Ce labo­ra­toire alle­mand mène des expé­riences barbares sur des singes, des chiens et des chats


En Allemagne, des expériences en pharmacologie et toxicologie sont faites sur des chiens, chats et macaques. Est-ce vraiment de la science ? C’est de la maltraitance au plus haut niveau. Comment des gens avec autant d’éducation pour devenir des soi-disant savant puissent utiliser de la sorte des animaux.
Nuage


Ce labo­ra­toire alle­mand mène des expé­riences barbares sur des singes, des chiens et des chats


Crédits : Cruelty Free Inter­na­tio­nal/Soko Tier­schutz

par  Servan Le Janne

Un labo­ra­toire alle­mand qui réalise des expé­riences sur des animaux fait l’objet d’une enquête pour des trai­te­ments « barbares ».

Une vidéo tour­née clan­des­ti­ne­ment entre décembre 2018 et mars 2019 montre des singes, des chiens et des chats maltrai­tés. Les images ont été parta­gées par les asso­cia­tions Cruelty Free Inter­na­tio­nal et Soko Tier­schutz, rappor­tait Die Welt le 15 octobre.

Sous les néons blafards du Labo­ra­toire de phar­ma­co­lo­gie et de toxi­co­lo­gie (LPT) situé près de Hambourg, en Alle­magne, des singes sont atta­chés contre le mur aux carre­lages blancs par des colliers en fer. Certains sont mani­pu­lés avec violence par des employés. À quelques mètres de là, des chiens main­te­nus dans des cages ne cessent d’aboyer. Ils marchent appa­rem­ment dans leurs propres déjec­tions.

« Le pire trai­te­ment est réservé aux singes », pointe l’ac­ti­viste qui a tourné la vidéo. « Les macaques sont de petites espèces de singes, pas très forts, sur lesquels des expé­riences sont fréquem­ment menées chez LPT. Ils sont déte­nus dans d’hor­ribles condi­tions, dans de petites cages. Beau­coup d’entre eux ont déve­loppé des tendances compul­sives et gesti­culent sans arrêt. »

Selon les direc­tives de l’Union euro­péenne, les animaux qui ne sont pas soli­taires par nature ne doivent pas être isolés et doivent dispo­ser d’as­sez d’es­pace pour adop­ter « un large éven­tail de compor­te­ments normaux ».

Après avoir reçu les images des asso­cia­tions, la police a ouvert une enquête.

Source : Die Welt

https://www.ulyces.co

En Chine, des scientifiques implantent à des singes un gène du cerveau humain


Oui, je l’avoue, j’ai aussi pensé aux films sur la planète des singes (il en a eu plusieurs.). Difficile ne pas y penser en voyant des scientifiques s’amuser a intégrer un gène humain relié à l’intelligence a des macaques rhésus. Pour moi, c’est de la mauvaise science. Nous n’avons pas besoin de savoir ce qui rend l’être humain unique, de toute manière, on le voit à tous les jours que ce soit pour le pire ou le meilleur de l’humain.
Nuage


En Chine, des scientifiques implantent à des singes un gène du cerveau humain


singe

Un macaque rhésus dans sa cage.

AFP/ARCHIVES – JEAN-FRANCOIS MONIER

Par Sciences et Avenir avec AFP

En Chine, des scientifiques ont implanté un gène humain dans le cerveau de singes. Ce gène jouerait un rôle dans le développement du cerveau humain.

Des scientifiques chinois ont implanté à des singes un gène considéré comme jouant un rôle dans le développement du cerveau humain, dans le cadre d’une étude sur l’évolution de l’intelligence humaine. L’étude, parue en mars 2019 dans la publication anglophone de Pékin National Science Review, a été réalisée par des chercheurs de l’Institut de zoologie de Kunming (sud-ouest de la Chine) et de l’Académie des sciences chinoises travaillant avec des chercheurs américains de l’Université de Caroline du Nord.

