Difficile de stopper la propagation d’images pédopornographiques sur le web


Je n’ai aucun respect pour les pédophiles et ceux qui regarde de la pornographie infantile, c’est pour moi des pourris et le mot est faible. Malheureusement, avec Internet, c’est une porte grande ouverte pour ces pédocriminels. Bien qu’il existe des technologies pour essayer d’arrêter ce fléaux sauf qu’ils fonctionnent de manières différentes ou le système de sécurité est quasi inexistant. Je pense que les grands du Web que ce soit Microsoft, Yahoo!, Google, les réseaux sociaux etc … doivent se mettre ensemble pour bloquer ces pervers.
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Difficile de stopper la propagation d’images pédopornographiques sur le web

Jeune fille assise seule dans le noir.

La plupart du contenu pédopornographique qui se trouve sur le web est en constante recirculation.

PHOTO : GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO / GIUDA90

Radio-Canada

Une enquête du New York Times révèle que les systèmes de détection de contenus pédopornographiques dont se servent les grandes entreprises technologiques laissent passer beaucoup d’images d’abus sexuels sur les personnes mineures.

Même si 45 millions de photos et vidéos ont été signalées et retirées du web l’an dernier, l’industrie a échoué à mettre en place des mesures agressives pour y mettre fin, notamment en raison des approches inconstantes, unilatérales et menées en secret des entreprises comme Google et Microsoft. 

La plupart du contenu pédopornographique qui se trouve sur le web est en constante circulation. C’est pour cette raison que le principal outil pour le détecter et le retirer des moteurs de recherche est le système PhotoDNA, développé en 2009 par Microsoft et le professeur Hany Farid, et qui compare automatiquement les photos mises en ligne à celles d’une base de données de photos illégales connues.

Le problème, c’est qu’au-delà du contenu de PhotoDNA, de nouvelles photos sont publiées tous les jours et que les entreprises technologiques se servent souvent de différents systèmes de détection de contenu. Facebook et Google ont par exemple deux technologies distinctes pour les vidéos, mais c’est impossible pour elles de partager leurs informations parce que ces technologies fonctionnent de deux manières totalement différentes.

Plusieurs plateformes, dont AOL, Snapchat et Yahoo, n’ont d’ailleurs aucune manière de vérifier le contenu vidéo qui passe par leurs serveurs et se limitent seulement à la détection de photos.

Politiques inconstantes

Les grands services de stockage en nuage ont tous différentes manières de scruter le contenu qui passe sur leurs serveurs. Dropbox, Google Drive et Microsoft OneDrive vérifient les documents seulement lorsqu’ils sont partagés et non quand ils sont téléversés, tandis qu’Amazon Drive et iCloud ne les vérifient pas du tout.

On apprend que certains criminels et criminelles partagent donc les accès à leurs comptes plutôt que les fichiers eux-mêmes pour contourner les mesures de sécurité.

Facebook fait un bien meilleur travail de détection de contenu illicite. Pour preuve, 90 % des images pédopornographiques signalées sur le web l’an dernier étaient hébergées sur sa plateforme. Le New York Times souligne par contre que le futur chiffrage des données de sa plateforme de messagerie, Messenger, rendra plus difficile la détection de contenu.

Le quotidien révélait dans une enquête menée au début de septembre que Messenger était la plateforme plus populaire pour la pédocriminalité : près des deux tiers des signalements reçus par les autorités en 2018 tiraient leur origine du service de messagerie. 

Bing, le moteur de recherche de choix

Le Times a également constaté que le moteur de recherche de Microsoft, Bing, était parsemé d’images pédophiles et suggérait même des mots-clés dans sa barre de recherche pour en obtenir davantage. Plusieurs d’entre elles faisaient partie de la base de données PhotoDNA.

C’est une découverte pour le moins surprenante, puisque Microsoft avait dit vouloir apporter des modifications à son système, après que le site TechCrunch ait rapporté la même chose en janvier.

Selon le Times, Bing est un outil fiable pour plusieurs pédocriminels. Les moteurs de recherche DuckDuckGo et Yahoo donnent d’ailleurs des résultats semblables puisqu’ils se servent du système de Microsoft.

Un porte-parole de l’entreprise a dit qu’elle a apporté certaines modifications à ses algorithmes après que le Times l’ait contactée dans le cadre de son enquête.

https://ici.radio-canada.ca//

Newmanity : une boîte mail écolo pour sauver la planète ?


C’est quelque chose qu’on ne sait peut-être pas, mais le virtuel a aussi une note sur la planète en temps que pollueur. Envoyer un courriel a donc des conséquences, mais des Français, on réussit à créer une boite émail avec l’énergie renouvelable. Si ce n’est pas une option pour nous, il est quand même possible de diminuer l’impact écologique en sachant gérer notre boite courriel
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Newmanity : une boîte mail écolo pour sauver la planète ?

