Plus de 4 h en planche abdominale : l’exploit surhumain d’une Montréalaise


Elle faisait des compétitions de patinage de vitesse à 15 ans, mais elle a délaissé, car elle trouvait cela demandait trop aux muscles. C’est à 48 ans qu’elle a décidé de faire de la planche abdominale après que son fils l’encourageât dans cette voie. En 4 ans, elle réussit le record Guinness, c’est de la discipline et beaucoup de volonté.
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Plus de 4 h en planche abdominale : l’exploit surhumain d’une Montréalaise


Dana Glovacka au coeur de sa meilleure performance mondiale réalisée le 18 mai, à Naperville, en Illinois

Dana Glovacka au coeur de sa meilleure performance mondiale réalisée le 18 mai, à Naperville, en Illinois Photo: Courtoisie Dana Glowacka-Facebook

  • Jean-François Chabot

    La Montréalaise Dana Glowacka est discrètement entrée dans le Livre des records Guinness le 18 mai dernier en maintenant la position de la planche abdominale pendant 4 h 20 min. L’exploit relève d’une immense discipline personnelle.

    Issue d’une famille d’immigrants polonais, Dana Glowacka est la fille d’un ancien entraîneur de ski de fond. De l’âge de 10 ans à 15 ans, elle a pris part à des compétitions de patinage de vitesse sur longue piste de niveau national.

    Et dire qu’elle a raccroché ses lames parce qu’elle trouvait son sport musculairement trop exigeant…

    Cette mère au foyer de 48 ans ne pratique la planche abdominale que depuis quatre ans. Jusqu’alors, elle s’adonnait au yoga et se rendait régulièrement au gymnase pour entretenir son tonus.

    Tout a commencé quand son fils Ralph, aujourd’hui âgé de 15 ans, est tombé par hasard sur une vidéo sur le web montrant un homme en train de réaliser un record du monde de la planche.

    Il m’a dit : « Regarde maman, ça a l’air facile. Toi aussi tu pourrais avoir ton nom dans le livre des records. » J’ai tout de suite voulu essayer. J’ai tenu quatre minutes, au milieu de mon salon, en écoutant ma chanson préférée [tirée de la bande originale de la télésérie Supergirl, NDLR].

    Dana Glowacka

    Peu de temps après, elle a entamé ses propres recherches dans le but d’entrer en contact avec l’homme de la vidéo.

    Il s’agissait en fait de George E. Hood, un ex-marine américain à la retraite qui a également été agent spécial à la Drug Enforcement Agency (DEA).

    Après une mission où il a formé des policiers en Afghanistan, l’homme de 61 ans a établi de nombreux records mondiaux.

    Il détient la marque masculine de la planche abdominale en 10 h 10 min 10 s, réalisée en juin 2018. Au même moment, il a signé le record de la plus longue période de planche sur 24 heures (18 h 10 min).

    Progrès rapides

    Une fois le contact établi, Dana Glowacka lui a fait parvenir une vidéo dans laquelle elle participait à un défi de planche en compagnie de quelques parents et amis. On pouvait alors la voir tenir la pose durant 25 min.

    Voyant que cette adepte du yoga était sérieuse dans sa démarche, Hood est venu de Chicago à Montréal pour la rencontrer.

    Avec les conseils de son nouvel ami, celle qui ne se décrit pas comme une personne compétitive a vu ses performances s’améliorer rapidement. Ainsi, six mois plus tard, elle planchait, sans broncher, durant 1 h 20 min.

    Dans la planche, il faut mettre notre mental ailleurs. Le corps va augmenter son endurance. L’esprit va s’adapter au message reçu. On va faire quatre minutes pendant une semaine. Puis, on va prolonger de quelques secondes, puis de quelques minutes par semaine. Mais ça se passe essentiellement dans la tête. Le corps et le mental doivent fonctionner ensemble. Dana Glowacka

    C’est ainsi qu’elle a tranquillement choisi de repousser ses limites pour atteindre un état de bien-être en tenant son corps immobile pendant des heures. Le tout en ne s’appuyant que sur ses avant-bras et sur ses orteils.

