Une élève du primaire se présente à l’école avec un petit sac de cannabis


Ce n’est pas la première fois que des drogues se retrouvent dans les mains d’enfants. Vendredi dernier, une petite fille de la maternelle avait en sa possession quelques gramme de marijuana. La police a traité cela à titre préventif, car aujourd’hui, le cannabis est malheureusement légal. Espérons que ceux qui consommeront auront assez de jugeote pour protéger les enfants.
Nuage

 

Une élève du primaire se présente à l’école avec un petit sac de cannabis

 

DAVID MEZA / EYEEM VIA GETTY IMAGES

La fillette de 5 ans avait en sa possession quelques grammes de marijuana.

 

  • Pierre Saint-Arnaud La Presse Canadienne

Un incident survenu dans une école primaire de la Pêche, en Outaouais, devrait servir de leçon de prévention au moment même où la légalisation du cannabis devient réalité.

Vendredi dernier, une enseignante de l’école en question a eu la surprise de voir une élève de 5 ans lui montrer un petit sac de plastique contenant quelques grammes de cannabis.

L’enfant disait que sa mère avait placé la substance, toujours illégale à ce moment, dans son sac d’école.

La direction n’a fait ni une ni deux et a aussitôt communiqué avec le service de police de la MRC des Collines, qui a saisi le sac en question et ouvert une enquête.

« C’est une situation inhabituelle », a reconnu le sergent Martin Fournel, en entrevue avec La Presse canadienne, précisant toutefois que les policiers ont traité le dossier « à titre préventif ».

« Il y a des leçons à tirer de cet incident, avec la légalisation: si les gens consomment à la maison, ce n’est pas parce que c’est légal qu’on peut baisser notre garde et laisser traîner ça un peu partout », a-t-il fait valoir.

Ainsi, aucune accusation ne sera portée contre la mère:

« Le but n’était pas nécessairement d’accuser qui que ce soit et l’enquête policière ne nous permet pas de déterminer avec exactitude à qui appartenait la substance, sa provenance. Il y a quand même un doute raisonnable », a précisé le policier.

De plus, il s’agissait d’une petite quantité – qui sera détruite – et la mère n’a aucun antécédent judiciaire.

La Direction de la protection de la jeunesse a été appelée à intervenir, mais le suivi de cette intervention n’a pas été rendu public.

Le sergent Fournel a tout de même ajouté que l’incident, aussi inusité soit-il, n’est pas une première:

« C’est déjà arrivé dans le passé que des écoles aient à faire face à certaines situations semblables. On parle de cannabis, mais aussi de médicaments d’ordonnance et on a déjà vu aussi des bouteilles de boisson ».

« Ce sont des substances qu’on ne veut pas voir, surtout dans une école primaire avec un enfant de 5 ans. »

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Cannabis au volant: dangereux longtemps après la consommation


Mercredi, le 17 octobre, la marijuana à des fins récréatives sera légale au Canada. Bien, des gens sont contents alors que d’autres sont inquiets. Une étude a été faite pour la conduite au volant après avoir consommé du cannabis. Même après 5 heures, il semble que l’effet est toujours présente. Que ce soit le téléphone, l’alcool ou la drogue, c’est incompatible avec un volant dans les mains
Nuage

 

Cannabis au volant: dangereux longtemps après la consommation

 

L'usage du cannabis à des fins récréatives deviendra... (Photo DARRYL DYCK, PC)

L’usage du cannabis à des fins récréatives deviendra légal mercredi, au Canada.

PHOTO DARRYL DYCK, PC

 

CAROLINE ST-PIERRE
La Presse Canadienne

Prendre le volant sous l’effet du cannabis est un comportement qui demeure dangereux longtemps après la consommation de la substance.

À deux jours de la légalisation du cannabis à des fins récréatives au Canada, une étude de l’Université McGill et de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM), financée par l’Association canadienne des automobilistes (CAA), révèle qu’un conducteur est plus à risque d’être impliqué dans un accident de la route, même cinq heures après avoir consommé du cannabis.

