Les singes aussi tirent des bienfaits des sources d’eau chaude


Que ce soit dans un spa ou les endroits qu’on peut prendre des bains de sources d’eau chaude, le but est de profiter des bienfaits chez l’humain. Il semble que soit la même chose chez les macaques japonais. Avant on croyait qu’ils profitaient de cette eau chaude que pour se réchauffer, alors que maintenant, il est clair qu’ils profitent de temps pour faire diminuer leur stress
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Les singes aussi tirent des bienfaits des sources d’eau chaude

 

Le singe des neiges japonais, également connu dans... (Kazuhiro NOGI, AFP)

Le singe des neiges japonais, également connu dans l’archipel sous le nom de Nihonzaru (ou macaques japonais), est connu pour aimer se baigner dans les sources d’eau chaude dans la région de Nagano (centre), où les touristes affluent pour photographier ses animaux pendant leurs ablutions.

KAZUHIRO NOGI, AFP

Agence France-Presse
Tokyo

 

Les bienfaits relaxants des bains dans les sources d’eau chaude, reconnus et pratiqués partout dans le monde, ne sont pas limités aux humains, et les singes en tirent aussi des effets bénéfiques, ont montré des chercheurs japonais.

Le singe des neiges japonais, également connu dans l’archipel sous le nom de Nihonzaru (ou macaques japonais), est connu pour aimer se baigner dans les sources d’eau chaude dans la région de Nagano (centre), où les touristes affluent pour photographier ses animaux pendant leurs ablutions.

Pendant longtemps, on pensait qu’en se trempant dans ces eaux chaudes, ces singes, de couleur brune tirant sur le beige et au visage rouge, tentaient surtout de se réchauffer durant les froids mois d’hiver dans cette région souvent enneigée.

Mais des chercheurs de l’Institut de recherche sur les primates de l’Université de Kyoto, qui ont observé douze femelles macaques en 2014 dans le parc aux singes de Jigokudani Yaen-Koen à Nagano, sont arrivés à la conclusion que ce n’était pas la seule raison.

Pour leur étude, publiée cette semaine, ils ont analysé le comportement des singes durant leurs bains et ont collecté leurs excréments pour mesurer la présence de glucocorticoïde, une hormone dont la concentration augmente avec le niveau de stress.

Ils ont trouvé que les niveaux de stress des singes étaient 20 % moins élevés en moyenne après un bain.

« L’étude a montré que se baigner dans les sources d’eau chaude n’est pas seulement bénéfique pour les humains, mais aussi pour les macaques japonais », résume à l’AFP Rafaela Sayuri Takeshita, une des auteurs de cette étude.

Elle pense que cela pourrait aussi avoir d’autres effets positifs sur les singes, par exemple sur leur fertilité.

« Nous voulons aussi étudier la relation entre ces bains, leur reproduction et leur longévité », ajoute-t-elle.

http://www.lapresse.ca/sciences/

Japon: un zoo sacrifie 57 singes par souci de protection de l’espèce indigène


Je peux comprendre qu’on veuille protéger une espèce de singe, mais de là à supprimer une autre espèce qui se mêle aux singes du Japon, m’apparaît comme un génocide ethnique tel qu’on connus certain peuple. Je trouve que c’est bien téméraire de la part de l’homme de prendre de telles décisions.
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Japon: un zoo sacrifie 57 singes par souci de protection de l’espèce indigène

 

Un macaque japonais.... (PHOTO ISSEI KATO, ARCHIVES REUTERS)

Un macaque japonais.

Agence France-Presse
Tokyo

Un zoo japonais a tué 57 singes après avoir découvert qu’ils portaient des gènes d’espèces dites «exotiques envahissantes», ont annoncé mardi les autorités.

Le Takagoyama Nature Zoo à Chiba, dans la banlieue de l’est de Tokyo, avait 164 singes qu’il pensait être de purs macaques japonais.

Mais l’opérateur et les responsables locaux ont découvert qu’environ un tiers d’entre eux étaient des descendants de croisement avec le macaque rhésus (Macaca mulatta).

Cette variété de singe fait partie de la liste rouge mondiale des espèces menacées, selon L’Union internationale pour la conservation (UICN), mais au Japon le macaque rhésus est désigné comme une «espèce exotique envahissante».