    À l’avant-scène mondiale

    Ne cherchez pas de club de planche abdominale. Aux dires de Dana Glowacka, il n’en existe pas au Canada. C’est essentiellement une activité qui se pratique en solitaire.

    Nul besoin d’être membre d’un gymnase ou de se procurer de l’équipement à prix fort. Elle explique que c’est justement parce qu’elle n’apprécie pas la notion d’embrigadement, où l’on devient un numéro, qu’elle aime tellement faire la planche.

    À partir de son salon, elle s’est jointe à la Hood Team, qui parcourt le territoire américain pour donner des démonstrations et faire de nouveaux adeptes.

    Sa nouvelle passion l’a conduite à la Coupe du monde de planche abdominale présentée en 2016, à Pékin, en Chine.

    Pour sa première compétition officielle, elle a obtenu les grands honneurs avec un temps de 2 h 5 min.

    Avant d’en arriver au record du monde établi il y a deux semaines, à Naperville, en Illinois [l’ancienne marque était de 3 h 31 min, NDLR], elle s’est soumise à un régime strict. Durant un peu plus d’une heure, deux ou même trois fois par jour, elle a conditionné son corps et son esprit.

    Certains pensent que j’ai gaspillé toutes ces heures. Mais rien que pour aller et revenir du gymnase, il me faudrait déjà plus d’une heure par jour. J’utilisais donc ce temps pour m’entraîner, tout en écoutant de la musique, en chattant avec mes amis sur les médias sociaux ou en regardant la télévision le soir, au lieu de rester assise et de manger des chips sur le divan. Dana Glowacka

    Une pause

    Si elle adore la planche abdominale et le bien-être que cela lui procure, Dana Glowacka veut s’accorder un peu de repos et offrir à ses coudes le temps de guérir. Car les blessures existent bel et bien dans cette discipline en apparence immobile et sans risque.

    Cette athlète au corps sculpté, qui fait sans doute bien des envieux, a expliqué qu’à force de servir de point d’appui, la peau de ses coudes finit par s’irriter et se fendre.

    Cela a été une surprise pour moi de constater que mes coudes souffraient plus que mon corps. Ça finit par se déchirer quand on fait beaucoup de planche. Il y a de petites frictions. Je mets toutes sortes de crèmes et de médicaments pour hydrater et pour que ça puisse guérir le plus vite possible. Dana Glowacka

    Au cours des prochains mois, elle marquera une pause et retournera se consacrer au yoga. La chasse aux records sera mise en veilleuse.

    Malgré les risques inhérents, Dana Glowacka a dit qu’elle continuera à s’offrir deux séances quotidiennes d’une heure et quart chacune, pour de ne pas perdre ses acquis.

    La vie pour elle n’est pas une compétition. Elle est heureuse et contente de ce qu’elle a réalisé. Mais à ses yeux, le plus important est que son fils soit fier d’elle.

    https://ici.radio-canada.ca/

    Johanna Quaas, la plus vieille gymnaste en activité


    Un modèle à suivre ! Certains l’ont déjà vue dans des vidéos sur YouTube, cette femme de 91 ans qui fait beaucoup de sport, barres parallèles, nage, vélo, danse artistique, etc .. Rien ne l’arrête. Sa célébrité à commencé quand une étudiante l’a filmé (la première vidéo ci-bas) et posté sur YouTube. Depuis, elle a un ménager qui s’occupe d’elle. Pourtant, si elle avait écouté son médecin plus jeune à cause de ses pieds-plats, elle n’aurait jamais été au bout de ses rêves et participer à des compétitions
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    Johanna Quaas, la plus vieille gymnaste en activité

     

    C’est une vieille dame qui va très bien. Elle mange beaucoup de fromage et fait des tutoriels de gymnastique pour une marque de literie.