Les chercheurs ont recruté des jeunes conducteurs de 18 à 24 ans qui étaient déjà des consommateurs récréationnels de cannabis. Ils ont ensuite subi une série de tests sur des simulateurs de conduite automobile à quatre moments distincts : une fois alors qu’ils n’avaient pas consommé de cannabis, puis une heure, trois heures et cinq heures après leur consommation.

Sous l’effet du cannabis, les participants ont démontré une certaine capacité à maintenir le cap, mais se sont montrés moins doués pour réaliser certaines manoeuvres courantes.

«Et (ce n’était) pas des manoeuvres complexes là, on parlait de s’insérer entre deux véhicules, pareil comme si on stationnait dans la cour du centre d’achats. On parlait de traverser une intersection, donc de s’immobiliser, de s’assurer que la voie est libre, de traverser l’intersection et de continuer sa route, d’éviter les piétons, d’éviter les cyclistes… Et il y a eu beaucoup de conducteurs […] qui ont participé au test et qui n’ont pas réussi ces manoeuvres-là, qui sont quand même très simples», note le directeur de la Fondation CAA-Québec, Marco Harrison.

La majorité des participants à l’étude ont indiqué qu’ils ne se feraient pas confiance pour prendre le volant dans les cinq heures suivant leur consommation de cannabis.

M. Harrison souligne que la quantité de marijuana consommée par les participants était moins élevée que celle que l’on retrouve généralement dans un «joint» ordinaire.

L’une des chercheuses de l’étude confirme par ailleurs qu’on ne remarquait pas nécessairement une différence entre les habiletés des conducteurs une heure après la consommation et cinq heures plus tard.

«À tous les niveaux, on ne voyait pas nécessairement une différence marquée, même après cinq heures. Les capacités étaient quand même assez altérées, nous faisant dire qu’on ne peut pas prendre le volant, même après cinq heures», affirme la Dre Isabelle Gélinas, professeure à l’École de physiothérapie et d’ergothérapie de l’Université McGill, spécialisée en recherches associées à la conduite automobile.

Elle précise également que le cadre de l’étude n’allait pas au-delà des cinq heures, de sorte qu’on ne peut conclure qu’une personne serait nécessairement apte à conduire une fois ce laps de temps écoulé.

Un profil différent

Par ailleurs, une deuxième étude soutenue par la Fondation CAA-Québec et pilotée par le Dr Jacques Bergeron, de l’Université de Montréal, a dressé un portrait type des conducteurs consommateurs de cannabis en faisant remplir des questionnaires aux participants.

Les chercheurs ont demandé aux participants s’ils avaient déjà pris le volant après avoir consommé. Ceux qui ont admis avoir conduit sous l’effet du cannabis ont présenté un profil différent de ceux qui avaient déjà fumé, sans toutefois avoir conduit avec les capacités affaiblies, souligne l’étude.

Ainsi, ceux qui reconnaissent avoir conduit sous l’effet du cannabis avaient généralement une consommation plus importante, et ce, depuis un plus jeune âge, des habitudes de conduite plus téméraires, dangereuses et risquées, une tendance à être très influencés par leurs pairs en ce qui a trait aux comportements dangereux, des amis qui, eux aussi, conduisent sous l’effet du cannabis, plus d’émotions et de comportements associés à la conduite dangereuse et une plus faible perception du risque lié au cannabis.

«Malgré le fait que (ça deviendra) légal à des fins récréatives, il ne faudra pas banaliser les effets surtout sur la capacité de conduire et (il faudra) éviter de prendre le volant après avoir consommé, tout comme on le fait pour l’alcool», fait remarquer Marco Harrison.

