Le Saviez-Vous ► Des ossements de détenus noirs au Texas rappellent la persistance d’une forme d’esclavage


Suite à une découverte d’ossements sur le terrain d’une ancienne prison au Texas aux États-Unis. Ces ossements tous des prisonniers noirs. Cela vient rappeler le triste sort de ces hommes qui furent arrêter souvent pour des pacotilles. Ils étaient condamnés aux travaux forcés en était louer a des blancs pour travailler gratuitement.
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Des ossements de détenus noirs au Texas rappellent la persistance d’une forme d’esclavage

 

Le drapeau confédéré, symbole des Etats sudistes pro-esclavage. | Joe Raedle / AFP

Le drapeau confédéré, symbole des Etats sudistes pro-esclavage. | Joe Raedle / AFP

Repéré par Claire Levenson

Repéré sur Washington Post

Dans le Sud des Etats-Unis jusqu’au début du XXe siècle, les hommes noirs pouvaient être arrêtés pour presque rien et condamnés au travail forcé.

Au Texas, des archéologues ont récemment découvert des ossements enterrés sur le site d’une ancienne prison et viennent de confirmer qu’il s’agissait d’os appartenant à environ quatre-vingt-quinze hommes noirs morts entre 1878 et 1911. Ce cimetière et ces cadavres n’étaient signalés par aucune inscription, et la découverte a été faite par hasard sur le chantier de construction d’une nouvelle école.

Elle rappelle un chapitre choquant de l’histoire du sud des États-Unis: après la fin officielle de l’esclavage, plusieurs États avaient trouvé une façon de perpétuer le travail forcé des Noirs en utilisant un système juridique inique.

Des hommes loués à des propriétaires

De la fin du XIXe siècle au début du XXe, les États du sud «louaient» ainsi leurs détenus à des entreprises privées pour lesquelles ces hommes travaillaient gratuitement dans des conditions épouvantables. Si des historiens parlent à ce sujet «d’esclavage sous un autre nom», c’est aussi parce que ces hommes étaient arrêtés et condamnés aux travaux forcés pour presque rien.

Par exemple, des lois contre le «vagabondage» faisaient que la police pouvait arrêter des hommes noirs juste parce qu’ils étaient dans la rue et ne travaillaient pas. Et comme les personnes arrêtées ne pouvaient pas payer les amendes, elles pouvaient se retrouver condamnées à un an de travaux forcés. Parler avec une femme blanche pouvait aussi mener à des inculpations.

Les détenus étaient ensuite loués à des propriétaires de plantations de canne à sucre, de mines ou de compagnies ferroviaires. Le Capitole du Texas a été ainsi construitavec le travail forcé de ces prisonniers. Dans le cas des ossements découverts cette année, il s’agissait de travailleurs des plantations de cannes à sucre, aux mains d’anciens propriétaires d’esclaves.

Rien qu’au Texas, plus de 3.500 prisonniers sont ainsi morts dans ces camps de travail forcé entre 1866 et 1912, jusqu’à ce que des législateurs interdisent finalement cette pratique.

Reginald Moore, un historien et militant qui cherchait ce type de cimetière depuis des années au Texas, travaille désormais en partenariat avec la municipalité pour créer un mémorial et peut être transférer les ossements dans un cimetière.

http://www.slate.fr/

Un lionceau retrouvé dans un appartement en banlieue de Paris


Louer un animal pour faire un égoportrait puis l’abandonner à son sort dans un appartement d’une grande ville est  vraiment ignoble.  Ce jeune veut épater la galerie dans les réseaux sociaux. C’est irresponsable autant la personne qui offre une location d’un animal sauvage que celui qui loue pour le plaisir de faire parler de lui et l’abandonne
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Un lionceau retrouvé dans un appartement en banlieue de Paris

 

 

TWITTER / POMPIERS DE PARIS

Agence France-Presse

Un lionceau, « loué » par un jeune homme qui a été placé en garde à vue, a été retrouvé mardi en train de dépérir dans un appartement inoccupé en banlieue nord de Paris, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.

Les policiers avaient repéré le jeune homme de 24 ans, qui se prenait en photo avec un lionceau et diffusait les images sur les réseaux sociaux.

Interpellé mardi matin, il a reconnu avoir « loué » le félin sans préciser l’identité du propriétaire, a dit à l’AFP une source proche du dossier.

Le jeune homme, connu pour s’être exhibé au printemps dernier sur un cheval, casque de moto sur la tête, dans une ville de proche banlieue parisienne, « aime faire parler de lui, l’ego fait faire des choses imprudentes », a commenté cette source.

