Ce magasin de vêtements veut payer des voleurs 56 € de l’heure pour le voler


 

Une offre d’emploi assez inusité, mais la demande parait assez logique. Pour éviter le vol dans un magasin, mieux vaut faire appelle à des professionnels. Ici, ce sont des voleurs ! Il faudrait probablement que ce soit incognito, pour ne pas mettre la puce à l’oreille de la police.
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Ce magasin de vêtements veut payer des voleurs 56 € de l’heure pour le voler

 

Crédits : Prudence Earl

par  Dylan Kuperblum

Pour empêcher les vols dans son magasin de vêtements au Royaume-Uni, la propriétaire, qui souhaite rester anonyme, a décidé d’adopter une approche très peu conventionnelle.

Elle veut embaucher des criminels professionnels pour voler dans sa boutique, avant de lui expliquer comment ils ont fait pour qu’elle puisse empêcher que cela se reproduise. rapportait Mirror le 29 novembre dernier.

L’offre d’emploi a été postée sur le site de petites annonces britannique Bark.com. La propriétaire dit être disposée à payer des voleurs 56 €/h pour tenter de voler dans son magasin, avec en prime la possibilité de conserver trois des objets qu’ils auront réussis à voler. Les candidats doivent se rendre dans la boutique régulièrement sur une durée de plusieurs semaines, puis rédiger un rapport sur toutes les choses qu’ils y ont volé et comment ils s’y sont pris. Consciente que son offre peut paraître étrange, la commerçante explique qu’elle adopte simplement une approche différente de la prévention au vol après des années de pertes considérables pendant la période des fêtes.

« Depuis que j’ai ouvert mon magasin en 2013, chaque année à l’arrivée de Noël, nous subissons des vols considérables », écrit-elle.

La propriétaire espère donc que cette expérience lui permettra de mieux comprendre le fonctionnement des voleurs et l’aidera à améliorer la sécurité de son magasin. Elle souhaite en particulier savoir si la configuration du magasin doit être modifiée, si les caméras de vidéosurveillance sont correctement positionnées et comment son personnel interagit avec les voleurs. Contacté par Mirror, le fondateur du site Bark.com, Kai Feller, s’est déclaré surpris par la demande de la femme, « mais espère qu’elle trouvera une personne adaptée à ses besoins ».

Source : Mirror

https://www.ulyces.co/

Un enfant trouve une arme sur un canapé Ikea et tire dans le magasin


Ce n’est vraiment pas sécuritaire si une arme peut glisser dans un meuble à l’insu du propriétaire. Si un adulte se croit assez mature pour porter une arme, il doit aussi s’assurer qu’elle ne puisse pas sortir sans qu’il s’en aperçoive. Même un voleur à la tire pourrait lui prendre facilement. Au moins, il n’a pas eu de blessé. Gageons que l’enfant a eu une bonne frousse avec tout ce qui a suivi après.
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Un enfant trouve une arme sur un canapé Ikea et tire dans le magasin

© afp.

ETATS-UNIS Frayeur lundi dans un magasin Ikea de Fishers, près d’Indianapolis, aux Etats-Unis. Un enfant s’est saisi d’une arme chargée « oubliée » sur un canapé. Il a tiré au moins un coup de feu sans faire de blessé.

Un client du magasin Ikea de Fisher a involontairement abandonné son pistolet chargé sur un canapé d’exposition. L’arme a ensuite été récupérée par un enfant qui s’est servi de l’arme au moins à une reprise. Aucune victime n’est à déplorer, mais le magasin a dû fermer pour que les policiers puissent mener l’enquête. Selon les premiers éléments, le propriétaire du pistolet s’est assis sur le canapé et l’arme s’est faufilée entre deux coussins. Un petit garçon l’a ensuite retrouvée et l’a utilisée pour « jouer ». 

Ikea a réagi officiellement via un communiqué relayé par la chaîne CBS et a présenté ses excuses à l’enfant.

« La sécurité des clients et des collaborateurs est la première priorité pour Ikea (…) Dès que nous nous sommes rendu compte de la situation, les employés ont oeuvré pour la sécurité des clients. Nous collaborons avec la police qui enquête sur cet incident. »Source: CBS, 20 minutes.fr

https://www.7sur7.be/7s7/fr/

Un bébé complètement émerveillé par des échantillons de peinture dans un magasin!


Ce bébé aide ses parents à choisir une couleur dans un magasin, l’enfant est émerveillé par tous les échantillons présentés. Le choix aurait été sans doute très difficile à faire
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Un bébé complètement émerveillé par des échantillons de peinture dans un magasin!