«Conduire avec les capacités affaiblies par le pot, ça, ce n’est pas légal, c’est criminel même.»

https://www.lapresse.ca/

Au Canada, les soldats peuvent désormais porter la barbe et fumer des joints


Avec un titre pareil, on peut sauter vite aux conclusions très négatives. Pour la barbe, si elle et bien taillée et peut être rasé en cas de nécessité, pourquoi pas. Par contre le cannabis, je suis contre qu’il devient légal dans quelques jours, mais comme c’est le cas, au moins il y a des restrictions pour ne pas être influencer par la drogue pendant leur service
Nuage

 

Au Canada, les soldats peuvent désormais porter la barbe et fumer des joints

 

Crédits : Canada Armed Forces/Ulyces

par  Laura Boudoux

Assouplir les règles, pour attirer les jeunes recrues et booster le moral des troupes. Depuis mardi 25 septembre 2018, les soldats canadiens peuvent ainsi se laisser pousser la barbe. Un code vestimentaire plus permissif, accordé aux militaires par l’état-major des Forces armées canadiennes (FAC) suite à plusieurs pétitions, explique l’adjudant-chef Alain Guimond à Radio Canada. Il leur sera également permis, sous certaines conditions, de fumer du cannabis comme le reste des citoyens du pays.

Plusieurs consignes seront tout de même à respecter. Les militaires ne pourront donc pas porter de barbes de hipster style bûcheron, mais devront se contenter d’une toison de deux centimètres de long maximum, avec moustache obligatoire. Les commandants d’unités se réservent également le droit d’ordonner aux soldats de se raser, notamment pour des raisons de sécurité. S’ils interviennent dans une zone où le port du masque à gaz est nécessaire, les militaires devront par exemple renoncer à leur barbe.

En septembre 2018, les militaires ont également également appris qu’ils allaient pouvoir consommer de la weed sous certaines conditions. La légalisation sera effective le 17 octobre prochain au Canada. Désormais, les soldats pourront donc fumer ou ingérer de la marijuana jusqu’à 8 heures avant leur service. Évidemment interdite sur les heures de travail, cette permission ne sera pas étendue aux opérations se déroulant à l’étranger, pour des raisons de législation évidente. Enfin, certains postes, comme les pilotes d’aéronefs, les conducteurs de sous-marins, ou encore les plongeurs, devront respecter un délai de 28 jours de sobriété.

Sources : Radio Canada / Stars and Strips / Défense nationale et Forces armées canadiennes

https://www.ulyces.co/

Coca-Cola et cannabis, un bon mélange?


Le 17 octobre, le cannabis sera autorisé au Canada. Alors les compagnies alimentaires, les boissons diverses voit une vache à lait pour faire plus d’argent. Coca-Cola veut aussi sa part avec une boisson à base de cannabis. Même s’ils ne mettent pas le THC qui donne l’euphorie, je considère qu’on va vraiment trop loin
Nuage

 

Coca-Cola et cannabis, un bon mélange?

 

LIGHTROCKET VIA GETTY IMAGES

L’entreprise étudie la possibilité de créer des boissons infusées au cannabidiol.

Très en vogue en ce moment, le cannabis pourrait aussi intéresser le géant américain des sodas Coca-Cola: le groupe dit envisager l’utilisation dans les boissons du cannabidiol (CBD), une molécule présente dans la marijuana.

« Comme beaucoup d’autres dans l’industrie des boissons, nous étudions de près la croissance un peu partout dans le monde du CBD, un principe non-psychoactif (du cannabis), comme ingrédient dans des boissons destinées au bien-être », a indiqué le groupe dans un communiqué.

« Ce secteur évolue rapidement », a ajouté Coca-Cola. « Aucune décision n’a encore été prise. »

Le CBD ne provoque pas d’euphorie. C’est le THC, un autre élément actif du cannabis, qui procure cette sensation.

Coca-Cola, qui réagissait à des informations de presse évoquant des discussions avec le groupe canadien Aurora, affirme d’ailleurs « ne pas être intéressé par la marijuana ou le cannabis ».

Plusieurs boissons à venir

Reste que la plante suscite actuellement un véritable engouement chez les géants de l’agro-alimentaire, plusieurs d’entre eux faisant le pari que la marijuana sera légalisée dans de nombreux pays à travers le globe dans les prochaines années.

