Inde: l’espoir s’amenuise pour 13 mineurs piégés


Encore des mineurs qui sont pris au piège et on craint de ne pas les retrouver à temps en Inde. Ce qui n’aide pas du tout est que l’exploitation de la mine de charbon n’était pas autorisée,. Les mineurs travaillaient sous des installations précaires.
Nuage

 

Inde: l’espoir s’amenuise pour 13 mineurs piégés

 

Des équipes de secouristes ont pompé l'eau du... (Photo fournie par la Force nationale d'intervention en cas de catastrophe via AFP)

Des équipes de secouristes ont pompé l’eau du site depuis l’accident, mais aucun contact n’a pu être établi avec les mineurs, a indiqué la police.

PHOTO FOURNIE PAR LA FORCE NATIONALE D’INTERVENTION EN CAS DE CATASTROPHE VIA AFP

 

Agence France-Presse
New Delhi

L’espoir s’amenuisait lundi pour au moins 13 mineurs bloqués sous terre depuis jeudi dernier après une inondation dans une mine de charbon illégale d’une zone isolée du nord-est de l’Inde.

Des équipes de secouristes ont pompé l’eau du site depuis l’accident, survenu dans l’État du Meghalaya riche en minerai, mais aucun contact n’a pu être établi avec les mineurs, a indiqué la police.

La police estime que 13 personnes se trouvaient à l’intérieur au moment de l’inondation. 

« Nous ne pouvons rien dire pour le moment alors que les opérations de secours se poursuivent », a déclaré à l’AFP un responsable de la police locale, Sylvester Nongtnger. « Le puits de mine est très profond, à une centaine de mètres. Nous faisons de notre mieux ».

Un tribunal indien avait interdit les mines de charbon dans cette zone en 2014 après des plaintes de militants écologistes dénonçant « une pollution grave de l’eau ».

Mais la pratique continue avec des extractions illégales de charbon par des habitants qui percent des trous sur le flanc des collines puis creusent de petits tunnels horizontaux pour atteindre une veine de charbon.

Ce type d’installation est appelé « trou à rats » en raison des moyens primitifs utilisés.

Quinze mineurs avaient trouvé la mort dans un accident similaire survenu dans le même État en 2012. Leurs corps n’ont jamais été retrouvés.

https://www.lapresse.ca/

L’administration Trump utilise des tests ADN pour réunir les familles de migrants


J’ai l’impression que la séparation des enfants et des parents migrants et l’obligation de réunir les familles coûtera encore plus cher que prévues. Comment il se fait qu’il n’y a pas eu de document sur les enfants et de suivi ? Les tests ADN, les heures supplémentaires pour respecté l’ordre de la cour, … Donald Trump prend beaucoup de mauvaises décisions. De plus, que feront-ils avec tout ces tests ? Vont-ils les garder pour mieux suivre ces enfants ? Ils seront fichés ?
Nuage

 

L’administration Trump utilise des tests ADN pour réunir les familles de migrants

 

LEAH MILLIS / REUTERS

L’utilisation de tests ADN a créé une nouvelle polémique aux États-Unis.

  • Agence France-Presse

L’administration Trump a admis jeudi que ses services utilisaient des tests ADN pour réunir les « moins de 3 000 » mineurs migrants, dont une centaine ont moins de cinq ans, avec leurs parents interpellés pour être entrés illégalement aux Etats-Unis.

« Nous conduisons des tests ADN pour confirmer les liens de parenté rapidement et rigoureusement », a déclaré le ministre américain de la Santé Alex Azar, lors d’une conférence téléphonique.

Ses services sont engagés dans un contre-la-montre pour rendre les « environ 100 enfants de moins de cinq ans » à leurs parents d’ici mardi, conformément à une décision de justice, a-t-il précisé.

Les autres mineurs doivent retrouver leurs parents d’ici le 26 juillet.

Les familles pourront être rassemblées en centre de rétention si les parents n’ont pas été relâchés, a précisé le ministre.