     

    Elle a toujours fait du sport. Mais ce n’est qu’une fois devenue octogénaire que Johanna Quaas, la plus vieille gymnaste en activité, a connu la célébrité.

    Sa notoriété commence en 2008, lorsqu’une étudiante filme sa prestation lors d’une compétition à Cottbus (est de l’Allemagne) et la poste sur YouTube. On y voit l’octogénaire en justaucorps vert aussi souple qu’un roseau finir son poirier par une roulade arrière, et poser gracieusement son buste sur ses jambes, avant d’être acclamée par la foule.

     

    Rapidement, la vidéo atteint le million de vues, et les invitations déferlent de partout. Par téléphone, cette semaine, l’ancienne professeure de sport de Halle (nord-est de l’Allemagne) nous raconte :

    « J’ai été un peu submergée. J’ai signé un contrat avec un manager. Il s’occupe des invitations à l’étranger, des médias et des sponsors. »

     

    Programme de la semaine

    Le manager (qui a été celui de l’athlète slovène Leon Stukelj) se consacre désormais à elle seule. Et verrouille sa communication : impossible de rencontrer Johanna Quaas en personne.

    Un jour, elle parade sur la Ve avenue à New York pour la fête germano-américaine (Steuben Day).

    Un autre, elle fait un saut en parachute en l’honneur d’une de ses idoles du même âge, la reine d’Angleterre.

    Johanna Quaas, sacrée en 2013 « gymnaste la plus âgée encore en activité » par le livre Guinness des records…

     

    Son manager finit par nous accorder une heure au téléphone avec la star senior. Au bout du fil, elle ne cherche pas ses mots, semble hypermnésique et rigole à toutes les blagues. Elle nous dit :

    « Le lundi je vais à mon cours de danse, le mardi et le jeudi, je suis à la salle de sport, le mercredi j’ai mon cours de gym pour seniors, et le vendredi je vais faire des longueurs à la piscine. »

    Un programme ambitieux quand on a 91 ans.

    Star de YouTube, elle est désormais invitée par les télévisions du monde entier. Mais sa célébrité continue de la surprendre :

    « C’est fou le nombre de jeunes qui veulent se faire prendre en photo avec moi dans les compétitions ! »

    Les barres parallèles

    Née en octobre 1925 pas loin de Leipzig, alors que l’Allemagne est encore sous la République de Weimar, elle grandit à côté d’un terrain de sport.

    Son père, employé de la poste, entraîne une équipe de gym de garçons, et Johanna Quaas passe tous ses étés d’enfant au gymnase. Son agrès préféré ? Les barres parallèles. Mais quand elle veut en faire son métier, le médecin douche ses espoirs. Une gymnaste avec des pieds aussi plats ? Impossible.

    « Je sais maintenant que ce n’était pas une fatalité, confie-t-elle avec douceur. Il y a des exercices pour corriger ça ; mes pieds se sont arrangés avec le temps. »

    Johanna Quaas ne se laisse pas abattre. Elle continue la gymnastique et devient championne de handball de RDA en 1954 tout en travaillant comme professeure de sport.

    En 1963, elle se marie à Gerhardt, un autre gymnaste et ils ont trois enfants ensemble (des filles).

    « Elles n’ont jamais été intéressées par le sport de haut niveau. Je l’ai regretté un temps, mais quand je vois à quel point ce sport est devenu dur et à quel point il malmène les corps, ce n’est pas si grave que ça… »

    Reprise à 56 ans

    Ce n’est qu’après le départ de ses enfants que Johanna Quaas reprend, à 56 ans, la compétition avec une copine de son âge.

    La gymnaste raconte, en passant, que l’émancipation des femmes n’était pas vraiment un sujet en RDA, parce que toutes les femmes étaient plutôt actives (leur travail était encouragé).

    Après cette reprise, elle ne s’est plus arrêtée : entre 2000 et 2011, elle remporte chaque année le titre de championne d’Allemagne dans la catégorie senior (à 91 ans, elle est la femme la plus âgée à concourir). Elle vit pour le sport. C’est ce qui l’a aidée à se tenir debout quand son mari est décédé à l’automne dernier. 

