L’ombre du cancer plane sur le 11-Septembre


Le 11 septembre est une date malheureusement mémorable pour les États-Unis ainsi pour le reste du monde. Il y a eu des conséquences directes et indirectes de cette catastrophe. Encore aujourd’hui, des gens sont diagnostiqué de maladies graves dont des cancers causés par le nuage toxique après l’effondrement des WTC. J’image dans les zones de guerres, ailleurs dans le monde, que ces mêmes risques de maladies sont aussi présentes …
Nuage


L’ombre du cancer plane sur le 11-Septembre

PHOTO PETER MORGAN, ARCHIVES REUTERS

Bien au-delà des près de 3000 personnes tuées et plus de 6000 blessées dans l’effondrement du World Trade Center (WTC), New York n’en finit pas de compter les personnes atteintes de cancers et d’autres maladies graves, notamment du poumon, liées au nuage toxique qui a plané des semaines durant sur le sud de Manhattan.

(New York) Jaquelin Febrillet avait 26 ans et travaillait à deux rues du World Trade Center lorsque les avions détournés par des djihadistes ont percuté les tours jumelles, le 11 septembre 2001 à New York.

  • CATHERINE TRIOMPHE
    AGENCE FRANCE-PRESSE

    En 2016, 15 ans après les attentats les plus meurtriers de l’histoire, cette syndicaliste professionnelle, devenue mère de trois enfants, était diagnostiquée d’un cancer métastatique. Avec une seule explication logique : le nuage de cendres et de débris toxiques dans lequel elle s’est retrouvée prise le jour de la catastrophe.

    Richard Fahrer, 37 ans aujourd’hui, travaillait lui fréquemment à la pointe de Manhattan comme arpenteur de 2001 à 2003.

    Il y a 18 mois, après des douleurs à l’estomac, on détectait sur ce jeune père un cancer agressif du colon, qui frappe généralement des hommes beaucoup plus âgés et pour lequel il n’avait aucune prédisposition.

    Bien au-delà des près de 3000 personnes tuées et plus de 6000 blessées dans l’effondrement du World Trade Center (WTC), New York n’en finit pas de compter les personnes atteintes de cancers et d’autres maladies graves, notamment du poumon, liées au nuage toxique qui a plané des semaines durant sur le sud de Manhattan.

    Pas que les secouristes

    Les dizaines de milliers de pompiers et bénévoles mobilisés sur le site du WTC ont été les premiers touchés : dès 2011, une étude publiée dans le journal scientifique The Lancet montrait qu’ils étaient confrontés à des risques accrus de cancer.

    Quelque 10 000 d’entre eux ont été recensés comme étant atteints d’un cancer par le WTC Health Program, programme fédéral de soins réservé aux rescapés des attentats.

    Jaquelin Febrillet ou Richard Fahrer font eux partie des gens « ordinaires », travaillant ou résidant au sud de Manhattan dans la foulée de la catastrophe, une catégorie de malades qui ne cesse d’augmenter.

    Fin juin 2019, plus de 21 000 d’entre eux étaient enregistrés dans le programme de soins — deux fois plus qu’en juin 2016.

    Et sur ces 21 000, près de 4000 ont été diagnostiqués avec un cancer, ceux de la prostate, du sein ou de la peau étant les plus fréquents.

    S’il est « impossible, pour un individu précis, de déterminer la cause exacte (du cancer) car aucun test sanguin ne revient estampillé WTC », plusieurs études ont montré que « le taux de cancer a augmenté entre 10 et 30 % chez les gens exposés », explique à l’AFP David Prezant, médecin en chef des pompiers new-yorkais, à l’origine d’études de référence sur le sujet.

    Et ce taux devrait encore augmenter à l’avenir, dit-il, en raison du vieillissement des personnes exposées et de la nature de certains cancers, comme celui du poumon ou le mésothéliome, qui prennent 20 à 30 ans à se développer.

    « Personne ne pouvait prévoir »

    C’est dans ce contexte que Donald Trump a ratifié fin juillet une loi repoussant de 2020 à 2090 la date limite à laquelle des demandes pourront être déposées auprès d’un fonds fédéral spécial d’indemnisation.