«Ils sont soumis à l’expulsion en vertu de la loi, qui interdit la possession et le transport d’espèces étrangères désignées de la sorte», a expliqué à l’AFP un responsable local.

«Pour protéger le macaque japonais, nous avons supprimé ces spécimens croisés», a déclaré le responsable qui a demandé à ne pas être nommé, ajoutant qu’ils ont été mis à mort avec une injection de produits.

L’opérateur du zoo a organisé une cérémonie dans un temple pour ces singes abattus afin, selon lui, d’apporter la paix à leurs âmes.

L’espèce «envahissante» pose problème «du fait qu’elle se mélange avec les animaux indigènes et menace le milieu naturel et l’écosystème», explique le porte-parole pour le Japon du Fonds mondial pour la nature (WWF) Junkichi Mima.

Le singe des neiges, connu au Japon sous le nom de Nihonzaru (ou macaque japonais), est de couleur brune tirant sur le beige avec un visage rouge.

C’est par le biais de tests génétiques (ADN) que le zoo de Takagoyama a découvert les races mixtes, qui ressemblent aux singes purement japonais, mais avec un visage légèrement plus pâle.

Le zoo Takagoyama Nature a commencé à nourrir les singes des neiges sauvages en 1957 et en a mis des dizaines en captivité.

Mais dans les années 1990, le nombre de macaques rhésus, originaire de Chine et d’Asie du Sud-Est, a commencé à augmenter dans la région et la préfecture de Chiba a tenté de s’en défaire.

Les bâtards issus d’un croisement entre macaques japonais et macaques rhésus font l’objet d’une mesure d’abattage depuis la révision en 2013 de la «loi de protection de l’environnement indigène», a précisé un responsable préfectoral de Chiba.

Toutefois, le ministère de l’Environnement indique que des exceptions peuvent être accordées à ceux qui demanderaient la permission de les épargner.

«Il est très important de prévenir l’exposition aux animaux étrangers», note Tomoko Shimura de la Société de conservation de la nature du Japon (Nature Conservation Society of Japan).

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Le Saviez-Vous ► Plusieurs animaux se sont retrouvés au centre des débats en 2016


Des animaux ont eu la vie dure au Canada, certains sont dû aux manques de vigilance de leur propriétaire, des combats de chien, des cruautés envers les animaux ….
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Plusieurs animaux se sont retrouvés au centre des débats en 2016

 

Les animaux semblent se faufiler dans l’actualité chaque année. Mais en 2016, plusieurs d’entre eux se sont retrouvés au centre des débats juridiques et politiques au Canada.

Voici un aperçu des bêtes qui ont pris le plus de place dans l’actualité de cette année:

Les pitbulls de Montréal

Le décès de la Montréalaise Christiane Vadnais, qui a été attaquée par un chien dans sa propre cour a provoqué un débat politique enflammé dans la métropole québécoise qui a abouti devant les tribunaux. Dans la foulée du drame, le maire de Montréal, Denis Coderre, a décidé d’adopter un règlement pour interdire les nouveaux chiens de type pitbull sur le territoire. Les Montréalais qui avaient déjà des chiens de ce type devront également se soumettre à des règles strictes lorsque leur animal sera à l’extérieur.

Le règlement a rapidement été contesté par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) en cour, qui avait suspendu temporairement l’ordonnance, avant que la Cour d’appel ne renverse cette suspension en partie. La SPCA de Montréal plaidait que le règlement était discriminatoire, déraisonnable et non applicable. À la fin du mois de novembre, le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a annoncé qu’il ne portera aucune accusation contre le propriétaire du chien qui avait attaqué Mme Vadnais, ce qui démontrait la nécessité, selon le maire Coderre, d’implanter son règlement.

Les capybaras de Toronto

Les gros rongeurs se sont évadés du zoo de Toronto, situé au centre-ville de Toronto, en mai et sont restés au large pendant des semaines dans l’immense zoo de High Park. Les employés de l’établissement sont finalement parvenus à attraper les animaux, âgés de seulement six mois, qui ont ironiquement été baptisés Bonnie et Clyde.

La recherche des deux bêtes a inspiré le mot-clic « CapybaraWatch » en ligne et a mené à la création de parodies de comptes Twitter qui mettaient des messages en ligne de la perspective des deux rongeurs, faisant du mâle et de la femelle de petites célébrités. Les employés du zoo, ont, depuis placé des pièges situés près des cours d’eau, puisque les capybaras aiment se cacher dans l’eau. L’un d’entre eux a finalement été retrouvé le 12 juin, tandis que l’autre a poursuivi sa cavale jusqu’au 28 juin. La fuite de Bonnie et Clyde aurait coûté à la ville 15 000 $.