Les chercheurs ont implanté à 11 macaques rhésus des versions humaines du gène MCPH1, qui selon des estimations scientifiques jouent un rôle dans le développement du cerveau humain. Ils ont découvert que les cerveaux de ces singes, comme ceux des humains, avaient mis plus de temps à se développer et que les animaux obtenaient de meilleurs résultats aux tests sur la mémoire à court terme et le temps de réaction, en comparaison avec les singes vivant dans la nature.

La taille des cerveaux des singes de l’expérience n’était toutefois pas supérieure à celle des cerveaux de leurs congénères du groupe de contrôle. Cette expérience est la dernière en date d’une série de recherches biomédicales effectuées en Chine qui ont suscité une controverse au plan de l’éthique.

« Nos résultats démontrent que des primates transgéniques non-humains (en dehors des espèces de grands singes) ont le potentiel pour fournir des aperçus importants -et potentiellement uniques- concernant des questions fondamentales sur ce qui rend l’homme unique », écrivent les auteurs de l’étude.

Seuls 5 singes ont survécu

Les singes ont été soumis à des tests de mémoire dans lesquels ils devaient se souvenir de couleurs et de formes sur un écran et à des IRM. Seuls cinq d’entre eux ont survécu jusqu’à la phase de tests. Selon les auteurs de l’étude, le macaque rhésus, bien que plus proche génétiquement des humains que les rongeurs, reste suffisamment éloigné de l’homme pour ne pas susciter de questionnement éthique mais cela n’a toutefois pas dissuadé les critiques.

« Dans l’imaginaire populaire, on se retrouve tout simplement sur la Planète des Singes », a commenté Jacqueline Glover, une bioéthicienne de l’Univerisité du Colorado. « Les humaniser revient à faire quelque chose de mal. Où vivraient-ils et que feraient-ils ? Il ne faut pas créer un être vivant qui ne peut pas avoir une vie significative dans un contexte quelconque », a-t-elle déclaré à la MIT Technology Review.

Larry Baum, un chercheur du Centre for Genomic Sciences de l’Université de Hong Kong, a néanmoins relativisé ces craintes, soulignant que « cette étude n’a modifié que l’un de quelque 20.000 gènes ».

D’autres animaux clonés 

En janvier 2019, une équipe de scientifiques chinois avait annoncé avoir cloné cinq singes à partir d’un spécimen unique dont les gènes avaient été modifiés pour le rendre malade, afin d’étudier les troubles du sommeil. Ils avaient découvert que ces singes montraient des signes de problèmes mentaux associés (dépression, anxiété, comportements liés à la schizophrénie). Ces résultats publiés dans la National Science Review visaient, selon eux, à servir la recherche sur les maladies psychologiques humaines.

En novembre 2018, le chercheur chinois He Jiankui avait annoncé avoir fait naître deux bébés humains dont les gènes avaient été modifiés pour les protéger du virus du sida. Très critiqué par Pékin et la communauté scientifique internationale, il s’est retrouvé au centre d’une enquête de police et a été démis de ses fonctions dans l’université du sud de la Chine où il officiait.

https://www.sciencesetavenir.fr/

En Inde, un gang de singes tue un homme à coups de briques, sa famille porte plainte


Je peux comprendre que la cohabitation est difficile entre les hommes et les macaques. Et je trouve dramatique la mort de cet homme que les singes ont tués a coups de briques. Et s’il y a quelques choses à faire, ce sera mieux sans pour autant punir. Comme c’est une zone protégé, il faut garder cette zone…
Nuage

 

En Inde, un gang de singes tue un homme à coups de briques, sa famille porte plainte

 

inRead invented by Teads

par  Laura Boudoux 

Dans le petit village de Tikri, au nord de New Delhi, un homme a été tué par un féroce gang de singes, alors qu’il ramassait du bois, rapporte le site britannique Express ce 22 octobre. 

À 72 ans, Dharampal Singh a succombé à cette attaque de primates le 18 octobre, après avoir reçu une vingtaine de briques sur la poitrine, les jambes et le crâne.

« Lancées depuis une certaine hauteur, les briques ont suffi à le tuer. Ces voyous de singes sont coupables et ils doivent payer pour ce qu’ils ont fait », estime le frère de la victime, interrogé par le Times of India.

