupe Tiru.

http://www.lapresse.ca/

Truc maison ► 11 Choses qu’on ne devrait jamais nettoyer avec le vinaigre


Le vinaigre a des propriété de nettoyage très efficaces cependant, il y a certaines matières que nous voulons nettoyer est contre-indiqué d’employer le vinaigre
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11 Choses qu’on ne devrait jamais nettoyer avec le vinaigre

 

Nettoyer sa maison en utilisant des ingrédients naturels et peu polluants, et en plus peu coûteux , est un rêve en partie réalisable: nous savons en effet que le citron , le bicarbonate, le sel et le vinaigre sont formidables pour éliminer la saleté, tout autant que les produits qu’on voit dans les publicités à la télé.

Cependant, ces « détergents » naturels ont aussi des contre-indications: leur composition chimique , en effet, pourrait abîmer certaines matières.

Aujourd’hui, nous nous concentrerons sur le vinaigre, en listant tous les cas où il est préférable de ne  pas l’utiliser.

Le marbre

image: GoingPublicPR/Wikimedia

Les surfaces en marbre et similaires sont considérés indestructibles: en effet, elles résistent à la chaleur, aux coups et aux entailles, mais des produits comme le vinaigre peuvent être trop aggressifs au point de tacher la pierre ou de la corroder.

Les écrans d’appareils technologiques

image: pexels.com

Les écrans de smartphone et de tablettes ont une couche protective superficielle que le vinaigre pourrait enlever: pour nettoyer les écrans, il est préférable d’utiliser exclusivement de l’eau et un chiffon en microfibre.

Surface en bois ciré

image: franchise opportunities/Flickr

Certaines surfaces et meubles en bois sont traités avec une couche de cire: évitez d’utiliser le vinaigre pour ne pas l’enlever.

Sol avec des joints non traités

image: pixabay.com

Le vinaigre est très souvent utilisé pour nettoyer les sols, mais il faut faire attention quand les joints entre les carrelages ne sont pas traités: le vinaigre pourrait en effet les tacher ou les corroder.

Les taches résistantes sur les tapis

image: Emerson/Flickr

Le vinaigre est utile pour enlever les petites taches sur les tapis, mais les taches les plus résistantes auront besoin d’un traitement spécifique: utiliser le vinaigre pourrait être non seulement inutile mais pourrait aussi tacher le tissu.

Jamais avec l’eau de javel

image: Adina Firestone/Wikimedia

Quand l’eau de javel et le vinaigre sont mélangés , ils réagissent en produisant un chlore gazeux: ce gaz pourrait provoquer des irritations cutanées et des difficultés respiratoires , mais aussi des effets plus graves en cas de concentrations plus élevées.

Taches d’oeufs

image: Stangoldsmith/Wikimedia

Les taches d’oeufs sur les tissus et autres surfaces , si elles sont traitées avec le vinaigre, peuvent se coaguler et devenir encore plus difficiles à enlever.

La machine à laver

image: pexels.com

On entend souvent dire que pour nettoyer la machine à laver, il faut de temps en temps faire un lavage à vide avec du vinaigre: pourtant certains disent que le vinaigre pourrait abîmer les joints et donc compromettre le bon fonctionnement de la machine.

Il est conseillé de lire le manuel d’utilisation ou de contacter le producteur et demander des précisions sur l’utilisation du vinaigre.

Sols en bois massif

image: pixabay.com

Les professionnels disent que l’utilisation du vinaigre sur le bois a le même effet qu’un papier abrasif: il « mange » la finition protectrice et la pellicule de cire. Dans ce cas -là, il faudrait utiliser seulement des produits spécifiques pour le bois!

L’aluminium

image: Jcmontero/Wikimedia

N’utlisez pas le vinaigre pour nettoyer votre batterie de cuisine en aluminium et les autres objets de la même matière, sinon cela fera des taches sur la surface!

Les lames en acier au carbone

image: pixabay.com

Cette matière s’abîme de manière irréversible quand elle rentre en contact avec de l’acide: si vous voulez conserver vos couteaux brillants et coupants, il ne faut surtout pas utiliser le vinaigre

http://www.regardecettevideo.

Prendre des photos avec nos Smartphones change notre façon de se souvenir


Nos souvenirs sont faits images, d’émotions, de sensation face à un environnement. D’après des études sur la mémoire, la photo numérique nuirait à notre mémoire par l’absence des émotions et de l’environnement.
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Prendre des photos avec nos Smartphones change notre façon de se souvenir

 

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Time is an illusion | Michelle Robinson via Flickr CC License by

Repéré sur Vox

Repéré par Aurélie Rodrigues

Des chercheurs américains ont montré les conséquences des smartphones sur notre mémoire.

Une étude réalisée par Jason Chan, professeur en psychologie à l’université d’État de l’Iowa, montre que nos souvenirs sont comme des documents Word: nous pouvons les éditer, les réécrire ou même les supprimer. Mais aujourd’hui, l’utilisation de nos smartphones pour documenter nos vies ne serait pas sans conséquences sur notre mémoire.

Brian Resnick, journaliste scientifique à Vox, s’est penché sur la question. Pour se forger un souvenir durable, il faut prêter attention. Notre cerveau sera alors en mesure de capter tous les détails environnants: l’odeur d’un parfum, la caresse du vent sur notre peau ou encore la couleur flamboyante des feuilles en automne.