La consommation et la culture du cannabis deviendront déjà légales au Canada le 17 octobre, faisant du pays le premier du G7 à autoriser cette drogue douce.

Le brasseur Molson Coors a déjà annoncé qu’il se lançait dans la production de boissons non alcoolisées à base de cannabis en partenariat avec le groupe canadien The Hydropothecary Corporation (Hexo), un producteur de cannabis thérapeutique.

Constellation Brands, le propriétaire des bières Corona et Modelo et de la vodka Svedka, a lui récemment injecté plusieurs milliards de dollars dans l’entreprise canadienne Canopy Growth.

https://quebec.huffingtonpost.ca//

Une fillette hospitalisée après avoir mangé un produit au cannabis


La marijuana sera légale en octobre au Canada, sauf que Santé Canada, n’a pas pris des mesures sur les produits comestibles et que sa possession sera toujours illégale. Ce qui m’inquiète justement avec ces produits, c’est justement que des enfants en soient victimes. Cette petite fille a été chanceuse malgré tout, mais le père ne sera même pas poursuivi pour négligence. Dire que même un chef connu au Québec, a fait un livre de recettes à base de cannabis ….
Nuage

 

Une fillette hospitalisée après avoir mangé un produit au cannabis

 

Dans son communiqué, la GRC affirme que la... (Photo wikimedia commons)

Dans son communiqué, la GRC affirme que la possession de produits comestibles de marijuana demeurera illégale même après la légalisation de la vente de marijuana à des fins récréatives le 17 octobre.

PHOTO WIKIMEDIA COMMONS

 

La Presse Canadienne

Une fillette de quatre ans de la Nouvelle-Écosse a été hospitalisée après avoir mangé 15 morceaux d’un produit comestible de cannabis qu’elle croyait être une tablette de chocolat.

Dans un communiqué publié lundi, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) à Halifax souligne que la limite de consommation quotidienne recommandée pour ce produit est d’un morceau – pour un adulte.

La police a indiqué que le produit ressemblait grandement à une tablette de chocolat.

Le père de la fillette a réalisé que la tablette de cannabis n’était plus sur la console de son véhicule, samedi, et a remarqué que sa fille de quatre ans avait le visage très pâle, a-t-on souligné.

Le père a appelé le 9-1-1, et la police s’est rendue à la maison familiale à East Petpeswick, une localité rurale située à l’est de Halifax. La fillette a été transportée à l’hôpital pour y recevoir des soins, et a obtenu son congé.

La GRC a affirmé qu’elle menait une enquête, notamment «pour déterminer si des accusations pourraient être portées dans cette affaire».

Un porte-parole de la police a confirmé qu’aucune accusation n’avait été déposée lundi en fin de journée.

Dans son communiqué, la GRC affirme que la possession de produits comestibles de marijuana demeurera illégale même après la légalisation de la vente de marijuana à des fins récréatives le 17 octobre.

Néanmoins, le gouvernement fédéral s’attend à avoir des règles en place pour les produits comestibles de cannabis d’ici à juillet 2019.

Sylvain Charlebois, un professeur spécialisé dans les politiques et la distribution alimentaires à l’Université Dalhousie à Halifax, a fait valoir que la disponibilité de produits comestibles légaux créera un marché pratique, discret – et potentiellement dangereux.

«Santé Canada a été pris par surprise par la légalisation additionnelle de produits comestibles, et tente encore d’arriver à un cadre réglementaire approprié», a écrit M. Charlebois dans un article publié plus tôt en juillet par le site The Conversation.

