Le Saviez-Vous ► Pourquoi les méchants au cinéma ont souvent des problèmes de peau


Des dermatologues se sont intéressés aux problèmes de peau qu’on souvent les méchants. Est-ce pour dénoncer une forme de stéréotype ou tout simplement que les réalisateurs renforcent le côté sombre de la méchanceté
Nuage

 

Pourquoi les méchants au cinéma ont souvent des problèmes de peau

 

Des dermatologues se sont amusés à comparer les affections de la peau des 10 plus grands méchants et héros du cinéma. Sans grande surprise, les premiers cumulent les problèmes…

Au cinéma, les méchants cumulent les problèmes de peau

Quand la Reine se transforme en sorcière (Blanche-Neige et les Sept Nains,1937), les verrues apparaissent.

© GLADSTONEGANDER / DISNEYWIKIA

Verrues, cicatrices, alopécie (accélération de la chute des cheveux ou des poils)… Les plus grands méchants du cinéma cumulent les problèmes de peau, et non les héros, relèvent trois dermatologues américains dans la revueJAMA Dermatology. Ils ont récupéré la liste des 100 plus grands héros et méchants de l’American Film Institute (voir tableau ci-dessous) et se sont amusés à comparer l’état de la peau des 10 premiers noms. L’on retrouve des méchants célèbres : Hannibal Lecter (Le Silence des agneaux, sorti en 1991) Dark Vador (Star Wars, Episode V : l’Empire contre-attaque, 1980), Mr Potter (La Vie est belle, 1946)

Sur ces dix méchants, six souffrent de troubles dermatologiques. À l’image d’Hannibal Lecter et de Dark Vador, un tiers présente une alopécie importante. 30 % également souffrent d’une hyperpigmentation du contour des yeux (anormalement sombres), 20 % ont des rides faciales profondes et 20 % ont le visage ravagé de cicatrices. La Reine (Blanche-Neige et les Sept Nains, 1937), quant à elle, souffre également de verrues.

En comparaison, seuls deux héros (Indiana Jones dans Les Aventuriers de l’arche perdue, sorti en 1981, et Rick Blaine dans Casablanca, 1942) ont des problèmes de peau, et encore il s’agit « de cicatrices faciales, plus subtiles et plus courtes que celles des méchants », précisent les auteurs.

Faut-il conclure de cette analyse fantaisiste la mise en évidence de préjugés négatifs sur les maladies de la peau dans le septième art ? N’allons pas jusque-là. Les auteurs soulignent surtout un certain penchant des réalisateurs à utiliser les problèmes dermatologiques comme expression cinématographique de la méchanceté. Un moyen de renforcer le côté obscur de leurs personnages.

https://www.sciencesetavenir.fr/

Possible premier cas mondial de "femme-arbre"


Il est connu 4 hommes atteints d’épidermodysplasie verruciforme, des hommes arbres, aujourd’hui, on croit qu’une femme est atteinte de cette maladie. Espérons qu’ils pourront la soigner avant que ces excroissances soient vraiment handicapantes dans la vie de tous les jours
Nuage

 

Possible premier cas mondial de « femme-arbre »

 

A peine quatre personnes au monde ont été diagnostiquées avec cette condition génétique rarissime jusqu’ici, et aucune d’entre elle n’était une femme © afp.

Une jeune Bangladaise aux verrues impressionnantes à l’allure d’écorces sur le visage pourrait être la première femme touchée par le « syndrome de l’homme-arbre », ont indiqué mardi ses médecins.

Si Sahana Khatun, 10 ans, présente bien les excroissances caractéristiques de l’épidermodysplasie verruciforme, les médecins du collège médical de Dacca où elle est traitée mènent encore des tests pour savoir si elle ne serait pas affligée d’une autre maladie de peau.

A peine quatre personnes au monde ont été diagnostiquées avec cette condition génétique rarissime jusqu’ici, et aucune d’entre elle n’était une femme, a indiqué Lal Sen, directeur du département de chirurgie plastique de l’institut.

« Nous pensons qu’elle est la première femme », a-t-il déclaré à l’AFP.