On prête moins attention au monde qui nous entoure

Une étude qui sera publiée en mai prochain dans la revue scientifique Journal of Experiment Social Psychology a voulu tester les conséquences du manque d’attention sur la mémoire. Les participants avaient pour mission de visiter le Stanford Memorial Church, une église située en plein coeur de l’université de Stanford en Californie. Certains d’entre eux devaient prendre des photos lors de la visite.

Une semaine plus tard, les participants ont été invités à répondre à un quiz. Résultat, les personnes chargées de prendre des photos ont obtenu un score inférieur: un peu moins de six réponses correctes sur dix contre sept pour les autres.

Emma Templeton, chercheuse en psychologie à l’université de Dartmouth et co-autrice de l’étude, explique que «les smartphones sont des distractions qui empêchent de prêter complètement attention au monde qui nous entoure».

Les auteurs de l’étude soupçonnent que le fait de prendre des photos n’est pas la seule emprise sur nos souvenirs. Par exemple, tweeter pendant un évènement, envoyer des textos ou prendre des notes peut aussi provoquer des trous de mémoires.

On se souvient en adoptant une perspective extérieure

Une autre étude rapportée par Vox montre toutefois que photographier améliore la mémoire visuelle. Cependant, les autres sens sont souvent laissés de côté. En conséquence, nos souvenirs ont tendance à être mono-sensoriels.

Faites le test: essayez de vous rappeler de la dernière photo que vous avez postée sur Instagram ou Facebook. Vous aurez tendance à la visualiser comme si vous étiez extérieur à la scène. Alixandra Barasch, experte en sciences cognitives, explique que c’est une conséquence directe du partage de nos images sur les réseaux sociaux.

«Cette perspective influe aussi sur notre façon de ressentir le souvenir en question. Les émotions associées sont souvent oubliées», précise-t-elle.

Emma Templeton souligne que les recherches sur l’influence des smartphones sur nos fonctions cognitives ne font que commencer –notamment à cause du fait que la technologie et notre façon de l’utiliser évoluent constamment.

http://www.slate.fr/

Trucs Express ► 20 utilisations avec le dentifrice


 

Des trucs que l’on peut essayer avec du dentifrice. Moi, j’ai essayé avec un CD égratigné, cela fonctionne avec des petites éraflures, mais pas pour celles qui sont profondes.
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20 utilisations avec le dentifrice

Ne gardez pas votre dentifrice dans la salle de bain uniquement pour vos dents, voici une liste de 20 choses pour lesquelles on peut utiliser du dentifrice en plus du brossage.

1. Enlever des taches d’encre

C’est certainement embêtant quand on oublie un stylo dans sa poche et que l’encre fuit. Mais ce n’est pas la fin du monde ; avec un peu de dentifrice, la tache peut s’enlever. Frottez un peu de dentifrice sur la tache et laissez sécher. Lavez et vous remarquerez le lendemain que la tache est partie.

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2. Nettoyer les phares de voitures

Ne gaspillez pas votre argent en achetant des produits qui coutent cher pour votre voiture, le dentifrice fonctionne tout aussi bien. Vous pouvez même utiliser une brosse à dents pour nettoyer les phares, frottez tout simplement du dentifrice dessus et rincez avec de l’eau.

3. Polissez votre argenterie

Avez-vous des objets en argent qui trainent dans une boite chez vous ? À l’aide d’un peu de dentifrice, votre argenterie retrouvera sa gloire d’antan. Frottez tout simplement avec un chiffon doux enduit d’un peu de dentifrice et ce sera brillant en un rien de temps.

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4. Gardez vos lunettes de soleil propres

Des lunettes de soleil sales peuvent être gênantes, donc une solution rapide peut être une fine couche de dentifrice sur les verres et vous verrez clairement à nouveau.

5. Taches blanches

Est-ce que vous avez des cercles blancs sur vos surfaces en bois, à cause de vos verres ? Plutôt moche et embêtant n’est-ce pas ? Frottez un peu de dentifrice dessus et regardez la tache se volatiliser avant d’essuyer.

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6. Nettoyer des chaussures sales

Frottez vos baskets blanches avec un peu de dentifrice et elles seront comme neuves en un rien de temps.

7. Nettoyer les touches de piano

Les touches de piano ont tendance à changer de couleur après quelque temps. Récurez avec un peu de dentifrice et elles seront comme neuves.

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8. Traitement contre l’acné

Vous avez probablement déjà entendu parler de cette astuce, mais pour ceux qui ne le savaient pas, il s’agit d’une méthode testée et approuvée pour guérir l’acné. Si vous avez des problèmes d’acné, mais ne voulez pas dépenser une fortune en crèmes, appliquez un peu de dentifrice sur l’endroit concerné et vous verrez des résultats.

9. Soulager les piqures de moustique

Il existe toutes sortes de cures contre les démangeaisons suite aux piqures de moustiques, mais la prochaine fois que vous vous faites piquer, appliquez un peu de dentifrice et vous serez soulagés.

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10. Enlever des taches

Frottez tout simplement la tache avec du dentifrice laissez sécher et lavez en machine en suivant les instructions de lavage du vêtement.

11. Enlever du vernis à ongles

Enlever du vernis à ongles sans dissolvant, j’ai toujours cru que c’était impossible, mais plus maintenant. Frottez-vous les ongles avec du dentifrice et vous verrez le vernis disparaitre. En bonus, vos doigts sentiront très frais !