«Plusieurs questions demeurent sur les dangers distincts que posent les produits comestibles, particulièrement pour les enfants», a-t-il ajouté.

http://www.lapresse.ca/

Bière, bonbons, biscuits: divers aliments au cannabis produits au Canada


Le cannabis a été accepté au Canada et sera légal vers le milieux octobre .Pourquoi vouloir faire des produits alimentaires avec  du cannabis. Étant donné que les consommateurs ne sont pas tous responsables, on risque d’entendre aux nouvelles des enfants intoxiqués au cannabis pour avoir consommé un biscuit ou autre pâtisserie.
Nuage

 

Bière, bonbons, biscuits: divers aliments au cannabis produits au Canada

 

Le gouvernement a prévenu que la vente de... (archives AFP)

Le gouvernement a prévenu que la vente de produits alimentaires au cannabis ne sera pas autorisée pour le moment.

ARCHIVES AFP

 

La Presse Canadienne

De la bière brassée avec de la marijuana, des pâtisseries conçues pour faire ressortir la saveur de cannabis, de bons vieux biscuits au pot: les entreprises canadiennes ne manquent pas de créativité, mais on ne sait toujours pas quand elles seront autorisées à commercialiser leurs produits alimentaires à base de cannabis.

En attendant, les entrepreneurs améliorent leur méthode de production, raffinent la qualité de leurs produits et leur stratégie de mise en marché.

Ottawa a promis de légaliser le cannabis à des fins récréatives cette année et le Sénat a récemment approuvé le projet de loi en question. Le gouvernement a cependant prévenu que la vente de produits alimentaires ne sera pas autorisée pour le moment.

Ce délai annoncé n’a pas empêché les entreprises canadiennes de prendre le marché d’assaut.

Tim Moore, président de Xanthic Biopharma, une entreprise établie à Toronto, croit que les produits alimentaires sont la forme de consommation du cannabis que de nombreuses personnes préfèrent. Ces aliments sont discrets, faciles à transporter et à consommer n’importe où sans avoir à porter le stigmate de s’allumer un joint.

«Le fait de fumer a été vilipendé parmi les nouvelles générations et le vapotage soulève d’autres problèmes», soutient M. Moore.

Son entreprise a mis sur pied une technologie pour convertir le cannabis en poudre et elle collabore avec des producteurs de marijuana accrédités afin de fabriquer des boissons infusées au THC, l’ingrédient actif contenu dans la marijuana.

En raison des lois canadiennes actuelles, ces produits ne sont vendus que dans certaines régions des États-Unis.

Pour Tim Moore, le fait de travailler au sud de la frontière a ses avantages. Après avoir établi sa crédibilité dans l’ouest des États-Unis, l’entreprise sera fin prête pour le marché canadien lorsque le moment sera venu.

D’autres compagnies vivent plus difficilement avec les interdictions en vigueur au Canada.

Dooma Wendschuh, cofondatrice de Province Brands, qui brasse de la bière à base de marijuana, soutient qu’il est «plus ou moins impossible» de travailler au Canada.

S’il leur est permis de produire de petites quantités de bière, il leur est interdit de la boire explique le brasseur.

Pour se conformer à la loi, l’entreprise effectue ses tests de dégustation à l’extérieur du pays et utilise du chanvre dans sa production au Canada.

À Calgary, reTreat Edibles vend déjà ses mélanges de brownies et de biscuits, mais tant que la loi ne sera pas modifiée, l’entreprise laisse le soin aux consommateurs d’ajouter eux-mêmes l’huile de cannabis à la recette.

Pour la petite boîte, la vente de produits sans cannabis leur permet de se faire connaître avant le changement de la loi.

http://www.lapresse.ca/

Des policiers suspendus après avoir affirmé que des souris ont mangé un stock de 500 kg de cannabis


De la marijuana a disparu en Argentine dans les entrepôts de la police. L’excuse que les souris auraient mangé 500 kilos de cannabis est tiré par les cheveux. Les policiers n’ont pas réussi a convaincre des spécialistes .. Allez savoir pourquoi !!
Nuage

 

Des policiers suspendus après avoir affirmé que des souris ont mangé un stock de 500 kg de cannabis

 

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

L’étrange disparition de ce stock de cannabis a été signalée après une inspection.

