Choix de vie


Faire ce que l’on veut de sa vie dépend de nous, avec les conséquences de nos choix

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Choix de vie



Chacun vit sa vie comme il l’entend, il y a ceux qui la vivent avec des obsessions, avec de la méchanceté et de la jalousie et il y a ceux, qui comme moi la vivent en pendant qu’un jour chacun aura ce qu’il mérite. Qui sème le vent, récolte la tempête….
Et j’aime le soleil


L. Pasqualetti

La roue tourne


Moi, je suis certaine que tout ce que l’ont dit, ce que l’on fait nous revient un jour ou l’autre, même si ce n’est pas toujours évident ou que cela prend du temps
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La roue tourne

 

Dans la vie, tout revient : la méchanceté à l’expéditeur, l’amour à ceux qui l’ont donné, les mensonges à ceux qui les ont dit …. Car on le sait bien, la roue tourne pour tous !

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La méchanceté


La méchanceté donne peut-être un certain pouvoir, un contrôle, mais un sentiment de victoire, mais il est très éphémère et ne donne pas cette possibilité d’être heureux
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La méchanceté

 

 

Pauvre est celui qui détruit les autres ! La méchanceté n’a jamais rendu une personne plus heureuse

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Ce qui sépare les gens


On peut avoir des gens près de nous avec qui nous communiquons plus. Les raisons sont parfois ridicules ou d’autres peut-être plus importantes, mais nous ne devrions jamais couper les ponts avec notre famille, nos amis …
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Ce qui sépare les gens

 

Ce n’est pas la distance qui sépare les gens
C’est le silence, la méchanceté, la trahison, l’hypocrisie, la jalousie, la rancune, l’orgeuil, les mensonges …. La liste est longues

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi les méchants au cinéma ont souvent des problèmes de peau


Des dermatologues se sont intéressés aux problèmes de peau qu’on souvent les méchants. Est-ce pour dénoncer une forme de stéréotype ou tout simplement que les réalisateurs renforcent le côté sombre de la méchanceté
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Pourquoi les méchants au cinéma ont souvent des problèmes de peau

 

Des dermatologues se sont amusés à comparer les affections de la peau des 10 plus grands méchants et héros du cinéma. Sans grande surprise, les premiers cumulent les problèmes…

Au cinéma, les méchants cumulent les problèmes de peau

Quand la Reine se transforme en sorcière (Blanche-Neige et les Sept Nains,1937), les verrues apparaissent.

© GLADSTONEGANDER / DISNEYWIKIA

Verrues, cicatrices, alopécie (accélération de la chute des cheveux ou des poils)… Les plus grands méchants du cinéma cumulent les problèmes de peau, et non les héros, relèvent trois dermatologues américains dans la revueJAMA Dermatology. Ils ont récupéré la liste des 100 plus grands héros et méchants de l’American Film Institute (voir tableau ci-dessous) et se sont amusés à comparer l’état de la peau des 10 premiers noms. L’on retrouve des méchants célèbres : Hannibal Lecter (Le Silence des agneaux, sorti en 1991) Dark Vador (Star Wars, Episode V : l’Empire contre-attaque, 1980), Mr Potter (La Vie est belle, 1946)

Sur ces dix méchants, six souffrent de troubles dermatologiques. À l’image d’Hannibal Lecter et de Dark Vador, un tiers présente une alopécie importante. 30 % également souffrent d’une hyperpigmentation du contour des yeux (anormalement sombres), 20 % ont des rides faciales profondes et 20 % ont le visage ravagé de cicatrices. La Reine (Blanche-Neige et les Sept Nains, 1937), quant à elle, souffre également de verrues.

En comparaison, seuls deux héros (Indiana Jones dans Les Aventuriers de l’arche perdue, sorti en 1981, et Rick Blaine dans Casablanca, 1942) ont des problèmes de peau, et encore il s’agit « de cicatrices faciales, plus subtiles et plus courtes que celles des méchants », précisent les auteurs.