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12. Nettoyez votre téléphone

Les téléphones sont souvent recouverts de plus de microbes que la lunette des toilettes ! L’essuyer contre votre t-shirt ne fera pas une grande différence, mais en passant une petite noisette de dentifrice par-dessus votre téléphone, il sera brillant et sans microbes.

13. Nettoyez votre fer à repasser

Un fer à repasser sale va forcément salir tout ce que vous essayerez de repasser avec. Laissez-le refroidir et frottez un peu de dentifrice sur la semelle. Essuyez délicatement et vous serez prêts à l’utiliser de nouveau.

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14. Enlever les odeurs

Avez-vous des chaussures qui sentent, mais vous ne pouvez pas les laver ? Pas de problème ! Frottez un peu de dentifrice sur le bord des semelles et elles auront un parfum frais à nouveau.

15. Accrochez des posters

Est-ce que vous vivez dans un appartement où vous n’avez pas le droit de faire des trous aux murs ? Aucun problème. Désormais, vous pouvez accrocher vos posters aux murs sans clous et sans marteaux. Le dentifrice fonctionne comme de la colle, mais sans détruire vos murs.

16. Enlever les taches

Une tache de vin ou de café sur la moquette n’est jamais une bonne chose. Mais ne désespérez pas, le dentifrice peut enlever les taches difficiles.

17. Savon pour les mains

Votre savon pour les mains est fini ! Pas de problème, lavez-vous les mains avec du dentifrice, il enlèvera les microbes et la saleté.

Pixabay

18. Restauration de CDs

Est-ce que vous avez un vieux CD à la maison que vous ne pouvez plus utiliser parce qu’il est recouvert de rayures ? Pas de soucis. Frottez les rayures avec du dentifrice et il sera comme neuf.

19. Gardez votre thermos propre

Une bouteille en acier inoxydable peut être parfaite pour vos sorties en plein air, mais se décolorer au fil du temps et devenir dégoutante. Mais il y a une solution, eh oui, vous l’avez deviné, c’est le dentifrice ! Pressez un peu de dentifrice dans le thermos et remplissez-le d’eau chaude. Refermez le couvercle et secouez aussi fort que vous pouvez. Rincez ensuite comme à l’accoutumée. Votre thermos sera comme neuf.

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20. Enlever les rayures d’une voiture

C’est très embêtant de rayer sa voiture et c’est à la fois cher et moche à enlever. Mais plusieurs marques de rayures peuvent s’enlever sans avoir à passer par un garage. Frottez un peu de dentifrice sur la surface concernée et regardez ce qui se passe. Il n’est pas garanti que ça marche à chaque fois, mais ça ne vous coutera rien d’essayer.

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Vous effacez le numéro de téléphone de vos morts ? Eux n’y arrivent pas


Si vous garder le numéro de téléphone d’un disparu sur votre mobile, vous n’êtes pas les seuls. Moi, j’ai encore celui de ma mère qui est décédée et je sais bien que cela ne sert à rien et que si j’appellerai, ce serait probablement une autre personne. Elle n’est plus là un point c’est tout. Pourquoi on garde les numéros des morts virtuellement ? J’essaie de comprendre pour moi, et je pense que je ne l’accepte pas encore de la façon qu’elle est décédée et non sa mort elle-même
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Vous effacez le numéro de téléphone de vos morts ? Eux n’y arrivent pas

 

Pour entendre sa voix, pour éviter de le tuer une deuxième fois, ils conservent le numéro d’un proche décédé.

Par Emilie Brouze

Que faites-vous des numéros de vos morts ? Vous les effacez de la mémoire de votre téléphone ? Vous n’y touchez pas jusqu’à ce que le destin s’en charge (téléphone dérobé, données évaporées) ?

Sophie Calle, artiste plasticienne, interroge les visiteurs du Musée de la chasse et de la nature, à Paris. Son exposition s’ouvre sur le thème du deuil et de l’absence.

Quand son père, « Bob », cancérologue et collectionneur d’art, est mort au printemps 2015, elle a conservé son numéro. « Pas facile », de le retirer. Fâcheuse conséquence : dans une œuvre en forme de pierre tombale, elle écrit l’avoir un jour appelé par mégarde… Elle a raccroché aussitôt.

« Peu après, son portrait et son nom se sont affichés sur l’écran. Bob m’envoyait un message. »

De l’au-delà ? Le numéro de son père a visiblement été réattribué à un être vivant laconique. Sur son téléphone, trois lettres :

« C ki »

L’œuvre « C ki ? » de Sophie Calle, Paris, 2017. (Sophie Calle/ADAGP, Courtesy Perrotin)

Comme Sophie Calle, Emmeline, 30 ans, ne se résout pas à supprimer le numéro de son père, décédé en juillet 2012. L’étudiante infirmière a beau savoir que l’alignement de chiffres lui ayant appartenu n’est qu’un identifiant qui lui permettait d’entendre sa voix derrière un boîtier, le geste est inenvisageable.

C’est « irrationnel », admet-elle, d’autant qu’elle connaît encore cet alignement par cœur. Il y a une « idée un peu folle » derrière :

« Tant que je garde le numéro, le lien est maintenu. »

« Petite trace mémorielle »

Pour beaucoup de ceux qui ont répondu à notre appel à témoignages, l’action de suppression matérialise la perte, la séparation, l’éviction de leur monde.

