27 Belges reçoivent encore une pension "pour loyauté à Hitler"


Difficile à croire que des gens retirent des pensions du régime nazi ! Cela fait 70 ans que ces versements existent.
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27 Belges reçoivent encore une pension « pour loyauté à Hitler »

 

Adolf Hitler, en 1939 © photo news.

Jeanne Poma.

75 ans après la Seconde Guerre mondiale, 27 Belges reçoivent toujours une pension complémentaire de l’Allemagne pour « loyauté et obéissance » au régime nazi. Ce revenu leur a été promis par Hitler lui-même, en 1941.

Les membres d’une commission de la Chambre consacrée aux affaires étrangères se penchent aujourd’hui sur la question, suite à la requête d’Olivier Maingain et de deux élus du Parti Socialiste. Ces derniers demandent au gouvernement « de régler ce problème de manière urgente par la diplomatie ».

Les personnes concernées

« Depuis plus de 70 ans, l’Allemagne verse des pensions complémentaires », explique Alvin De Coninck, un chercheur du groupe Remembrance, une association de survivants des camps de concentration nazis.

« Les privilégiés étaient des résidents des Cantons de l’Est et de l’Alsace, qui avaient reçu la nationalité allemande après l’invasion nazie, mais aussi des Belges qui avaient rejoint les Waffen SS pendant la guerre ».

Une récompense pour des années de prison

D’après ce chercheur, la fidélité à l’Allemagne nazie a toujours été récompensée. Il poursuit:

« On estime que le montant des pensions varie entre 425 à 1.275 euros par mois. Les années passées dans une cellule belge à la suite d’une pénalité de collaboration sont considérées comme des heures de travail. Plus les années d’emprisonnement ont été nombreuses, plus le montant de l’indemnisation est élevé. À côté de cela, les Belges qui ont dû se soumettre au travail forcé en Allemagne n’ont reçu qu’une indemnité de 50 euros, un mois après la guerre ».

Le Saviez-Vous ► Le Seppuku : suicide des guerriers japonais


Un rituel qui consiste à se suicider dans le but de fuir l’humiliation, l’éche, sde désaccord avec l’autorité ou encore, de prouver sa sincérité, sa loyauté envers un maître. Heureusement, cette tradition a disparu, mais probablement certain évènement la fait ressurgir de temps à autre
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Le Seppuku : suicide des guerriers japonais

Les origines :

Cette pratique, provient de Chine, elle était employée par les femmes afin de prouver qu’en n’étant pas enceinte, elles gardaient leurs vertus intacte.

Au Japon, selon la légende, c’est Minamoto no Tametomo qui fût le premier a avoir commis la première éventration après avoir tenté un coup d’état contre la capitale.

Le Seppuku apparaît donc à l’époque de Kamakura, dans une période de guerre où l’on tue et torture, il valait parfois mieux se tuer soi-même pour échapper à la souffrance et l’humiliation.

En 1716, le livre «Hagakure» va donner un sens encore plus dramatique au Seppuku en en faisant l’une des seules voies de réalisation pour le samouraïs qui sera résumé par la phrase célèbre: «La voie du samouraï, c’est la mort».

La valeur d’un tel geste:

Démontrer l’honneur, le courage, la loyauté, la sincérité et la volonté d’un samouraï. Un geste unique et radical, lourd de symbole et d’une grande valeur.

«A l’époque féodale, nous croyions que la sincérité résidait dans nos entrailles; et s’il nous fallait montrer notre sincérité nous devions nous trancher le ventre pour en sortir notre sincérité visible. C’était aussi le symbole de la volonté du soldat, le samouraï; tout le monde savait que c’était le moyen le plus douloureux de mourir. Et si l’on préférait mourir de la façon la plus atroce, c’est qu’elle prouvait le courage du samouraï [1] »

La différence entre le «seppuku» et le «Hara-kiri» :

En France (ou ailleurs ndl) on a pour habitude d’employer l’expression «hara-kiri» bien que les japonais ne l’emploient presque jamais. Pourtant nous n’avons pas entièrement tord d’utiliser ce terme, le mot «seppuku» étant chinois et non japonais. Ces derniers refusent de parler d’hara-kiri, le mot étant devenu à leurs lèvres vulgaire. On parle d’hara-kiri si le geste est pratiqué par les petits gens du peuple, par contre si ce sont les samouraïs qui se tranchent le ventre, on peut parler de seppuku.

Quant à l’étymologie du mot, c’est bien dans le « hara-kiri » que l’on va trouver une signification . En japonais, « hara » signifie « ventre ». Mais il est souvent employé pour parler du centre de gravité, le point d‘équilibre du corps, où sont concentrées les forces vitales. Ce centre se trouve à l’intérieur de l’abdomen: entre, d’une part, quatre centimètres environ (2 ou 3 doigts) sous le nombril et, d’autre part, la cinquième vertèbre lombaire. Le «Hara» est le noyau de l’énergie vitale, de la force instinctive ou ki. Dynamiser l’instinct commande de vivre en harmonie, avec la nature, en chacun de nous comme à l’extérieur, car je suis dans la nature et la nature est en moi.