La famille de Dharampal Singh a donc déposé « une plainte écrite contre les singes, mais la police ne semble pas décidée à agir », rapporte Krishnapal Singh.

Une affaire effectivement compliquée à gérer pour la police locale.

« Comment pouvons-nous enregistrer une plainte contre des singes ? Nous allons nous couvrir de ridicule », a commenté Chitwan Singh, policier au commissariat de Doghat sollicité par la famille Singh.

Les macaques rhésus, responsables de la mort de Dharampal Singh, sont devenus difficiles à gérer dans cette région et de nombreux villageois ont apporté leur soutien à la famille du défunt.

« L’attaque de Dharampal est peut-être le pire qui puisse arriver, mais les singes rendent la vie dure aux villageois et aucune solution ne semble devoir être mise en place », a ainsi témoigné Bheema Kashyap, qui habite les environs de Tikri.

 Les singes sont dans la région une espèce protégée et les autorités n’ont donc que peu de pouvoirs pour maîtriser (et punir) leurs agissements.

Sources : Express.uk / Times of India

https://www.ulyces.co/

L’humain gagne dans l’affaire du selfie du macaque


Tout cela pour un macaque qui s’est emparer d’un appareil photo d’un photographe. Je ne suis pas toujours d’accord avec les agissements de PETA, là, je crois vraiment que c’est une perte de temps et d’argent alors qu’il y a beaucoup plus à faire pour la protection des animaux que créer une discorde pour un égoportrait d’un animal
Nuage

 

L’humain gagne dans l’affaire du selfie du macaque

 

ROBYN BECK/AFP/GETTY IMAGES

L’égoportrait devenu viral est maintenant affiché au Musée des selfies à Glendale en Californie.

Mais cet égoportrait demeurera à jamais l’un des plus célèbres du monde.

Une cour d’appel américaine a jugé qu’un macaque ne pouvait prétendre aux droits d’auteur sur un autoportrait qu’il avait lui-même pris en déclenchant l’appareil d’un photographe sur une île indonésienne.

Cette décision rendue lundi pourrait marquer le point final d’un litige juridique spectaculaire à plusieurs titres: le visage du singe, grimaçant (ou souriant) de toutes ses dents, est devenu l’un des selfies les plus célèbres du monde.

Cette affaire a également posé un problème de droit inédit, une association de défense de la cause animale, PETA, soutenant que la capacité d’un primate à prendre une photo prouvait qu’il était un être pensant complexe, méritant de bénéficier des règles de la propriété intellectuelle.

Tout a commencé en 2011 sur l’île de Sulawesi, en Indonésie, quand un macaque noir à crête s’était emparé de l’appareil photo de David Slater et avait appuyé sur le déclencheur.

Le photographe animalier britannique avait réussi à récupérer son appareil et avait publié les clichés pris par le singe baptisé Naruto.

Ces photos exceptionnelles ont fait le tour de la planète, étant reprises par de multiples journaux, magazines, sites internet ou émissions de télévision.

Le litige a éclaté quand la Fondation Wikimedia, une banque de données libres de droits, a refusé de retirer de sa collection le selfie de Naruto.

L’organisation People for the Ethical Treatment of Animals a alors fait irruption dans le débat. PETA a saisi la justice en affirmant que, le macaque ayant pris les images, il en détenait les droits, « comme ce serait le cas pour un humain ».

PETA a été débouté une première fois devant un juge en septembre 2017, David Slater acceptant toutefois de donner 25% des futurs revenus tirés des selfies de Naruto à des organismes protégeant l’habitat des macaques à crête d’Indonésie.

La cour d’appel de Californie a infligé lundi un second revers à l’association de défense des animaux, en estimant que les violations de droits d’auteur ne pouvaient être dénoncées que par des humains.

Les trois magistrats de la cour accusent même PETA de récupération.

« PETA apparaît utiliser Naruto malgré lui, comme un pion pour atteindre ses objectifs idéologiques », ont-ils écrit dans leur décision unanime.

PETA a estimé en réponse que la cour d’appel était « passée à côté » de la vérité.