 

Le Saviez-Vous ► 5 métiers menacés par les machines


Avec la facilité pour presque tous d’utiliser Internet, beaucoup de métier ont disparu ou bien vont disparaitre à moins de pouvoir évoluer avec la technologie Cependant, cela risque de privé de travail des milliers de personnes qui auront des difficultés pour survivre
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5 métiers menacés par les machines

 

Photo Fotolia

Stéphanie Godbout

 

La technologie facilite notre vie au quotidien. Elle nous permet non seulement d’être plus facilement en contact avec les gens qu’on aime, de retrouver plus aisément notre chemin, et encore, elle peut nous soulager en effectuant des tâches ennuyantes et répétitives.

Aujourd’hui, les robots peuvent aspirer nos planchers, les lave-vaisselles nous donnent un répit, tandis que les services d’achats en ligne nous évitent le déplacement pour acheter des cadeaux.

Mais est-ce qu’un jour les robots pourraient littéralement remplacer l’humain? Voici notre petite liste des métiers menacés par les machines.

AGENT DE VOYAGES

5 métiers menacés par les machines (2/6)

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L’avènement d’Internet a eu un impact direct sur le métier d’agent de voyages.

S’il y a quelques années la seule façon de réserver un voyage était de le faire avec un agent de voyages, aujourd’hui, plus de 65 % des Canadiens le font en ligne via des sites de voyages comme Expedia ou Orbitz.

D’ailleurs, les ventes liées aux voyages se classent au deuxième rang des produits et services les plus vendus sur internet.

Est-ce que le métier d’agent est une espèce en voie d’extinction? Selon Statistiques Canada, la vente de billets d’avion par des agences de voyages a baissé de plus de 70 % au Canada entre 2000 et 2005.

Une tendance qui a bien entendu un effet négatif sur la demande d’agents de voyages…

CAISSIER

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À la suite de la décision en décembre 2006 du gouvernement de modifier la Loi sur les heures et les jours d’admission dans les établissements commerciaux pour les établissements d’alimentation, afin de permettre à plus d’employés de travailler le samedi et dimanche de 17h à 20h, la demande des caissiers a augmenté.

Hélas, le métier de caissier est désormais menacé par l’arrivée des caisses libre-service, de plus en plus adoptées par les commerçants.

Magasins à grande surface comme Walmart et Target, IKEA, stations-service, épiceries… on compte aujourd’hui plus de 430 000 stations libre-service au monde, soit 4 fois plus qu’en 2008.

Une tendance qui a un impact direct sur les perspectives d’emploi dans le domaine.

FACTEUR

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Si l’envoi de courriels et les factures dématérialisées ont un impact positif sur l’environnement en réduisant l’utilisation de papier, ils ont cependant un effet négatif sur le métier de facteur.

Bien que les achats en ligne gagnent en popularité, Postes Canada a annoncé que le nombre de lettres et de colis distribués a chuté de 12 milliards en 2008 à 9,8 milliards en 2012.

Cette diminution se traduit par la suppression de 8000 emplois d’ici 2018 et aura comme conséquence un courrier livré dans des boîtes aux lettres collectives, et non à domicile.

EMPLOYÉ DE BANQUE

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Grâce aux guichets automatiques et au service Interac, nous sommes bien loin de l’époque où il était obligatoire de se rendre à la banque le jeudi soir pour déposer sa paie et retirer l’argent nécessaire pour l’épicerie et les dépenses de la semaine.

Alors qu’il est possible de faire la majorité de ses transactions bancaires au guichet automatique, plus de 85% selon Mark Gilder de Citibank, est-ce que le métier d’employé de banque est menacé?

Si le nombre d’employés de banque a fortement baissé dans les années 1990 à la suite de la croissance des services bancaires informatisés, la forte concurrence dans le milieu a incité les institutions à offrir un meilleur service à la clientèle, avec par exemple les heures d’ouverture prolongées, qui augmente le besoin de main- d’œuvre.

Ce n’est donc pas demain que le guichet automatique remplacera le sourire de la personne derrière le comptoir.

TÉLÉPHONISTE

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Avec l’arrivée des services automatisés et l’avènement d’internet, le nombre de téléphonistes a considérablement chuté de 2000 à 2010.

Ainsi, pour parler à quelqu’un dont on ignore le numéro de poste par exemple, il n’est pratiquement plus nécessaire d’interagir avec un humain.

