Des spécialistes se prononcent Qu’adviendra-t-il de l’enfant de Sonia Blanchette?


Apres avoir découvert la mort de trois enfants que la mère est accusé de meurtre avec préméditation, c’est la stupeur de savoir qu’elle serait enceinte … Quel enfance si l’enfant nait et  peut vivre avec sa mère dans un milieu carcéral .. surtout si elle est reconnu coupable de meurtre ?
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Des spécialistes se prononcent

Qu’adviendra-t-il de l’enfant de Sonia Blanchette?

 

Qu'adviendra-t-il de l'enfant de Sonia Blanchette?

Crédit photo : Agence QM

Par Marie-Pier Cornellier | TVA Nouvelles

Sonia Blanchette, qui fait face à des accusations de meurtre prémédité sur ses trois enfants était enceinte au moment des événements, selon le Journal de Montréal.

Cette nouvelle a vite fait de susciter toutes sortes de commentaires et d’analyses. Entre autres, si tel est le cas, qu’adviendra-t-il de cet enfant?

«Une femme enceinte qui purge une sentence d’incarcération ce n’est pas rare, mais une femme qui est accusé de meurtre au 1er degré de ses enfants et qui purge une sentence préventive. Ça c’est rare», a admis Mia Manocchio, criminaliste.

Sur le plateau de Mario Dumont à LCN, le psychiatre Pierre Mailloux a tenu à rappeler ces circonstances : «Cette femme est présumée innocente jusqu’à son procès. Son procès n’aura pas lieu avant au moins un an. Si elle le garde, elle va accoucher présumée innocente.»

Et si Sonia Blanchette voulait garder l’enfant? Sur cette question, les spécialistes se contredisaient.

Pour Mia Manocchio, élever un enfant en prison est impensable. «En plus, si elle purge un peine de prison à vie, c’est sur qu’elle ne sera pas apte à prendre soin de son enfant.»

Mais le criminologue Jean-Claude Bernheim affirme le contraire: «Elle peut garder son enfant 3, 4 ans dans un contexte carcéral.» Par la suite, il a nuancé: «On ne peut pas donner une réponse absolue sans connaître l’ensemble de la situation.»

Le Service correctionnel du Canada est formel: les détenues reconnues coupable de meurtre ne peuvent pas garder leur enfant en prison pour les deux premières années. Ensuite, elles sont admissibles à un programme mère-enfant, seulement si elles n’ont pas commis de crime avec violence, par exemple.

Dans un cas comme celui ci, la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) peut intervenir seulement à la naissance de l’enfant.

Tout d’abord, elle vérifie si un père est reconnu. Si oui, a-t-il l’intention de s’occuper de l’enfant?

«À défaut qu’un père soit reconnu, la DPJ vérifiera si un membre de la famille pour prendre la relève», a expliqué Alain Trudel, directeur de la Protection de la jeunesse en Estrie.

Si personne n’est apte. La DPJ devra se tourner vers une famille d’accueil.

Tous ces dires de spécialistes demeurent des suppositions. Aucun médecin n’a confirmé que le fœtus, une semaine après la tragédie, est encore vivant.

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Richard Henry Bain avait 22 armes


Comment il se fait que ceux qui ont un état mental précaire ont autant d’arme en leur possession ??? Il est vrai que pour faire un attentat, il ne faut pas être très équilibré… Cependant j’espère que son état mental ne minimisera pas ses actes criminel étant donné qu’il était bien armé et savait c e qu’il faisait
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Richard Henry Bain avait 22 armes

 

Richard Henry Bain.

PHOTO: PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

Richard Henry Bain possédait 22 armes, dont 21 enregistrées. Il en avait cinq avec lui au moment des crimes qu’on lui reproche, mardi soir dernier: deux dans les mains et trois dans son véhicule.

C’est ce qu’on a appris ce midi, après que l’homme de 62 ans eut brièvement comparu devant le juge Pierre Labelle, au palais de justice de Montréal. Il fait face à 16 accusations, dont le meurtre prémédité de Denis Blanchette, trois tentatives de meurtre, possession de matières incendiaires et incendie criminel, ainsi que plusieurs chefs liés à la possession et au mauvais entreposage d’armes à feu et de munitions. Parmi les armes, on trouve une carabine Ceska Zbrojovka, un Beretta 9 mm Luger et un revolver 357 M.