Le macaque « est victime d’une discrimination simplement car il est un animal non humain », a commenté l’organisation.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Des singes clonés pour la première fois


Après maints essais, les Chinois ont réussi à cloner deux singes par la même méthode que la brebis Dolly. Dolly fut la première, mais on continuer a cloner d’autres mammifères. Cependant, du côté des primates, c’est la première fois. On veut mettre dans l’ADN des maladies humaines chez les singes pour trouver des traitements .. À mon sens, c’est de la cruauté animale.On dit que la science pour des raisons d’éthiques est contre le clonage humain … Je suis certaine que les essais pour l’humain sont en marche dans les recherches, mais bon .. On parle entre autres de cloner un enfant mort pour que les parents aient moins de peine. Quel sera l’impact sur le remplaçant ? Pour mar part, je suis totalement contre. Une personne est unique par des facteurs émotionnels, d’éducation, d’expériences que clone ne suivra pas nécessairement la même route
Nuage

 

Des singes clonés pour la première fois

 

Les deux petites femelles, Zhong Zhong et Hua Hua, sont âgées de sept ou huit semaines.

Les deux petites femelles, Zhong Zhong et Hua Hua, sont âgées de sept ou huit semaines.   Photo : Académie chinoise des sciences de Shanghaï

La méthode qui avait permis de cloner la brebis Dolly en 1996 a été utilisée pour créer deux macaques, ce qui rapproche la science un peu plus du clonage d’un être humain.

RADIO-CANADA AVEC ASSOCIATED PRESS

Depuis la naissance de Dolly, les scientifiques ont réussi à cloner plus d’une vingtaine de mammifères, notamment des chiens, des chats, des porcs, des vaches et de petits chevaux.

Jusqu’à présent, les chercheurs n’avaient pas été capables de faire de même chez les primates, la catégorie qui regroupe les singes et les humains.

La barrière du clonage des primates est maintenant tombée. Muming Poo, de l’Académie chinoise des sciences à Shanghai

Les deux petites femelles – Zhong Zhong et Hua Hua – sont âgées de sept ou huit semaines.

La route a été longue, mais ils ont finalement réussi.Shoukhrat Mitalipov, professeur spécialisé en génothérapie, Université de l’Oregon

Le professeur Shoukhrat Mitalipov, un spécialiste de la génothérapie et des cellules embryonnaires à l’Université de l’Oregon en santé et sciences (OHSU), avait lui aussi tenté, sans succès, de cloner un singe.

Aucune intention de cloner un humain

En principe, dit M. Poo, il devrait maintenant être possible de cloner un humain; il assure toutefois que son équipe n’a aucune intention de le faire. La science s’oppose à la création de bébés humains par clonage pour des raisons éthiques.

Murning Poo explique que le but est plutôt de créer de multiples singes génétiquement identiques pour procéder à des expériences médicales. Les singes sont particulièrement utiles dans de telles situations, puisqu’ils sont plus proches des humains que les souris ou les rats.

Le procédé reste toutefois peu efficace. Il a fallu 127 ovules pour obtenir deux bébés et jusqu’à présent, le procédé n’a réussi qu’en utilisant au départ un embryon de singe.

Les scientifiques ont été incapables de créer des bébés en santé à partir d’un singe adulte, mais les essais se poursuivent.

Dolly avait fait sensation en devenant le premier mammifère créé à partir d’un spécimen adulte.

La brebis Dolly présentée aux médias le 22 février 1997.

La brebis Dolly présentée aux médias le 22 février 1997. Photo : Reuters

79 embryons implantés

Les chercheurs chinois ont retiré d’ovules de singe le noyau qui contient l’ADN et l’ont remplacé par l’ADN d’un foetus de singe. Ces nouveaux ovules se sont développés et divisés, avant de devenir un embryon qui a ensuite été implanté dans une femelle jusqu’à la naissance.

Les scientifiques ont implanté 79 embryons pour obtenir deux bébés. Cela représente néanmoins une réussite, là où toutes les tentatives précédentes avaient échoué.