Ses services connaissent « l’identité et la localisation de chaque enfants laissés aux soins de nos sous-traitants », a-t-il martelé, alors que ces séparations et les larmes d’enfants éplorés ont provoqué un tollé aux Etats-Unis, et au-delà.

« Le ministère de la Santé continue de travailler sans compter les heures pour mettre en contact les mineurs avec leurs parents identifiés dans le cadre des contraintes imposées par le tribunal », a poursuivi Alex Azar.

« Afin de respecter la date butoir du tribunal, le ministère de la Santé a dû réduire (ses procédures habituelles) à un processus plus expéditif », a-t-il toutefois déploré.

L’utilisation de tests ADN a créé une nouvelle polémique aux Etats-Unis, où des associations de défense des migrants accusent la Maison-Blanche de relever ainsi des données ultra-sensibles qui pourraient permettre de « surveiller ces enfants pendant le reste de leur vie », selon l’organisation Raices.

D’après les précédents chiffres officiels, plus de 2 300 mineurs ont été retirés à leurs parents sans-papiers en quelques semaines après que Donald Trump a décidé d’appliquer, début mai, une politique de « tolérance zéro » en matière d’immigration clandestine.

Le président américain a fait machine arrière le 20 juin en signant un décret interdisant ces séparations, mais les retrouvailles tardent à se concrétiser.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Des enfants migrants drogués sans consentement dans des centres gouvernementaux américains


Comment peut-on donner autant de psychotrope à des enfants. Avant que Donald Trump change d’avis sur la séparation des enfants et des parents migrants. Certains enfants se sont retrouvés dans des endroits qui donnaient des pilules et des injections sans le consentement des parents. Pourtant, le Président avait bel est bien dit qu’on s’occuperait bien des enfants …..
Nuage

 

Des enfants migrants drogués sans consentement dans des centres gouvernementaux américains

 

Among the most disturbing are the accusations that staff at federally contracted facilities gave children five different types of psychotropic medications without informing their parents.

 

Les allégations portent sur un établissement de santé mentale au Texas qui a eu des problèmes dans le passé.

  • Par Roque Planas, HuffPost US

  • Le personnel travaillant pour le compte du Bureau de la réinstallation des réfugiés (BRR) droguent systématiquement les enfants migrants en situation de détresse avec des psychotropes sans le consentement de leurs parents, selon des documents de cour.

    Les responsables de l’administration Trump ont maintes fois insisté sur le fait que la politique de séparation des familles qu’ils ont mise en place au cours des six dernières semaines est sans cruauté. Mais le procès en cours sur l’accord de Flores, un règlement de 1997 qui régit en partie la détention des enfants migrants que la Maison-Blanche espère renverser, allègue une litanie d’actes répréhensibles dans les installations contractées par le BRR.

    Les allégations concernant les injections de drogues sont parmi les plus inquiétantes. Un enfant, cité dans les documents déposés en cour, a déclaré avoir pris jusqu’à neuf comprimés le matin et sept autres le soir, sans savoir quel était le médicament.

    « Le BRR administre régulièrement des médicaments psychotropes aux enfants sans autorisation légale », note un mémo déposée le 16 avril. « Lorsque les jeunes s’opposent à la prise de tels médicaments, le BRR les contraint. Le BRR n’exige ni ne demande le consentement d’un parent avant de donner un médicament à un enfant, ni ne sollicite l’autorisation légale de consentir à la place des parents. Au lieu de cela, le personnel du BRR ou de l’établissement signe des formulaires de «consentement» se dotant d’une «autorité» pour administrer des médicaments psychotropes aux enfants confinés.

    La plupart des allégations se concentrent sur le centre de traitement résidentiel Shiloh, à Manvel, au Texas. Mais les avocats de l’affaire Flores, qui ont accès aux dossiers médicaux de leurs clients, disent que le problème est très répandu.

    « Ce n’est pas spécifique à Shiloh », a déclaré Holly Cooper, l’un des avocats représentant les enfants dans le litige de l’accord Flores, à propos des allégations de d’utilisation de drogues.

  • Les avocats ont vu l’utilisation de médicaments psychotropes dans tous les établissements où le gouvernement fédéral détient des mineurs non accompagnés, mais ont noté que les seuls cas d’injections forcées qu’ils ont documentés se sont produits à Shiloh.