Son père, un fermier pauvre du nord rural du Bangladesh, a dit ne pas s’être inquiété lorsque que les premiers symptômes sont apparus sur le visage de sa fille il y a quatre mois.

Mais les excroissances se développant rapidement, il s’est finalement décidé à l’amener de leur village à la capitale pour qu’elle y soit soignée.

http://www.7sur7.be/

Vitiligo, la maladie qui décolore la peau


Le vitiligo n’est pas contagieux, c’est, par contre, plus apparent chez les personnes à la peau plus foncée, et cela peut les affecter à cause de l’ignorance des gens avec leur regard de dédain ou leurs propos blessants
C’est important de s’informer avant de juger
Nuage

 

Vitiligo, la maladie qui décolore la peau

 

Cliché artistique de Lee Thomas atteint du vitiligo

Cliché artistique de Lee Thomas atteint du vitiligo   PHOTO : STÉPHANIE CORNE

Plusieurs groupes à travers le monde tentent de faire reconnaître le 25 juin comme la journée mondiale du vitiligo. Cette maladie, qui cause la dépigmentation de la peau, n’est ni dangereuse ni contagieuse, mais elle peut engendrer d’importantes souffrances psychologiques.

Un texte de Héloïse Bargain

Peggy Laurore a le vitiligo depuis maintenant huit ans. Elle s’en est rendu compte la première fois lorsqu’une collègue de travail lui a dit qu’elle avait une tache blanche au-dessus de la paupière. Petit à petit, la tache a pris de l’ampleur et prend maintenant tout le contour de ses yeux, de son nez et de sa bouche.

En allant consulter un médecin, Peggy n’a pas eu beaucoup plus de réponses.

« [La docteure] m’a dit : « oh, c’est juste une petite maladie, c’est des taches. » Elle ne m’a pas expliqué quelles conséquences cela avait et quelles étaient les possibilités de traitement », raconte-t-elle.

Cette « petite maladie » a pourtant eu des impacts très importants sur la vie de Peggy.

« Ça change une vie de changer de couleur », dit-elle.

Le vitiligo, c’est quoi?

Le vitiligo est une maladie auto-immune qui se traduit par une dépigmentation de la peau. Plusieurs causes peuvent expliquer la formation des taches blanches. Cela peut toucher tous les types de peau même si c’est plus apparent sur les peaux foncées.

Plusieurs traitements existent comme la photothérapie, les crèmes avec cortisone ou autres crèmes anti-inflammatoires. Mais ils ne sont pas toujours efficaces. Certains traitements, présentement à l’étude, semblent cependant prometteurs.

Source : Danielle Marcoux, dermatologue à l’hôpital Sainte-Justine

La difficile acceptation de soi

Peggy Laurore atteinte du vitiligo

Peggy Laurore atteinte du vitiligo   PHOTO : HÉLOÏSE BARGAIN/ RADIO-CANADA

Au début, Peggy refusait de voir sa peau perdre de sa couleur.

« Après avoir vu des photos sur Internet, je n’ai pas voulu croire que ça allait devenir comme ça. J’étais dans une phase de déni […] Ça a duré très longtemps », confie-t-elle.

La jeune femme se maquille abondamment pour couvrir les taches blanches qui couvrent son visage. Au point même de ne plus prendre de pause repas le midi pour prendre le temps de se remaquiller.

Si je visitais ma mère sans maquillage, elle me regardait. Elle me regardait différemment. Peggy Laurore

Le regard des autres

Lou a 10 ans et est atteinte de la maladie depuis qu’elle a six mois. Elle a parfois été victime de moqueries de ses camarades, se souvient sa mère.

« On allait au parc, les jeunes sortaient des jeux et lui disait : « tu ne sais pas ce que c’est un savon » », raconte Arielle Pacaud, qui a fondé le site d’informations Vitiligo Montréal-Québec.