L’auteur présumé de l’attentat du Metropolis est arrivé au palais dans une voiture banalisée de la Sûreté du Québec. Une larme coulait sur sa joue droite, comme le démontre la photo prise par Patrick Sanfaçon, photographe à La Presse. Il portait encore sa chemise d’hôpital et la combinaison blanche que les policiers donnent aux prévenus après avoir saisi leurs vêtements comme pièces à conviction. Les autorités lui ont fourni des vêtements puisqu’il est ensuite entré dans la salle d’audience vêtu d’un pantalon de jogging bleu marin et d’un t-shirt blanc. M. Bain, qui a été hospitalisé dans la journée de mercredi, portait encore son bracelet d’hôpital et un pansement à un bras, semblable à ceux qu’on applique après des prises de sang ou des perfusions.

Il a jeté des regards dans la salle, puis son avocate, Me Elfride Duclervil, est entrée dans le box pour s’entretenir avec lui quelques secondes. Il a répondu calmement à Me Duclervil. À un certain moment, il a esquissé un bref sourire.

L’audience, qui n’a duré qu’une minute ou deux, s’est déroulée en anglais. Dans la salle se trouvaient des amis et des relations de la victime, Denis Blanchette, dont son filleul. Une fois la séance levée, ils ont quitté la salle rapidement. M. Bain doit retourner devant la Cour le 11 octobre, afin de fixer une date pour la suite du processus judiciaire.

Lors d’un point de presse, par la suite, la procureure de la Couronne Éliane Perreault a indiqué que l’enquête était toujours en cours et qu’il pourrait y avoir d’autres accusations. Pour le moment, il n’y a rien en lien avec un quelconque complot contre Pauline Marois, qui a été élue première ministre du Québec mardi.

Rappelons que le drame s’est produit aux alentours de minuit, alors que Mme Marois venait de prendre la parole après sa victoire. Armé, cagoulé et vêtu d’un peignoir par-dessus ses vêtements, M. Bain aurait tenté de pénétrer dans le Métropolis par une des portes arrière. M. Blanchette et son collègue Dave Courage se sont trouvés sur son chemin, et ont été frappés, vraisemblablement par la même balle. M. Blanchette est mort, tandis que M. Courage a été grièvement blessé, mais sa vie n’est plus en danger.

Selon l’acte d’accusation, Bain a aussi tenté de tuer Elias Ames-Bull de même que le sergent Stéphane Champagne, qui a couru après lui pour l’arrêter. Les deux n’ont heureusement pas été blessés. Avant d’être immobilisé, M. Bain aurait aussi mis le feu devant la porte. L’acte d’accusation signale qu’il était en possession de bidons d’essence et de fusées de signalisation.

L’homme souffrirait de problèmes psychiatriques, mais il n’en a pas été question lors de la comparution. Me Perrault a indiqué que l’accusé était en état de comparaître, qu’il comprenait. Malgré cela, il est fort probable que l’état mental de l’accusé sera l’enjeu majeur dans la suite du processus judiciaire.

Bain, retraité depuis quatre ans d’une entreprise de l’est de Montréal, n’avait pas de casier judiciaire. Il demeure à La Conception, où il exploite une petite pourvoirie de pêche, au lac Wade. Il a une propriété depuis 1989 à cet endroit. Mercredi, les policiers de la SQ ont perquisitionné à son domicile.

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Meurtre de Jun Lin Magnotta plaide non coupable


Sommes-nous surpris qu’il plaide non coupable ? Va t’il réussir a se faire passer pour irresponsable de ses actes .. ? Qu’on vienne nous dire que c’est pas de sa faute .. qu’il a eu une enfance difficile et tout le tra la la .. il a fait des choix c,est a lui d’assumer les conséquences .. Espérons au moins qu’il aura la décence de dire ou est la tête
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Meurtre de Jun Lin

Magnotta plaide non coupable

 

Par Michaël Nguyen | Agence QMI

Consultez la chronologie de cette affaire

Au lendemain de son arrivée en sol canadien, Luka Rocco Magnotta a plaidé non coupable à des accusations de meurtre prémédité par vidéoconférence au palais de justice de Montréal.