Faut-il conclure de cette analyse fantaisiste la mise en évidence de préjugés négatifs sur les maladies de la peau dans le septième art ? N’allons pas jusque-là. Les auteurs soulignent surtout un certain penchant des réalisateurs à utiliser les problèmes dermatologiques comme expression cinématographique de la méchanceté. Un moyen de renforcer le côté obscur de leurs personnages.

https://www.sciencesetavenir.fr/

Vous êtes méchant quand vous avez faim? C’est normal


La manière pour arriver à ce constat est assez inusitée. Est-ce suffisant pour affirmer que nous sommes plus méchants le ventre vide ? Enfin, il est vrai qu’avoir le ventre vide peut être dérangeant.
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Vous êtes méchant quand vous avez faim? C’est normal

 

Vous êtes méchant quand vous avez faim? C'est normal

En colère? Allez manger, ça ira mieux après.Photo Fotolia

Vous pensez être plus irritable quand vous n’avez pas mangé. Vous avez moins de patience avec votre famille ou vos collègues le ventre vide. Être «hangry», de l’anglais hungry (avoir faim) et angry (être en colère) n’est pas juste une expression, c’est un phénomène bien réel. 

La raison provient du fait que notre taux de glucose dans le sang diminue quand nous avons faim. Il devient alors plus difficile de se concentrer.

Un niveau de sucre peu élevé déclenche également la libération d’hormones liées au stress, comme le cortisol et l’adrénaline, ainsi qu’un produit chimique appelé neuropeptide Y, qui rend les gens plus agressifs avec ce qui les entoure.

Pour vérifier ces conclusions, des couples mariés ont été invités à planter des épingles dans des poupées vaudou qui représentaient leurs proches, pour refléter la colère qu’ils avaient à leur égard.

Les chercheurs ont en parallèle suivi les taux de glycémie des participants. Ils ont constaté que plus les gens avaient un niveau de sucre bas, plus ils avaient tendance à enfoncer des épingles dans les poupées, explique le site New Scientist.

Une autre expérience consistait à faire exploser des bruits forts dans les écouteurs de son conjoint. Là encore, plus les gens avaient un taux de glycémie faible, plus ils faisaient éclater des bruits désagréable dans les écouteurs de leur conjoint.

Une étude un peu sadique qui semble confirmer qu’avoir faim nous rend plus méchant.

Alors un bon conseil: ne prenez pas de décisions importantes le ventre vide!

http://fr.canoe.ca/

La méchanceté


Je ne suis pas sûr que la méchanceté n’est pas une certaine forme d’intelligence, cependant, si c’est de l’intelligence, elle est vraiment mal utilisée
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La méchanceté

 

J’ai la faiblesse de penser qu’en général, la méchanceté n’est pas une preuve d’intelligence.
 
René Goscinny

Facebook nous rend-il méchants?


C’est une bonne question, pour ma part, en général, avec mes contacts, tout ce passe dans un esprit d’échange constructive ou non. Cependant, j’ai remarqué que sur les pages Facebook des médias de nouvelles, c’est une tout autre atmosphère. Il semble que certaines personnes ne peuvent pas commenté une nouvelle sans émettre des grossièretés. Leurs mots sont souvent agressifs et vulgaires sans avoir nécessairement lu la nouvelle ou avoir fait des jugements hâtifs
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Facebook nous rend-il méchants?

 

    Photo : Shutterstock
Danielle Verville, Coup de pouce,

 

Facebook est un outil formidable pour échanger et s’informer. Mais il incite aussi à réagir sous le coup de l’émotion, avec, parfois, de fâcheuses conséquences. Zoom sur un phénomène social.

Danielle: «C’est moi, ou Facebook nous rend plus méchants?»
Valérie: «C’est quoi, cette question-là? Lâche ton écran, Danielle. Get a life

Si cette conversation s’était déroulée autour d’une table, on aurait peut-être compris que Valérie est une amie de longue date et qu’elle aime bien me taquiner sur mes grands questionnements existentiels. Peut-être aussi qu’elle trouvait ma question insignifiante. Mais aurait-elle osé le dire en personne?

«Probablement pas, répond Caroline Caouette, une psychologue qui a longtemps travaillé en milieu scolaire. Parce que, même si Facebook n’est pas anonyme, il est plus facile d’y émettre un commentaire désobligeant. On ne voit pas les réactions de notre interlocuteur ni celles des autres lecteurs, dont on n’est d’ailleurs pas toujours conscient du nombre.»