Ce qui fait souffrir, ce n’est pas tant la maladie, c’est le regard des autres. Peggy Laurore

Pour décrire la réaction des gens par rapport à la maladie, Mme Pacaud fait cette analogie :

« allez dans le métro et mettez un maillot de bain. Les gens vont vous regarder avec de gros yeux parce que vous sortez de la masse. Avec le vitiligo c’est la même chose. »

S’assumer

Winnie Harlow, mannequin et affectée par le vitiligo

Winnie Harlow, mannequin et affectée par le vitiligo   PHOTO : REUTERS / NEIL HALL

Depuis quelques années, Peggy sent un intérêt pour le vitiligo. Notamment grâce au mannequin canadien Winnie Harlow qui assume sans gêne son vitiligo.

Mais c’est surtout lorsque Peggy a vu une publicité où une femme se démaquillait et faisait voir son vitiligo qu’elle a commencé à laisser tomber son maquillage.

« Moi, ce que j’aimerais tout simplement, c’est que les gens disent : « voilà quelqu’un qui est noir, quelqu’un qui est blanc, quelqu’un qui a le vitiligo » », dit-elle.

Pour aider les gens à s’accepter, Vitiligo Montréal-Québec organise au moins une fois par année des séances photo où les personnes qui vivent avec le vitiligo peuvent se faire tirer le portrait.

En 2014, l’artiste new-yorkaise Stéphanie Corne est d’ailleurs venue à Montréal pour faire quelques clichés dans le cadre de son projet sur le vitiligo.

Sensibiliser

Peggy Laurore aimerait bien cesser de subir les regards insistants des autres.

« L’idéal, ce serait qu’on en parle tellement pour qu’on ait plus à en parler », avoue-t-elle.

La fondatrice de Vitiligo Montréal-Québec,  Arielle Pacaud, essaye pour sa part d’approcher les écoles.

« Si on l’explique aux enfants, ils pourront l’expliquer aux parents », dit-elle.

Les deux femmes espèrent un jour que le 25 juin sera reconnu par les Nations unies comme la journée mondiale du vitiligo.

« Ça permettra de faire des campagnes de sensibilisation, ça permettra d’avoir un appui du corps médical », croit Mme Pacaud.

http://ici.radio-canada.ca/

Bangladesh: un «homme-arbre» opéré


Une maladie de peau bien handicapante, heureusement que des médecins se sont intéressés à son cas pour lui venir en aide.
Nuage

 

Bangladesh: un «homme-arbre» opéré

 

DACCA – Un Bangladais surnommé «l’homme-arbre» pour ses verrues impressionnantes aux allures d’écorce sur les mains et les pieds va être opéré pour se débarrasser des excroissances qui se développent depuis dix ans, a annoncé dimanche l’hôpital qui le traite.

Abul Bajandar, un père de famille de 26 ans originaire du district de Khulna, subit des examens en vue de l’opération visant à couper les excroissances pesant au moins cinq kilogrammes qui lui couvrent les mains et les pieds.

«Au début, je pensais qu’elles étaient bénignes», a déclaré à l’AFP ce patient du Medical College Hospital (DMCH) de Dacca, la capitale du Bangladesh.

«Mais petit à petit, j’ai perdu ma capacité de travail. J’ai maintenant des douzaines de racines de 5 à 7 cm sur les deux mains. Et j’en ai des petites sur les jambes», a détaillé M. Bajandar, qui a dû mettre fin à son activité de cyclo pousse.

Une équipe médicale a été constituée pour réaliser l’opération au DMCH, le plus grand hôpital public du Bangladesh, qui a décidé d’en prendre en charge les coûts.

Des examens sont en cours pour s’assurer que les énormes lésions pourront être retirées sans endommager des nerfs majeurs ou engendrer d’autres pathologies.

Les grosses verrues, qu’Abul Bajandar a vu apparaître à l’adolescence mais qui ont commencé à s’étendre plus rapidement il y a quatre ans, ont été diagnostiquées comme un cas d’épidermodysplasie verruciforme, une maladie de peau génétique rarissime qui peut prendre la forme d’excroissances de peau.

«On l’appelle communément la maladie de l’homme-arbre», a expliqué à l’AFP Samanta Lal Sen, directeur de l’hôpital.