« Cela me donnerait le sentiment de le supprimer volontairement et définitivement, d’entériner sa mort officiellement », développe Laetitia, 40 ans, journaliste, au sujet de son père, parti il y a trois ans et demi.

« Il y a un symbole qui échappe à ma raison. Le laisser dans un coin de la mémoire de mon iPhone, voir apparaître parfois son nom dans la liste de mes contacts, c’est une façon de le laisser exister un peu, une petite trace mémorielle me donnant l’illusion que je peux toujours le joindre. »

Ce serait le « tuer une deuxième fois », opine Marie, 32 ans.

Jérôme (un pseudo) imagine que son ancienne petite amie, qui s’est suicidée il y a quelques années, lui en voudrait si elle le voyait, de là où elle se trouve, supprimer son numéro. Il se sentirait coupable, également :

 « Ce serait comme l’effacer de ma mémoire. »

S’il est récemment parvenu à se séparer d’un pull qui lui appartenait, il garde encore son « 06 ».

« Pourquoi l’effacer ? »

Isabelle, 47 ans, juriste en entreprise, nous retourne la question : pourquoi effacerait-elle le numéro de son mari, décédé il y a sept ans ? 

« En général, ce sont les numéros des ‘indésirables’ que l’on efface. Parfois je regarde la liste de mes contacts et j’efface aussi ceux dont le nom n’évoque plus aucun souvenir pour moi. Mon mari n’est pas un ‘indésirable’. Mon mari est encore tellement présent dans mon souvenir. Alors pourquoi l’effacer ? »

Elle le garde près d’elle, de la même façon que l’on conserve des photos, des lettres ou une alliance. Isabelle précise que cela ne l’a pas empêchée de faire son deuil.

Le téléphone symbolise aussi le lien avec la voix, « la première chose qui s’efface de la mémoire », note Isabelle.

Julien paie encore l’abonnement du téléphone de sa compagne, décédée il y a près de trois ans. Il ne peut pas concevoir que son numéro revienne à quelqu’un d’autre et il veut pouvoir appeler de temps en temps son répondeur, pour entendre encore le son de sa voix.

Lien virtuel

Le téléphone, c’est un numéro personnel, une pièce de l’identité. « Une extension de la personne », formule une interviewée.

« Il nous lie virtuellement à la personne en question », ajoute Laura, 24 ans.

« Les rares fois où je me suis dit ‘tiens, je vais faire un tri dans mon répertoire’, ça c’est soldé à garder les morts et effacer les vivants », résume Marijke, 25 ans, étudiante en sciences du langage.

« Impossible de le faire, il y avait comme un blocage physique plus qu’émotionnel. »

Marijke dit que le numéro de ses proches décédés est « un code à travers lequel un contact était possible sans qu’ils soient, eux, matérialisés ».

Pour certains, cette possibilité de connexion immatérielle donne à la conservation du numéro un geste quasi mystique.

« Si jamais mon mari me rappelait, je serai là pour lui répondre… », écrit Isabelle.

Comme s’il n’était pas mort

Conserver le numéro d’un proche peut aussi être une « tentative de faire comme si le mort n’était pas mort », pour reprendre les mots du sociologue Tanguy Châtel.

C’est en substance ce qu’écrit une lectrice, en conclusion de son message et du « 06 » d’un amour de lycée, décédé :

« Il me manque terriblement et pourtant il vit au travers de ce numéro. Comme si un jour il allait revenir. »

Les outils numériques offrent à l’angoisse universelle de la disparition une compensation virtuelle. Les notifications Facebook ou la présence d’un numéro dans un répertoire peuvent rendre plus réaliste encore le mirage dont parle Tanguy Châtel dans « Télérama » :

« Pendant un temps, les endeuillés savent que la personne est décédée, mais une partie d’eux-mêmes veut croire qu’elle est encore vivante. »

Certains des endeuillés interviewés admettent d’ailleurs n’être pas encore arrivés au bout des cinq phases du deuil (le déni, la colère, la négociation, la dépression, l’acceptation).

Bien que son ventre se tord quand elle tombe sur son nom, Isabelle, 43 ans, n’arrive pas à effacer le numéro de son compagnon, décédé brutalement à l’automne 2016. L’effacer, ce serait le faire disparaître une seconde fois ; elle s’y refuse.

Parce qu’il voyageait beaucoup pour son travail, le couple communiquait énormément au téléphone, d’où l’affect particulier qui résonne autour de l’objet. Supprimer le numéro, ce serait perdre « une espèce de lien » qui les unit encore.

« C’est complètement irrationnel, c’est comme si le fait de ne pas effacer son numéro pouvait potentiellement me permettre de… rester en contact avec lui. »

Des s de regret

Quelques jours avant notre appel, Marie, 32 ans, en formation dans le social, discutait avec sa mère de la présence dans son téléphone du numéro de son père, emporté par un cancer il y a quatre ans. Elle est arrivée seule à la conclusion que son deuil n’était pas digéré.

