ETRE GÉNÉREUX C’EST BON POUR LE CŒUR


Le bénévolat serait bon pour la santé .. et faire du bénévolat .. le partage, donner de son temps gratuitement est donc plus que gratifiant pour l’estime de soi-même mais aussi pour le coté physique du corps
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ETRE GÉNÉREUX C’EST BON POUR LE CŒUR

  • Etre généreux c’est bon pour le cœur
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Donner de soi en faisant du bénévolat préviendrait des maladies cardiovasculaires, selon une étude canadienne.

La générosité ne réchauffe pas seulement le cœur, elle le protège aussi et permettrait de vivre plus longtemps, avancent des chercheurs de l’Université de Colombie-Britannique (UBC), à Vancouver dans la revue Journal of the American Medical Association (JAMA).

Les scientifiques ont analysé l’impact de l’altruisme sur la santé physique de 106 adolescents. Il s’agit de la première étude à révéler les bénéfices sur la santé d’aider les autres.

Le constat a été fait en séparant les jeunes en deux groupes. On a demandé à un premier groupe de 52 étudiants de consacrer une heure par semaine de leur temps extra-scolaire à aider des écoliers en difficulté. Cette aide a été proposée sous forme d’activités diverses comme le dessin, l’aide aux devoirs pendant tout un semestre entier. Le second groupe devait attendre le semestre prochain avant de pouvoir s’adonner à des activités de bénévolat. Une façon détournée de comparer l’impact du bénévolat. Sur cette période, les chercheurs ont mesuré l’évolution au début et à la fin du semestre de leur Indice de masse corporelle (IMC), leur cholestérol et leur niveau d’inflammation. Leur bien-être moral (estime de soi, changement d’humeur, sentiment d’altruisme) a également été pris en compte.

L’empathie est bénéfique pour l’IMC

Les comparaisons entre les deux groupes ont montré de meilleurs résultats dans le groupe d’adolescents bénévoles actifs que le groupe en liste d’attente. Ils présentaient des niveaux de cholestérol et un IMC plus bas que le second groupe.

« Ceux et celles qui avaient montré le plus d’empathie et d’altruisme dans l’accomplissement de leurs tâches étaient aussi ceux dont la santé cardiovasculaire s’était le plus améliorée », explique Hannah Schreier, auteure de l’étude.

Le don de soi nous maintient en bonne santé, tout comme la gentillesse qui joue le rôle d’antidépresseur et d’euphorisant en stimulant la sécrétion de sérotonine. Si faire du bien aux autres nous fait encore plus de bien, autant en profiter.

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5 maladies que les hommes devraient connaître


Certaines maladies ont un faible soit pour les hommes ou les femmes., On parle souvent des maladies qui atteint plus les femmes, il faut aussi ne pas oublier que des maladies préfèrent nettement mieux les hommes
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5 maladies que les hommes devraient connaître

Les maladies cardiovasculaires

Les maladies cardiovasculaires - 5 maladies que les hommes devraient connaître

 

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Les maladies cardiovasculaires ou coronariennes sont la première cause de mortalité chez les Canadiens. Elles se traduisent par une accumulation de dépôts de cholestérol (un gras saturé) sur la paroi des artères coronariens, c’est-à-dire les vaisseaux qui acheminent le sang riche en oxygène vers le coeur. Ces dépôts rétrécissent le passage à l’intérieur des vaisseaux et rendent ceux-ci moins souples. On nomme ce processus athérosclérose ou le durcissement des artères. En conséquence, le flux sanguin vers le coeur est restreint et cet état peut causer des douleurs à la poitrine (l’angine de coeur). Si un caillot se forme ou se dépose à l’intérieur de l’artère dont le diamètre est réduit, il peut obstruer complètement le flux sanguin et causer un infarctus.

Les maladies cardiovasculaires ne manifestent en général aucun symptôme, jusqu’au jour où elles provoquent un infarctus.
L’hérédité génétique et le style de vie contribuent chacun à l’apparition des maladies cardiovasculaires. Les risques comprennent:

• Le sexe: les hommes sont plus vulnérables aux maladies coronariennes que les femmes.
• Les femmes post-ménauposées ou celles qui ont plus de 55 ans.
• Les antécédents familiaux de maladie cardiaque.
• Le fait d’avoir subi un infarctus.
• L’origine ethnique: africaine, latino-américaine ou asiatique.

Apprenez-en plus sur les maladies cardiovasculaires.

La maladie de Parkinson

 

La maladie de Parkinson - 5 maladies que les hommes devraient connaître

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Les symptômes de la maladie de Parkinson sont discrets et prennent du temps à se développer, si bien qu’il faut de 10 à 15 ans pour se rendre compte qu’on en est atteint. Même dans ce cas, la personne qui en souffre peut en atténuer les symptômes durant des dizaines d’années en prenant des médicaments spécifiques et en menant une vie active.

Si on a récemment diagnostiqué chez vous la maladie de Parkinson, vous manifestez probablement déjà certains symptômes parmi les suivants: légers tremblements des mains, des jambes et du visage, raideur musculaire, problème de coordination, lenteur des mouvements (bradykinésie). Ces symptômes, ainsi que d’autres, révèlent que les cellules nerveuses (neurones) situées dans la substance noire, une toute petite région du cerveau, ont déjà commencé à mourir. Cela a pour effet de diminuer la quantité de dopamine, une hormone chimique qui achemine des signaux permettant le mouvement rapide et naturel des muscles.

La maladie de Parkinson survient généralement entre 55 et 75 ans et touche davantage les hommes.

Apprenez-en plus sur la maladie de Parkinson.