Le python du Nouveau-Brunswick

Au terme d’un procès très émotif en novembre, un jury du Nouveau-Brunswick a déclaré Jean-Claude Savoie non coupable de négligence criminelle ayant causé la mort de deux bambins, il y a trois ans. Le python de Séba de M. Savoie s’était enfui de son enclos et avait parcouru une conduite de ventilation pour atterrir dans le salon où dormaient Noah Barthe, âgé de quatre ans, et Connor Barthe, âgé de six ans. Un médecin légiste qui a pratiqué l’autopsie a indiqué que les garçons étaient morts d’asphyxie et que leurs corps étaient couverts de morsures de serpent.

Les enfants, qui étaient les meilleurs amis de l’enfant de M. Savoie, avaient passé la journée à s’occuper d’animaux et à jouer dans la ferme du père de M. Savoie. Ils avaient finalement dormi dans l’appartement de l’accusé, qui était au-dessus du magasin d’animaux duquel il était propriétaire à l’époque. Un ancien responsable des reptiles au Jardin zoologique de Toronto a témoigné lors du procès que les serpents devenaient plus agressifs lorsqu’ils détectent la présence de nourriture _ une attaque aurait été peu probable si les enfants n’avaient pas eu l’odeur d’animaux sur eux.

Le singe du Ikea

En août l’ancienne propriétaire du célèbre macaque japonais Darwin, Yasmin Nakhuda, a organisé une soirée chez elle pour ses sympathisants, où elle a rencontré ses deux nouveaux singes, Caesar et Diva. Les invités ont convergé vers la propriété luxueuse de Mme Nakhuda, où ils ont pu prendre des photos avec ses autres animaux – deux ânes miniatures, un kangourou appelé Wall-E, quelques alpagas, deux ouistitis, deux furets, ainsi qu’un renard noir et blanc.

Mme Nakhuda a déménagé là-bas après avoir perdu son « fils », Darwin, un macaque japonais qui s’était échappé de sa voiture pour se promener dans un magasin Ikea. Les images du petit singe portant une veste en mouton beige ont fait le tour des médias sociaux et ont mené à une bataille judiciaire, qui a mené à la perte de la garde de Darwin, qui vit maintenant dans un sanctuaire pour primates.

De présumés chiens de combat en Ontario

En janvier dernier, un organisme de protection des animaux a entamé des procédures judiciaires pour tuer 21 chiens saisis lors d’une descente policière dans une maison où il y aurait eu des combats entre chiens. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de l’Ontario (SPCA) et la police de Chatham-Kent ont saisi 31 chiens en octobre 2015 d’une résidence de Tillbuty en Ontario. Cinq personnes font face à plus de 300 chefs d’accusation liés à la cruauté envers les animaux et à la possession d’armes. Trois des chiens ont été euthanasiés pour des raisons médicales, mais la SPCA ontarienne demande à la cour la permission de tuer 21 autres chiens pour des raisons comportementales.

La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux des États-Unis a évalué les chiens et a jugé qu’ils étaient parmi les chiens les plus agressifs qu’elle a eu à examiner. Les bêtes sont gardées dans un lieu secret depuis plus d’un an, maintenant, alors que l’affaire se prépare à être traitée par les tribunaux. Le commentateur sportif Don Cherry s’est même invité dans le débat, demandant aux citoyens de contribuer à un fonds pour sauver les chiens.

Des bélugas décédés

Deux bélugas, une mère et sa fille, sont morts mystérieusement à neuf jours d’intervalle à l’aquarium de Vancouver en novembre. Des représentants de l’établissement ont affirmé que la mère, Aurora âgée de 28 ans, et Qila âgée de 21 ans, avaient démontré des symptômes semblables avant leur décès, mais les experts n’ont pas réussi à identifier le problème de santé dont elles souffraient. Il s’agissait des deux derniers bélugas de l’aquarium, bien qu’il soit propriétaire de cinq autres qui sont actuellement hébergés aux États-Unis. Aucun d’entre eux ne sera envoyé à Vancouver pour l’instant et l’établissement prévoit suspendre l’expansion de sa section sur les bélugas.