À la place, il est requis d’utiliser les systèmes de reconnaissance de la voix, d’entrer un nom de famille à l’aide des touches du clavier numérique ou consulter internet pour connaître le numéro de téléphone de la personne que vous désirez rejoindre.

Mais les téléphonistes n’ont pas dit leur dernier mot. Si le métier de téléphoniste traditionnel est plutôt disparu, il a été remplacé par celui d’agent de centres d’appel, un domaine dans lequel on prévoit une croissance au cours des prochaines années.

http://fr.canoe.ca/

Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste


C’est vraiment une mentalité complètement différente de bien des pays Enfin bref, la Chine semble être vraiment unique dans le comportement en société, tellement qu’il y a un guide de chose a ne pas faire quand ils visitent les autres pays
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Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste

 

Des clients du magasin Ikea de Pékin font la sieste.
Crédits photo : China Stringer Network /Reuters/REUTERS

Dans ses magasins chinois, le géant suédois voit débarquer chaque jour des milliers de visiteurs qui dorment sur les matelas et font des pique-niques au rayon meuble. Soucieuse de ne pas froisser ces potentiels clients, la direction ferme les yeux

S’adapter aux habitudes de la clientèle chinoise est un défi permanent pour les sociétés qui s’installent en Chine. Le géant suédois Ikea en fait l’expérience tous les jours dans ses magasins où la clientèle adopte un comportement qui – d’un point de vue occidental – peut paraître très surprenant.

Une cliente fatiguée fait la sieste sur un canapé d’exposition
Crédits photo : MARK RALSTON/AFP

Au rayon des meubles et cuisine notamment, il n’est pas rare de voir des pique-niqueurs, assis sur les tables d’exposition avec leur thermos de thé et leurs sandwichs. Parfois, des jeunes couples se font des câlins et se prennent en photo sur les canapés des espaces salons. Mais c’est au rayon des chambres à coucher que les visiteurs se sentent le plus comme chez eux: jeunes et moins jeunes n’hésitent pas à se déchausser, puis se glisser sous les draps des lits d’exposition pour piquer un somme. Des familles entières s’allongent parfois sur les matelas pour faire une sieste avant de reprendre leur promenade.

Une grand-mère aide son petit-fils à uriner, au rayon literie (crédits photo: Kim Wall pour le South China Morning Post)

Une grand-mère aide son petit-fils à uriner, au rayon literie (crédits photo : Kim Wal pour le South China Morning Post)
Crédits photo : Kim Wall/SCMP

Dans un article publié le mois dernier, un journaliste du South China Morning Post , décrit, photos à l’appui, cette scène incroyable qui s’est déroulée un samedi de forte affluence dans un magasin de Pékin:

«dans un lit king-size, un petit garçon se réveille d’une sieste aux côtés de sa grand-mère (elle aussi endormie). Quand la vieille dame aide l’enfant à uriner dans une bouteille d’eau, inondant copieusement le matelas, personne n’a l’air d’y faire attention»…

Visiblement très confortable, ce rayon est le plus populaire et le plus visité des établissements Ikea en Chine. Au grand dam des employés de l’enseigne suédoise, forcés de réveiller les personnes assoupies sur les lits pour permettre à ceux qui veulent acheter de faire leur choix. Les draps doivent aussi être changés presque tous les jours, obligeant les employés à faire des heures supplémentaires.

«Je pense juste que les habitudes de shopping sont très différentes en Chine», ironise l’un d’entre eux au South China Morning Post.

Le comble pour Ikea, c’est que ces clients ressortent généralement les mains vides. Les circuits tracés pour traverser le magasin sont bondés, mais pas d’embouteillage en caisse. Face à cette situation, la direction d’Ikea se montre pourtant très patiente:

«Nous accueillons toutes les personnes qui veulent venir dans nos magasins. Les visiteurs d’aujourd’hui pourront très bien devenir les clients de demain», souligne Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

Sur le long terme, la stratégie semble payante. Depuis son installation il y a quinze ans, Ikea a fait de la Chine l’un de ses plus importants marchés. Près de 15 millions de visiteurs ont fréquenté ses onze magasins l’an dernier, permettant au groupe de réaliser un chiffre d’affaires dépassant les 6 milliards de yuans (plus de 700 millions d’euros). Loin d’être découragée par l’attitude de ses visiteurs, l’enseigne envisage d’ouvrir d’autres points de vente à Shanghaï, Pékin, Chongqing, ou encore Ningbo.

 

http://www.lefigaro.fr/