Les ulcères d’estomac

 

Les ulcères d

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Les ulcères gastriques se caractérisent par une lésion ouverte dans la paroi de l’estomac ou du duodénum (la partie supérieure de l’intestin grêle). Ils sont habituellement causés par le liquide que sécrète votre estomac lors de la digestion tels que l’acide chlorhydrique, la pepsine (une enzyme), et d’autres substances chimique Le liquide gastrique est aussi corrosif que l’acide d’une batterie. Heureusement, l’estomac et le duodénum sont protégés par une muqueuse et par d’autres mécanismes de défense. L’ulcère peut apparaître lorsque les mécanismes de protection ne fonctionnent pas adéquatement. Dans ce cas, les symptômes sont assez douloureux. Généralement, ces derniers prennent la forme de crampes et de brûlures dans le creux de l’estomac.


Les ulcères d’estomac touchent 1 homme sur 5 et 1 femme sur 10.

Apprenez-en plus sur les ulcères d’estomac.

Le cancer du côlon

 

Le cancer du côlon - 5 maladies que les hommes devraient connaître

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Le cancer du côlon se caractérise par une masse ou une tumeur dans le gros intestin causée par la croissance anarchique de cellules. Les médecins le nomment «cancer colorectal» parce qu’il peut affecter aussi bien le côlon que le rectum (le côlon et le rectum constituent la dernière partie de l’appareil digestif, le rectum étant situé juste au-dessus de l’anus).

Bon nombre de cancers colorectaux se développent à partir de petits polypes qui se transforment en tumeurs. Si elle n’est pas soignée, la tumeur peut saigner, obstruer l’intestin ou perforer la paroi intestinale. Au fil du temps, les cellules cancéreuses peuvent migrer jusqu’aux nodules lymphatiques ou d’autres organes comme le foie ou les poumons.

Habituellement, le cancer colorectal se développe lentement et prend naissance dans une cellule qui a subi des mutations génétiques. Certaines personnes peuvent hériter de gènes qui permettent le développement de cellules cancéreuses à l’origine du cancer du côlon. Cependant, dans bien des cas, les causes de l’apparition d’anomalies sont encore inconnues. Par ailleurs, l’alimentation pourrait avoir un effet sur les risques de cancer du côlon.

Apprenez-en plus sur le cancer du côlon.

Les pierres aux reins (calculs rénaux)

 

Les pierres aux reins (calculs rénaux) - 5 maladies que les hommes devraient connaître

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Aussi minuscules qu’elles soient, les pierres aux reins peuvent causer de vives douleurs. Bien qu’une fraction de la population ait une prédisposition génétique pour cette maladie, vous pouvez réduire considérablement le risque d’apparition de pierres aux reins en apportant de simples modifications à votre style de vie.


Les reins ont pour fonction de filtrer des particules de sels et de minéraux microscopiques et de les expulser dans l’uretère, un long canal qui conduit l’urine du rein à la vessie. Lorsqu’il y a déséquilibre chimique, ces particules s’agglutinent pour former des cristaux durs (pierres). Le transit de calculs vers l’uretère entraîne diverses réactions, allant d’un mal tenace à de vives douleurs, le plus souvent accompagnées de nausées et de vomissements. Cette obstruction de l’uretère peut conduire à une infection des voies urinaires. Un calcul peut parfois rester dans le rein, causant une infection sans qu’il y ait forcément douleur sur le coup.

Dix pour cent des hommes développent des pierres aux reins au cours de leur vie, la plupart sont âgés de 30 à 50 ans.

Apprenez-en plus sur les calculs rénaux.

L’effet méconnu du sel


Le sel, nous en consommons beaucoup et souvent a notre insu car dans tout aliments transformés il en contient et souvent nous resalons. Ce trop plein de sel apporte des conséquences qui peuvent être néfaste pour la santé
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L’effet méconnu du sel

 

Par Lise Bergeron

 

Depuis toujours, on associe grande consommation de sel à risque d’hypertension artérielle. Or, en 2012, des chercheurs de la Georgia Emory University, aux États-Unis, ont découvert que consommer beaucoup de sodium nuit à la capacité des vaisseaux sanguins du cœur à bien se contracter et se dilater. Cela, même chez les personnes dont la tension artérielle est normale.

L’étude, menée auprès de 153 paires de jumeaux de plus de 50 ans, montre que chaque ingestion additionnelle de 1 000 mg de sodium faisait chuter de 10 % le flux coronaire résiduel (coronary flow reserve, ou CFR). En clair, cela se traduit par un durcissement des vaisseaux sanguins, ce qui pourrait mener à des maladies cardiovasculaires comme l’angine.

Fait à noter, les participants dont la consommation de sel était supérieure à 1 456 mg par jour avaient un flux coronaire résiduel 20 % plus bas que ceux qui en ingéraient moins de 732 mg par jour.

Conclusion: le sodium a un effet direct sur le système cardiovasculaire. Ceux qui en consomment plus ont une fonction cardiaque moins performante.

Trop, c’est combien?
Les Canadiens consomment en moyenne 3 400 mg de sodium chaque jour. Cela représente plus de deux fois l’apport suffisant de 1 500 mg, et davantage que l’apport maximal tolérable de 2 300 mg par jour. Ce trop-plein de sel provient surtout des aliments transformés et autres repas cuisinés offerts dans les supermarchés et les restaurants-minute.

Source: S.C. Eufinger et al., «Habitual dietary sodium intake is inversely associated with coronary flow reserve in middle-aged male twins», American Journal of Clinical Nutrition, vol. 95, mars 2012.

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