 

  • HuffPost Québec

Huit policiers argentins ont été suspendus après avoir affirmé que plus d’une demi-tonne de marijuana qui avait disparu d’un entrepôt de police avait été mangée par des souris, selon The Guardian.

L’étrange disparition de ce stock de cannabis a été signalée après une inspection au sein de cet entrepôt, situé dans la ville de Pilar, à 60 km de la capitale du pays, Buenos Aires.

Le stock était entreposé depuis deux ans. Cependant sur les 6000 kg enregistrés, seulement 5460 kg ont été trouvés. Après ce constat, les soupçons se sont tournés directement vers l’ancien commissaire de police, Javier Specia, puisque celui-ci n’avait jamais signé les documents officiels de l’inventaire de cannabis. Son remplaçant, le commissaire Emilio Portero, a alors avisé le département des affaires internes qui a ouvert une enquête.

Face au juge Adrián González Charvay, Javier Specia et trois policiers ont livré la même explication:

«les stupéfiants ont été mangés par des souris».

Mais certains experts ont témoigné qu’ils doutaient qu’un grand nombre de souris aient pu manger autant de marijuana.

Un porte-parole du juge a déclaré que les experts affirmaient que les souris ne confondraient pas du cannabis avec de la nourriture et dans un cas contraire, on aurait retrouvé un grand nombre d’entre elles mortes dans l’entrepôt.

Les suspects devront témoigner au tribunal le 4 mai. Le juge cherchera à déterminer si la marijuana manquante a été dérobée par les policiers accusés.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Le monde évalue l’ampleur de la «crise» de la biodiversité


Des études de grandes envergures se font sur la biodiversité de la Terre, les animaux, la faune, la flore tout est en danger. On le sait que si on veut préserver ce que l’on peut, il faudrait agir. La question que je me pose, avec tout ce monde qui étudie l’environnement, l’action est peu efficace des gens, des gouvernements qui pourraient faire changer les choses ou du moins protéger ce que l’on peut encore
Nuage

 

Le monde évalue l’ampleur de la «crise» de la biodiversité

 

Les sols du monde sont de plus en... (Andre Penner, archives AP)

Agrandir

Les sols du monde sont de plus en plus dégradés par la pollution, la déforestation, l’exploitation minière et des pratiques agricoles non durables qui les appauvrissent. Sur cette photo, de la déforestation dans le nord de l’État Para, au Brésil.

ANDRE PENNER, ARCHIVES AP

 

MARIETTE LE ROUX, FLORENCE PANOUSSIAN
Agence France-Presse
Paris et Bogota

En raison de l’activité humaine, la Terre vit une extinction massive d’espèces, la première depuis la disparition des dinosaures, une crise dont l’ampleur va être exposée dans les prochains jours en Colombie, l’un des pays les plus biodiversifiés du monde.

À partir de samedi, experts et décideurs de 128 pays vont se rassembler au chevet de la planète afin d’évaluer les dégâts sur la faune, la flore et les sols, puis préconiser des solutions pour enrayer la tendance.

« La science le démontre : la biodiversité est en crise à l’échelle mondiale », a déclaré à l’AFP le directeur général du WWF, Marco Lambertini, avant cette réunion de la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) prévue jusqu’au 26 mars à Medellín (nord-ouest).

« Nous dépendons de la biodiversité pour la nourriture que nous mangeons, l’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, la stabilité du climat, et malgré cela nos activités mettent la pression sur la capacité de la Nature à subvenir à nous besoins », a-t-il ajouté.

Pour dresser son état des lieux, l’IPBES a divisé la planète en quatre régions : Amérique, Afrique, Asie-Pacifique et Europe-Asie centrale. Chacune a fait l’objet d’une analyse approfondie et d’un volumineux rapport de 600 à 900 pages, que les 750 délégués vont étudier à huis clos. Puis le diagnostic sera rendu le 23 mars.

Cinq volumineux rapports

Un second bilan sera extrait le 26 mars d’un cinquième rapport sur l’état des sols du monde, de plus en plus dégradés par la pollution, la déforestation, l’exploitation minière et des pratiques agricoles non durables qui les appauvrissent.

