2019 en photographies insolites


Des moments qui ont marqué le temps en 2019 à travers le monde

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2019 en photographies insolites


Robin Tutenges

Un ours en balade en ville, un festival de lancer de tomates en Espagne, le château de Versailles comme à l’époque du Roi-Soleil… 2019 a été une année pleine de surprises photographiques.

La rappeuse américaine Cardi B arrive au Metropolitan Museum of Art de New York, le 6 mai, à l'occasion du MET Gala 2019. Ce gala collecte des fonds pour l'Anna Wintour Costume Center et marque le lancement de l'exposition annuelle de l'Institut du costume. Le dress code des invité·es est strict et doit respecter le thème du gala qui, en cette année 2019, était intitulé «Camp: Notes on Fashion», inspiré de l'essai de Susan Sontag, Notes on Camp.

Angela Weiss / AFP

La rappeuse américaine Cardi B arrive au Metropolitan Museum of Art de New York, le 6 mai, à l’occasion du MET Gala 2019. Ce gala collecte des fonds pour l’Anna Wintour Costume Center et marque le lancement de l’exposition annuelle de l’Institut du costume. Le dress code des invité·es est strict et doit respecter le thème du gala qui, en cette année 2019, était intitulé «Camp: Notes on Fashion», inspiré de l’essai de Susan Sontag, Notes on Camp.

Un homme tente de garder l'équilibre en marchant sur les bords gelés de la rive du lac Michigan, à Chicago, alors que les températures sont descendues jusqu'à -29°C le 30 janvier 2019. Les écoles ont fermé, les vols et les trains ont été suspendus et près de 16.000 SDF ont été mis·es à l'abri à cause de cette vague de froid extrême qui a frappé plusieurs jours le nord des États-Unis.

Joshua Lott / AFP

Un homme tente de garder l’équilibre en marchant sur les bords gelés de la rive du lac Michigan, à Chicago, alors que les températures sont descendues jusqu’à -29°C le 30 janvier 2019. Les écoles ont fermé, les vols et les trains ont été suspendus et près de 16.000 SDF ont été mis·es à l’abri à cause de cette vague de froid extrême qui a frappé plusieurs jours le nord des États-Unis.

Des musulman·es chiites irakien·nes prennent part aux commémorations marquant le huitième jour du mois de Muharram, le premier mois du calendrier islamique, peu de temps avant l’événement religieux d'Achoura, dans la ville de Bassorah au sud de l'Irak. Celui-ci, qui comprend une période de deuil de dix jours, commémore le massacre au septième siècle de l'imam Hussein, petit-fils du prophète Mohammed.

Hussein Faleh / AFP

Des musulman·es chiites irakien·nes prennent part aux commémorations marquant le huitième jour du mois de Muharram, le premier mois du calendrier islamique, peu de temps avant l’événement religieux d’Achoura, dans la ville de Bassorah au sud de l’Irak. Celui-ci, qui comprend une période de deuil de dix jours, commémore le massacre au septième siècle de l’imam Hussein, petit-fils du prophète Mohammed.

Un léopard errant a semé la panique six heures durant à Jalandhar, une ville du Pendjab dans le nord de l'Inde, le 31 janvier 2019. Plusieurs personnes sont parties à sa recherche le jour même afin de le capturer et éviter tout incident. Cependant, le léopard ne s'est pas laissé faire et a attaqué six personnes, à l'instar de cet homme, sans pour autant faire de victime grave. Il a fini par être acculé dans une maison où il a été endormi, puis capturé. 

Shammi Mehra / AFP

Un léopard errant a semé la panique six heures durant à Jalandhar, une ville du Pendjab dans le nord de l’Inde, le 31 janvier 2019. Plusieurs personnes sont parties à sa recherche le jour même afin de le capturer et éviter tout incident. Cependant, le léopard ne s’est pas laissé faire et a attaqué six personnes, à l’instar de cet homme, sans pour autant faire de victime grave. Il a fini par être acculé dans une maison où il a été endormi, puis capturé. 

À l'occasion de la journée mondiale des océans, le 8 juin 2019, un enfant nage dans une piscine remplie de bouteilles en plastique pour une campagne de sensibilisation à Bangkok, en Thaïlande. Près de 89 milliards de bouteilles plastiques d'eau sont vendues chaque année dans le monde selon Planetoscope, notamment dans ce pays d'Asie du Sud-Est, où l'accès à l'eau potable reste limité. Ces bouteilles jetables représentent l'une des formes de déchets plastiques que l'on retrouve le plus dans l'ensemble des océans. 