    Un enfant, identifié dans les dossiers de la cour comme Julio Z., a déclaré que le personnel de Shiloh l’avait jeté à terre et l’avait forcé à prendre des médicaments. Il a assuré avoir vu le personnel ouvrir la bouche d’un autre enfant pour le forcer à avaler une pilule. Lorsque Julio Z. a tenté de refuser le médicament, il a dit que le médecin l’avait ignoré.

    « Ils m’ont dit que si je ne prenais pas les médicaments, je ne pouvais pas partir », a déclaré Julio Z. « Que la seule façon de sortir de Shiloh était si je prenais les pilules. »

    « Parfois, ils me donnent des injections forcées », a indiqué un autre enfant, identifié comme Rosa L. « Un ou deux membres du personnel me tiennent les bras, et l’infirmière me donne une injection. »

    Les médicaments ont souvent des effets secondaires graves. Julio Z. a affirmé avoir pris 45 livres en deux mois. Une mère d’un enfant identifié dans les dossiers judiciaires comme Isabella M. a déclaré que les médicaments étaient si puissants que sa fille est tombée à plusieurs reprises parce qu’elle ne pouvait pas marcher.

    Le Shiloh Residential Treatment Centre a refusé de commenter les allégations, en renvoyant le HuffPost américain au BRR. L’agence n’a pas immédiatement répondu aux appels ou aux courriels demandant des commentaires.

    Le BRR libère généralement les mineurs non accompagnés à un sponsor après les avoir pris en charge – généralement un parent ou un membre de la famille. Mais à n’importe quel moment au cours des dernières années, plus de 200 enfants demeurent toujours sous la garde du gouvernement fédéral parce que le BRR n’arrive pas à trouver de répondant ou parce que l’organisme choisit de placer les enfants dans des établissements sécurisés ou des centres de traitement.

    Les enfants peuvent se retrouver dans des centres de traitement en raison de problèmes de comportement ou de problèmes de santé mentale. Certains d’entre eux souffrent de traumatismes graves ou de troubles psychiatriques nécessitant des soins médicaux, y compris des problèmes comme le syndrome de stress post-traumatique. Les psychotropes peuvent, en fait, être des réponses valables à ces problèmes, ont écrit les avocats dans l’affaire Flores dans le mémo.

    Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit et adapté de l’anglais.

  • https://quebec.huffingtonpost.ca/

Peut-on tirer sur un enfant soldat?


20 pays recrutent des enfants soldats dans le monde. Je n’ose pas imaginer un soldat face à un enfant soldat avec une arme tel qu’un AK-47, c’est tuer ou être tué ! C’est une question difficile et moralement un vrai casse-tête.
Nuage

 

Peut-on tirer sur un enfant soldat?

 

/

Un enfant soldat lors d’une cérémonie à Yambio, au Soudan du Sud, le février 2018 | Stéfanie Glinski / AFP

Léa Polverini

Quand la morale ne tient plus.

«L’enfant soldat est le personnage le plus célèbre de cette fin du vingtième siècle».

Sublime personnage de fiction catalysant nombre de fantasmes sur la nature humaine, l’enfant soldat est avant tout une réalité historique, réalité de terrain et sujet en propre auquel les soldats comme les institutions sont confrontées lors de conflits armés.

Quelle responsabilité?

Si la Cour pénale internationale reconnaît dans l’article 26 du Statut de Rome son «incompétence à l’égard des personnes de moins de 18 ans», c’est qu’elle laisse aux juridictions nationales la tâche de juger de la responsabilité pénale de leurs mineurs.

«L’amnistie, qu’elle soit explicite ou implicite, est souvent la mesure utilisée lorsqu’il s’agit de traiter la question de la responsabilité d’enfants pour crimes de droit international», expliquaient Naïri Arzoumanian et Francesca Pizzutelli dans leur article «Victimes et bourreaux: questions de responsabilité liées à la problématique des enfants-soldats en Afrique».