 

ÉCOLOGIE – La start-up parisienne Newmanity a eu l’idée de créer la première messagerie électronique qui ne produit pas d’émissions carbone. Déjà disponible pour les particuliers, la jeune pousse lance ce mercredi une version à destination des entreprises.

On a parfois tendance à l’oublier, mais les émissions de CO2 dues aux activités numériques n’ont rien de virtuel. Et si Internet a révolutionné notre quotidien, son impact écologique, lui, est bien réel : plus de 2% de la pollution mondiale, soit autant que… le trafic aérien !

Envoyer un mail et y répondre, transférer un message ou une image : derrière ces petits « clics », devenus pour nous quotidien, se cachent en effet une toute autre réalité.

Vous n’imaginez (vraiment) pas à quel point les mails polluent

« Lorsque l’on envoie un email avec une pièce jointe qui pèse environ un méga, cela correspond à la consommation électrique d’une ampoule de 60 Watts pendant 25 minutes », relève Stéphane Petibon, directeur général et cofondateur de Newmanity, le premier service de messagerie qui ne produit pas d’émissions carbone.

Chaque jour, plus de 550 milliards de mails sont envoyés à travers le monde. On vous laisse faire le calcul… (SPOILER : plus de 26 millions d’années d’ampoule allumée).

Et c’est encore plus parlant à l’échelle d’une entreprise : d’après une étude menée par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), une entreprise de 100 personnes générerait par ses envois d’e-mails pas moins 13 tonnes de CO2 par an, l’équivalent de 13 allers-retours entre Paris et New York.

« Les internautes, ainsi que les entreprise, ont tendance à oublier que l’usage d’une messagerie numérique requiert énormément d’énergie », reprend Stéphane Petibon.

Newmanity : un mail écolo ?

Pour remédier à ce fléau numérique, le réseau social Newmanity, co-créé en 2012 par Victor Ferreira, le fondateur de la marque de commerce équitable Max Havelaar, a eu l’idée de lancer en septembre dernier la première boîte mail « écolo » française. L’accès est gratuit (et sans pub), pour 1 Go d’espace de stockage, un calendrier et un outil de partage de fichiers. C’est 15 fois moins que Gmail mais qui utilise autant ? D’autant que c’est tout le sens de la démarche : apprenez à trier vos mails.

Newmanity mail rassemble déjà plus de 95.000 personnes, dont près de 15.000 utilisateurs au quotidien. Pour vous inscrire, rendez-vous sur son site. Fort de ce succès, une nouvelle version à destination des professionnels doit être lancée ce mercredi 10 février. L’objectif ? Aider les entreprises à baisser leur bilan carbone.

« Notre offre s’élève à 4 euros par mois, et par boîte mail, indique son cofondateur. C’est à peu près le prix pratiqué par les leaders du marché, Outlook et Gmail for Work. »

En prime, 20% de l’argent versé par les sociétés serviront à financer des actions éco-responsables qui pourront notamment être sélectionnées par les salariés des entreprises en question.

Un data center qui utilise le soleil et les marées 

Afin de garantir des mails sans émissions carbone, Newmanity a déniché le seul et unique data center au monde qui fonctionne uniquement grâce aux énergies renouvelables.

« Nous aurions aimé trouver un data center en France, mais cela n’existe pas, précise Stéphane Petibon. Nous avons donc opté pour le système développé par Evoswitch, aux Pays-Bas. En outre, cela nous permet de garantir la confidentialité des données, puisqu’elles sont hébergées au sein de l’Union européenne. »

Mais Newmanity ne s’arrête pas là. Si le Web est si gourmand en énergie, c’est aussi parce que les données enregistrées sont nombreuses.

« Nous avons décidé de ne pas enregistrer d’informations sur la vie privée des utilisateurs, ce qui fait qu’on consomme beaucoup moins d’énergie sur nos serveurs », souligne l’entrepreneur.

De quoi s’interroger quant à l’empreinte carbone des géants du web qui stockent massivement les données des internautes.

3 conseils pour réduire vos émissions de CO2

Faites régulièrement le tri dans votre boîte mail. Plus cette dernière est surchargée est lourde, plus elle consomme d’énergie.Envoyez plutôt vos mails de votre smartphone (plutôt que depuis votre ordinateur), cela requiert beaucoup moins d’énergie.