Romeo Gacad / AFP

À l’occasion de la journée mondiale des océans, le 8 juin 2019, un enfant nage dans une piscine remplie de bouteilles en plastique pour une campagne de sensibilisation à Bangkok, en Thaïlande. Près de 89 milliards de bouteilles plastiques d’eau sont vendues chaque année dans le monde selon Planetoscope, notamment dans ce pays d’Asie du Sud-Est, où l’accès à l’eau potable reste limité. Ces bouteilles jetables représentent l’une des formes de déchets plastiques que l’on retrouve le plus dans l’ensemble des océans. 

Un flamant rose âgé d'une semaine trouve du réconfort auprès de sa mère le 17 octobre 2019, au zoo de Santa Fe à Medellín, dans le département d'Antioquia en Colombie.

Joaquin Sarmiento / AFP

Un flamant rose âgé d’une semaine trouve du réconfort auprès de sa mère le 17 octobre 2019, au zoo de Santa Fe à Medellín, dans le département d’Antioquia en Colombie.

Les coureurs et coureuses qui participent à la 36e édition du marathon de Vienne traversent le pont de Reichsbrucke, dans la capitale autrichienne, le 7 avril 2019. Cet événement, l'un des plus importants du pays en matière de participation, rassemble chaque année depuis 1984 près de 40.000 sportifs et sportives de 125 nationalités différentes.

Joe Klamar / AFP

Les coureurs et coureuses qui participent à la 36e édition du marathon de Vienne traversent le pont de Reichsbrucke, dans la capitale autrichienne, le 7 avril 2019. Cet événement, l’un des plus importants du pays en matière de participation, rassemble chaque année depuis 1984 près de 40.000 sportifs et sportives de 125 nationalités différentes.

Cette photo, prise le 3 janvier 2019, montre une Vietnamienne ramassant des bâtons d'encens dans une cour du village de Quang Phu Cau, à la périphérie de Hanoï. Dans cette petite ville, considérée comme le village de l'encens, des centaines de travailleurs et de travailleuses sèchent et taillent l'écorce de bambou pour fabriquer ces bâtonnets parfumés avant les vacances du Nouvel an lunaire.

Manan Vatsyayana / AFP

Cette photo, prise le 3 janvier 2019, montre une Vietnamienne ramassant des bâtons d’encens dans une cour du village de Quang Phu Cau, à la périphérie de Hanoï. Dans cette petite ville, considérée comme le village de l’encens, des centaines de travailleurs et de travailleuses sèchent et taillent l’écorce de bambou pour fabriquer ces bâtonnets parfumés avant les vacances du Nouvel an lunaire.

Un couple vénitien vêtu de costumes d'époque pose lors de la soirée déguisée «Fêtes galantes» au château de Versailles, le 27 mai 2019. Pour sa sixième édition, la soirée costumée invite les participant·es à revivre au temps du Roi-Soleil, avec pour thème «Le Mariage royal».

Ludovic Marin / AFP

Un couple vénitien vêtu de costumes d’époque pose lors de la soirée déguisée «Fêtes galantes» au château de Versailles, le 27 mai 2019. Pour sa sixième édition, la soirée costumée invite les participant·es à revivre au temps du Roi-Soleil, avec pour thème «Le Mariage royal».

Les bateaux participant à la 51e régate de La Barcolana, dans le golfe de Trieste en Italie, passent devant le phare de la Victoire, le 13 octobre 2019. Avec quelque 2.000 navires, la Barcolana compte le plus grand nombre de régates de voile au monde. 

Andreas Solaro / AFP

Les bateaux participant à la 51e régate de La Barcolana, dans le golfe de Trieste en Italie, passent devant le phare de la Victoire, le 13 octobre 2019. Avec quelque 2.000 navires, la Barcolana compte le plus grand nombre de régates de voile au monde.

Chaque année, des fêtard·es se jettent des tomates à la figure à l’occasion du festival de la Tomatina, dans la ville espagnole de Bunol, comme ici le 28 août 2019. Cette fête emblématique, qui célèbre le saint patron du village, est l'une des plus grandes batailles alimentaires du monde et attire chaque année nombre de touristes étrangèr·es.