En général, les choses se passent bien dans les réseaux sociaux. Selon les derniers chiffres disponibles, 1,317 milliard (!) d’humains sont inscrits à ce média social et échangent habituellement dans un climat agréable. C’est la perception d’Isabelle Bouthillier, une enseignante de 37 ans.

 «Mes amis se font des compliments et semblent s’apprécier. On aime recevoir une rétroaction positive après avoir publié un statut, des photos ou des liens, et je sens qu’un effort est fait en ce sens», fait-elle remarquer.

Même écho du côté de la blogueuse Tatouée maman, 28 ans, qui constate toutefois une augmentation des maladresses et des insultes avec l’élargissement de sa communauté, qui compte maintenant plus de 10 000 personnes.

«Une fois, cinq minutes avant d’aller travailler, je me suis souvenue qu’il fallait costumer fiston en Chinois pour son camp de jour, raconte-t-elle. Je l’ai déguisé avec les moyens du bord et j’ai publié la photo pour montrer ce qu’une mère était capable de faire en peu de temps. Eh bien, un homme m’a traitée de raciste parce qu’il trouvait mon costume trop caricatural!»

Et encore! Parfois, c’est beaucoup plus intense. Comme cet échange survenu récemment entre deux amateurs de hockey, partisans l’un de Montréal et l’autre de Toronto, au cours duquel les railleries se sont vite transformées en insultes, avant de virer aux menaces:

«Je sais où tu habites, je vais te casser la figure…» Malaise.

Méchanceté derrière l’écran

Comme dans n’importe quelle situation sociale, tout peut basculer rapidement quand on oublie à qui et à combien de gens on parle. Ainsi, si en chair et en os, une phrase cinglante peut être entendue par une poignée de personnes, sur Facebook, elle peut être lue et partagée par plus de 500 personnes, si on tient compte de nos amis, de leurs amis et des amis de leurs amis. Sans compter qu’elle laissera des traces indélébiles qui pourraient avoir des répercussions désolantes sur nos amitiés, au travail ou lors d’un entretien d’embauche.

Même si elle a conscience d’être devenue une vedette des réseaux sociaux, Tatouée maman croit que Facebook encourage les gens à dire effrontément ce qu’ils pensent.

«C’est dans l’air du temps de monter au front et de juger l’autre sur quelque chose comme l’allaitement, l’environnement ou la santé, explique-t-elle. Mais j’imagine mal quelqu’un m’arrêter dans la rue pour m’accuser de racisme à cause de mon fils costumé ou pointer mon mauvais choix santé en voyant la boîte de biscuits aux brisures de chocolat dans mon panier d’épicerie.»

Ces malvenus, bien qu’ils ne soient pas très nombreux, ont une présence très remarquée dans les réseaux sociaux. Nadia Seraiocco, blogueuse et conseillère en communications numériques, les qualifie de cowboys.

«Ils voient passer un sujet dans leur fil de nouvelles et arrivent dans la conversation sans se soucier du ton ou de l’atmosphère qui règne dans le petit groupe. Un peu comme si quelqu’un débarquait dans notre salon pour nous insulter avec ses grosses bottes sales.»

Souvent, le cowboy a été ajouté à notre liste d’amis parce qu’il ou elle était dans notre classe à l’école secondaire, parce qu’il s’agit d’un lointain cousin ou parce qu’il habitait dans notre rue il y a 15 ans!

«Il arrive aussi qu’on ne connaisse que certains aspects d’une personne. Par exemple, notre beau-père peut être un excellent grand-père, mais manquer totalement de tact ou être raciste dans ses propos », précise Mme Seraiocco.

Que fait-on, justement, quand le cowboy en question est notre beau-père ou notre soeur?

«On clarifie la situation de vive voix, en parlant au « je » et on modifie nos paramètres de confidentialité avant de l’éliminer de notre liste d’amis et de créer un malaise dans la famille», soutient Sylvie Boucher, psychologue et coach en développement personnel.

Personnes sensibles (et goujats) s’abstenir

On active et désactive constamment notre compte? On annonce régulièrement devoir faire le grand ménage dans nos amitiés? Toute l’agitation de Facebook n’est peut-être pas faite pour nous.