Lorsque vous recevez un mail collectif, évitez de cliquer sur « répondre à tous », enfin si ce n’est pas nécessaire. Plus le mail comporte de destinataires, plus il émet de CO2.

http://www.metronews.fr/

Harcelée de messages haineux À 12 ans, une Américaine se jette du haut d’une usine


Je crois qu’il serait temps que ceux que les intimidateurs, les harceleurs puissent être poursuivis en justice, qu’ils soient responsables de leurs actes et leurs paroles et qu’importe l’âge qu’ils ont. S’ils sont assez grands pour aller dans les réseaux sociaux, avoir un cellulaire alors ils sont assez grands pour en subir les conséquences de leur utilisation
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Harcelée de messages haineux

À 12 ans, une Américaine se jette du haut d’une usine

 

L’adolescente Rebecca Sedwick, âgée de 12 ans (Gracieuseté Facebook)

TVA Nouvelles selon AFP

Rebecca Sedwick, une adolescente de 12 ans, s’est enlevé la vie lundi dernier en Floride après avoir été harcelée pendant plus d’un an par messagerie sur son cellulaire. La police a ouvert une enquête sur la possible implication d’une quinzaine d’étudiantes, a rapporté le New York Times.

La jeune s’est suicidée sur le chemin de l’école, en se jetant du haut d’une usine désaffectée près de son domicile à Lakeland. Tout juste avant, elle avait laissé son téléphone dans sa chambre et dit adieu à deux amies en signant «cette fille morte» sur l’application Kik Messenger, a affirmé le shérif.

Selon le New York Times, ce suicide illustre un nouveau phénomène chez les jeunes harcelés sur internet. Il soulève de nouvelles questions sur la prolifération et la popularité de ces applications ainsi que la capacité des parents à faire face à ce genre de situation.

«On terrorisait totalement Rebecca sur les médias sociaux», a déclaré le shérif Grady Judd, à la presse.

Des messages haineux comme «peux-tu mourir s’il te plaît?», «tu es tellement laide», ou encore «pourquoi es-tu encore en vie?», ont été retrouvés sur différentes applications téléchargées de son portable.

Un semblant de vie normale

 

Sa mère, Tricia Norman, avait pris compte de l’état de sa fille il y a plusieurs mois, par le poignet lacéré de Rebecca. L’adolescente avait été hospitalisée, confisquée de son cellulaire, n’avait plus accès à Facebook et a été changée d’école.

Tout semblait s’être pourtant rétabli à sa rentrée. Sa mère a même affirmé qu’elle «n’avait aucune raison de penser que quelque chose n’allait pas». Rebecca avait un numéro de téléphone différent, semblait épanouie à nouveau, chantait dans une chorale et envisageait de se joindre à l’équipe de meneuses de claques.

Le harcèlement avait pourtant repris au sujet d’un ancien copain de l’adolescente.

«Peut-être qu’elle pensait pouvoir gérer ça toute seule», a déclaré sa mère, appelant les autres parents à être vigilants.

Selon les enquêteurs, Rebecca a cherché sur internet les moyens pour se suicider.

«Combien d’Advil faut-il avaler pour mourir?», avait-elle tapé, avant de finalement se jeter du haut d’une usine.

http://tvanouvelles.ca/

INSOLITE : LES PESSIMISTES PLUS ACCROS AUX MAILS ?


Je crois que selon l’étude, je rentre parmi les optimistes .. alors qui est sur le côté des pessimistes .. je serais curieuse de savoir si cela est vrai parmi ceux qui liront ce billet
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INSOLITE : LES PESSIMISTES PLUS ACCROS AUX MAILS ?

 

  • Insolite : les pessimistes plus accros aux mails ?
  • iStockphoto

  • Les pensées négatives auraient un impact particulier sur le rapport que l’on entretient avec notre messagerie électronique, selon une récente étude.

 

Les ingénieurs de la plateforme de marketing Contactually se sont amusés à décortiquer les contenus de 100 millions de conversations entretenues par mails. Ils en ont tiré une conclusion surprenante et plutôt utile pour les personnes à qui l’on reproche un excès de pessimisme.

Il semblerait en effet que le pessimisme n’ait pas que des mauvais côtés. Cette propension à la négativité augmente la rapidité à écrire des mails, selon les conclusions de l’enquête. Les auteurs sont catégoriques : les pessimistes répondent 36 % plus vite à leurs mails que leurs collègues plus optimistes.

Accros aux réseaux sociaux ?

Les ingénieurs ont fait cette analyse en regardant le contenu des mails. Ils ont compté et trié les termes négatifs et positifs. Ils ont ensuite calculé un ratio moyen de mails positifs et négatifs par personne. Il est apparu alors que les employés les plus positifs dans leurs conversations répondent en moyenne à 47% de leurs mails reçus dans la journée. C’est beaucoup moins que les personnes dont le contenu des mails semble plus négatif puisqu’ils répondent à 64 % de leurs mails en 24h.

L’étude ne donne pas d’explications à cette différence de comportement numérique. Dommage, il serait intéressant de savoir si les personnes d’un naturel pessimiste sont également plus accros aux réseaux sociaux par exemple. Peut-être sont-elles des acharnées de Facebook ? On comprendrait alors mieux comment, selon certaines études, Facebook peut conduire à la déprime.

http://www.topsante.com