M. Poo évoque une amélioration des techniques en laboratoire et l’ajout de deux substances qui ont aidé à reprogrammer l’ADN du foetus. Cela a permis à l’ADN de délaisser certaines tâches pour se consacrer à la fabrication d’un singe « tout neuf ».

Les chercheurs chinois ont expliqué que le clonage de cellules foetales pourrait permettre de créer une multitude de singes qui, par exemple, auraient tous les mêmes problèmes génétiques que ceux responsables de maladies chez l’humain. Les animaux pourraient ensuite être utilisés pour comparer des tests et des traitements. Les chercheurs ont dit que leurs premières cibles seront les maladies d’Alzheimer et de Parkinson.

 

Enjeux éthiques

Rappelant l’échec des tentatives avec des cellules adultes, le professeur Mitalipov a dit croire que la même chose se produirait chez l’humain.

« Je déconseillerais à quiconque de même l’envisager », a-t-il dit.

Le chercheur Jose Cibelli, de l’Université Michigan State, pense que cela pourrait être techniquement possible un jour, mais qu’il serait « criminel » d’essayer aujourd’hui en raison du nombre de grossesses qui échoueraient en cours de route.

Si le processus devient éventuellement suffisamment efficace chez le singe, a-t-il dit, la société sera confrontée à un « grave problème éthique » quant à des essais chez l’humain.

Le transfert de l’ADN pourrait alors être combiné à une manipulation des gènes pour corriger des problèmes génétiques chez l’embryon, menant à la naissance de bébés en santé, a-t-il expliqué.

Évidemment, le clonage humain évoque la création d’une copie d’un être qui existe déjà, « mais je crois qu’on ne devrait pas aller dans cette direction-là », a ajouté le chercheur Dieter Egli, de l’Université Columbia. « Je n’y trouve aucun bienfait intéressant. »

Henry Greely, un professeur de droit de l’Université Stanford qui se spécialise dans les technologies biomédicales, envisage quant à lui la création d’une copie d’un enfant décédé pour consoler ses parents. Il doute toutefois que cela soit une raison suffisante pour tenter de faire approuver une telle procédure, du moins pour encore plusieurs décennies.

Une autre experte, Marcy Darnovsky, pense qu’il serait contraire à l’éthique de soumettre cet enfant « aux risques psychologiques et émotionnels de vivre à l’ombre de son prédécesseur génétique ».

Le clonage humain nécessiterait aussi le don de plusieurs ovules et le recours à des mères porteuses.

Le groupe de défense des droits des animaux PETA a condamné le clonage des singes.

« Le clonage est un spectacle d’horreur : un gaspillage de vies, de temps et d’argent – et la souffrance qu’engendrent de telles expériences est inimaginable », a dit la vice-présidente Kathy Guillermo par voie de communiqué.

Puisque le taux d’échec du clonage est de près de 90 %, ces deux singes sont la manifestation de souffrances et de mort à grande échelle.

Kathy Guillermo, vice-présidente de PETA

Le détail des présents travaux est publié dans le journal Cell.

http://ici.radio-canada.ca/

Quand les macaques explorent leur sexualité… avec des cerfs !


Curieux qu’au Japon des femelles macaques explorent leur sexualité sur des cerfs. Frustration, les mâles sont moins actifs, la proximité des deux races ?
Nuage

Quand les macaques explorent leur sexualité… avec des cerfs !

 

Les chercheurs canadiens imaginent que le comportement étonnant des femelles macaques peut servir d’exutoire à leur frustration sexuelle. © Noëlle Gunst, université de Lethbridge

 

Nathalie Mayer

Journaliste

 

Il y a quelques mois, les images d’un jeune macaque en pleine saillie sur une biche avaient fait le tour du monde

Une pratique sexuelle hors norme, avaient alors supposé les scientifiques. Mais aujourd’hui, ceux-ci semblent tenir la preuve que les relations interespèces ne sont pas si rares chez les primates. Leurs images montrent ainsi de jeunes femelles macaques qui montent sur des cerfs.