«Nous avons connaissance de trois cas dans le monde, dont celui d’Abul Bajandar. C’est la première fois que nous découvrons un cas aussi rare au Bangladesh», a-t-il ajouté.

Un villageois indonésien avec d’énormes verrues sur tout le corps a subi une série d’opérations en 2008 pour en être débarrassé.

Selon la soeur aînée d’Abul Bajandar, Adhuri Bibi, des centaines de personnes leur ont rendu visite dans leur maison de Khulna, depuis plusieurs années, pour voir «l’homme-arbre». «Même ici à l’hôpital, des centaines sont déjà venues», a-t-elle assuré à l’AFP.

http://fr.canoe.ca/

INSOLITE. Ce chat est atteint de vitiligo


Une maladie de peau qu’on voit de temps à autre chez les humains, mais très rarement chez un animal. Un chat noir à sa naissance est devenu marbré à cause de cette maladie
Nuage

 

INSOLITE. Ce chat est atteint de vitiligo

 

Le vieux Scrappy est atteint d'une maladie de l'épiderme qui dépigmente ses poils. ©Scrappy / Facebook

Le vieux Scrappy est atteint d’une maladie de l’épiderme qui dépigmente ses poils. ©Scrappy / Facebook

Par Morgane Kergoat

La couleur noire mouchetée de blanc de Scrappy est exceptionnelle : ce vieux chat est atteint d’une maladie de la peau bien connue chez les humains, mais très rare chez les chats.

COULEUR. Avec sa robe noire et blanche, le vieux Scrappy est un chat exceptionnel. Car, au lieu d’être bien réparties en zones distinctes, les deux couleurs sont parfois mêlées, comme le roux et le noir chez les femelles « écaille de tortue » ou « torty ». Mieux, d’après ses propriétaires, Scrappy – aujourd’hui âgé de 18 ans – était tout noir à la naissance. Les taches blanches sont apparues il y a quelques années et se sont progressivement répandues sur sa fourrure, jusqu’au (joli) résultat actuel.

Scrappy est couvert de taches blanches jusqu’au bout de pattes ©Scrappy / Facebook

Une maladie de peau

La couleur exceptionnelle de Scrappy est en réalité le symptôme visible d’une maladie de l’épiderme : le vitiligo. Relativement fréquente chez les humains, elle se manifeste par une dépigmentation partielle de la peau (d’où l’apparition de « plaques blanches »). Dans ces zones de l’épiderme, les cellules qui fabriquent le pigment brun de la peau (et des poils qui la recouvrent), la mélanine, ont disparu. Les causes de la disparition de ces cellules, appelées mélanocytes, sont méconnues, bien que des facteurs génétiques et environnementaux aient été identifiés. Reste que cette maladie semble très rare chez les animaux. 

http://www.sciencesetavenir.fr/

Les différents visages de l’acné


Je n’ai jamais eu d’acné, mais je sais que ceux qui ont eu cette maladie de peau, plusieurs l’ont mal vécu. Généralement, cela apparait a l’adolescence et se résorbe avec les années. Cependant, des formes d’acné sont plus graves et demande des soins médicaux
Nuage

 

Les différents visages de l’acné

 

Nodules, boutons noirs, blancs, rouges… L’acné peut prendre différentes formes.

Disgracieuse, gênante voire handicapante, l’acné apparaît principalement à l’adolescence et tend ensuite à disparaître.

Les origines de l’acné

Les follicules pilo-sébacés sont à l’origine des poils et des glandes sébacées.

La fonction de ces dernières est de sécréter du sébum (fluide protecteur de la peau) sous l’influence des hormones masculines (androgènes).

Une histoire d’hormonesIl arrive que les glandes sébacées réagissent de façon excessive aux hormones et produisent trop de sébum. Résultat, la peau est trop grasse, particulièrement au niveau du nez, du front et du cuir chevelu. Parallèlement, les cellules du follicule pilo-sébacé (normalement renouvelées et éliminées à la surface de la peau) se mettent à proliférer, jusqu’à obstruer l’ouverture du follicule et le canal de la glande sébacée.