Quelque 600 chercheurs ont travaillé bénévolement durant trois ans sur ces cinq évaluations, qui synthétisent les données d’environ 10 000 publications scientifiques. Le résultat final couvre la totalité de la Terre, sauf les eaux internationales des océans et l’Antarctique.

Les déléguées de l’IPBES se retrouvent dans un pays qui compte plus de 56 300 espèces de plantes et d’animaux, soit le 2e du monde pour sa biodiversité après le Brésil, qui est huit fois plus grand.

La Colombie, qui arrive en tête pour le nombre d’espèces d’orchidées et d’oiseaux (plus de 1920, soit 19 % de la planète), est traversée par trois cordillères andines, une topographie complexe qui a permis l’évolution de 311 écosystèmes différents.

Elle sort peu à peu d’un conflit armé de plus d’un demi-siècle, dont la violence a longtemps converti en zones interdites d’immenses parties du territoire, ainsi paradoxalement préservées.

Mais 1200 espèces sont aujourd’hui menacées en raison notamment du déboisement et de la pollution, dues en particulier à l’élevage extensif, aux plantations illicites de marijuana et de coca, matière première de la cocaïne, et aux exploitations minières clandestines.

« Nous sommes encore confrontés à un énorme défi lié au contrôle de la déforestation », a admis en février le ministre colombien de l’Environnement et du Développement durable, Luis Gilberto Murillo, en faisant état d’environ 170 000 ha déboisés l’an dernier.

Suggestions non contraignantes

À Medellín, les experts vont travailler sur des synthèses d’une trentaine de pages, destinées aux dirigeants des états membres de l’IPBES, afin de les orienter en matière de protection de la biodiversité.

Allant des transports à l’éducation, en passant par l’agriculture, ces « résumés » ne sont que des recommandations non contraignantes.

Ce sont des « suggestions pour agir », a précisé à l’AFP la secrétaire administrative de l’IPBES, Anne Larigauderie.

« Nous espérons que cela aidera à la prise de décisions pour stopper la perte de biodiversité », a ajouté Tom Brooks, directeur scientifique de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN,) qui fournit des données pour les rapports.

Le processus a jusqu’à présent coûté quatre millions d’euros (environ cinq millions de dollars).

Après l’ouverture officielle de la conférence samedi soir, les délégués négocieront à huis clos et « mot par mot » le contenu des synthèses.

« Des milliers de personnes ont fait des milliers (…) de commentaires », a ajouté Mme Larigauderie, en prédisant « beaucoup de discussions » durant la réunion de Medellín.

« Il se peut que certains pays ne soient pas satisfaits de ce que le rapport dit de l’état de leur biodiversité », a-t-elle aussi averti.

Selon un rapport distinct du Fonds mondial pour la nature paru mercredi, le dérèglement climatique pourrait menacer entre un quart et la moitié des espèces d’ici 2080 dans 33 régions du monde parmi les plus riches en biodiversité.

http://www.lapresse.ca

Hausse du nombre de chiens rendus malades par le cannabis


Quand le cannabis sera légal au Canada, il y aura sûrement une hausse d’intoxication chez les enfants et animaux dont les chiens. Si on se considère assez responsable de prendre un joint, on doit aussi assumer la responsabilité de ne pas laissé la drogue accessible aux enfants et aux animaux
Nuage

 

Hausse du nombre de chiens rendus malades par le cannabis

 

ALEX_UGALEK VIA GETTY IMAGES

Dans de rares cas, l’intoxication peut entraîner la mort de l’animal.

  • Les vétérinaires disent observer une hausse du nombre de chiens rendus malades après avoir ingéré de la marijuana et mettent en garde les propriétaires d’animaux en vue de la légalisation du cannabis au Canada.

    Le Dr Jeff Goodall, vétérinaire à la clinique Sunnyview de Bedford, en Nouvelle-Écosse, dit avoir traité cinq cas d’intoxication à la marijuana en 2017, contre trois en 2016 et aucun en 2015.