Le ticket de livraison du bouquet de fleurs qu’il lui avait envoyé pour ses 20 ans a eu le temps de blanchir complètement. Le gilet râpé de son père n’est plus sur la chaise de la salle à manger – il est resté là des mois, telle une relique. Son numéro est lui toujours dans son répertoire :

« Cela me permet de rester dans l’illusion que je ne suis pas orpheline de père. »

Les quelques mois suivant les funérailles, « la période où les émotions sont à vif », Marie lui a envoyé des textos. Elle savait bien que le téléphone à clapet était rangé dans un panier-tiroir, chez ses parents, et pas dans la poche de son père« il ne l’a pas amené avec lui ». Elle a eu besoin de lui écrire :

« Je lui ai dit que c’était injuste, qu’il aurait pu plus se battre, qu’il nous avait laissés sans nous y préparer. Je lui envoyais des messages de regret également – notre relation était complexe. »

Puis la fréquence des messages s’est espacée. Elle n’en a plus envoyé (« l’au-delà n’a pas de réseau »).

« Putain, je t’aime ami »

Comme la jeune femme, Vincent a envoyé un dernier SMS à un ami qui s’est donné la mort en décembre 2016. Le réalisateur de 44 ans s’en veut de ne pas avoir pris le temps de l’appeler ou de le voir, les deux dernières années avant le suicide. Leur relation s’était « laissée aller ».

Une semaine après la cérémonie, Vincent lui a envoyé un long message, retrouvé au fond de son téléphone. Il n’en a jamais parlé à personne.

« Mec. Ami. Je ne m’y résous pas. Je t’écris après plus de deux ans mais il est trop tard. Je t’écris quand même. Parce qu’après, je vais enlever ce contact. […]
J’aimerais être vers toi, faire le con. Imiter Golum. Te parler de nouveaux projets musique. Te dire ‘pardon d’avoir tant tardé’. J’ai pourtant tellement pensé à toi. Mais je te savais là. A côté. […]
Putain de merde. Je t’aime ami. Dis à Prince que je pense à lui aussi et mets le au pop fm, je me réjouis de voir ce que ça donne. Rage profonde de ne pas t’avoir appelé.
Asta la vista bébé. vince. »

Un an s’est écoulé depuis ce SMS, Vincent n’est toujours pas arrivé à appuyer sur la touche « supprimer ».

Ça le rendait « trop vivant »

A l’inverse de Marie ou Vincent, ceux qui ont besoin de rayer un numéro parlent de la nécessité d’acter le décès. Pour se « protéger », Sandrine, 35 ans, a effacé le numéro et le profil Facebook de son père, quelques jours après son enterrement.

« Je ne supportais pas qu’il ait une vie ‘digitale’ alors qu’il n’était plus là. Je ne voulais plus voir apparaître son nom, ça le rendait justement trop ‘vivant’. »

Bryan, 20 ans, étudiant en école de commerce, a perdu il y a deux ans une amie dans des « conditions horribles » – elle a été tuée par son conjoint, qui s’est ensuite donné la mort. La première réaction de l’étudiant, quand il a appris le décès depuis Singapour, où il résidait, a été d’appeler et d’envoyer des messages à son amie, pour « vérifier par [lui-même] qu’elle n’était plus parmi nous ».

Loin de son groupe d’amis, et de leur ville natale, « le téléphone était la seule chose qui [le] reliait plus ou moins à elle ». Bryan a supprimé son numéro en pleine nuit – à 4 heures du matin, 10 heures heure locale en France. L’enterrement était en train d’avoir lieu.

« Je savais qu’il fallait faire une coupure pour faire le deuil », explique-t-il.

Réincarnation (téléphonique)

Laetitia, qui conserve le numéro de son père défunt dans son téléphone, s’est souvent demandé qui pouvait bien avoir récupéré ses dix chiffres. Il n’existe pas d’obligation légale encadrant la ré-attribution d’une ligne après sa résiliation. En pratique (et quelle que soit la raison de la fin du contrat), les opérateurs l’attribuent à un nouvel abonné dans les trois à six mois qui suivent.

« Je me suis imaginé appeler pour entendre, en quelque sorte, la nouvelle voix de mon père », poursuit Laetitia. Qui est au bout du fil aujourd’hui ? Un ado prépubère ? Un éleveur de brebis ? Elle réfléchit :

« Quand on y pense, il y a quelque chose de l’ordre de la réincarnation. »

Le remplacement d’une voix familière par celle d’un inconnu horrifie Isabelle, 43 ans, qui n’a jamais effacé le numéro de son compagnon.

« Ce serait terrible de tomber sur quelqu’un d’autre. »

Elle imagine le choc qu’elle n’est pas prête à affronter :

« Ça non plus, ça ne lui appartient plus… »

« Un jour, je n’ai plus résisté »

Et puis il y a ceux qui un jour appellent, au risque de casser le « fantasme » du fantôme au bout de la ligne. Blandine, 42 ans, fonctionnaire, a « essayé de lutter » pour ne pas rappeler sa grand-mère adorée…

« Ne plus faire son numéro a été presque insupportable », décrit la quadragénaire, qui imagine encore la sonnerie retentir dans la maison de sa grand-mère et son vieux téléphone fixe faire « ding » au moment où elle décroche…

« Un jour, je n’ai plus résisté. »

« Bien que c’était stupide », elle a composé le numéro et une femme a répondu. Blandine lui a fait croire à une erreur, après avoir hésité à se confier. Elle n’a pas retenté d’entrer en contact avec sa grand-mère.

Grâce à un chatbot, elle parle à son ami mort

Amar (son prénom a été changé), 35 ans, commis de cuisine, a lui aussi composé le numéro de son père, toujours dans son téléphone. Presque un an s’était écoulé depuis l’enterrement. Chez ses parents, c’est comme si le temps s’était arrêté.