    Il sera ainsi régulièrement réapprovisionné, après avoir épuisé son enveloppe initiale de 7,3 milliards de dollars, avec une indemnisation moyenne de 240 000 dollars par malade et de 682 000 dollars pour une personne décédée.

    Après avoir repoussé plusieurs fois la date limite du fonds, le Congrès a reconnu qu’il fallait pouvoir couvrir « une personne qui était bébé (lors des attentats) jusqu’à la fin de sa vie », explique l’avocat Matthew Baione, qui représente Mme Febrillet et M. Fahrer dans leurs démarches d’indemnisation.

    « Il n’y a jamais eu d’attaque comparable au 11-Septembre », souligne-t-il. « Personne ne pouvait prévoir ce qui se passerait avec des milliards de tonnes de matériaux de construction en combustion pendant 99 jours », qui ont libéré dans l’air des quantités inédites de produits chimiques, dont des dioxines, de l’amiante et d’autres substances cancérogènes.

    En attendant de connaître toutes les conséquences pour la santé de la tragédie, Jaquelin Febrillet et Richard Fahrer déplorent que la ville de New York n’en ait pas fait plus, après les attentats, pour protéger les résidents du quartier.

    « Il y aurait pu y avoir plus d’efforts pour limiter l’exposition des adultes sains et les empêcher d’entrer dans la zone de la catastrophe », dit M. Fahrer.

    La priorité était que « la ville revienne à la normale, la Bourse de New York a rouvert au bout de quelques jours », mais « on ne nous a jamais dit que quelque chose pouvait arriver », regrette Mme Febrillet.

    https://www.lapresse.ca

    Des fourmis new-yorkaises victimes de la malbouffe


    Il y a plusieurs espèces de fourmis même dans une seule ville. Certaines restent fidèles à leurs régimes alimentaires, alors que d’autres s’adaptent à la nourriture humaine et ce même si c’est de la malbouffe. Se pourrait-il que des fourmis puissent aider pour nettoyer les ordures alimentaires ?
    Nuage

     

    Des fourmis new-yorkaises victimes de la malbouffe

     

    Une étude sur des fourmis de Manhattan montre que certaines espèces, mais pas toutes, ont adopté l’alimentation humaine, avec ses travers. Zoom sur ces insectes qui ont pris goût à la malbouffe.

    Les animaux qui vivent en ville sont plus ou moins dépendants des humains qui leur fournissent une part de leur alimentation. Par conséquent, est-ce que lorsque notre alimentation évolue, les espèces urbaines sont elles aussi impactées ? C’est ce que se sont demandé des chercheurs de l’université d’État de Caroline du Nord qui ont enquêté sur le régime alimentaire des fourmis new-yorkaises.

    Certaines fourmis des rues ont adopté la malbouffe

    Dans un article paru en avril 2015 dans la revue Proceedings of the Royal Society B, les scientifiques se sont intéressés au rôle des aliments humains dans l’alimentation de fourmis urbaines. Pour cela, ils ont utilisé les isotopes stables du carbone pour déterminer l’origine de celui qui est présent dans les organismes. Tous les animaux, y compris les humains, mangent des aliments contenant du carbone, mais le type atomique de l’élément informe sur la provenance des aliments. Les chercheurs ont testé plus de 100 fourmis collectées dans Manhattan, représentant de 21 espèces différentes et issues de sites divers.

    Résultats : les chercheurs ont trouvé que certaines espèces de fourmis, mais pas toutes, vivant dans les habitats les plus urbanisés de Manhattan, avaient une signature carbone associée avec des aliments transformés humains. Leurs organismes portaient donc les empreintes d’une alimentation de type « malbouffe ». En particulier, une espèce courante dans les rues, Tetramorium caespitum, laquelle avait les niveaux de carbone 13 les plus proches de ceux que l’on trouve dans l’alimentation humaine. Ces fourmis cherchent aussi à entrer dans les habitations où elles sont considérées comme des nuisibles.