«Dans ma pratique, j’entends souvent des gens dire qu’ils sont blessés d’avoir été enlevés d’une liste d’amis, qu’ils se sentent oubliés parce que personne ne clique « J’aime » sous leurs statuts ou que leur vie est bien terne à côté de celle des autres, raconte la psychologue. Ma recommandation si on est le moindrement fragile au niveau de notre valeur personnelle ou très sensible à l’opinion d’autrui: s’abstenir d’aller sur Facebook ou travailler à bien cerner ce que ce réseau nous apporte réellement.»

On pourrait faire la même suggestion à ceux et celles à qui l’effet «bulle» de se retrouver seuls devant leur écran fait oublier toute censure et perdre toute notion de savoir-vivre. Peut-être, au fond, est-ce les mêmes qui se déchaînent dans les forums, deviennent fous d’impatience dès qu’ils tiennent un volant entre leurs mains et perdent toute retenue lorsqu’ils s’assoient dans les estrades d’un aréna pour une partie de hockey mineur. Évidemment, ils n’en tiendraient pas compte et pourraient même «pogner les nerfs», mais ça mériterait d’être dit…

Commentateurs improvisés

Martin Lessard, blogueur et spécialiste en stratégies Web et médias sociaux, a une thèse intéressante sur le sujet. Selon lui, pour une première fois dans l’histoire, les lecteurs se retrouvent au même niveau que les rédacteurs et les vedettes.

«Ils découvrent leur pouvoir et peuvent se reprendre pour leurs années de silence, note-t-il. Très peu de gens ont la chance de pouvoir parler dans les espaces médiatiques traditionnels, et cette rareté crée une envie, qui se transforme parfois en méchanceté.»

Bref, nous vivons les premiers balbutiements de la spontanéité écrite et de l’écriture publique.

«Avant Facebook, explique Martin Lessard, plusieurs personnes n’avaient pas écrit depuis leurs études secondaires ou collégiales. Elles découvrent donc l’écriture et le plaisir de donner leur opinion, mais elles ne réalisent pas à quel point elles peuvent être lues ou mal interprétées ni que leurs écrits restent. Avec les années, il se développera certainement une éthique de l’écrit et chacun sera plus responsable des traces qu’il laisse sur la Toile», conclut-il.

La clé, au final, c’est peut-être d’accorder à Facebook la juste place qui lui revient dans notre vie: un outil de communication et de socialisation, et pas un exutoire pour notre ego, nos désirs et nos frustrations.

http://www.coupdepouce.com

N’ayez pas peur, c’est juste un petit garçon


C’est un très beau témoignage d’une maman qui a un fils qui est simplement différent des autres enfants. Mais, malheureusement, sa réflexion est suite a la tristesse des réactions des autres, Non pas des enfants, car les enfants disent tout haut ce qu’ils pensent, mais aux parents qui se contentent de dire ce n’est pas gentil,
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N’ayez pas peur, c’est juste un petit garçon

aliceann meyer

Divers incidents récents m’ont donné envie d’écrire cet article. J’espère qu’il sera lu et partagé par un maximum de gens. Il ne concerne pas uniquement mon fils, Jameson, mais tous les enfants dont on se moque et que l’on repousse parce qu’ils sont différents. Je suis à peu près certaine que leurs parents ressentent la même chose que moi.

Je tiens d’abord à préciser que je n’en veux ni aux enfants qui se comportent de la sorte, ni à leurs parents. Je sais qu’il peut être très gênant de voir son enfant se moquer d’un autre, ou lui parler méchamment. J’espère seulement que ces parents réagiront autrement la prochaine fois. Parce que, même si je ne peux pas leur en vouloir, je dois reconnaître que cela me blesse terriblement. Je suis blessée de voir que l’on se moque de mon fils, sachant qu’il devra affronter ce genre de problèmes toute sa vie.

Vous vous demandez peut-être ce qui a pu m’amener à écrire ceci. Rien d’exceptionnel, malheureusement. Mais, je ne sais pourquoi, les incidents se sont multipliés ces dernières semaines.