    Ses rivales sur le tapis sont souvent des jeunettes de 70 ans.

    « Comme je continuais à les battre, je me suis dit un temps qu’il faudrait que j’arrête la compétition… Mais en fait, je n’ai pas du tout envie d’arrêter ! »

    Elle n’a pas peur de se faire mal et pense que c’est le sport qui la maintient aussi alerte. Elle assure manger de tout, beaucoup de poisson et de fromage. Elle veut montrer aux autres personnes âgées qu’elles peuvent rester en forme à tout âge, et donne des tutoriels de gymnastique au lit pour une marque de literie.

     

    Le succès n’a pas fondamentalement changé sa vie. Elle habite toujours dans le sud de la ville Halle, dans un immeuble préfabriqué, et fait du vélo le long de la rivière pour aller au marché.

    « Quand on est en forme, on maîtrise mieux sa vie. Regardez-moi, à 91 ans, je lave encore mes carreaux et je cueille des fraises pour en faire de la confiture qui va me tenir tout l’hiver. »

    Elle est juste invitée dans des destinations un peu plus exotiques que ses voisines. Elle part bientôt au Japon.

     

    Emmanuelle François


     

    http://tempsreel.nouvelobs.com/

    Voici l’homme le plus diplômé au monde


    On peut aimer les études tout en rêvant de les avoir fini. Alors que pour cet homme, les études sont vraiment une vocation. Cet italien a mit en route pour une 15 diplomes .. Les champs de ses études est vraiment très diversifiés
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    Voici l’homme le plus diplômé au monde

    Luciano Baietti. © afp.

    On s’attendrait à rencontrer un monsieur sérieux, docte, voire pontifiant. Au contraire, l’homme le plus diplômé au monde est un truculent Italien, né à Rome il y 70 ans.

    « Grâce aux livres, je me sens plus libre. D’ailleurs, les deux mots ont la même étymologie », confie Luciano Baietti à l’AFP.

    Dans le bureau de sa maison au décor un peu kitsch de Velletri, petite localité au sud de Rome, il les a accrochés au mur autour d’une reproduction d’un portrait de l’écrivain Louis-François Bertin, peint par Ingres en 1832.

    « C’était un homme de culture et de savoir », explique cet ancien principal de collège à la retraite, qui avait fait son entrée au livre Guinness des records en 2002 grâce à sa huitième « laurea », l’équivalent italien d’une licence ou d’une maîtrise, selon les cas, obtenue en « sciences de la motricité » à l’université La Sapienza de Rome.

    A l’époque, son CV alignait déjà des titres en sociologie, lettres, droit, sciences politiques et philosophie. Depuis, il en a ajouté sept autres, dont un en sciences stratégiques à Turin, un autre en criminologie à Rome et le petit dernier, obtenu le 1er février, en sciences touristiques à Naples.

    « A chaque fois, c’est un nouveau défi que je me lance à moi-même. Je veux savoir jusqu’où mon corps et mon cerveau sont capables d’aller », explique ce bon vivant, volubile et gouailleur, qui a aussi été professeur de sport.

    C’est d’ailleurs par le biais de son diplôme d’éducation physique qu’il avait mis le pied dans le monde universitaire, en 1972, pour ne plus en sortir.

    « A côté des épreuves sportives, nous suivions des cours théoriques qui me plaisaient et qui ont fait naître en moi le goût pour les études », se souvient le septuagénaire, marié et père d’un fils de 22 ans.

    © afp.

    © afp.

    Nouveau défi

    « De la pédagogie, je suis naturellement passé à la sociologie, aux lettres et à la psychologie puis au domaine juridique, avant de m’orienter vers des disciplines plus +professionnelles+ comme les sciences de l’investigation ou les sciences stratégiques », ajoute-t-il.