Jaime Reina / AFP

Chaque année, des fêtard·es se jettent des tomates à la figure à l’occasion du festival de la Tomatina, dans la ville espagnole de Bunol, comme ici le 28 août 2019. Cette fête emblématique, qui célèbre le saint patron du village, est l’une des plus grandes batailles alimentaires du monde et attire chaque année nombre de touristes étrangèr·es.

Un ours polaire affamé marche sur une route à la périphérie de la ville industrielle russe de Norilsk, le 17 juin 2019. Visiblement exténué, il est allé chercher de la nourriture dans les bennes à ordures de la ville, à plus de 800 kilomètres de son habitat traditionnel. Les incursions d'ours polaires en quête de nourriture seraient de plus en plus fréquentes dans l'Arctique russe, à mesure que leur habitat et leur alimentation sont dégradées par le changement climatique et la fonte des glaces. 

Irina Yarinskaya / Zapolyarnaya Pravda Newspaper / AFP 

Un ours polaire affamé marche sur une route à la périphérie de la ville industrielle russe de Norilsk, le 17 juin 2019. Visiblement exténué, il est allé chercher de la nourriture dans les bennes à ordures de la ville, à plus de 800 kilomètres de son habitat traditionnel. Les incursions d’ours polaires en quête de nourriture seraient de plus en plus fréquentes dans l’Arctique russe, à mesure que leur habitat et leur alimentation sont dégradées par le changement climatique et la fonte des glaces.

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Comment lutter contre les déchets générés par les marathons?


Cela m’a toujours étonné que des évènements sportifs pussent amener les gens à faire moins attention à l’environnement. Le plastique est sur utilisé ainsi que les moyens pour se rendent en tant que spectateurs ou même en temps que sportifs. Sans compter que beaucoup vont faire un choix de malbouffe …
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Comment lutter contre les déchets générés par les marathons? 

 

En 2018, la pollution atmosphérique a chuté de 89% au cours du dernier marathon de Londres, en raison de la fermeture de routes. | Pietro Rampazzo via Unsplash

En 2018, la pollution atmosphérique a chuté de 89% au cours du dernier marathon de Londres, en raison de la fermeture de routes. | Pietro Rampazzo via Unsplash

Repéré par Audrey Renault

Repéré sur BBC

Épreuve sportive par excellence, les marathons sont aussi des événements terriblement néfastes pour l’environnement, générant à chaque édition plusieurs tonnes de déchets plastiques. 

Chaque année, plusieurs centaines de marathons sont courus à travers le monde. Et chaque année, les déchets s’accumulent sur le passage des participant·es, notamment des bouteilles d’eau en plastique jetées par les runners. Pour lutter contre cette pollution, de plus en plus de courses mettent en place des mesures afin de réduire leur impact environnemental, à l’image du marathon de Londres, dont la trente-neuvième édition aura lieu dimanche 28 avril 2019.

«Nous essayons de montrer la voie, déclare Hugh Brasner, directeur du marathon de Londres. Cette année, nous avons mis en place toute une série d’initiatives qui, à notre avis, entraîneront d’énormes changements de comportement dans l’avenir.»

Parmi ces mesures figurent entre autres l’envoi des consignes de courses par mail plutôt que sur papier, l’utilisation de gobelets recyclables sur certains points de ravitaillement et la distribution à 700 volontaires de ceintures d’hydratation, un genre de bananes dans lesquelles on glisse une ou plusieurs bouteilles d’eau, pour que des participant·es puissent tester cette méthode plus écologique: plus de bouteille entamée pour quelques gorgées puis jetées à quelques mètres des ravitaillements.

Une chute de 89% de la pollution de l’air

Pour Andrea Collins, chercheuse à l’université de Cardiff spécialisée dans l’impact des grands événements sur l’environnement, «la façon dont les gens se déplacent pour assister à un événement est l’un des principaux facteurs contribuant à l’importance de l’empreinte environnementale».

Utiliser les transports en commun ou le covoiturage est donc un bon moyen de réduire l’empreinte de ce type d’événement.