 

Les obligations :

Il existe quatre grandes raisons de faire seppuku pour les samouraïs :

La défaite au combat : C’est le cas le plus connu, à la fin d’une bataille, plutôt que d’être capturé, le samouraï préfère se donner la mort lui-même. Ainsi il peut à la fois prouver son courage, et réparer l’échec de sa défaite. Il évite également, avec la torture, de livrer des secrets militaires de son clan.

Les remontrances: (KANSHI) Souvent pratiqué par les vassaux du shogun qui accompagnait leurs critiques au gouvernement par leur propres suicide. Cette tradition remonte à l’empereur Nobunaga Oda qui un jour reçu une lettre de reproche d’un de ses vassaux  qui en commettant le seppuku attira son attention sur la situation catastrophique du Japon.On trouve un autre exemple en 1933, où le capitaine de corvette Kusuhara s’éventra dans un train parce que le gouvernement refusait de construire deux croiseurs. Après la mort de celui-ci, les croiseurs furent construits.

La sanction pénale: (TSUMEBARA) Instituée par les shogun Tokugawa, elle permettait d’éviter l’exil ou la prison pour les samourais.

A l’époque Edo, il y avait deux catégories de supplices, « les sublimes et les atroces. Les gens du commun étaient, selon la gravité de la faute, exposés au pilori, tatoués, fouettés, bannis et pour la peine de mort, décapités, brûlés ou crucifiés…Ces exécutions avaient lieu en public, alors que le tsumebara se déroulait en silence, à huit-clos.2 »

L’accompagnement dans la mort: (JUNSHI) Directement inspiré de la Chine, cette pratique était la seule raison qui ne faisait pas suite à un échec. Lors de la mort de son seigneur, les samouraïs prouvaient leur fidélité et leur attachement en suivant leur maître dans la mort. Comme on peut l’imaginer, cette pratique causa la perte de nombreuse vie, un seppuku collectif pouvant rassembler jusqu’à 500 guerriers.

Le «jigai»

C’est le seppuku féminin, il porte un autre nom car les pratiques de cérémonies n’étaient pas les mêmes. La femme devait préalablement se nouait les jambes pour garder une attitude décente puis, elle se coupait la veine jugulaire avec un poignard (le tantô) qu’elle possédait toujours sur elle. Cette pratique était réservée aux femmes nobles et de samouraïs.

Les seppukus célèbres:

L’histoire du Japon est parsemée de personnages célèbres morts par Seppuku. La légende populaire en fait souvent des héros, émut par le caractère désespéré et tragique de leur destins.
On peut citer quelques exemples qui ont chacun marqué une époque :

Minamoto no Yoshitune : Frère du premier shogun, général des armées, il se donne la mort suite à la jalousie maladive de son frère devant sa célébrité et ses succès à la guerre.

Hôjô Nakatori:En 1333, ce seigneur de la guerre commit le seppuku après une défaite. Ses 432 vassaux se tuèrent avec lui.

Les 47 Rônins: (voir «légende des 47 Rônins»)

Mishima: écrivain japonais qui pratiqua le Kanshi publiquement en 1970 après avoir échoué son coup d’état.

Le général Nogi: Après la première guerre mondial, il pratique le Junshi dés qu’il apprends la mort de l’empereur survenu en 1912. Sa femme l’accompagnera en se poignardant la gorge.

Les géneraux Ushijima et Chô: En 1945, ces deux hommes commettent le seppuku face à leurs officiers, suite à le défaite du Japon.

La fin d’une coutume:

La pratique du Junshi disparaît en 1663, interdite par le shogun actuel devant l’ampleur des pertes humaines. Quant au seppuku, à part quelque rares cas exceptionnels, la pratique disparaît à l’ère Meiji.

UNE MISE EN SCENE : LE SEPPUKU

Tout comme une pièce de théâtre classique, la pratique du seppuku nécessite une mise en scène.
Toujours la même, c’est une sorte de cérémonie que l’on exécute selon des codes très précis.

Les caractéristiques de ce rituel :

1) Les préparatifs avant l’exécution:

Le condamné doit d’abord se vêtir d’un kimono blanc; s’il le souhaite, il peut écrire un poème, réciter des prières ou méditer derrière un paravent. Bien sûr, tout dépend de la situation du moment; par exemple sur le champ de bataille où le temps presse, le guerrier n’a pas le temps d’enfiler un costume, encore faut-il qu’il en est un, il peut donc se limiter à un discours ou un poème d’adieu.

2) La salle:

Le plus souvent, on pratique le seppuku dans un endroit assez calme, généralement un sanctuaire.
La taille de la salle va dépendre de l’importance du samouraï.

3)Le public:

Le seppuku se pratique dans la majorité des cas, devant une assemblée restreinte de personnes, spectateurs et témoins, leur présence est indispensable.

4) Les acteurs:

Deux acteurs pour cette mise en scène :
Le héros (l’homme qui va se faire seppuku)
Le personnage secondaire, tenu par l’assistant.

Avant l’exécution, le condamné doit choisir un Kaishaku, qui aura pour rôle de lui trancher la nuque une fois que celui-ci aura fini de s’éventrer. Le choix de l’assistant est généralement confié à des amis du condamné.

