Une famille sauve une pieuvre échouée sur la plage – le lendemain elle leur offre le plus beau des souvenirs


 

Les pieuvres seraient intelligentes qu’elles sont capables de reconnaitre des personnes parmi tant d’autre. C’est ce que pense aussi la famille qui a sauvé une pieuvre qui s’est échouée et sauvée
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Une famille sauve une pieuvre échouée sur la plage – le lendemain elle leur offre le plus beau des souvenirs

 

 

Selon Josh Rothman, The Boston Globe, ils sont même capables de reconnaître les gens.

Elles peuvent aussi entendre, savoir quand on les appelle et venir vers vous, écrit le journal The Week .

Elles sont probablement les plus intelligents des animaux étrangers à nous, dit Peter Godfrey-Smith dans son article L’esprit d’un poulpe, publié dans Scientific American Mind.

Alors qu’une famille était en vacances sur les bords de la mer Rouge, quelque chose semblait être couché dans le sable. En s’approchant, ils ont découvert que c’était une pieuvre échouée. Ils ne savaient pas si elle était morte, mais ils l’ont remise dans l’eau pour le cas où.

Après quelques instants, elle est revenue à elle et s’est mise à nager rapidement.

Le lendemain, ils sont revenus au bord de la plage et ont vu une ombre dans l’eau. C’était la pieuvre qu’ils avaient sauvée la veille. Elle s’est mise à nager rapidement vers la famille et les a suivi pendant un long moment au bord de la mer.

Voici ce que dit la famille sur Youtube où ils ont posté une vidéo de cet instant mémorable:

Elle nous a reconnus! Elle nous a suivis pendant un long moment alors que nous marchions le long de la plage, essayant constamment de nous frotter les pieds. Nous sommes sûrs que la pieuvre était revenue pour nous remercier de lui avoir sauvé la vie. C’est incroyable comme les animaux sont intelligents!

Après ces retrouvailles extraordinaires, la famille a décidé de baptiser la pieuvre Kurt, mais aussi de ne plus jamais manger de poulpe à nouveau.

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Le poisson qui shoote ses prédateurs .


Un poisson qui sait se défendre. Avec ces crocs, il injecte son venin qui comprends 3 toxines, étrangement quand il mord, il n’y a pas de douleur, cependant, c’est assez pour fuir devant son prédateur qui est incapable de continuer sa chasse
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Le poisson qui shoote ses prédateurs

 

poisson venimeux

Meiacanthus nigrolineatus nageant dans les eaux de la mer Rouge.

RICHARD SMITH/OCEANREALMIMAGES

Quand il est attaqué, ce petit poisson injecte un venin qui désoriente et affaiblit ses prédateurs.

CROCS. Les blennies sont une famille de poissons benthiques répartis dans toutes les mers. Ils sont généralement de petite taille (environ 5 cm), très colorés et parfois striés. Certaines espèces sont appréciées des aquariophiles et d’autres se caractérisent par la présence au niveau de la mâchoire inférieure de deux canines surdimensionnées, qui forment de véritables crocs. Ces poissons là, comme le Meiacanthus nigrolineatus qui vit en mer rouge se servent de leurs deux dents pour injecter du venin et ainsi se défendre face aux prédateurs (essentiellement des mérous).

Les crocs d’un Meiacanthus grammistes. Crédit : Anthony Romilio.

Trois toxines pour s’échapper

Mais contrairement à la plupart des autres poissons venimeux (plus de 2000 espèces le sont et la plupart via des épines dorsales), la morsure du Meiacanthus est indolore affirment dans la revue Current Biology des chercheurs australiens de l’université du Queensland. Ils ont réussi à prélever le venin en faisant mordre des cotons-tiges aux poissons puis l’ont injecté à des souris. Ces dernières n’ont pas manifesté de signes de douleur :

« Que le venin des blennies à crocs soit indolore chez les souris a été une grande surprise. La plupart des poissons venimeux provoquent chez les mammifères des douleurs violentes et immédiates » explique Bryan Fry, un des auteurs de la publication.