Andrea Collins assure toutefois que, dès lors qu’elles sont organisées de manière durable, ces grandes réunions sportives peuvent avoir un effet positif pour l’environnement

«Ces événements très médiatisés nous sensibilisent aux impacts environnementaux. Cela peut inspirer la population ou d’autres grandes courses, qui étudieront ce qui a été mis en place au marathon de Londres, pour voir ce qui fonctionne.»

Une étude de King’s College London avait également révélé que la pollution de l’air dans la capitale britannique a chuté de 89% au cours du dernier marathon de Londres en raison de la fermeture de routes.

L’équipe du marathon de Nantes, prévu lui aussi ce dimanche 28 avril 2019, entend également respecter l’environnement et sensibiliser le plus grand nombre.L’an dernier, l’organisation de l’évènement avait ainsi recyclé plus de 30 mètres cubes de déchets, sur les 80 récoltés.

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Cactus le chien a couru plus de 130 km lors du Mara­thon des Sables dans le Sahara


Cactus est un chien assez particulier, il aime courir. Pendant le Marathon des Sables dans le Sahara au Maroc, Cactus s’est joint aux coureurs. Il aurait couru 136 km depuis son village jusqu’au fil d’arrivée. Sa présence a du sûrement encourager les coureurs à aller jusqu’au bout.
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Cactus le chien a couru plus de 130 km lors du Mara­thon des Sables dans le Sahara

 

par  Laura Boudoux

 

Le bien nommé Cactus a rejoint les coureurs du Mara­thon des Sables pour la seconde étape de l’édi­tion 2019, lundi 8 avril.

La course, connue dans le monde entier pour ses condi­tions extrêmes, se déroule au Maroc, à travers le Sahara. Le chien s’est présenté le jour de la seconde étape de 32 kilo­mètres, ne quit­tant plus les mara­tho­niens. Il a parti­cipé dans la foulée à la troi­sième épreuve de 37 kilo­mètres, courant ainsi près de 4 h 30, rapporte le Huffing­ton Post Magh­reb.

Les orga­ni­sa­teurs de la 34e édition du mara­thon ont égale­ment eu la joie d’aper­ce­voir Cactus le mercredi, toujours en forme et plein d’éner­gie après ses 76 kilo­mètres de course. En tout, Cactus aurait parcouru envi­ron 136 km depuis son village jusqu’à la ligne d’ar­ri­vée du mara­thon. Le chien a même reçu une médaille, et alors que les coureurs s’at­ten­daient à le voir rentrer chez lui, le chien était toujours présent sur le campe­ment jeudi et vendredi.

D’après le New York Times, Cactus est un chien « nomade » habi­tué des longues distances, sous le soleil écra­sant du désert maro­cain. Plusieurs coureurs ont témoi­gné, expliquant que la présence du chien les avait aidés à trou­ver le meilleur chemin au milieu des dunes de sable.

« Il m’a dépassé, je ne pouvais pas suivre le rythme ! J’ai suivi ses empreintes à la trace, en me disant qu’il savait certai­ne­ment où se trou­vait le sable compact », explique ainsi le Londo­nien Theo Holzap­fel.

Le 13 avril, Cactus a fina­le­ment quitté le Mara­thon des Sables avec ses maîtres, sous les applau­dis­se­ments des coureurs.

https://twit­ter.com/mara­thonD­sables/status/1117010582950023168

Sources : Huffing­ton Post Magh­reb / New York Times / Twit­ter

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Ces athlètes ont couru 40 km par –52°C lors du mara­thon le plus froid du monde


Non, merci ! Déjà, la semaine dernière, il faisait très froid dans mon coin du monde, mais rien a comparer à Oïmiakon, marcher 30 minutes fut suffisant pour moi ! Alors, faire un marathon à -52, faut vraiment être en forme et vouloir dépasser les limites
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Ces athlètes ont couru 40 km par –52°C lors du mara­thon le plus froid du monde

 

Crédits : The Sibe­rian Times

par  Ulyces

 

Seize coureuses et coureurs, âgé·es de 21 à 71 ans, se sont donné rendez-vous en Yakou­tie, dans le nord est de la Sibé­rie, pour un mara­thon de l’ex­trême.