De fait, les cours de justice ont tendance à considérer les enfants associés à une force ou un groupe armés avant tout comme des victimes, eussent-ils été amenés à prendre part à un génocide, des crimes contre l’humanité ou des crimes de guerre: victimes eux-mêmes d’un premier crime de guerre par leur enrôlement –au moins pour les moins de quinze ans.

«L’association des termes d’enfant et de soldat relève ainsi d’un paradoxe, dans la mesure où ces enfants-soldats se situent dans l’espace interstitiel entre ces deux catégories. Ce sont encore des enfants, mais ils ne sont plus innocents; ils effectuent des tâches relevant de l’apanage des adultes, mais ils ne sont pas encore adultes», relève Alcinda Honwana dans «Innocents et coupables: les enfants-soldats comme acteurs tactiques».

Vie pour vie

En mars 2017, les Forces armées canadiennes marquaient un précédent, en formulant dans une note de doctrine interarmée (NDI 2017-01) des directives stratégiques communes concernant la confrontation sur le terrain avec des enfants soldats, et les réactions à adopter. C’est la première fois qu’était abordée frontalement la terrible question: que faire face à un enfant armé et menaçant?

Le commandant Rory McLay, qui supervisait ces directives, déclarait alors:

«Si un enfant a une arme pointée sur vous et qu’il a l’intention, qu’il a la capacité, et qu’il a les moyens de vous faire du mal à vous ou à vos partenaires, vous devez utiliser la force autant qu’il est nécessaire pour neutraliser cette situation. […] C’est une dure réalité, mais nous ne pouvons pas nous permettre de laisser les nôtres être blessés parce qu’ils ont hésité.»

Vie pour vie, il s’agirait donc, dans le doute, de tirer le premier. Ces directives s’inscrivaient, en sus du besoin d’élaborer un cadre précis pour appréhender le cas des enfants soldats, dans un contexte particulier: le Canada envisageait alors de mobiliser certains de ses militaires dans une opération de Casques bleus au Mali. De fait, en mars dernier, Ottawa a confirmé l’implication d’une force opérationnelle aérienne dans la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA).

Depuis son lancement, en avril 2013, la mission, qui a enregistré près de 160 morts, est actuellement considérée comme la mission de maintien de la paix la plus dangereuse au monde. Parallèlement, l’ONU a déjà fait état à plusieurs reprises de la présence de centaines d’enfants soldats dans le nord du Mali: garçons comme filles, soldats comme esclaves sexuels, larbins ou chair à canon.

Développer des stratégies de lutte contre le principe de l’enfant soldat

Avec ces dispositions, le Canada entendait donc se ressaisir d’enjeux où la réalité du terrain tout comme le droit mettent en faillite la morale: afin que des cas de légitime défense ne soient pas considérés ou même simplement perçus, au regard de la Déclaration de Genève sur les droits de l’enfant, comme crimes de guerre; mais aussi et surtout afin d’apporter une réponse stratégique à l’utilisation d’enfants dans des conflits armés.

En août 2000, un groupe de onze soldats de la paix britanniques avait refusé de tirer sur des enfants armés d’AK-47 en Sierra Leone. L’opération de sauvetage avait causé la mort d’un parachutiste, faisant onze autres blessés. La note de doctrine interarmée canadienne cherche à complexifier la situation, afin qu’en cas pareil, les options ne se réduisent pas à une alternative entre tirer ou se faire tirer dessus.

Les enfants soldats y sont envisagés au-delà du seul cadre de la confrontation: en tant que tels, mais aussi du point de vue des militaires qui leur feront face, et qui doivent y être préparés, autant psychologiquement que matériellement. Sur place, il s’agit aussi pour les agents de rapporter la présence d’enfants soldats, et la façon dont ils sont employés par leurs commandants, qui peut induire diverses réponses. Dans le cadre d’un affrontement, les directives recommandent de tirer sur les chefs adultes, afin de rompre la discipline et d’inciter les jeunes combattants à la reddition ou à la fuite.

«L’action est intrinsèquement liée au pouvoir. Pour être à même d’agir autrement, l’individu doit être capable d’exercer un certain pouvoir», écrivait encore Alcinda Honwana, soulignant ainsi la sujétion et dépendance des enfants soldats à leurs commandants.