«Beaucoup hésitaient à accepter:
il n’y a aucune gloire à gagner,
même si le travail est impeccable,
et si par hasard on s’y prend pas bien,
c’est une honte ineffaçable!
Il fallait être sûr de son geste.»

5) Les codes d’exécutions :

Avec un poignard spécial, le Kusungobu, d’environ 25 centimètres,le condamné entoure sa lame d’un bout de tissu blanc,sans crier et en regardant toujours fixement droit devant,il l’introduit lentement sur le côté gauche de son abdomen dans l’axe du nombril, il fait une longue incision jusqu’a l’autre extrémité d’environ 15 à 20 centimètre,puis une deuxième incision de haut en bas pour former un X, enfin l’assistant décolle la tête d’un coup de sabre. Si le condamné n’a pas de Kaishaku alors, il doit laisser sortir ses intestins et se laisser mourir.

LE SEPPUKU:
UN OBJET SPECTACULAIRE

La pratique du seppuku fut reprise dans presque toutes les activités artistiques reconnues. Du Théâtre au cinéma, de la littérature à la peinture, on n’a cessé de la représenter.Ce n’est pas un hasard, mais la confirmation que cette activité dégage une force spectaculaire de part son geste sanguinaire et courageux qui dévoile toute la valeur de l’homme qui l’exécute.Le spectacle, mis en scène de surcroît, ne laisse indifférent personne, dégoût ou admiration, il reste unique et exceptionnel.

[1] Propos recueillis dans le livre d’Henry Scott Thomas, « Mort et vie de Mishima »

[2 « La mort volontaire au japon » p :151

http://nipponaka.free.fr/

Sibérie Un chien attend son maître décédé à l’hôpital depuis un an


Il y a des chiens qui ont une loyauté exceptionnelle envers leur maître. Il y a quelques cas qui ont déjà été soulignés. Aujourd’hui, c’est un chien en Sibérie, qui est venu a tous les jours visiter son maitre à l’hopital et que le personnel le laissait aller au département et même après la mort de son maitre, il continue à venir au cas ….
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Sibérie

Un chien attend son maître décédé à l’hôpital depuis un an

 

Un chien attend son maître décédé à l'hôpital depuis un an

Crédit photo : gracieuseté, Siberian Times

Le chien d’un homme russe décédé l’an dernier l’attend en vain à l’hôpital où elle l’a vu la dernière fois depuis maintenant un an, rapporte le Daily Mail.

Masha est désormais bien connue des employés, des visiteurs et des patients de l’hôpital sibérien. On s’assure qu’elle a à manger et qu’elle soit toujours au chaud.

Les médecins du Novosibirsk District Hospital Number One Doctors espèrent qu’une personne se proposera pour l’adopter.


(Crédit photo: gracieuseté, Siberian Times)

«Il n’y a rien que la médecine peut faire pour elle, mais on espère que Masha va se trouver un nouveau propriétaire», a expliqué le Dr Valdimir Bespalov au Siberian Times.

Tout ce qu’il souhaite c’est que «notre Masha finisse par faire confiance à une autre personne un jour».

Son propriétaire est venu pour la première fois à l’hôpital deux ans plus tôt. Pendant une année complète, Masha venait le voir chaque jour sur le département et était en fait sa seule visiteuse.


(Crédit photo: gracieuseté, Siberian Times)

Le soir, elle retournait à la maison pour s’assurer qu’aucun intrus n’y pénètre. Et au petit matin, elle retournait à l’hôpital.

Une infirmière a expliqué qu’une famille a récemment essayé d’adopter Masha. Elle l’a emmenée chez elle le vendredi soir et Masha était déjà de retour le lendemain à 3h du matin.

«Je ne pense pas qu’elle va un jour partir», conclut-elle.

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À Los Angeles Au péril de sa vie, un labrador protège son ami canin


Il y a des chiens qui marquent leur passage par un comportement exceptionnel. C’est justement ce qu’il est question ici. Un beau labrador noir, qui malgré la circulation et du danger d’être frapper par une voiture a tenu a rester près de sa compagne Ca c’est d’être loyal
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À Los Angeles

Au péril de sa vie, un labrador protège son ami canin

 

Il est souvent dit que le chien est le meilleur ami de l’homme, mais comme le démontre cette histoire, le chien est fort probablement le meilleur ami de ses pairs également.

 

L’agence pour le contrôle animalier de Los Angeles a voulu honorer la loyauté d’un labrador noir qui a eu le courage de défier la circulation automobile afin de protéger la dépouille d’un chien qui avait été happé à mort par un véhicule.

Un motocycliste qui a vu l’évènement se produire mercredi dernier a installé des cônes orange afin de dévier la circulation pour protéger les animaux de compagnie.

 

Il a par la suite filmé la scène. Sur la vidéo, on peut voir la femelle labrador s’étendre aux côtés du labrador blond.

Le labrador noir de deux ans semble être sans famille.

En effet, personne n’est venu réclamer l’animal, que les employés du refuge ont appelé affectueusement Grace.

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