Bouton noir et bouton blanc, quelles différences ?La fonction de la glande sébacée est de sécréter du sébum (fluide protecteur de la peau) sous l’influence des hormones masculines (androgènes). Le sébum, déjà produit en excès et qui ne peut plus s’évacuer, forme alors ce que l’on appelle le bouton noir (comédon ouvert) ou le point blanc (comédon fermé ou microkyste). Ce processus correspond à l’acné rétentionnelle.

L’acné rétentionnelle

Cette forme d’acné se caractérise donc par la présence de nombreux comédons localisés sur le nez, les joues, le front, et parfois aussi sur les épaules, les pavillons des oreilles.

L’acné inflammatoire ou papulo-pustuleuse

Une fois formés, les comédons deviennent le siège d’une inflammation, principalement causée par la présence d’une bactérie dans le follicule pilo-sébacé. Surviennent alors des boutons rouges ou papules et des boutons rouges à tête blanche ou pustules. Papules et pustules coexistent généralement sur le visage, la poitrine et les épaules.

L’acné polymorphe

Ce type d’acné caractérise les personnes qui présentent les deux formes d’acné décrites ci-dessus : acné rétentionnelle et acné inflammatoire. C’est la forme la plus courante. Autrement dit, les personnes qui ont de l’acné présentent généralement des boutons noirs, des points blancs, des boutons rouges et des pustules. Les formes graves de l’acné

A côté de ces formes habituelles d’acné, il existe deux formes graves (acné nodulaire et acné conglobata) caractérisées par la formation de nodules (gros boutons durs sous la peau) ou d’abcès. Ces types d’acné laissent souvent des cicatrices. Et enfin, l’acné fulminante, très rare, évoluant vers des ulcérations.

On peut retenir que l’acné est une maladie de la peau qui, si elle est intense et gênante, nécessite de consulter un dermatologue pour mettre en place un traitement adapté, même si l’acné tend naturellement à disparaître avant l’âge de 20 ans.

par Isabelle Eustache

Sources : ExPeau Acné, Campagne de sensibilisation 7-8 octobre 2008.

http://www.e-sante.fr/

Chine : La petite fille qui se transforme en chat


Les soins médicaux devraient être gratuits pour tous, ou du moins avoir un barème pour permettre aux moins nantis d’être soignés, et ce, partout dans le monde. Cette maladie très bizarre va peut-être avoir un heureux dénouement grâce à des gens qui vont aider les parents pour payer l’opération
Nuage

 

Chine

La petite fille qui se transforme en chat

 

La petite fille qui se transforme en chat

Crédit photo : gracieuseté, Daily Mail

Une petite Chinoise de six ans atteinte d’une rare forme de maladie de la peau est maintenant surnommée «catgirl» parce que son dos est pratiquement complètement couvert de poils noirs.

Les parents de Zhao Zinrui se sont aperçus qu’elle avait une petite plaque de poils noirs dans son dos il y a à peu près un an, rapporte le Daily Mail.


(Crédit photo: gracieuseté, Daily Mail)

Rapidement, la situation s’est détériorée et les poils ont commencé à se propager. C’est devenu trop difficile pour la mère de Zinrui qui a fini par les abandonner elle et son père.

Les médecins avaient d’abord dit qu’il s’agissait d’une marque de naissance, mais maintenant les poils couvrent pratiquement la moitié de son corps.

La petite a maintenant besoin d’une importante opération, car les poils atteignent maintenant ses bras et son visage.


(Crédit photo: gracieuseté, Daily Mail)

Les médecins avaient d’abord dit à la famille que la petite ne pouvait pas être opérée avant d’avoir cinq ans, mais maintenant qu’elle a six ans, son père n’a pas l’argent nécessaire.

«Maintenant qu’elle a l’âge, on n’a pas l’argent. Même si on a tout économisé depuis qu’on sait qu’elle va avoir besoin de l’opération», a raconté son père, Zhao Laif.

Après avoir donné une entrevue à la télévision locale, des personnes ont donné de l’argent pour aider aux traitements. Tout porte à croire qu’elle pourra être opérée prochainement.

http://tvanouvelles.ca