Le 5 janvier 2019, ils se sont retrou­vés dans le village le plus froid du monde, Oïmia­kon, pour courir plusieurs dizaines de kilo­mètres par –52°C, rapporte le Sibe­rian Times. Le record de la distance parcou­rue a été battu par Ilya Peste­rev, avec 39 km, en seule­ment 3 h 53. À son arri­vée, tous et toutes avaient les cils et sour­cils gelés, alors que la tempé­ra­ture avait légè­re­ment augmenté, pour atteindre –45°C.

« Nous voulions rendre la course par –50°C popu­laire, et montrer que les athlètes peuvent s’adap­ter à des tempé­ra­tures extrê­me­ment basses », a expliqué le cham­pion russe Yegor Abra­mov.

À 71 ans, il a pour sa part réussi à parcou­rir 15 km en 2 h 30. 

« Nous pouvions voir la fasci­na­tion dans les yeux des touristes, qui avaient voyagé depuis l’Aus­tra­lie, Taïwan, le Japon ou l’Inde pour assis­ter à la course la plus froide du monde », s’est féli­cité le doyen de l’évé­ne­ment.

Crédits : The Sibe­rian Times

Ce footing glacial devrait être le premier d’une longue série, puisque Yegor Abra­mov a déjà annoncé qu’une édition 2020 serait orga­ni­sée.

« Tous les athlètes du monde entier sont les bien­ve­nus ! » a-t-il assuré.

À bon enten­deur…

Source : The Sibe­rian Times

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Vidéo – Même sur 200 mètres, il est quasiment impossible de suivre le rythme du recordman du monde du marathon


Je ne serais jamais capable de courir aussi vite et longtemps sur mon tapis roulant.
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Vidéo – Même sur 200 mètres, il est quasiment impossible de suivre le rythme du recordman du monde du marathon

 

Repéré par Grégor Brandy

Le record du monde du marathon, ce ne sera pas pour tout de suite.

Combien de temps peut-on tenir le rythme du recordman du monde du marathon? Probablement beaucoup moins que ce que l’on pensait au départ.

Alors que le marathon de New York doit se dérouler ce 4 novembre, Digg vient de relayer une vidéo publiée il y a quelques jours par le site Runner’s World (que vous pouvez regarder ci-dessus) et sur laquelle on peut voir plusieurs personnes sur un tapis roulant tenter de suivre le rythme imprimé par Eliud Kipchoge lors du marathon de Berlin en septembre dernier. Le Kényan avait bouclé les 42,195 kilomètres en 2 heures 1 minute et 39 secondes pour établir le nouveau record du monde.

La vidéo a été tournée avant le marathon de Chicago et montre plusieurs personnes monter sur le tapis roulant et tenter de suivre le rythme sur 200 mètres. Pour ne pas tomber, il fallait courir à 20,81 km/h de moyenne, soit parcourir les 200 mètres en 34 secondes.

«C’est simplement incroyable»

Si plusieurs ont réussi (même si certains ont visiblement passé pas mal de temps à tenter de retrouver leur souffle ensuite), d’autres ont fini tête la première sur le tapis avant de glisser sur les matelas installés judicieusement au bout.

«Je dirais que c’est la même sensation qu’un gros sprint, sauf qu’à la fin on est toujours sur le tapis de course, et on ne peut pas s’arrêter et il faut continuer de courir, explique l’une des participantes. Je suis toujours en sueur, mon cœur bat la chamade, et ça fait déjà deux ou trois minutes que je suis descendue.»

Certes, la grande majorité des personnes qui se sont pris au jeu n’étaient clairement pas équipées pour l’occasion (non, courir un 200 mètres en 34 secondes en sandales n’est vraiment pas une bone idée). Reste que cela donne une idée de la performance réalisée par le marathonien kényan. Même Noelle Montcalm, une athlète canadienne présente aux Jeux olympiques de Rio sur 400 mètres haies et 4×400 mètres n’en revenait pas:

«C’est incroyable de courir aussi vite pendant aussi longtemps. C’est simplement incroyable.»