    Les fourmis des villes se nourrissent dans les poubelles. © Atomische, Tom Giebel, Flickr, cc by nc nd 2.0

    Les fourmis des villes se nourrissent dans les poubelles. © Atomische, Tom Giebel, Flickr, cc by nc nd 2.0

    Un écosystème plus ou moins dépendant de l’alimentation humaine

    Une autre espèce de fourmi, Lasius emarginatus, a elle aussi été trouvée dans des rues de Manhattan. Mais l’analyse isotopique de ses éléments n’a montré aucune preuve d’une alimentation de type « humain ». La fourmi semblait plutôt passer son temps entre des nids souterrains et les branches des arbres de la ville.

    Certaines fourmis urbaines exploitent donc les changements de ressources humaines. Ces variations pourraient jouer un rôle dans la structure de l’écosystème, puisque certaines se sont mis à la malbouffe et ont développé un régime alimentaire proche de celui des humains.

    Pour Clint Penick, l’auteur qui a mené ces travaux : « Les aliments humains représentent clairement une portion significative de l’alimentation des espèces urbaines. Ce sont les fourmis qui mangent nos déchets, et ceci pourrait expliquer pourquoi les fourmis des rues sont capables d’atteindre d’aussi larges populations en ville ».

    Ces travaux visent à mieux comprendre les écosystèmes vivant à proximité de l’Homme, en ville par exemple, et les relations de notre espèce avec son environnement :

    « Nous voulions en apprendre plus sur la raison pour laquelle certaines espèces de fourmis sont capables de vivre à nos côtés, sur les trottoirs ou dans les bâtiments, alors que d’autres restent en périphérie du développement humain. Ceci pourrait aussi nous aider à déterminer quelles espèces sont plus actives pour nettoyer nos ordures ».

    http://www.futura-sciences.com

    À Manhattan, un passant vole un seau rempli d’or


    C’est tenter les gens de laisser un camion blindé dont la porte arrière est grande ouverte et sans surveillance.
    Nuage

     

    À Manhattan, un passant vole un seau rempli d’or

     

    Le voleur d'or capté par une caméra de surveillance à New York

    Le voleur d’or capté par une caméra de surveillance à New York. Photo : YouTube

    La police de New York a rendu publiques mercredi les images d’un vol inusité perpétré le 29 septembre dernier en plein coeur de Manhattan. On y voit un passant s’emparer d’un seau qui se trouvait dans un camion blindé ouvert.

    RADIO-CANADA AVEC AGENCE FRANCE-PRESSE

    Le seau contenait 40 kilos d’or d’une valeur de 1,6 million de dollars.

    Les images de vidéosurveillance ont été rendues publiques dans le but de faciliter la recherche du service de police.

    Le vol est survenu dans le quartier des diamantaires de Manhattan.

    Le camion blindé, ouvert, n’était pas surveillé.

    L’individu, toujours capté par des vidéos de surveillance, porte le seau dans ses bras sur des dizaines de mètres avant de le déposer par terre et de le reprendre par l’anse.

    L’avis de recherche décrit l’homme comme étant d’origine hispanique. Il aurait entre 50 et 60 ans.

    http://ici.radio-canada.ca/

    e

    Un chien, un chat et deux enfants abandonnés: qui sera sauvé en premier?


    Une expérience sociale fait aux États-Unis et cela aurait pu être dans n’importe quelle grande ville de ce monde. Le résultat est triste. Même dans les réseaux sociaux, nous partageons plus les abandons d’animaux qui ont besoin d’aide que les enfants abandonnés, ou ayant d’autres problèmes graves et pire si l’enfant est un garçon.
    Nuage

     

    Un chien, un chat et deux enfants abandonnés: qui sera sauvé en premier?

     

     

    Le résultat de cette expérience sociale menée au Washington Square Park (Manhattan) est aussi surprenant qu’inquiétant.

    Sam (6 ans), Carly (6 ans), un chien (Charlie) et un chat (Parberry) ont été volontairement abandonnés au beau milieu du Washington Square Park, situé à Manhattan. Qui sera sauvé en premier? Cette expérience sociale a été relayée par le Daily Mail. Elle a duré 45 minutes et ses conclusions sont à la fois étonnantes et inquiétantes.

    Après trois minutes, Carly a été aidée par une femme qui a assuré avoir enclenché son « radar de maman ». La logique aurait voulu que Sam soit le suivant à être secouru par un adulte. Mais après 4 minutes et 36 secondes, c’est le chien a devancé le petit garçon.