Au centre du Japon, il est une réserve où vivent en totale liberté différentes espèces animales. En totale liberté et même, en totale harmonie concernant les macaques japonais et les cerfs ! C’est ce que semble révéler une étude réalisée par des chercheurs de l’université de Lethbridge (Canada). En quelques mois, ils ont en effet pu observer près de 260 actes sexuels entre ces deux espèces.

Les images rapportées sont sans équivoque. Elles montrent de jeunes femelles macaques qui montent sur des cerfs et se frottent les parties génitales contre le dos de leur étonnant partenaire. Ces derniers, quant à eux, semblent totalement insensibles à l’intérêt que leur portent ces demoiselles.

Vaincre la frustration sexuelle

Pour expliquer ces relations sexuelles, qui semblent pourtant tout à fait contre-nature, les chercheurs canadiens invoquent d’abord le fait que les aires de vie de ces primates et de ces cervidés se rejoignent. En effet, les cerfs aiment grignoter les restes de nourriture laissés à l’abandon par les macaques japonais. De plus, leur période d’accouplement s’avère être la même.

Surtout, les chercheurs estiment que ce comportement pourrait servir aux femelles macaques à explorer leur sexualité. Leurs relations avec les cerfs leur permettraient de combler le manque ressenti du fait du peu de désir sexuel dont font preuve leurs mâles. Cependant, rien ne permet aujourd’hui de savoir s’il s’agit là d’un phénomène de mode ou d’une pratique qui s’installera sur le long terme

.

https://www.futura-sciences.com

Le chiot a été attaqué par un chien errant. Mais un singe est arrivé


Une belle complicité entre singe et un chiot qui ce dernier était en mauvaise posture. Il n’y a pas juste les êtres humains qui peuvent aider un animal en difficulté
Nuage

 

Le chiot a été attaqué par un chien errant. Mais un singe est arrivé …

Cette histoire se déroule dans le village d’Erode, en Inde. Un chiot orphelin a été adopté par un macaque rhésus.

Heureusement, le singe l’a trouvé car le chiot n’aurait pas pu survivre encore très longtemps tout seul. Il n’avait pas la force pour se battre contre les autres chiens pour la nourriture. Mais maintenant, le petit chien a une nouvelle mère.

Le singe et son chiot son inséparables.

monkey 1

Dinamalar

Le singe risque sa vie pour défendre son bébé contre les attaques d’autres chiens.

monkey 2

Dinamalar

Il traite le chiot comme s’il était son petit.

monkey 3

Dinamalar

Les habitants de la ville ont été très émus par le singe et le chiot.

monkey 4

Dinamalar

Ils ont été tellement impressionnés qu’ils leur apportent à manger.

monkey 5

Dinamalar

Il laisse le chiot manger avant lui.

monkey 6

Dinamalar

Il l’épouille comme si c’était son propre bébé.

monkey 7

Dinamalar

Il l’emmène partout où il va.

monkey 8

Dinamalar

« Leur affection mutuelle semble indestructible et nous donne une véritable leçon de vie, » écrit le journal indien Zee News.

monkey 9

Dinamalar

C’est probablement l’une des histoires les plus touchantes que nous avons lu depuis longtemps.

http://incroyable.co/

Un village thaïlandais pillé par des bandes de macaques


La revanche des macaques a prendre ce qu’on leur a enlever. Cependant, ils ne volent pas les bonnes personnes. Ce sont les personnes les plus pauvres qui paient pour tout le monde … Si les macaques allaient dans les quartiers très riches, on aurait vite fait de trouver une solution plus durable en redonnant des territoires a ces animaux
Nuage

 

Un village thaïlandais pillé par des bandes de macaques

 

Un macaque dans une maison du village de Khlong Charoen Wai en Thaïlande,Pornchai Kittiwongsakoul

Dans un village côtier de l’est de la Thaïlande, les pillages sont quasi-quotidiens. Et malgré les stratagèmes déployés par les habitants pour se protéger, rien n’y fait: ils restent à la merci de bandes de macaques voraces, poussés vers l’homme par la déforestation.