Amar était dans la voiture, à l’arrêt. Dehors, on entrait dans l’automne. « Spontanément, je l’ai appelé », dit-il – il se ressaisit et rectifie – « j’ai appelé ». Au loin, il a entendu un bip rassurant. « Tit tit tit tit. »

Personne au bout du fil.

A l’autre bout de la ligne, il y a des vivants qui ignorent que leur numéro apparaît dans le répertoire d’inconnus. Le vôtre s’y trouve peut-être. Aucun lien n’unit ces personnes, si ce n’est le hasard et une série de chiffres.

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Cellulaires confisqués: un élève envoie une mise en demeure à sa commission scolaire


En lisant le titre, on pense tout de suite qu’une mise en demeure à la commission scolaire est exagéré, sauf qu’en lisant, c’est autre chose. Il ne conteste pas les règles de ne utiliser le téléphone pendant les cours, mais le fait de la confiscation pour 24 heures. Bien que plusieurs d’entre nous ont vécu facilement sans téléphone sur nous pendant nos années scolaire aujourd’hui c’est une toute autre histoire. Je crois plus à chercher d’autre méthode comme un genre tiroir avec des cases pour mettre son mobile avant pendant tout le long du cours et mit en mode avion ou le tout simplement le fermer
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Cellulaires confisqués: un élève envoie une mise en demeure à sa commission scolaire

 

Vincent Duguay a adressé une mise en demeure... (PHOTO ROCKET LAVOIE, LE QUOTIDIEN)

Vincent Duguay a adressé une mise en demeure à sa commission scolaire afin d’inciter la direction de son école à cesser de confisquer les téléphones cellulaires des élèves pris à s’en servir en classe.

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ISABELLE DUCAS, PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD
La Presse

Vincent Duguay, un élève de 15 ans de Saguenay, ne sait pas si la mise en demeure qu’il a adressée à sa commission scolaire incitera vraiment la direction de son école à cesser de confisquer les téléphones cellulaires des élèves pris à s’en servir en classe. Mais cette démarche constitue assurément une formidable expérience pour le jeune homme, qui rêve de faire des études de droit.

Dans la mise en demeure qu'il a adressée... (PHOTO ROCKET LAVOIE, LE QUOTIDIEN) - image 1.0

Dans la mise en demeure qu’il a adressée à sa commission scolaire, Vincent Duguay appuie notamment ses arguments sur la Charte des droits et libertés de la personne.

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« J’ai eu des félicitations de certains de mes professeurs, qui trouvent que ça peut être bon de remettre en question les règles, si c’est fait de façon correcte », a raconté l’adolescent en soirée hier, après avoir enchaîné une dizaine d’entrevues depuis le matin, sans manquer un seul cours, a-t-il précisé.

C’est « une question de principe » qui a incité Vincent Duguay, élève en quatrième secondaire à l’école Charles-Gravel, à Chicoutimi-Nord, à adresser une mise en demeure à la commission scolaire des Rives-du-Saguenay.

« Ce n’est pas parce qu’on est jeunes qu’on ne peut pas défendre nos droits », dit-il.

Comme la plupart des établissements scolaires, l’école Charles-Gravel interdit l’utilisation du téléphone cellulaire en classe, un règlement que Vincent ne remet pas en question.

Mais selon lui, confisquer pour 24 heures le téléphone des contrevenants est une sanction exagérée.

« Le cellulaire est tellement important dans la vie des jeunes, comme moyen de communiquer avec les parents, avec l’employeur, pour la sécurité… », souligne-t-il.

« Avec tout ce qu’il y a dans un appareil, les photos par exemple, c’est la possession la plus précieuse pour bien des jeunes », dit-il.

Il fait valoir que d’autres sanctions seraient plus appropriées pour ceux qui contreviennent au règlement, comme des retenues, par exemple.

Et il appuie ses arguments sur la Charte des droits et libertés de la personne (CDLP).

Cette punition « viole le droit à la jouissance paisible et à la libre disposition de ses biens (art. 6 CDLP) », avance-t-il dans la mise en demeure de six pages remise à la commission scolaire.

La Charte prévoit qu’il est possible de limiter un droit fondamental, mais à certaines conditions seulement. Selon Vincent Duguay, le règlement de son école ne respecte pas ces conditions.

DÉBAT LÉGAL

Son argument tiendrait-il la route devant un juge ? Ça reste à voir.

« Même s’il est capable de démontrer que la confiscation de son cellulaire est une atteinte à son droit à la jouissance paisible de ses biens, il me semble que les commissions scolaires et les écoles vont avoir des arguments assez sérieux à faire valoir pour démontrer que c’est une atteinte justifiée dans le contexte scolaire », souligne Louis-Philippe Lampron, professeur de droit à l’Université Laval.

Pierre Bosset, professeur de droit public à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), mentionne quant à lui qu’il pourrait y avoir un débat pour déterminer si le code de vie de l’école peut être considéré comme une loi au sens de l’article 6 de la CDLP.

« Dans la mesure où le code de vie a été validement adopté au sens de la Loi sur l’instruction publique, on est devant une loi au sens de l’article, à mon avis. Et les mesures restrictives sont valides, selon moi », dit Pierre Bosset.

En tout cas, si le débat lancé par Vincent Duguay se retrouve devant les tribunaux, le jeune homme a déjà reçu des propositions d’avocats prêts à l’épauler de façon bénévole dans sa démarche.