    De surcroît, la femme qui a aidé Charlie a précisé qu’elle aurait « agi de la même manière avec un enfant perdu ». Le chat est arrivé en troisième position après 10 minutes et 16 secondes d’attente. Il a été aidé par une autre dame.

    Pas si « surprenant » que ça pour la maman

    Et Sam alors? Après 45 minutes, soit le temps accordé à cette expérience sociale, personne n’est venu en aide au petit garçon. Pendant ce laps de temps, il est resté tout seul sous le regard indifférent des passants. Autre détail intéressant: seules des femmes ont agi pour secourir la petite fille et les deux animaux.

    Pour la maman de Sam, ce résultat n’est pas « surprenant ». « New York est une ville où les gens sont très occupés », conclut-elle.

    http://www.7sur7.be/

    200 dollars pour le sandwich le plus cher du monde


    Personnellement, je trouve que c’est exagéré de faire de tels sandwichs.
    Nuage

     

    200 dollars pour le sandwich le plus cher du monde

     

    © Guinness World Records.

    Le « Quintessential Grilled Cheese », tel est le petit nom du sandwich le plus cher du monde, homologué comme tel par les Guinness World Records et proposé par le fameux restaurant new-yorkais Serendipity 3. Son prix? 214 dollars, soit 192 euros, rien que ça, pour ce qui n’est finalement qu’un extraordinaire… croque-monsieur.

    Comment le sandwich du chef Joe Calderon peut-il approcher les 200 euros? En utilisant des ingrédients chers et extravagants, évidemment. A savoir: deux tranches de pain de mie amélioré au champagne Dom Pérignon et à l’or comestible, du beurre à la truffe blanche et du fromage Caciocavallo Podolico. Servi sur une assiette en cristal Baccarat, le sandwich est à tremper dans une bisque de homard.

    « Le sandwich doit être commandé 48 heures à l’avance parce que tous ces ingrédients sont acheminés spécialement pour vous », prévient Joe Calderon, cité jeudi sur le site internet des Guinness World Records. « Quand vous mordez dans le sandwich, vous goûtez le croustillant du pain, le champagne Dom Pérignon qui a cuit dans le pain, l’onctuosité du beurre à la truffe blanche et enfin le fromage, c’est superbe », fait saliver le chef.

    L’établissement Serendipity 3, situé dans l’Upper East Side à Manhattan, est aussi détenteur notamment du record homologué de l’hamburger le plus cher (Le Burger Extravagant, à 295 dollars, soit 265 euros). Il a été le décor de plusieurs films, dont la comédie romantique « Serendipity » avec John Cusack et Kate Beckinsale.

    Ci-dessous la vidéo-tuto pour éventuellement reproduire à la maison la quintessence de l’en-cas.

    http://www.7sur7.be/

    Le Saviez-Vous ► Winston Churchill s’est fait faire une ordonnance pour boire de l’alcool pendant la prohibition


    Quoi de mieux, que d’avoir une bonne prescription pour avoir le droit de consommer une substance interdite ! Qu’importe la raison, si elle est valable ou non
    Nuage

     

    Winston Churchill s’est fait faire une ordonnance pour boire de l’alcool pendant la prohibition

     

    Lors d’une visite à Manhattan le 13 décembre 1931 Churchill a fait l’erreur classique d’un anglais en Amérique, regarder du mauvais côté de la route avant de sortir d’un taxi ce qui lui a valu de se faire renverser par une voiture.

    L’accident a été assez sérieux pour qu’il soit admis à l’hôpital et qu’il doive reporter une série de conférences.

    Cependant il a profité de cette mésaventure pour se faire prescrire par le Dr. Otto Pickhardt une dose d’alcool quotidienne de façon à pouvoir boire alors que la prohibition était en vigueur aux États-Unis.

    Ceci certifie qu’après son accident, la convalescence de Winston Churchill nécessite qu’il consomme des boissons alcoolisées en particulier à l’heure des repas.
    La quantité est naturellement indéfinie mais le minimum serait de 250 centimètres cubes.

    Dr. Otto Pickhardt

    http://www.laboiteverte.fr/