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La jambe fracturée, elle termine son marathon sur les genoux


L’exploit de cette étudiante de 19 ans est incroyable. Cette jeune fille s’est cassé la jambe droite lors d’un marathon Princess Ekiden au Japon, une course à relais. Rei Lida a poursuivi les 200 mètres sur les genoux pour passer le relais à sa coéquipière.
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La jambe fracturée, elle termine son marathon sur le genoux

Un chien errant s’incruste lors d’un marathon, la suite fait le tour du monde


C’est aux États-Unis, lors d’un semi-marathon qu’un chien errant viens rejoindre les coureurs. Avec eux, ce chien a fait 21 km en 2 h 30 environ. À chaque poste de sécurité, il a profiter pour se faire gratter le ventre pour ensuite reprendre sa course. Après sa performance, comme tout les coureurs, le chien a eu le droit lui aussi à une médaille. Peut-être que sa famille sera retrouvée leur chien, en attendant, il est de refuge, mais il a déjà des personnes qui veulent l’adopter.
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Un chien errant s’incruste lors d’un marathon, la suite fait le tour du monde

 

En Afrique du Sud, une grand-mère marathonienne de 85 ans affole les chronos


Voilà un bon exemple d’une femme atteint d’ostéoporose a choisi que son corps n’était pas fini. À 78 ans, elle a commencé à courir avec beaucoup de difficulté au début. Elle a même fait un parcours de 21 kilomètres en 2h05. Preuve que l’âge ne devrait pas être un obstacle
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En Afrique du Sud, une grand-mère marathonienne de 85 ans affole les chronos

 

Deirdre Larkin, 85 ans, lors d’un entraînement, le 14 juin 2017 à Johannesbourg GULSHAN KHAN  /  AFP

D’une foulée alerte, casquette vissée sur d’impeccables cheveux blancs, Deirdre Larkin s’élance pour 8 kilomètres d’entraînement dans les faubourgs de Johannesburg. A 85 ans, cette ex-pianiste de concert venue sur le tard à la course à pied boucle le semi-marathon en à peine deux heures.

« Avant mes 78 ans, la dernière fois que j’avais couru, c’était au lycée et j’étais vraiment nulle », raconte-t-elle à l’AFP devant les 500 médailles qui recouvrent le mur d’une petite pièce exclusivement dédiée à ses exploits sportifs.

A côté des distinctions, quelques coupures de presse et des diplômes glanés dans diverses courses confirment la notoriété naissante de cette grand-mère marathonienne. Selfies avec des enfants, encouragements d’autres coureurs: Deirdre est devenue une attraction des courses sur lesquelles elle s’aligne.

« Les gens, quand ils me doublent – car il y en a quand même beaucoup qui me doublent – me saluent! Ils me disent +hé, c’est vous qu’on a vue à la télévision+. Mais on ne parle pas longtemps car on doit garder notre souffle », a expliqué Deirdre Larkin à l’AFP après un 10 km couru à Pretoria début juin.

« C’est très inspirant de voir quelqu’un de si vieux courir comme ça. J’espère courir et être en forme jusqu’à mes 90 ans! », s’amuse Andisiwe Matshoba, un trentenaire qui a disputé la même course.

Rien ne prédestinait pourtant cette pianiste britannique, arrivée en Afrique du Sud en 1970, à collectionner les breloques.

Au début des années 2000, son médecin lui diagnostique de l’ostéoporose contre laquelle médicaments, injections et même yoga n’ont aucun effet.

Routine d’athlète

En 2010, un de ses quatre enfants revient brièvement vivre avec elle dans sa maison de Randburg, un quartier des classes moyennes de Johannesburg.

« Mon fils courait trois fois par semaine. Je me suis dit que j’allais l’accompagner. Au début, je courais trois foulées et je m’arrêtais pour marcher trois pas », se souvient-elle.

En sept ans, ses progrès sont fulgurants: en avril dernier, elle a même été invitée à une course à Genève, « un merveilleux souvenir avec 10 km le long du lac Léman ».

Il faut dire que Deirdre s’impose une routine digne d’un athlète de haut niveau: pas de sucre, pas de sel, pas de café et un réveil chaque matin à 5h pour aller s’entraîner.

Résultat, elle a bouclé l’an dernier 65 courses dont plusieurs semi-marathons. Avec à la clé un record du monde dans la catégorie des plus de 80 ans sur les 21 kilomètres, en 2h05.

« A chaque fois que je finis une course, je n’arrive pas à croire que je l’ai fait. Mais le lendemain, mon corps est là pour me le rappeler! », assure Deirdre Larkin, l’oeil pétillant.

« Mon sang circule plus vite dans mes veines, je sens tous mes muscles, je ne pouvais pas imaginer que j’en avais autant. Je me sens en vie, j’ai bien plus d’énergie », poursuit-elle d’une voix aussi rapide que sa foulée.