La direction de l’école doit sans doute se réjouir de l’appui de son élève au règlement interdisant le téléphone cellulaire en classe.

« C’est clair que le cellulaire en classe est un fléau, il faut l’interdire. Malgré l’interdiction, il y a des élèves qui textent en classe, c’est un manque de respect envers l’enseignant et c’est certain que ça nuit à la concentration », dit Vincent Duguay.

Mais comment encadrer l’usage de cet appareil, dont bien des gens ne peuvent plus se passer, jeunes ou adultes ?

« Oui, c’est un fléau dans les classes, tant au secondaire qu’au cégep et à l’université », répond Thierry Karsenti, professeur à la faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal, qui a mené récemment une étude sur l’utilisation du téléphone cellulaire en classe. « Mais même si on adopte des règlements, c’est impossible de le contrôler. Ce qu’il faut, c’est faire participer les jeunes au débat sur son encadrement, faire la sensibilisation pour les éduquer au bon usage de leur appareil, et inciter les enseignants à s’en servir à des fins éducatives. »

« Je suis ravi que cette histoire ramène le débat dans l’actualité, parce qu’il y a une leçon éducative à en tirer. »

COMMENTAIRES HAINEUX

S’il a reçu de nombreux appuis, Vincent Duguay a aussi dû composer avec plusieurs commentaires disgracieux à son sujet. 

« Je ne peux pas convaincre tout le monde. Et je comprends en même temps la réticence des gens. C’est un sujet qui suscite les réactions, car ça concerne l’autorité, les nouvelles technologies », dit l’adolescent. 

« Mais quand je lis que je suis un « enfant-roi » ou que « des coups de pied se perdent », je ne réponds pas. D’autres m’ont dit de consacrer mon temps à d’autres causes. Ces gens ne savent justement pas sur quelle autre cause je mets du temps », dit Vincent Duguay.

En effet, cette mise en demeure n’est pas la première de Vincent Duguay. À l’automne dernier, après avoir été traité différemment des clients adultes dans un Dollarama du secteur de Chicoutimi-Nord, l’adolescent a fait parvenir une mise en demeure à l’entreprise. Les jeunes étaient surveillés et ils ne pouvaient pas magasiner plus de deux à la fois. Ils devaient faire la file à l’entrée du commerce. Quelques semaines après cette mise en demeure, des jeunes ont dénoncé cette même situation dans une succursale de Jonquière, faisant ainsi les manchettes.

Vincent Duguay, qui représente également deux autres jeunes dans cette affaire, est en discussion avec Dollarama pour une entente à l’amiable.

– Avec Le Quotidien

***

DES SANCTIONS PLUS SÉVÈRES

Des polyvalentes du Saguenay vont encore plus loin dans leurs sanctions que celle fréquentée par Vincent Duguay, ont dénoncé des élèves. En effet, à la polyvalente de Jonquière, le code de vie interdit l’utilisation, mais également le port du téléphone cellulaire dans les classes et ailleurs dans l’école. À la première infraction, l’enseignant confisque le téléphone non pas pendant 24 heures, mais pendant trois jours. Au deuxième manquement, le téléphone est confisqué pour une période de cinq jours ouvrables, et c’est un parent qui doit venir le récupérer en main propre, peut-on lire dans le code de vie publié sur le site de la polyvalente. Si l’élève se fait prendre une troisième fois, le téléphone est confisqué pour une période indéterminée. Le Quotidien

http://www.lapresse.ca/

Le Saviez-Vous ► Voici le bon terme pour désigner un téléphone intelligent pour les Français


Personnellement, je n’aime pas l’idée l’appellation de téléphone intelligent, donc le terme choisi réponds plus, a mon avis a cet objet,  La francophonie cherche à trouver les mots les mieux adapté pour la langue française ainsi éviter les anglicismes
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Voici le bon terme pour désigner un téléphone intelligent pour les Français

 

GETTY IMAGES

« Téléphone intelligent » n’est pas le terme!

Il ne faut plus dire « téléphone intelligent » pour définir les « Smartphones », l’équivalent français est maintenant mobile multifonction. Du moins, si vous voulez vous fier à cette proposition française.

La Commission d’enrichissement de la langue française a publié jeudi une liste de termes afin de pallier certains anglicismes présents dans la langue de Molière.

On peut aussi s’en tenir à la version abrégée, soit « mobile ».

Les experts accordent que ce terme peut toutefois désigner un « téléphone qui n’assure pas l’accès à l’internet », rapporte le Figaro.

En 2009, l’équivalent devait devenir « terminal de poche », le terme ne semble pas avoir fait l’unanimité auprès de la francophonie.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

7 conseils pour protéger vos données sur votre mobile


Le piratage fait partit malheureusement de notre quotidien et pas juste sur les ordinateurs, mais aussi sur les tablettes et téléphones intelligents. On peut minimiser les risques avec quelques petites habitudes qui permettent plus de sécurités
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7 conseils pour protéger vos données sur votre mobile

Comme l’illustre l’importante fuite de photos intimes de plusieurs stars d’Hollywood la fin de semaine dernière (#CelebGate pour ceux qui n’auraient pas suivi), on ne peut jamais être trop prudent en matière de sécurité sur son mobile.

Vous n’avez peut-être pas le profil d’une Jennifer Lawrence ou d’une Kate Upton, mais il m’a semblé opportun en l’occurrence de vous rappeler ces quelques mesures de sécurité pour éviter que vos informations ou photos personnelles ne se retrouvent entre mauvaises mains.