Elle prenait soin toutefois de relever l’ambiguité essentielle de ces enfants de la guerre, qui se ressaisissent par les marges de différentes formes de pouvoir: innocents, et coupables, sur un même plan.

À travers ses nouvelles directives, toujours à l’état de test, le Canada tend à ne plus envisager le couple dialectique «innocent et coupable», mais «innocent et menaçant». En quelque sorte, on passe du jugement a posteriori, à la réaction de l’urgence.

Aujourd’hui, vingt pays recrutent encore des enfants soldats, de sept à dix-huit ans.

http://www.slate.fr/story/

21 Photos Qui Vous Feront Connaître Les Détails De L’histoire


Les photos sont des souvenirs de notre vie et de ceux que nous aimons. C’est notre histoire. Il y a d’autres photos qui font partie de l’Histoire du monde. Des sites historiques qui ont marqué un peuple, des évènements qui a changer beaucoup de choses dans la vie des gens
Nuage

 

21 Photos Qui Vous Feront Connaître Les Détails De L’histoire

 

1. Les propriétaires de cet appartement avaient accumulé 130 tonnes d’ordures.

2. La procédure pour porter une robe de soirée.

3. La tradition chinoise qui serrait les pieds des femmes pour une question de beauté.

4. Un facteur avec, probablement, son fils.

5. La princesse Dagmar et le fils de Nicolas II Nikolaï Alexandrovitch.

6. Elin Wagner devant la pile de registres contenant les signatures pour obtenir le vote des femmes.

7. L’alcool est jeté pendant la période de prohibition.

8. Conditions de travail des mineurs belges.

9. Le gang entièrement féminin qui semait la peur à Londres.

10. L’enchevêtrement de câbles à New York City recouverts de neige après une tempête.

11. La foule sur le Golden Gate Bridge, le 24 mai 1987, à l’occasion du 50e anniversaire.

12. Peinture vivante, Nouveau Mexique, 1915.

13. Pratique dentaire ancienne.

14. Fouilles sur l’île de Pâques.

15. La curieuse tenue des médecins de la peste, qui cachaient dans le long bec des herbes parfumées pour dissimuler les odeurs.

16. École de danse en Russie.

17. Trafic à Berlin après la chute du mur.

18. Un des navires arrivant au port de New York, rempli de soldats revenant de la Seconde Guerre mondiale.

19. Orphelins de la guerre du Vietnam amenés aux Etats-Unis.

20. Enfants à vendre en raison de la famine.

21. New York, 14 août 1945: célébration de la fin de la guerre.

Tags: PhotographieHistoire

http://www.regardecettevideo.fr

Fouilles à nu: uniquement «dans les cas extrêmes»


Franchement, notre gouvernement au Québec, n’est pas à ses premières bourdes en plus de coupés dans tous les services, il a été obligé de se raviser face à la colère des Québécois et de la mauvaise presse à travers le monde que le ministre de l’éducation avait pour sa part, jugé que les écoles étaient en droit de faire des fouilles à nu en spécifiant que ce soit très ‘’respectueux ‘’à des adolescentes qu’ils suspectaient de cacher de la drogue. Sauf qu’à mon avis ce n’est pas leur rôle dans ses conditions mais à la police.
Nuage

 

Fouilles à nu: uniquement «dans les cas extrêmes»

 

Marc-André Gagnon

QUÉBEC – Après les faux pas du ministre de l’Éducation, Yves Bolduc, et l’annonce du recours à un expert indépendant, le premier ministre du Québec vient de trancher:

«il n’est pas question de fouilles à nu dans nos écoles, sauf dans les cas extrêmes justifiés par les forces policières».

C’est ce qu’a déclaré Philippe Couillard pendant la période des questions à l’Assemblée nationale, jeudi, lorsque pressé par l’opposition officielle d’interdire, dorénavant, toute fouille à nu dans les écoles du Québec.