    Le diplôme en sciences stratégiques est d’ailleurs celui qui lui a donné le plus de fil à retordre :

    « Il était organisé conjointement par le ministère de la Défense et l’université de Turin, abordait des sujets sensibles liés à la sécurité nationale et il fallait se rendre aux examens en uniforme ».

    Il garde aussi un souvenir particulier de sa spécialisation en criminologie, pendant laquelle il avait dû interroger des détenus en prison.

    « En les écoutant, je me surprenais parfois à être convaincu par leurs arguments, à m’interroger sur ce qui était juste ou pas, avant de réaliser que je faisais fausse route ».

    Pour son 15e diplôme, Luciano Baietti s’était lancé un défi supplémentaire: suivre les cours en ligne, auprès de l’université télématique Pegaso de Naples.

    « Outre le fait qu’internet ne soit pas une chose évidente pour quelqu’un de ma génération, ma motivation était de démontrer qu’une formation à distance n’a rien à envier aux méthodes traditionnelles d’enseignement, contrairement à un préjugé tenace », explique-t-il.

    Et il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin puisqu’il prépare déjà un 16ème diplôme, cette fois en sciences de l’alimentation. Comme pour les précédents, il travaillera dans le silence de son bureau, entre trois heures et cinq heures du matin.

    « Un moment que je mets à profit pour étudier parce ce qu’à cette heure-là, le cerveau est plus disponible pour assimiler des connaissances et aussi parce que cela me permet de garder une vie de famille normale », explique ce petit dormeur, qui trouve aussi le temps d’être bénévole à la Croix-Rouge.

    © afp.

    http://www.7sur7.be/

    200 dollars pour le sandwich le plus cher du monde


    Personnellement, je trouve que c’est exagéré de faire de tels sandwichs.
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    200 dollars pour le sandwich le plus cher du monde

     

    © Guinness World Records.

    Le « Quintessential Grilled Cheese », tel est le petit nom du sandwich le plus cher du monde, homologué comme tel par les Guinness World Records et proposé par le fameux restaurant new-yorkais Serendipity 3. Son prix? 214 dollars, soit 192 euros, rien que ça, pour ce qui n’est finalement qu’un extraordinaire… croque-monsieur.

    Comment le sandwich du chef Joe Calderon peut-il approcher les 200 euros? En utilisant des ingrédients chers et extravagants, évidemment. A savoir: deux tranches de pain de mie amélioré au champagne Dom Pérignon et à l’or comestible, du beurre à la truffe blanche et du fromage Caciocavallo Podolico. Servi sur une assiette en cristal Baccarat, le sandwich est à tremper dans une bisque de homard.

    « Le sandwich doit être commandé 48 heures à l’avance parce que tous ces ingrédients sont acheminés spécialement pour vous », prévient Joe Calderon, cité jeudi sur le site internet des Guinness World Records. « Quand vous mordez dans le sandwich, vous goûtez le croustillant du pain, le champagne Dom Pérignon qui a cuit dans le pain, l’onctuosité du beurre à la truffe blanche et enfin le fromage, c’est superbe », fait saliver le chef.

    L’établissement Serendipity 3, situé dans l’Upper East Side à Manhattan, est aussi détenteur notamment du record homologué de l’hamburger le plus cher (Le Burger Extravagant, à 295 dollars, soit 265 euros). Il a été le décor de plusieurs films, dont la comédie romantique « Serendipity » avec John Cusack et Kate Beckinsale.

    Ci-dessous la vidéo-tuto pour éventuellement reproduire à la maison la quintessence de l’en-cas.

    http://www.7sur7.be/

    La mamie culturiste la plus musclée du monde vient de fêter son 80e anniversaire.


    C’est toute une leçon qu’Ernestine Shepherd donne a ceux qui ont plus de 50 ans. Il n’est jamais trop tard pour changer. Aujourd’hui, cette culturiste est octogénaire de Baltimore aux États-Unis. Elle a commencé à s’entrainer à 56 ans, et au cours des années Ernestine a remporté deux prix, soit en 2010 et 2011 et d’après le Livre Guinness a déclaré qu’Ernestine Sheperd était la culturiste active en compétition la plus âgée du monde
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    La mamie culturiste la plus musclée du monde vient de fêter son 80e anniversaire.