1. Désactivez la synchronisation automatique sur iCloud ou Google Drive

Ça peut sembler évident, mais beaucoup de gens ignorent que les photos qu’ils prennent avec leur mobile peuvent être transférées automatiquement vers leurs comptes iCloud, Google Drive ou Dropbox, surtout lorsque l’option de synchronisation est activée par défaut sur leur appareil.

La possibilité de synchroniser tous ses documents sur toutes ses plateformes a bien sûr ses avantages, mais afin d’éviter que vos documents personnels ne se retrouvent affichés au grand jour, il peut être préférable de désactiver le partage automatique et de sélectionner manuellement les contenus à sauvegarder dans le nuage.

Voici les marches à suivre pour désactiver la synchronisation automatique sur les services infonuagiques les plus populaires :

· iCloud

· Google Drive

· Dropbox

2. Utilisez des mots de passe uniques et complexes

On croit souvent à tort que les pirates informatiques réussissent à infiltrer des systèmes impénétrables grâce à leur incroyables habiletés informatiques, mais la triste réalité est que la plupart du temps, ces intrusions sont dues à des mots de passe trop faciles à deviner.

Selon The Next Web, les hackers derrière le #CelebGate auraient réussi à se connecter aux comptes iCloud de leurs victimes en utilisant un script assez simple basé sur une liste des mots de passe les plus communs.

On ne répétera jamais assez l’importance de choisir des mots de passe complexes et différents pour chacun de vos comptes. Il est donc préférable d’éviter d’utiliser le nom de votre animal de compagnie ou votre date de naissance et d’opter plutôt pour des mots de passe complexes générés au hasard ou à tout le moins utilisant des majuscules, des chiffres et des symboles.

Lorsque disponible, vous pouvez également utiliser les systèmes d’authentification à double vérification, qui vous demandent de vous identifier à l’aide d’un code envoyé sur votre mobile en plus de votre nom d’utilisateur et mot de passe habituels.

hackers

«Ha ha! Quelle andouille, son mot de passe c’est ‘MOTDEPASSE’! » (Source)

3. Donnez des faux renseignements pour les questions de récupération

La plupart des services comme iCloud, Google Drive et Dropbox vous permettent de retrouver vos mots de passe oubliés en utilisant un système de questions de récupération. Or, ces questions sont souvent assez générales et une personne vous connaissant quelque peu pourrait facilement y trouver les réponses. Il est donc préférable de choisir des réponses connues de vous seul ou tout simplement inventées, surtout si vous êtes actifs sur les médias sociaux (qui sait toutes les informations personnelles qu’on pourrait retrouver en relisant vos tweets de 2011).

4. Ne donnez pas vos renseignements personnels à n’importe qui

De la même manière, rien ne vous oblige à divulguer votre véritable date de naissance et le nom de jeune fille de votre mère à un site Web un peu douteux qui vend des bébelles humoristiques pour des échanges de cadeaux de partys de bureau.

Si vous recevez un appel non-sollicité d’une compagnie qui vous demande des renseignements personnels comme vos mots de passe ou votre numéro d’assurance sociale, restez sur vos gardes et demandez le nom de la personne qui vous parle et un numéro pour la rappeler afin de vérifier qu’il s’agit bien de ladite compagnie. Paris Hilton aurait déjà été victime de ce genre de technique d’hameçonnage en 2005.

5. Méfiez-vous des WIFI publics

C’est parfois difficile de résister à l’attrait d’une connexion WIFI gratuite, mais gardez tout de même l’oeil ouvert. Si les WIFI de la plupart des cafés, musées et autres endroits publics sont relativement sécuritaires, se connecter à un réseau public peut comporter certains risque: lorsque vous vous connectez à un réseau, vous partagez également l’accès au contenu de votre appareil. Certaines personnes mal intentionnées peuvent se servir de ce stratagème pour vous dérober de précieuses informations ou espionner vos activités sur votre mobile.

Il existe certaines solutions pour remédier à ce problème, comme les VPN ou Réseau privé virtuel, par exemple, mais le plus simple est de s’en tenir à des sources dignes de confiance.

6. Verrouillez votre mobile

Si vous êtes comme moi, votre vie entière est sur votre téléphone. Courriels professionnels et personnels, comptes médias sociaux, photos de famille (ou d’autres photos plus olé-olé), numéros de cartes de crédit, etc.

Afin d’éviter que quiconque entre en possession de votre téléphone ne puisse accéder à toutes ces informations, la moindre des choses est d’utiliser un mot de passe pour déverrouiller votre téléphone.

smudge

Vous pouvez aussi utiliser le déverrouillage par schéma, mais assurez-vous d’avoir les doigts propres. (Source)

7. Utilisez Find My Phone ou Google Device Manager pour effacer vos données à distance

En dernier recours, il est possible d’effacer tout le contenu de votre téléphone à distance s’il est perdu ou volé en utilisant les applications Find My Phone pour iOS et Gestionnaire d’appareil pour Android. En espérant que vous n’ayez pas besoin d’aller jusque là !

Si après avoir fait tout ça vous ne vous sentez toujours pas en sécurité, tout ce qu’il vous reste à faire c’est de troquer votre mobile pour un bon vieux Polaroid pour prendre vos photos.

http://www.grosblogue.com