«Je n’accepterai jamais que ma fille soit fouillée à nu, peu importe les conditions, je demande au premier ministre, immédiatement, de dire aux parents qu’il met fin à cette pratique inacceptable pour nos jeunes», a lancé en chambre le chef de l’opposition par intérim, Stéphane Bédard.

«ON N’EN VEUT PAS!»

«Sur la question de la fouille à nu dans les écoles, la réponse c’est non, on n’en veut pas», a répondu le premier ministre.

«Encore une fois, il n’est pas question qu’il y ait des fouilles à nu, particulièrement chez les élèves, des mineurs, on est tous d’accord là-dessus, mais je voudrais quand même qu’on vérifie ce qui s’est passé dans cette école», a ajouté M. Couillard.

Le chef libéral a rappelé qu’un expert indépendant a été mandaté par le gouvernement afin de faire toute la lumière sur ce qui s’est passé dans le cas de cette jeune élève mineure à la Polyvalente de Neufchâtel.

«Ça ne change rien à ce que je viens de dire, mais on doit quand même vérifier, […] on doit exactement savoir ce qui est arrivé», a dit le premier ministre, estimant qu’il s’agit d’une approche raisonnable.

L’IMAGE DU QUÉBEC TERNIE

Le chef de l’opposition officielle a profité de l’occasion pour reprocher au ministre de l’Éducation, Yves Bolduc, d’avoir terni, par sa maladresse, l’image du Québec à l’international.

«Ce ne sont plus seulement les Québécois qui constatent que le ministre de l’Éducation fait fausse route, on entend maintenant les Français, les Anglais, les Américains et même les Turcs M. le président!»

En affirmant qu’il est permis de faire des fouilles à nu dans les écoles à condition «que ça soit très respectueux», le ministre Bolduc «s’est lui-même discrédité», considère Stéphane Bédard.

De son côté, le chef du deuxième groupe d’opposition, François Legault, a réclamé une fois de plus que le gouvernement nomme quelqu’un d’autre que M. Bolduc au poste de ministre de l’Éducation.

http://fr.canoe.ca/

Belgique : bientôt l’euthanasie pour les mineurs ?


Je suis déjà contre l’euthanasie chez les adultes, encore plus pour les enfants. C’est sûr qu’il ne faut pas faire de l’acharnement thérapeutique, et le plus possible enlever la douleur, mais de là à euthanasier, c’est impensable pour moi. Sans parler qu’avec le temps, les recherches, et oui a force d’essayer de soigner, on finit par trouver un traitement pour ceux qui suivront
Nuage

 

Belgique : bientôt l’euthanasie pour les mineurs ?

 

En Belgique, la loi ne concernerait que quelques cas par an.

En Belgique, la loi ne concernerait que quelques cas par an. © Martin Bernetti / AFP

La commission Justice du Sénat a voté nettement en faveur d’un texte autorisant l’euthanasie des mineurs, en cas « de souffrances inapaisables ».

 

BRUXELLES, ALAIN FRANCO

Benjamin avait 7 ans lorsqu’il est décédé, après deux ans et demi de lutte contre un cancer du foie. Marijke, sa maman, aurait voulu qu’il puisse bénéficier du droit à l’euthanasie. Mardi, la Belgique a fait un pas important en ce sens : la commission Justice du Sénat a voté, à une forte majorité, un texte qui, s’il est adopté par le Parlement en plénière, fera du royaume belge le deuxième pays d’Europe à légaliser l’euthanasie des mineurs.

« Benjamin parlait beaucoup de la mort, il s’interrogeait et posait des questions réfléchies et adaptées à son âge, du genre « qu’est-ce que je pourrais prendre avec moi dans mon cercueil, est-ce que tu mettras mon doudou dans mon cercueil ? » raconte Marijke avant de conclure : « Il n’y a pas de raison que l’on ne donne pas le droit de choisir sa mort à des enfants qui souffrent autant que des adultes. »

Le texte adopté par la Commission sénatoriale prévoit que seuls les mineurs faisant face à des « souffrances physiques insupportables et inapaisables » et se trouvant « en phase terminale », puissent demander l’euthanasie. Et pas n’importe comment : ils devront être encadrés par une équipe médicale, et avoir l’accord de leurs parents. Selon des sources médicales, seuls quelques cas par an remplissent ces conditions en Belgique.