Nous venons d’emménager dans une nouvelle ville, et notre aîné entre en première année. Une semaine après la rentrée, l’école a organisé une journée portes ouvertes afin que nous puissions voir sa classe et rencontrer sa maîtresse. L’équipe enseignante a réuni tous les élèves, de la maternelle à la sixième année, dans la cafétéria pour leur souhaiter la bienvenue. Tandis que nous nous frayions un chemin dans la salle surpeuplée, un petit garçon a montré Jameson du doigt et fait signe à sa maman, en disant qu’il avait l’air bizarre. Nous avons fait comme si nous n’avions rien entendu, et avons cherché un endroit où nous asseoir. Quelques instants plus tard, deux fillettes et leurs mamans se sont installées en face de nous. L’une des petites nous a regardés avant de se tourner vers sa mère pour dire que Jameson « lui faisait peur ». Sa mère lui a dit que ce n’était pas gentil et elle s’est retournée.

Le week-end dernier, en allant faire des courses avec deux de mes fils, j’ai croisé une mère et son fils dans un rayon. Le petit garçon a levé les yeux vers nous. Je lui ai souri. Il s’est mis à rire et a dit à sa maman : « T’as vu, maman, le bébé, il est tout drôle ! » J’ai regardé sa mère, qui ne savait pas quoi répondre et restait là, bouche bée.

En tant que parent, je me suis déjà trouvée dans des situations où mes enfants avaient dit ou fait quelque chose de déplacé. Je comprends donc sa gêne. Je comprends aussi que ces enfants ne savent pas ce qu’ils disent. Si on y réfléchit, on s’aperçoit qu’on leur apprend depuis leur plus jeune âge à faire attention à ce qui sort de l’ordinaire. Vous glissez un cube vert dans une pile de cubes rouges, et vous leur dites de chercher le vert, celui qui est différent. De faire passer les différentes formes par le bon trou. Vous leur apprennez qu’il y a des choses qui fonctionnent, et d’autres pas. Non, pas le rond, mon chéri. C’est bien d’avoir vu la différence. C’est comme ça qu’on apprend. En fonction de ce qui est, et de ce qui n’est pas. Mais ce qui marche avec les objets — repérer ceux qui sont différents, ceux qui ont la bonne taille — ne marche pas avec les gens, et encore moins avec les enfants.

Je suis la mère d’un enfant qui ne ressemble pas aux autres, et je vous supplie de comprendre ce qui suit.

Si votre enfant dit d’un autre enfant qu’il est bizarre ou qu’il lui fait peur, ne vous contentez pas de répondre : « Ce n’est pas gentil de dire ça. » Vous avez raison, ce n’est pas gentil, mais si vous en restez là et que vous passez à autre chose, mon enfant se sent quand même montré du doigt.

La prochaine fois que ça vous arrivera, dites à votre enfant : « Mais non, je suis sûr(e) qu’il est très gentil. Tu viens lui dire bonjour ? » S’il vous plaît, venez faire connaissance et demandez à mon fils comment il s’appelle. Je vous jure qu’on ne mord pas ! Mon fils est comme le vôtre : il peut être adorable, affectueux, capricieux et parfois difficile à supporter. Et je vous assure que je suis comme vous : juste une mère qui fait de son mieux pour l’élever.

Si votre enfant est intrigué par l’apparence de mon fils, et même s’il ne dit rien de méchant, s’il vous plaît, venez nous dire bonjour et demandez-nous comment nous nous appelons ! Laissez mon fils entrer dans votre monde. Je vous promets qu’il n’est pas dangereux. Ce n’est qu’un petit garçon.

Je remercie du fond du cœur tous les parents et les enfants qui font déjà cet effort, et tous ceux qui ont souri à Jameson quand ils nous ont croisés. Je peux vous dire que je me souviens parfaitement de chaque inconnu(e) qui a pris la peine de venir vers nous pour dire bonjour à Jameson et l’intégrer. Et je suis sûre que Jameson s’en souvient aussi. Mon fils de six ans ne cesse de m’étonner quand il me raconte un souvenir de ses trois ans, et je suis certaine que Jameson a une aussi bonne mémoire.

Franchement, il a l’air méchant avec sa petite bouille barbouillée de choco BN ?

Cet article a d’abord été publié sur le blog Jameson’s Journey (en anglais). Cliquez ici pour en savoir davantage.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Souffrance


Tous les hommes et les femmes naissent bons, mais leur choix est souvent une conséquence de leur parcours. Cependant, ce n’est pas l’excuse, car a moins d’exception, nous choisissons notre propre route
Nuage

 

Souffrance

 

« Si les gens sont si méchants, c’est peut-être seulement parce qu’ils souffrent. »

Louis-Ferdinand Céline