Les ours, les pintades et le paon de Marineland

À la fin du mois de novembre, la Société de protection contre la cruauté envers les animaux de l’Ontario a déposé cinq accusations de cruauté contre Marineland à la suite d’une inspection. Les accusations impliquent des ours, des pintades et un paon. Le parc d’attractions a rejeté ces accusations et a promis de « se défendre vigoureusement » en cour. Il a aussi dit que les accusations faisaient suite à une plainte déposée par « un ancien employé qui a été congédié pour ses piètres résultats et un comportement inapproprié ».

Les pingouins noyés

Sept pingouins se sont noyés au zoo de Calgary au début de décembre. Selon des organismes de protection des animaux en captivité, ces étranges noyades prouvent la nécessité d’installer des caméras de surveillance dans tous les enclos. Les responsables du zoo ont précisé que la colonie de 22 pingouins allait bien lorsqu’un gardien a quitté le bassin en après-midi, mais sept d’entre eux ont cependant été retrouvés morts lorsque le personnel est arrivé, le lendemain matin. Le directeur du zoo, Jamie Dorgan, a déclaré que des employés avaient réalisé des tests concernant la température, l’aération et l’eau des bassins mais rien d’anormal n’a été découvert.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Il gardait des animaux exotiques illégalement


Comment faire comprendre que les animaux sont mieux en liberté et en plus ce monsieur avait des animaux qui sûrement devaient s’habituer a l’environnement de l’Abitibi.Témiscamingue qui leur était étranger … Et le comble .. ce fut l’amende, une risée, une sentence bonbon .. alors que des animaux ont été euthanasiés a cause des risques de contamination de maladies.
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Il gardait des animaux exotiques illégalement

 

Il gardait des animaux exotiques illégalement

Les sept cavy, les deux coatis, le wallaby (photo) et le kinkajou ont été envoyés au Zoo de Granby. | © Shutterstock

Peter Job, de Fugèreville, en Abitibi-Témiscamingue, a été arrêté pour avoir gardé trois macaques japonais, deux lémurs, deux coatis, un lynx du Canada, un kinkajou, un wallaby et sept cavy de Patagonie sur sa ferme, et ce, sans permis.

Grâce à des informations du public, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune a pu procéder à l’arrestation de cet homme, qui gardait des animaux indigènes ou exotiques en captivité sans être titulaire d’un permis, ce qui contrevient à l’article 42 de la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune.

En août 2009, des agents de protection de la faune ont entrepris une enquête à la suite d’une information du public concernant des animaux indigènes ou exotiques gardés en captivité sans permis dans une ferme de Fugèreville.

Perquisition

Les agents de la faune ont procédé, le 7 avril 2010, à une perquisition leur ayant permis de mettre la main sur trois macaques japonais, deux lémurs, deux coatis, un lynx du Canada, un kinkajou, un wallaby et sept cavy de Patagonie.

«La plupart des animaux ont été envoyés dans des institutions avec des permis, a indiqué Denis Nadeau, agent de conservation de la faune au ministère des Ressources naturelles et de la Faune, division Ville-Marie. Le lynx du Canada a été envoyé au Refuge Pageau, les sept cavy, les deux coatis, le wallaby et le kinkajou au Zoo de Granby et l’un des lémurs au Parc Safari.»

Le second lémur ainsi que les macaques n’ont pas eu la même chance.

«Ces animaux sont porteurs de maladie qui peuvent même être transmises à l’homme, nous n’avons donc pas pu les envoyer dans des zoos et ils ont été euthanasiés», a fait savoir M. Nadeau.

Plus facile en Ontario

Faire l’acquisition de ce genre d’animaux n’est pas simple, mais il semble que ce soit un peu plus facile en Ontario.

«La réglementation n’est pas la même en Ontario qu’au Québec, a précisé l’agent de la faune. Ici, nous empêchons la possession de tels animaux pour des questions de santé animale, d’hygiène et de sécurité. Si tu as un macaque dans ton appartement et qu’il saute au visage de ton ami, tu es responsable.»

Non moins de 14 chefs d’accusation ont été portés contre l’individu, soit sept chefs pour garde en captivité sans permis et sept pour possession illégale. Le 15 février 2012, le défendeur a plaidé coupable à 7 des 14 chefs, récoltant une amende de 1750$.

http://fr.canoe.ca/