    L’homme qui a le plus de trous dans le corps au monde


    Un autre qui à mon avis, détruit son corps. Me semble que le voir manger ne doit pas être ragoutant et boire, le liquide doit couler hors de la bouche. Non, franchement, c’est affreux et quand il sera plus âgé, comment sera son visage
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    L’homme qui a le plus de trous dans le corps au monde

     

    L'homme qui a le plus de trous dans le corps au monde

    L’artiste Joel Miggler.Photo Gentside

    Adepte des piercings, cet artiste body art en possède pas moins de 27, dont deux qui ne passent définitivement pas inaperçus.

    Il détient le record de l’homme qui a le plus de trous dans la peau dans le Livre Guinness des records.

    En effet, Joel Miggler possède dans chacune de ses joues deux trous de 3,6 cm de diamètre qui permettent de voir l’intérieur de sa bouche ou encore de faire passer un fil de l’un à  l’autre.

    Selon lui, Joel Miggler affirme que ces deux énormes trous ne lui causent aucune gêne au quotidien, notamment lorsqu’il s’agit de boire et de manger.

    Accro à  la transformation corporelle, celui-ci voudrait même poursuivre son oeuvre en réalisant à  l’avenir d’autres piercings et en se faisant poser un implant dans le globe oculaire.

    http://fr.canoe.ca/

    Un message dans une bouteille vieux de 108 ans


    Ce n’est pas la première fois que l’on trouve des bouteilles à la mer, qui flottaient depuis des décennies, mais cette bouteille est vraiment particulière. En fait, elle fait partie d’un lot qui avait été mit en mer pour des expériences marines, il y a plus d’un siècle
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    Un message dans une bouteille vieux de 108 ans

     

    Un message dans une bouteille vieux de 108 ans

    La bouteille, à gauche, et l’auteur du message qu’elle contenait, à droite.Capture d’écran Gentside

    Retrouver une bouteille à la mer est déjà en soi particulièrement excitant, mais lorsque le message qu’elle contient s’avère être parmi les plus vieux en son genre, la découverte devient historique. L’incroyable trouvaille a été réalisée par un couple, sur une plage de l’île allemande d’Amrun, en mer du Nord.

    Marianne Winkler et son mari étaient venus y passer des vacances au mois d’avril et auront emporté avec eux ce fantastique souvenir. Selon leTelegraph, la découverte n’a été relayée que très récemment car la femme, «intimidée par l’impact médiatique», a mis un certain temps avant de se confier aux journalistes.

    DES INSTRUCTIONS À SUIVRE

    À l’intérieur de la bouteille, un morceau de papier contenait les instructions suivantes: «Casser».

    «Mon mari Horst et moi-même avons soigneusement essayé de récupérer le message en le faisant passer à travers le goulot, mais c’était impossible. Nous avons donc dû faire comme il était indiqué,» a raconté Marianne Winklern.

    Le couple a trouvé un manuscrit écrit en anglais, allemand et néerlandais, demandant aux personnes ayant découvert la bouteille de la retourner à l’association de biologie marine (MBA) de Plymouth, moyennant un shilling de récompense, soit environ 0,11 $ CAD.

    «Nous avons suivi les instructions, et l’histoire a suivi son cours,» a expliqué l’auteure de la découverte.

    Le couple a pris soin d’envoyer le message dans une enveloppe de manière à ne pas l’endommager.

    UN VASTE PROJET ÉTUDE SUR LES COURANTS SOUS-MARINS

    Quelques jours plus tard, l’Association britannique de biologie marine a pris connaissance de l’incroyable découverte. L’institution a rapidement identifié la nature du manuscrit. Celui-ci avait été écrit il y a plus d’un siècle dans le cadre d’une étude des courants sous-marins.