L’homme de 29 ans qu’on surnomme «le démembreur» a formellement été accusé, entre autres, du meurtre prémédité de l’étudiant chinois Jun Lin, d’outrage à un cadavre, d’avoir produit et distribué du matériel obscène, d’avoir utilisé la poste pour envoyer du matériel obscène et de harcèlement envers le premier ministre Stephen Harper ainsi que des membres du Parlement.

Les parties ont convenu pour revenir en cour jeudi, afin de discuter à propos d’une éventuelle demande d’évaluation psychiatrique de l’accusé et sur sa responsabilité criminelle.

Comme c’est l’usage, l’accusé a comparu en Cour du Québec. Or, un meurtre relève de la Cour supérieure. La cause a donc été reportée à une date ultérieure.

Si Magnotta décide de demander sa libération sous conditions, ce sera un juge de la Cour supérieure qui entendra l’affaire.

Les procureurs à la Couronne sont Hélène Di Salvo et Louis Bouthillier.

Bien avant la comparution, les journalistes et des curieux faisaient déjà la file pour être certains de pouvoir assister à l’audience. Plusieurs personnes n’ont pas pu entrer, faute de places disponibles. Les constables spéciaux ont finalement ouvert une salle de retransmission pour accommoder un maximum de personnes.

Arrêté dans un café internet de Berlin le 4 juin après une cavale d’une dizaine de jours, « le démembreur » est arrivé au pays lundi soir, à bord d’un Airbus Polaris de l’Aviation royale canadienne. L’accusé a foulé le sol canadien sous haute surveillance policière.

Il est soupçonné d’avoir tué et démembré un étudiant chinois, Jun Lin, 33 ans, dans son appartement de Côte-des-Neiges, la nuit du 24 au 25 mai dernier. Magnotta aurait filmé la scène, où il aurait commis des outrages sur le cadavre, avant de mettre la vidéo en ligne.

Le torse du cadavre avait été retrouvé dans une valise, tandis que des parties du corps ont été envoyées au Parlement ainsi qu’en Colombie-Britannique. La tête est toujours manquante.

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Magnotta en route vers le Canada


Voilà que l’escapade du Magnotta tire a sa fin, car il revient au bercail, pour y être jugé dans une cour de Montréal. Ce que j’espère est que la justice ne trainera pas en longueur pour émettre son verdict surtout avec les preuves qu’ils ont en main
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Magnotta en route vers le Canada

 

Luka Rocco Magnotta a passé des années à travailler comme danseur nu dans des bars gais, comme acteur porno et comme prostitué.

SPVM

Vincent Larouche
La Presse

Luka Rocco Magnotta a quitté l’Allemagne lundi à bord d’un avion militaire canadien pour revenir à Montréal, où il doit être jugé pour le meurtre et le démembrement de l’étudiant chinois Lin Jun.

Le suspect arrêté dans un café internet de Berlin, le 4 juin, ne s’est pas opposé à la demande d’extradition du Canada, qui le réclamait afin qu’il soit jugé pour meurtre prémédité.

«Luka Rocco Magnotta a quitté l’Allemagne par transport militaire canadien sous escorte du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)», a confirmé le ministre de la Justice du Canada, Rob Nicholson dans un communiqué émis ce matin.

«Notre gouvernement a travaillé en étroite collaboration avec le SPVM, le Service des poursuites pénales du Québec et les autorités allemandes afin d’obtenir l’extradition de M. Magnotta de l’Allemagne de même que son renvoi rapide vers le Canada», a ajouté le ministre.

L’endroit exact où atterrira l’avion militaire n’a pas été précisé, mais c’est à Montréal que doit comparaître le suspect en cour.

Luka Rocco Magnotta, âgé de 29 ans et originaire de l’Ontario, est le principal suspect dans une histoire de meurtre crapuleux qui a ébranlé la communauté montréalaise et le monde entier. Il se serait filmé en train de tuer et démembrer sa victime avant d’envoyer des morceaux de corps par la poste à des écoles et des partis politiques, selon la thèse de la police.

Le gouvernement du Canada a remercié l’Allemagne d’avoir agi rapidement dans cette affaire.

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