L’animal n’était pas à son domicile et a fini par être retrouvé dans un appartement inoccupé. Alertés par la police, les pompiers ont capturé le lionceau, « un peu apeuré », à l’aide d’une perche munie d’un lasso et l’ont mis en cage.

L’animal, qui était « en phase de dépérissement », a été confié à une association de protection des animaux.

En 2016, un tigreau avait déjà été découvert en Seine-Saint-Denis, où des dealeurs monnayaient des selfies en sa compagnie contre quelques euros. L’animal avait été abandonné lorsque la police s’était mise à sa recherche.

quebec.huffingtonpost.ca/

Louer un poisson pour la nuit, l’idée insolite d’un hôtelier belge


Pour ma part, je n’aime pas ! Un poisson seul dans un bocal, ce n’est pas très grand pour explorer son univers, puis le louer pour une nuit …
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Louer un poisson pour la nuit, l’idée insolite d’un hôtelier belge

 

LISEGAGNE VIA GETTY IMAGES

Nemo, Heineken et Prince Charles sont les vedettes de l’hôtel!

Louer un poisson rouge pour la nuit. Le gérant d’un hôtel belge a eu l’idée de proposer ce service afin d’animer la file d’attente devant la réception de son établissement, un concept qui a rapidement suscité la curiosité des internautes.

Une touriste néerlandaise a publié début septembre une photo de bocal à poisson sur son compte Facebook. Une de ses amies, productrice radio en Nouvelle-Zélande, l’a reprise sur Twitter. Le tweet est devenu viral et a été aimé plus de 30 000 fois en moins de quatre jours.

Mais ce n’est pas la première fois que le concept « Rent a fish » de l’hôtel Van der Valk de Charleroi (sud de la Belgique) connaît ce succès, relayé mardi par plusieurs médias belges.

« Il y a deux-trois ans, un joueur australien de tennis en fauteuil roulant n’arrivait pas à dormir. Il a décidé de filmer les poissons et de partager la vidéo sur les réseaux sociaux », se souvient David Dillen, directeur de l’hôtel, joint par l’AFP.

Depuis, les trois poissons rouges Nemo, Heineken et Prince Charles, loués pour 3,50 euros la nuit, sont les vedettes de l’hôtel.

C’est le manager qui a eu cette idée en mars 2013.

« Assis au bar de l’hôtel avec mon cousin, je voyais tous ces gens qui s’ennuyaient dans la file d’attente de la réception », se souvient-il, « je voulais rendre leur temps d’attente plus agréable, les faire sourire ».

Le concept a tout de suite été plus loin avec le slogan :

« Seul dans votre chambre, vous souhaitez de la compagnie ? ».

Il permet de louer son poisson rouge à la nuit, bocal fourni.

« Aujourd’hui, nous avons trois types de clients : ceux qui postent des photos du poisson dans leur chambre sur les réseaux sociaux, les hommes d’affaires qui s’éclatent à envoyer leur note de frais rigolote à leur patron, et les familles à qui on prête gratuitement le poisson », raconte M. Dillen.

Mais gare aux enfants.

« Une petite Néerlandaise de trois ans a kidnappé l’un de nos poissons. Son père, qui l’a découvert dans la voiture à la frontière belgo-hollandaise, nous a immédiatement appelé. L’hôtel le lui a offert »,

conclut-il.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Chine Il veut louer sa copine pour s’acheter un iPhone 6


Encore une stupidité face aux nouveautés des téléphones intelligents. On ne sait pas si la copine est d’accord ou non, mais à sa place, ce serait la rupture du couple.
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Chine

Il veut louer sa copine pour s’acheter un iPhone 6

 

Il veut louer sa copine pour s'acheter un iPhone 6

Crédit photo : Capture d’écran Weibo

Certains ont fait la file pendant des heures pour pouvoir mettre la main sur le nouveau iPhone 6. Certains ont payé des gens pour faire la queue à leur place pour obtenir le plus récent téléphone d’Apple.

Un étudiant chinois a trouvé une solution pour le moins questionnable! Le jeune homme veut louer sa copine pour s’acheter un iPhone 6, selon le South China Morning Post.

Le Chinois a mis en ligne une photo sur le réseau social Weibo sur laquelle il tient une pancarte qui explique son projet.

L’étudiant de l’Université de Songjiang précise qu’il sera «interdit de toucher sexuellement sa copine» pour éviter des accusations criminelles de prostitution.

Passer une journée avec la copine de l’étudiant coûtera 10 yuan, soit moins de deux dollars canadiens. Pour tout un mois, l’étudiant a indiqué que le tarif sera de 500 yuan, environ 90 dollars.

L’histoire ne dit pas comment a réagi la copine de cet étudiant chinois.

http://tvanouvelles.ca