 « C’est impossible à déterminer avec précision, reconnaît l’élu socialiste Philippe Mahoux, l’un des pères de la loi sur l’euthanasie pour les adultes, introduite il y a dix ans. Mais si l’on peut trouver des solutions à des situations intolérables, cela vaut bien une loi. »

Un net clivage

Cette position est largement partagée chez les élus, si on se réfère au vote de la commission Justice, qui a adopté le projet de loi à 13 voix contre 4, après avoir rejeté un amendement pour imposer un âge minimal de 15 ans. Les sénateurs ont voté en leur âme et conscience, sans consigne de vote. Pourtant, le résultat reflète un clivage finalement assez net : écologistes, socialistes, libéraux et indépendantistes flamands ont voté pour la légalisation de l’euthanasie pour les mineurs. Sociaux-chrétiens et extrême droite ont voté contre.

« C’est un texte mal fagoté. Je veux faire en sorte que s’il y a une loi, elle soit claire, cohérente et respectueuse des personnes et des enfants. Qu’elle soit aussi une loi qui permette de calmer les souffrances de ceux-ci », dénonce ainsi le sénateur et constitutionnaliste réputé Francis Delpérée.

La Belgique sera-t-elle bientôt le deuxième pays d’Europe après les Pays-Bas à permettre qu’un enfant malade en stade terminal demande – et obtienne – le droit à mourir ? Les observateurs politiques s’interrogent : le nombre de lois en attente au Parlement est important, et ce texte « peu valorisant électoralement », relève le politologue Pascal Delwit. Mais l’affaire est symbolique. Selon un sondage paru le mois dernier dans le quotidien La Libre Belgique, plus de trois quarts des Belges sont favorables à l’extension de la légalisation de l’euthanasie pour les mineurs.

http://www.lepoint.fr

Le bronzage artificiel formellement interdit aux moins de 18 ans


Je pense que c’est une bonne chose et ce même si certains adolescent (e)s ne seront pas content de voir qu’ils ne peuvent plus se faire bronzer dans les salons de bronzage. De toute façon, personne ne devrait utiliser ces appareils. C’est comme titiller les cellules pour devenir cancéreuses
Nuage

 

 

Le bronzage artificiel formellement interdit aux moins de 18 ans

 

PHOTO: ARCHIVES THE NEW YORK TIMES

La Presse Canadienne
Québec

L’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité mardi le projet de loi 74, visant à prévenir les cancers de la peau causés par le bronzage artificiel chez les jeunes.

Ce projet de loi vient interdire l’offre ou la vente de services de bronzage artificiel par rayons ultraviolets aux Québécois âgés de moins de 18 ans. De plus, toute publicité en faveur du bronzage artificiel devra contenir une mise en garde sur ses effets nocifs et mentionner l’interdiction d’accès aux salons de bronzage pour les mineurs.

Selon le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, les rayons ultraviolets sont nettement plus intenses que les rayons solaires naturels et l’exposition au bronzage artificiel pendant la jeunesse augmente de beaucoup le risque de développer un mélanome, la forme la plus meurtrière du cancer de la peau.

Des lois ou règlements similaires existent déjà ailleurs au Canada et dans le monde, notamment en Nouvelle-Écosse, en Colombie-Britannique, dans de nombreux États américains et dans plusieurs pays européens, dont la France et l’Allemagne.