Une fois la matinée terminée, Deirdre ne fait pas la sieste pour autant. Tous les après-midis, elle se rend au volant de sa petite voiture jaune dans un lycée privé du nord de la ville pour donner des cours de piano.

‘L’âge n’est qu’un chiffre’

Toujours chaussée de ses Nike rose et bleues, elle a à peine troqué son short pour un pantalon qu’on la retrouve, baguette à la main, battant la mesure aux côtés d’une élève. Directive, elle ne laisse passer aucune erreur mais sait féliciter son élève du jour pour ses progrès.

« Après les leçons, je suis épuisée. Mais quand je vois Deirdre, cela me rappelle que je peux accomplir ce que je veux dans la vie, car elle défie le destin », s’enthousiasme son élève Vuyo Tshwele, 17 ans, entre deux gammes.

« C’est une sacrée inspiration pour moi, ça prouve que l’âge n’est qu’un chiffre. La plupart des gens pensent qu’ils sont trop vieux pour faire plein de choses et elle, à 85 ans, elle court plus vite que des gens de mon âge », ajoute l’adolescente.

Au total, une trentaine d’élèves passent chaque semaine devant ses yeux experts pour améliorer leurs arpèges.

En septembre, Deirdre Larkin fêtera ses 86 ans. Pas question pour autant d’envisager de ralentir la cadence.

« Je peux imaginer une vie sans courir. Mais ce serait comme une mort lente. Je continuerai de courir tant que je le pourrai. Même sur une seule jambe, je suis sûre que je pourrai y arriver ».

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Le Saviez-Vous ► Une condition génétique rare permet à un homme de 53 ans de courir 560 kilomètres sans s’arrêter


Une maladie génétique rare, permet de courir des heures, voir des jours sans arrêter. Il peut donc faire des marathons de longues distances sans que ses muscles se fatiguent
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Une condition génétique rare permet à un homme de 53 ans de courir 560 kilomètres sans s’arrêter

 

La plupart des athlètes seraient d’accord pour dire que l’acide lactique qui s’accumule dans les muscles est le fléau de tous les coureurs de longue distance – mais pas pour le coureur américain Dean Karnazes. L’homme de 53 ans a une maladie génétique rare qui traite rapidement l’acide lactique de son système, lui permettant d’exercer indéfiniment sans jamais éprouver une crampe ou une contraction musculaire. Le coureur extrême a terminé un marathon au Pôle Sud à -25°C, et effectuer 50 marathons complets en 50 jours. Il a également fait du jogging sur une distance de 560 kilomètres en seulement 80 heures et 44 minutes, sans dormir !

Quand les gens font de l’exercice, le glucose est transformer en énergie et un sous-produit de cette réaction est l’acide lactique. Comme il s’accumule dans les muscles, il provoque des crampes, la fatigue, et signale au cerveau d’arrêter. Mais dans le cas de Dean, il ne reçoit jamais ces signaux, car l’acide lactique ne s’accumule pas dans ses muscles. Donc, il est capable de rester « normal »pendant de longues distances sur de très longues périodes de temps, en lui donnant un avantage dans certaines des plus difficiles compétitions d’endurance au monde.

« À un certain niveau d’intensité, je sens que je peux parcourir un long chemin sans me fatiguer », a déclaré Dean à The Guardian. « Peu importe combien je pousse, mes muscles tiennent le coup. C’est plutôt une bonne chose si je prévois de courir un long parcours. Pour être honnête, ce qui arrive finalement est que je deviens somnolent. J’ai couru à travers trois nuits sans dormir et la troisième nuit de course blanche était un peu psychotique. En fait, j’ai eu des épisodes de «sommeil alors que je courrais», où je m’endormais en mouvement, et j’ai juste voulu continuer. »

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Dean a couru depuis son enfance, après avoir découvert son extraordinaire capacité d’endurance à un âge très précoce. Il a couru un total de 105 tours autour de la piste de son lycée lors d’une collecte de fonds, alors que la plupart de ses camarades de classe ont abandonné après 15. Mais il arrêté de courir après l’école secondaire, reprenant l’activité seulement après son 30e anniversaire. Malgré l’écart dans son entrainement, il a été en mesure de reprendre simplement là où il s’était arrêté, parcourant 50 kilomètres pendant sa première course. Bien sûr, il a souffert à cause des cloques, mais ses muscles ne montraient aucun signe de fatigue. Depuis, Dean a réalisé des exploits incroyables tels que l’achèvement du « 200-mile Relais » de Calistoga à Santa Cruz par lui-même. Il l’a fait pas moins de 11 fois.