L’analyse du venin a révélé la présence de trois toxines différentes. Aucune des trois n’est retrouvée chez d’autres familles de poisson. Il s’agit d’un neuropeptide similaire à celui de certains escargots venimeux, d’une enzyme retrouvée dans le venin des scorpions et des serpents et d’un composé proche des substances opiacés utilisés pour soulager la douleur comme le fentanyl ou l’oxycodone. Les chercheurs supposent que lorsqu’il est attaqué, le Meiacanthus se défend en mordant son agresseur et injectant son venin qui provoque une chute de tension et laisse le prédateur dans un état d’hébétude, incapable de poursuivre sa proie qui peut alors aisément s’échapper. 

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D’où viennent les motifs colorés de Pétra ?


Des fois la beauté d’anciens monuments, des édifices est causé par des phénomènes inattendu. Pétra doit sa couleur par des bactéries qui a donné sa couleur sur les roches qui ont été utilisées pour construire cette architecture unique
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D’où viennent les motifs colorés de Pétra ?

 

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Des volutes colorées faites d’oxyde de fer ornent les temples de grès de Pétra, une ville caravanière sculptée dans des falaises, entre la mer Rouge et la mer Morte. © Annie Griffiths

Pétra, capitale de l’ancien royaume nabatéen et florissant carrefour commercial de 400 av. J.-C. à 106 apr. J.-C., est surnommée « la cité rose-rouge » à cause du grès coloré dans lequel sont sculptés ses édifices.

Les volutes des rochers fascinent les visiteurs de ce spectaculaire site de Jordanie, mais leur origine n’a rien de poétique : il s’agit d’un produit de déchet.

Une équipe dirigée par David B. Loope, de l’université du Nebraska, a étudié la roche, datée à environ 500 millions d’années. Elle a découvert que les processus responsables des motifs sont plus récents, sans doute moins de 60 millions d’années.

Les mouvements des plaques tectoniques qui ont ouvert la mer Rouge et le golfe d’Aqaba ont donné naissance aux montagnes du sud de la Jordanie. Ce soulèvement a fracturé le grès, permettant à l’eau souterraine, riche en oxygène et alimentée par la pluie, de pénétrer dans la roche poreuse. Alors que la plupart des formes de vie terrestre sont dépendantes du soleil, les microbes charriés par l’eau ou en dormance dans le grès ont puisé leur énergie et leur carbone dans la métabolisation de la sidérite – un minerai composé de carbonate de fer dispersé çà et là dans la roche, et stable uniquement dans des conditions anaérobies.

L’oxygène a permis aux microbes de dissoudre la sidérite et de précipiter l’oxyde de fer sous forme de déchets, en dessinant des traînées colorées.

Par Karen Gunn

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La faune


La faune et ses milles secrets sur terre, dans les airs et dans les mers, des êtres vivant parcourant la savane ou nageant dans les eaux froides, vivent au gré des vents, des vagues et du temps
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La faune

Lion de l’Afrique du Sud

Photographe : Chris Johns, National Geographic


Léopard de mer, la péninsule Antarctique

Photographe : Paul Nicklen, National Geographic


Les chimpanzés de Gombe, en Tanzanie

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Pélicans blanc de la Louisiane

Photographe :Annie Griffiths, National Geographic


Grand requin-marteau, Bahamas

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


L’éléphant de forêt,  Gabon

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Phoque, Canada

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


Macaques Japonais, Nagano

Photographe : Tim Laman, National Geographic


Chauve-Souris, Panama

Photographe : Christian Ziegler, National Geographic


Renard du Chili

Photographe : Joel Sartore, National Geographic


Girafe, Afrique du Sud

Photographe : Chris Johns, National Geographic


Manchot papou, l’Antarctique

Photographe : Paul Nicklen, National Geographic


Plumes des mers, morue bleue, Nouvelle Zélande

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


Gorille, République du Congo

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Tortue imbriquée, Mer Rouge

Photographe : David Doubilet, National Geographic


Hippopotame, Gabon

Photographe : Michael Nichols, National Geographic

 

http://photography.nationalgeographic.com