La Société canadienne du cancer, l’Institut national de santé publique du Québec, l’Association des dermatologistes du Québec, l’American Academy of Dermatology et l’Organisation mondiale de la santé soulignent depuis plusieurs années les risques du bronzage artificiel.

http://www.lapresse.ca

Pétition à l’Assemblée nationale Soustraire les enfants de leur agresseur sexuel


Je sais que je reviens souvent sur des sujets d’agressions envers les enfants, mais je suis d’avis que cela urge, qu’il faut agir autant au niveau des lois, que nous en temps qu’adulte et citoyen, nous devons dénoncer les manques dans la protection et de l’aide apporter aux victimes .. Ce qui est inconcevable de penser que même des mineurs agressent des plus jeunes et ce dans une même famille recomposée ou non .. Et peu de moyen sont accessible pour ces victimes qui doivent vivre sous le même toit
Nuage

Pétition à l’Assemblée nationale

Soustraire les enfants de leur agresseur sexuel

Soustraire les enfants de leur agresseur sexuel

Crédit photo : Journal de Montréal

Françoise Huet demande de revoir la loi pour éviter que des enfants victimes d’agression sexuelle par des mineurs se retrouvent sous le même toit que leur agresseur

Une fillette de six ans qui aurait été victime d’agressions sexuelles répétées de la part son demi-frère se retrouve à vivre sous le même toit plusieurs jours par mois. Une situation dénoncée par plusieurs personnes qui ont signé une pétition sur le site de l’assemblée nationale.

Françoise Huet est l’instigatrice d’une pétition électronique sur le site de l’assemblée nationale. Elle demande de revoir la loi pour éviter que des enfants victimes d’agression sexuelle par des mineurs se retrouvent sous le même toit que leur agresseur.

«Quel avenir la petite Jessica (nom fictif) va avoir quand elle va être en âge de comprendre», s’indigne Françoise Huet, instigatrice de la pétition.

Les faits seraient survenus à l’été 2010. La petite, alors âgée de six et demi, aurait été agressée sexuellement à répétition par le fils de 13 ans de la nouvelle conjointe du père.

Selon Mme Huet, à qui le cas a été rapporté, c’est la petite qui aurait décidé de parler, affirmant que son demi-frère lui faisait mal quand il la touchait.

Pétition à l’assemblée nationale

Choquée par ce cas, Mme Huet a sollicité l’appui du député de La Prairie, François Rebello, pour qu’il dépose une pétition sur le site de l’assemblée nationale.

Protection des enfants sexuellement agressés 

Pour ceux qui n’ont pas signé et qu’il aimerait le faire

L’objectif étant de mettre en place des mesures quand un enfant est agressé sexuellement par un mineur, et que ce dernier cohabite avec le jeune agressé.

« Il ne viendrait à l’idée de personne de remettre un adulte abusé en contact avec son abuseur », peut-on lire dans le texte de présentation sur le site Internet.

La pétition a été mise en ligne le 17 octobre. Plus de 400 personnes ont signé.

Huit jours par mois

Le cas de Jessica relève de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) de la Montérégie.

Les actes auraient été commis quand le père et sa nouvelle conjointe étaient absents du domicile.

«La petite va chez son père huit jours pendant le mois. Elle doit vivre avec son agresseur», explique Mme Huet.

Tant la DPJ que la police ont convenu que l’enfant avait été victime d’agressions sexuelles de la part de son demi frère dans les différents rapports.

Le jeune fait actuellement face à la justice sous trois chefs d’accusations : agression sexuelle, incitation à des contacts sexuels ainsi que contacts sexuels.

L’instigatrice de la pétition questionne pour sa part l’attitude de la DPJ. Les responsables se défendent toutefois de ne pas avoir fait le nécessaire pour assurer la sécurité de la jeune fille.

«Il faut avoir une lecture globale de la situation. Et réagir en fonction des yeux de l’enfant dans son meilleur intérêt», explique Gilles Cloutier, directeur de la DPJ de Montérégie.

Il indique qu’il ne faut pas négliger la compétence des parents à intervenir dans de telles situations.

«Il y a quand même une série de conditions à respecter, et le père s’est engagé à les suivre», dit-il, mentionnant que c’est également à la Cour supérieure d’apporter un jugement afin de modifier les droits des parents.

Pour Françoise Huet, tout cela est insuffisant puisque la fillette garde des séquelles des événements. Selon elle, même si les présumées agressions remontent à un an, la fillette s’automutile, surtout la nuit.

«Elle s’arrache les ongles des orteils. Elle dit que c’est parce qu’elle a mal, et elle pointe son coeur» , s’est fait dire Mme Huet.

http://tvanouvelles.ca