« Ils se faufilent dans la maison quand ils voient que je dors. Ils vont dans la cuisine, prennent l’huile de cuisson, le sucre et même les médicaments que je cache dans le placard », se désole Chaluay Khamkajit, qui se bat depuis des années contre les singes dans ce village situé à moins de 100 kilomètres de Bangkok.

La septuagénaire et son mari ont mis en place divers subterfuges contre les intrus : ils bloquent la porte du frigo et les fenêtres, placent un chien dans le jardin, voire s’arment d’un lance-pierre.

« Ils ont même volé un cuiseur à riz »

Mais comme les 150 autres foyers du village, ils continuent à être les cibles, sans relâche, de ces macaques à longue queue, appelés aussi macaques crabiers. Les raids de ces chapardeurs durent depuis une dizaine d’années. La faute, semble-t-il, à la disparition progressive de la mangrove, cet écosystème de marais typique des zones tropicales. Ici, la mangrove a fait place aux élevages de crevettes, gagne-pain de la communauté locale. Et les singes ont dû trouver un nouveau terrain de chasse.

« Parfois, des centaines de singes arrivent en même temps, surtout à l’aube et au crépuscule, quand il fait moins chaud. Ils savent que c’est l’heure du repas », raconte le chef du village. « Ils ont poussé une télévision de 21 pouces, qui est tombée et s’est brisée. Ils ont même volé un cuiseur à riz, ont réussi à l’ouvrir et l’ont vidé pour manger le riz ».

Mais pour l’organisation de défense de l’environnement WWF, c’est bien l’homme qui a empiété sur le territoire des macaques, et non l’inverse.

« Les gens se sont rapprochés de la nature, c’est pour ça qu’il y a plus de chances d’interactions entre les humains et les animaux », souligne Petch Manopawitr, responsable de l’ONG en Thaïlande.

Une situation qui ne s’arrêtera pas

Le calvaire des habitants ne se limite pas aux singes dans un pays où jungle et mangroves sont petit à petit dévorées par l’agriculture et l’urbanisation. Tigres et éléphants sauvages font leur lot de victimes.

Quant aux sangliers, ils « mangent les cultures des villageois » note Petch. Mais au moins « les villageois peuvent tuer les sangliers pour les manger ».

Et la situation risque de s’aggraver. Selon un récent rapport de WWF, le besoin de terres agricoles menace ainsi de faire disparaître un tiers des forêts de la région du Grand Mékong (Thaïlande, Laos, Cambodge, Vietnam, Birmanie) d’ici à vingt ans si les gouvernements ne prennent pas rapidement des mesures efficaces.

 

http://www.ladepeche.fr

La faune


La faune et ses milles secrets sur terre, dans les airs et dans les mers, des êtres vivant parcourant la savane ou nageant dans les eaux froides, vivent au gré des vents, des vagues et du temps
Nuage

 

La faune

Lion de l’Afrique du Sud

Photographe : Chris Johns, National Geographic


Léopard de mer, la péninsule Antarctique

Photographe : Paul Nicklen, National Geographic


Les chimpanzés de Gombe, en Tanzanie

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Pélicans blanc de la Louisiane

Photographe :Annie Griffiths, National Geographic


Grand requin-marteau, Bahamas

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


L’éléphant de forêt,  Gabon

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Phoque, Canada

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


Macaques Japonais, Nagano

Photographe : Tim Laman, National Geographic


Chauve-Souris, Panama

Photographe : Christian Ziegler, National Geographic


Renard du Chili

Photographe : Joel Sartore, National Geographic


Girafe, Afrique du Sud

Photographe : Chris Johns, National Geographic


Manchot papou, l’Antarctique

Photographe : Paul Nicklen, National Geographic


Plumes des mers, morue bleue, Nouvelle Zélande

Photographe : Brian J. Skerry, National Geographic


Gorille, République du Congo

Photographe : Michael Nichols, National Geographic


Tortue imbriquée, Mer Rouge

Photographe : David Doubilet, National Geographic


Hippopotame, Gabon

Photographe : Michael Nichols, National Geographic

 

http://photography.nationalgeographic.com