    Au total, 1020 bouteilles de ce genre auraient été jetées en mer du Nord dans cet objectif entre 1904 et 1906.

    À la tête du projet: George Parker Bidder, célèbre biologiste marin britannique qui a ensuite assumé le rôle de président de l’association entre 1939 et 1945.

    Les bouteilles ont été spécialement conçues pour flotter juste au-dessus du fond de la mer, de sorte qu’elles puissent être transportées par les courants sous la surface.

    «Nous pensons que celle-ci fait partie de l’un des derniers lots envoyés en 1906, de sorte qu’elle daterait de 108 ans», a déclaré Guy Baker, directeur de la communication à la MBA.

    Selon lui, il pourrait s’agir du plus vieux manuscrit jamais trouvé dans une bouteille jetée à la mer.

    «Nous attendons la confirmation du Livre Guinness des records», a-t-il ajouté.

    En attendant, l’association a tenu à récompenser symboliquement Marianne Winkler et son mari en leur offrant comme convenu… Un ancien shilling!

    http://fr.canoe.ca/

    Le Saviez-Vous ► La sculpture en bois la plus grande au monde


     

    Un sculpture gigantesque fait par un homme de grand talent qui aurait semble-t-il été inscrit dans le Livre de Records Guinness. Une partie de l’histoire de Chine sur un arbre
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    La sculpture en bois la plus grande au monde

    Tout a commencé avec un simple tronc d’arbre

     

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    Un arbre, 4 ans de travail acharné et un indéniable talent, voila ce qu’il a fallu à Zheng ChunHui pour réaliser cet incroyable chef-d’oeuvre. Ce célèbre charpentier chinois a en effet taillé ce tronc d’arbre 4 ans durant pour atteindre le résultat ci-dessous. Vous allez en rester bouche bée!

    Zheng ChunHui, un célèbre charpentier chinois a ensuite passé 4 années à travailler le bois pour réaliser son chef d’oeuvre

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    Cette oeuvre est basée sur un tableau célèbre vieux de presque 1000 ans, “Le long de la rivière pendant le festival Qingming” du peintre Zang Zeduan. Ce tableau fait lui-même plus de 5 mètres de long

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    Cette pièce de bois est rentrée dans le Livre Guinness des Records, comme la sculpture en bois la plus grande au monde (plus de 12 mètres de long, 3 mètres de haut et 2,5 mètres de large).

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    Les détails sculptés dans le bois sont impressionnants et donnent une idée de la vie en Chine il y a plus de 1000 ans.

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    Plus de 550 personnes sont représentées dans la sculpture

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    source: daily mail

    Les 8760 heures passées par Zheng Chunhui pour terminer son oeuvre n’auront donc pas été vaines.

    http://bridoz.com/

    Inde. Sa moustache mesure plus de 4 mètres


    2 heures par jour pour entretenir la plus longue moustache au monde, tout cela pour être dans le record Guinness. Mais qu’est-ce que cela donne plus ? Est-ce que cela vaut vraiment la peine ? Ce n’est pas un surpassement de soi-même, enfin sauf pour la patience, il en faut des années pour arriver à un tel résultat
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    Inde. Sa moustache mesure plus de 4 mètres

     

    Ram Singh Chauhan et sa moustache de 4,26 m.

    Ram Singh Chauhan, un habitant de Jaipur en Inde, possède la plus grande moustache du monde. Elle mesure 4,26 mètres.

    L’homme, âgé de 66 ans, a dû attendre 42 ans pour atteindre une telle longueur. Mais celle-ci lui a permis d’entrer dans le Guinness Book des records en 2010.

    « C’est un symbole de fierté, de respect et d’honneur », confie-t-il.

    Une telle moustache demande de l’entretien. Chaque jour, Ram Singh Chauhan passe deux heures à la laver, la peigner et la huiler. Pour se déplacer, il est obligé de la rouler autour de son cou ou de la glisser discrètement dans son turban.

    http://www.ladepeche.fr