Stupéfait par ses capacités physiques, les médecins ont effectué des tests de lactate sur Dean pour savoir combien de temps il lui faut pour atteindre son seuil d’acide lactique. Le test se termine généralement en 15 minutes pour la plupart des athlètes, mais dans le cas de Dean, les médecins ont tout simplement abandonné après une heure. D’autres coureurs développent un meilleur seuil d’acide lactique après des années de pratique, mais dans le cas de Dean, il semble avoir été né avec la capacité de le débusquer de son système.

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« J’ai été envoyé dans un centre de dépistage dans le Colorado », a expliqué Dean. « D’abord, ils ont effectué un test de la capacité aérobie dans lequel ils ont trouvé mes résultats cohérents avec ceux des autres athlètes hautement qualifiés, mais rien d’extraordinaire. Ensuite, ils ont effectué un test de seuil de lactate. Ils ont dit avoir besoin de 15 minutes, au maximum. Finalement, après une heure, ils ont arrêté le test. Ils ont dit qu’ils n’avaient jamais vu quelque chose comme ça avant. »

Dean, père de deux enfants, croit que d’autres facteurs sont en jeu ici aussi, comme son faible pourcentage de graisse corporelle et son régime paléo hautement alcalin. Il se concentre presque toujours sur l’endurance et non la vitesse.

« Je ne me soucie pas à quelle vitesse je vais », dit-il.« Je me soucie de savoir jusqu’où je vais. »

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L’astronaute Tim Peake court un marathon dans l’espace


Il faut le vouloir de faire un marathon  de 100 000 km depuis l’espace en même temps que les marathoniens qui couraient à Londres
Nuage

L’astronaute Tim Peake court un marathon dans l’espace

 

L'astronaute Tim Peake, photographié le 15 décembre avant son... (Photo Dmitry Lovetsky, AP)

L’astronaute Tim Peake, photographié le 15 décembre avant son décollage pour l’espace.

PHOTO DMITRY LOVETSKY, AP

Agence France-Presse
LONDRES

L’astronaute britannique Tim Peake a couru dimanche un marathon sur un tapis roulant à bord de la Station spatiale européenne (ISS), 400 km au-dessus de la Terre, au moment où des milliers de participants disputaient celui de Londres.

Tim Peake a ouvert la course en scandant le compte à rebours dans un message vidéo alors que les coureurs étaient prêts à s’élancer derrière la ligne de départ à Londres.

L’astronaute, qui portait des poids pour contrebalancer l’absence de gravité dans l’espace, a noté dans un message envoyé après la course qu’il avait parcouru les 42 km du marathon pendant que l’ISS accomplissait un trajet de 100 000 km.

«Hello London! envie de courir?», a-t-il tweeté avant la course.

Tim Peake est le deuxième astronaute à courir un marathon dans l’espace, après Sunita Williams qui avait disputé, depuis l’espace, le marathon de Boston en 2007 en quatre heures, 23 minutes et 10 secondes.

Mais l’astronaute britannique a battu ce record en terminant sa course en trois heures, 35 minutes et 21 secondes, selon une estimation postée sur le site internet de l’Agence spatiale européenne.

Le livre Guinness des records a confirmé l’exploit, affirmant sur son site être «en mesure de confirmer que l’astronaute de l’ESA Tim Peake a remporté un nouveau record … pour le plus rapide marathon en orbite».

Tim Peake, 44 ans, s’était entraîné à bord de la station spatiale en vue de ce marathon.

Premier Britannique à séjourner à bord de la Station spatiale internationale, il a entamé sa mission de six mois en décembre.

«Ce fut une expérience inoubliable», a-t-il commenté dans une déclaration rendue publique par les organisateurs du marathon.

Le Kényan Eliud Kipchoge a conservé son titre dimanche sur le marathon de Londres, qu’il a remporté en 2 heures, 3 minutes et 4 secondes, deuxième temps mondial.

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