    Il explique que le tétrahydrocannabinol (THC) contenu dans la plante ne rend pas le chien drogué, mais plutôt très malade. L’animal peut vaciller, pleurer et uriner de manière incontrôlée.

    Dans de rares cas, l’intoxication peut entraîner la mort de l’animal.

    Le Dr Goodall aimerait voir plus d’avertissements et d’information auprès du grand public sur les conséquences que peut avoir l’ingestion de cannabis pour un animal de compagnie.

    Au Colorado, où la consommation de cannabis à des fins récréatives a été légalisée en 2012, on a rapporté quatre fois plus de cas d’intoxication chez les chiens entre 2010 et 2015.

http://quebec.huffingtonpost.ca

En Californie, des églises offrent du cannabis à leurs fidèles


Sûrement, que les paroissiens vont avoir de saintes visions, ou des visions démoniaques. Enfin, c’est une bonne manière de pervertir une religion et ses adeptes. Ce que je me demande, si une personne tombe en état psychotique qui en sera responsable ? Faire la marijuana un sacrement, c’est d’y aller un peu fort. Bref, la police soupçonne que ces églises seraient plus des dispensaires clandestines
Nuage

 

En Californie, des églises offrent du cannabis à leurs fidèles

 

L'«International Church of Cannabis» de Denver, dans le Colorado. Via: elevationists.org

L’«International Church of Cannabis» de Denver, dans le Colorado. Via: elevationists.org

Repéré par Léa Marie

Repéré sur Tonic

Une dizaine d’établissements religieux associent désormais la consommation de marijuana à la pratique religieuse.

«Merci, Seigneur, pour le cannabis.» Dans une église de San José, en Californie, les joints remplacent l’hostie. Et durant la prière, le pasteur invite les fidèles à en «respirer et inhaler profondément» la fumée pour mieux entrer en communication avec le Saint-Esprit…

Malgré son apparence classique, la Coachella Valley Church se définit comme une église rastafariste –un courant culturel et spirituel développé en Jamaïque qui mêle, entre autres, des éléments du christianisme et du mysticisme. Avec une petite particularité: ses membres sont invités à consommer de la marijuana lors des rituels. 

Au total, à travers les États-Unis, une dizaine d’églises –dont certaines n’ont rien à voir avec le mouvement rastafari– érigent elles aussi l’herbe au rang de «sacrement». Leur nombre serait même en constante augmentation, d’après Tonic. Au point d’être soupçonnées par les autorités locales de devenir des «dispensaires à weed déguisés», alors que le cannabis récréatif est légal depuis le 1er janvier 2018 en Californie.

«Je ne dis pas que ce ne sont pas de vraies églises», affirme Rick Doyle, procureur général de la ville de San José, «mais étant donné l’ampleur de leur distribution de marijuana, elles deviennent des dispensaires clandestins».

Il entend d’ailleurs mettre un terme à cette pratique et a pour cela entrepris des procédures pénales à l’encontre de la Coachella Valley Churc, qui sera fixée sur son sort le 22 janvier prochain.

Les paroissiens de la Coachella Valley Church estiment quant à eux que la législation américaine sur la liberté religieuse leur confère le droit d’offrir de la marijuana à leurs visiteurs sans autorisation préalable d’un médecin. Pour rappel, les Californiens peuvent de consommer du cannabis à usage médical en toute légalité depuis 1996.

Les églises qui valident l’usage de la marijuana se sont récemment multipliées en Californie. Les villes d’Oakland, Roseville, Modesto, San Diego, ou encore Los Angeles sont concernées. Mais le phénomène prend également de l’ampleur à l’échelle nationale. En avril 2017 ouvrait l’«International Church of Cannabis» à Denver, dans le Colorado, où la drogue douce est légale depuis 2012.

Comme elle, souligne Tonic, certains établissements religieux «testent les limites des règles étatiques et locales concernant la consommation de marijuana en public».

http://www.slate.fr/